Théologie catholique
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La théologie catholique est l'écoute, l'analyse, l'interprétation, l'explicitation et l'étude méthodique de la Révélation par un sujet croyant qui, d’une manière rationnelle, veut approfondir l’intelligence de la foi. La formule de saint Anselme pour définir la théologie est fides quarens intellectum (la foi qui cherche l'intelligence). Ainsi, dans le catholicisme, le théologien explore rationnellement le mystère chrétien sur la base des données de la révélation chrétienne.
Sommaire |
[modifier] Bref rappel historique
Jusqu'au XVe siècle inclus, la théologie et la philosophie étaient très intimement liées. Dans l'école scolastique, l'une des branches de la philosophie était la métaphysique générale, la théologie étant aussi appelée la métaphysique spéciale. La réconciliation du christianisme et de la philosophie d'Aristote par saint Thomas d'Aquin (philosophie première) au XIIIe siècle se forgea autour de cette ligne de force.
Sur l'histoire de la théologie catholique jusqu'à la Réforme, on peut consulter :
Au Moyen Âge, on peut remarquer l'importance que prit la théologie de la Lumière dans le mouvement de Renaissance du XIIe siècle, que décrit bien l'historien Georges Duby.
La scolastique entra dans une phase de décadence à partir de la Renaissance, qui s'accéléra aux XVIIe et XVIIIe siècles. Même si les méthodes de raisonnement logique de la scolastique, héritées d'Aristote, étaient élaborées, la lourdeur des organisations et leur incapacité, dans le contexte de ces époques, à prendre en compte les observations scientifiques et les résultats des expériences, entraînèrent la disparition de cette école à la Révolution française.
À la même époque, de nombreux philosophes firent des travaux en logique (voir logique de Port-Royal), en métaphysique, en morale, et introduisirent des modifications profondes dans les mentalités et les structures sociales, qui eurent même un impact sur la langue. On ne voit pas de théologien vraiment marquant pour cette époque.
[modifier] Renouvellement de la théologie
L'image de la théologie reste souvent attachée, dans les représentations collectives, aux dogmes. Si cette fonction existe effectivement lorsqu'il s'agit d'enseigner ou de défendre les principes fondamentaux de la foi catholique (incarnation, rédemption, trinité…), la théologie s'est ouverte au XXe siècle à des domaines extrêmement diversifiés.
Les profondes transformations de la société depuis la révolution industrielle au XIXe siècle ont nécessité un renouvellement de la théologie (voir aussi Révolution copernicienne, qui présente maintenant les caractéristiques suivantes :
- le retour aux sources des textes anciens, qui s'est fait en parallèle avec les autres familles chrétiennes depuis le concile Vatican II,
- l'œcuménisme et le dialogue interreligieux,
- une ouverture sur le monde, que l'on ressent davantage depuis Vatican II.
La théologie est aussi une discipline plus autonome par rapport à la philosophie, même si toutes deux se nourrissent mutuellement.
[modifier] Domaines de la théologie
[modifier] Exégèse
- Article détaillé : Exégèse.
Représentants (on indique aussi des exégètes luthériens) :
- Johann Jakob Griesbach, luthérien (1745-1812),
- Ernst Käsemann
- Rudolph Bultmann (luthérien)
- Léon XIII (pape)
- Pie XII (pape)
Il y a eu de nombreuses traductions de la Bible dans l'Histoire. Voir, pour la langue française, l'article Traductions de la Bible en français.
Des traductions peuvent s'appuyer sur des éléments externes aux textes originels (qui sont pour l'essentiel en hébreu et en grec ancien). Ainsi, la Logique de Port-Royal (traduction de la Bible en français au XVIIe siècle, travaux auxquels auraient participé Descartes et Pascal), ont introduit des modifications syntaxiques et grammaticales dans le texte biblique en français²²², qui ont eu probablement certains effets sur la langue française.
L'étude des textes bibliques a été relancée au XIXe siècle par le pape Léon XIII, avec l'encyclique Providentissimus deus (1893). C'est un aspect peu connu de l'action de ce pape. Pour les catholiques français, Léon XIII est celui qui a élaboré la doctrine sociale de l'Église. Son image en France est celle d'un pape "social". On oublie trop souvent que, durant son long pontificat, Léon XIII a mis à profit sa grande culture pour renouveler plusieurs domaines de la théologie catholique, et en particulier l'exégèse.
En 1920, à l'occasion du quinzième centenaire de la mort de saint Jérôme, le pape Benoît XV publia l'encyclique Spiritus paraclitus sur les principes régissant l'étude des Saintes Écritures.
En 1943, le pape Pie XII fit également progresser l'exégèse, en clarifiant les conditions d'exercice de cette discipline dans l'encyclique Divino afflante Spiritu.
En 1993, la Commission biblique pontificale a publié un texte intitué L'interprétation de la Bible dans l'Église et qui constitue une synthèse des principes exégétiques pour le catholicisme.
Les travaux exégétiques stimulés par les écrits pontificaux ont conduit à des rééditions de la Bible dans la deuxième moitié du XXe siècle :
- La Bible de Jérusalem,
- La Traduction œcuménique de la Bible, avec les autres familles chrétiennes.
Les passages à caractère cosmologique de la Bible sont maintenant rédigés d'une façon plus claire, et permettent d'éviter les confusions sur les questions de représentation du monde.
- Article détaillé : cosmologie religieuse.
[modifier] Herméneutique
- Article détaillé : Herméneutique.
L'herméneutique est l'art de comprendre et d'interpréter la Parole de Dieu.
Elle se fixe trois orientations :
- la recherche du sens des textes,
- la compréhension de la Parole de Dieu en rapport avec l'existence humaine,
- l'efficacité de la Parole dans l'Histoire et le contexte sociopolitique.
Certains herméneutes mettent davantage l'accent aujourd'hui sur la pratique (« praxis »), que sur la doctrine : il s'agit de libérer la Parole de Dieu pour lui rendre son efficacité dans l'Histoire.
Les instigateurs de l'herméneutique philosophique :
Les représentants la théorie herméneutique appliquée aux Saintes Écritures et de la théologie herméneutique :
- Rudolf Bultmann (luthérien)
- Gerhard Ebeling
- Ernst Fuchs
- Claude Geffré
- Jürgen Moltmann
- Paul Ricœur
- Edward Schillebeeckx
[modifier] Christologie
- Article détaillé : Christologie.
Représentant : Wolfhart Pannenberg
(à compléter)
[modifier] Histoire du christianisme
- Article détaillé : Histoire du christianisme.
Représentant : cardinal Paul Poupard
Le cardinal Paul Poupard participa à des études sur Galilée en 1981.
(à compléter)
[modifier] Œcuménisme
- Article détaillé : Œcuménisme.
Représentant : Yves Congar
(à compléter)
[modifier] Dialogue inter-religieux
- Article détaillé : Dialogue inter-religieux.
Même si de nombreux contacts fructueux eurent lieu entre civilisations et religions dans l'Histoire, Henri Le Saux peut être considéré comme un pionnier du dialogue inter-religieux en tant que tel, spécialement sur les relations entre le christianisme et l'hindouisme.
Le dialogue inter-religieux en général fut traité lors du concile Vatican II, et fit l'objet de la déclaration Nostra Ætate de Paul VI, le 28 octobre 1965.
Lors de repentances en 1997 (Église de France) et en 1998, et lors de la repentance de l'an 2000, l'Église catholique a reconnu qu'elle a diffusé une certaine culture antijudaïque dans l'Histoire. La liturgie catholique a été adaptée en conséquence au XXe siècle pour éviter ce genre de problèmes.
[modifier] Doctrine sociale
- Article détaillé : Doctrine sociale de l'Église.
Représentants :
- Pape Léon XIII
- Henri de Lubac
Le catholicisme social s'est profondément renouvelé au XIXe siècle. Dans la tradition de saint Vincent de Paul, plusieurs catholiques, tels Frédéric Ozanam, Félicité de Lamennais, Mgr Ketteler, Marc Sangnier, Albert de Mun ont impulsé de nouveaux mouvements, de nouvelles lois sociales. Des mouvements d'action catholique ont vu le jour. Ces actions ont été appuyées par un travail théologique de mise en forme : l'Église a progressivement élaboré une doctrine sociale, que le pape Léon XIII a mise en forme dans l'encyclique Rerum Novarum, en 1891. D'autres encycliques ont suivi (Populorum progressio, Centesimus annus en 1991 pour le centenaire), à un rythme souvent décennal.
Le théologien jésuite Henri de Lubac s'est penché sur les aspects sociaux du dogme catholique.
[modifier] Catéchèse
Représentant : Walter Kasper, l'un des artisans du catéchisme pour adultes.
Le travail de catéchèse a consisté en l'élaboration d'un nouveau catéchisme de l'Église catholique en 1992, puis plus récemment d'un catéchisme simplifié.
[modifier] Liturgie
- Article détaillé : Liturgie catholique.
Représentant : dom Guéranger
La liturgie a fait l'objet de gros travaux dans la première moitié du XIXe siècle en France, car au sortir de la révolution et de l'empire, il y avait quatre liturgies différentes. Dom Guéranger, fondateur de l'abbaye de Solesmes, a refondé la liturgie à partir de l'ordre bénédictin.
La liturgie a également été rénovée à l'occasion du concile Vatican II. L'un des apports du concile a été d'autoriser la messe en langue vernaculaire.
[modifier] Théologie de la nature
On a vu que l'exégèse a permis de revisiter des textes bibliques, et que l'herméneutique a permis d'en faire une interprétation nouvelle selon les critères de notre époque.
Il n'existe pas d'incompatibilité entre la vision de l'univers que proposent les cosmologies scientifiques, et la cosmologie religieuse actuelle. Celle-ci en effet n'a pas la prétention de décrire la structure physique de l'univers.
Les évolutions de notre époque, concernant l'environnement (problèmes d'empreinte écologique globale), appellent un nouveau regard de la théologie sur notre rapport au monde naturel. Ces questions, qui font l'objet de groupes de travail, n'ont pas encore été totalement formalisées. Un document a été rédigé par la Conférence des Évêques de France sur le respect de la création en 2000.
[modifier] Rapports avec la philosophie
[modifier] Théologie et philosophie
Aujourd'hui, la théologie se distingue assez nettement de la philosophie, bien que les deux disciplines restent complémentaires.
Dans ses relations avec la philosophie, la théologie a deux objectifs principaux :
- Discerner dans les philosophies, celles qui sont à même de fournir un enseignement pour la formation des prêtres. Ainsi, le pape Léon XIII remit-il en honneur la théologie de saint Thomas d'Aquin par l'encyclique Æterni Patris (1879).
- Apporter les éléments de discernement aux fidèles, aux chrétiens, à toute personne désireuse de s'orienter selon les lumières de la foi, sur la conformité des philosophies par rapport aux exigences de la Parole de Dieu.
[modifier] Fides et ratio (1998)
L'encyclique Fides et ratio de Jean-Paul II rappelle que les philosophies qui ne présentent pas d'ouverture métaphysique ne permettent pas d'accéder à l'intelligence de la révélation. D'autre part, elle exhorte à une spéculation philosophique qui atteigne la substance spirituelle. (§ 83)
Cette même encyclique rappelle l'intérêt de la philosophie d'Aristote, et la réconciliation effectuée par saint Thomas d'Aquin au XIIIe siècle entre le christianisme et cette philosophie.
La philosophie d'Aristote conserve un intérêt sur les concepts fondamentaux :
- En éthique, elle permet de distinguer quatre causes dont la cause finale, le telos,
- En logique, elle ouvre à des modes d'inférence qui ne soient pas seulement des déductions logiques,
- En métaphysique, elle fonde ses principes sur une cause première, et permet de bâtir une philosophie sur les principes d'être, de substance, d'essence, qui étaient à la base de la métaphysique de saint Thomas d'Aquin.
[modifier] La question de la substance
La question centrale des relations entre la théologie et la philosophie est sans doute la substance. Aujourd'hui, le mot substance est presque toujours employé dans un sens matérialiste (comme dans substance toxique par exemple).
Le catholicisme considère que, dans l'eucharistie, la substance du pain se transforme en la substance du corps du Christ (et de même pour le vin en sang) (cf. encyclique Ecclesia de Eucharistia, Jean-Paul II, 2003, ainsi que Fides et ratio, 1998). Dans la philosophie thomiste, la substance correspond à une catégorie d'Aristote.
Il est possible que cette question ait joué dans les débats philosophiques du XVIIe siècle (voir Urbain VIII et Galilée), et ait conduit à l'émergence du système cartésien.
[modifier] Catholicisme et autres familles chrétiennes
Mystères
Le catholicisme partage les mystères suivants avec les autres familles chrétiennes :
- Article détaillé : Mystère.
Salut
Le catholicisme considère que le salut provient de la foi et des œuvres, et non pas de la foi seule, comme l'affirment certaines Églises réformées. Cependant, il est à noter que tant l'Église catholique que les Églises issues de la Réforme affirment que le salut est une grâce provenant de la mort et de la résurrection du Christ. En 1999, l'Église catholique romaine et la Fédération luthérienne mondiale publiaient une déclaration commune portant sur la doctrine de la justification.
Sacrements
Le catholicisme considère qu'il y a sept sacrements : baptême, confirmation, Eucharistie, pénitence, onction des malades, ordre et mariage.
Les Églises réformées ne retiennent généralement que deux rites : le baptême et la cène.
- Article détaillé : Sacrement.
Saintes Écritures et Tradition
Le catholicisme appuie la foi sur la Révélation contenue dans les Saintes Écritures - la Bible - (Ancien Testament et Nouveau Testament) ainsi que sur la Tradition alors que les Églises réformées ont tendance à s'en tenir à l'Écriture seulement.
La culte des saints (ou culte de dulie) et le culte de sainte Marie (ou culte d'hyperdulie) - qui sont des cultes différents de celui rendu à Dieu seul (ou culte de latrie) - ne sont pas non plus partagés.
Dogmes
Quelques dogmes ne sont pas partagés avec certaines familles chrétiennes :
- Transsubstantiation, c'est-à-dire la présence réelle du Christ (la substance spirituelle) dans l'Eucharistie, en relation avec le Saint-Sacrement. Ce dogme a été proclamé à la treizième session du concile de Trente.
- Infaillibilité pontificale, qui signifie que le pape, lorsqu'il parle ex cathedra - c'est-à-dire lorsqu'il engage son autorité pour définir la foi ou les moeurs - jouit du charisme de l'infaillibilité. Ce dogme a été défini par le concile Vatican I dans la constitution dogmatique Pastor Aeternus.
- Immaculée conception, qui signifie que la vierge Marie a été conçue sans le péché originel. Ce dogme a été proclamé, en 1854, par le pape Pie IX avec la bulle Ineffabilis Deus.
- Assomption de Marie, qui signifie qu'à la fin de sa vie, Marie est montée au ciel avec son corps et son âme. Ce dogme a été promulgué, en 1950, par le pape Pie XII avec la constitution apostolique Munificentissimus Deus.
Voir dans les articles correspondants les points de différence.
- Article détaillé : Dogmes catholiques.
Conciles
Les questions doctrinales touchant la foi ou les moeurs, de même que les questions pastorales et disciplinaires, sont discutées pendant un concile œcuménique, comme Vatican II par exemple.
[modifier] Diffusion d'informations théologiques
Il est possible de s'initier à la théologie par différents moyens, dont le web.
Le Centre d'études théologiques à distance (CETADnet)
Ce centre permet de se former on line, il est très prisé par les jeunes catholiques. Il est situé rue d'Assas.
Site web : Centre d'éudes théologiques à distance (CETAD), pour la formation à la théologie en ligne
Les livres de vulgarisation
Voir la bibliographie (librairie à la Défense, à Notre Dame de Pentecôte)
Les formations
- Faculté de théologie et de sciences religieuses, Université Laval (Québec, Canada)
[modifier] Voir aussi
[modifier] Théologiens marquants
Au Moyen Âge :
- Saint Augustin (354-430)
- Saint Bède le Vénérable (672-735), théologien anglais, philosophe, historien : il a étudié les arts libéraux, il est le véritable fondateur du comput, l'évangélisateur de l'Angleterre,
- Pierre Lombard,
- Alain de Lille,
- Albert le Grand,
- Saint Thomas d'Aquin (1225-1274), école scolastique : il a réconcilié le christianisme et la philosophie d'Aristote,
- John Duns Scot (1266-1308), école scolastique,
- Pierre d'Ailly, auteur par ailleurs de l'Imago Mundi, qui servit de référence aux voyages de Christophe Colomb.
À la Renaissance
Au XXe siècle (cette liste comprend des théologiens chrétiens d'autres confessions ayant également marqués le travail théologique dans l'univers catholique) :
- Hans Urs von Balthasar (1905–1988),
- Karl Barth (calviniste) (1886-1968),
- Leonardo Boff,
- Dietrich Bonhoeffer (luthérien) (1906-1945),
- Louis Bouyer (1913-2004),
- Rudolf Bultmann (luthérien) (1884-1976),
- Pierre Teilhard de Chardin (1881-1955),
- Marie-Dominique Chenu (1895-1990),
- Yves Congar (1904-1995),
- Jean Daniélou (1905-1974),
- Arnaud Dumouch,
- Réginald Garrigou-Lagrange,
- Claude Geffré,
- Étienne Gilson (philosophie chrétienne),
- Romano Guardini,
- Gustavo Gutiérrez,
- Bernard Haring,
- Eberhard Jüngel (luthérien),
- Ernst Käsemann (luthérien),
- Walter Kasper,
- Hans Küng (né en 1928),
- René Laurentin (né en 1917),
- Jules Lebreton
- Xavier Léon-Dufour,
- Vladimir Lossky (orthodoxe),
- Henri de Lubac (1896-1991),
- Jacques Maritain (philosophie chrétienne),
- Jean-Baptiste Metz,
- Jürgen Moltmann (luthérien),
- Wolfhart Pannenberg (luthérien),
- Karl Rahner (1904-1984),
- Joseph Ratzinger (né en 1927),
- Jean-Marc Rouvière (né en 1958),
- Edward Schillebeeckx,
- Paul Tillich (luthérien) (1886-1965),
- David Tracy,
- Claude Tresmontant,
- François Varillon,
- Maurice Zundel (1897-1975).
Voir aussi :
- Docteurs de l'Église
- Pères de l'Église
- Théologiens chrétiens, pour les théologiens de toutes les familles chrétiennes.
[modifier] Sur la foi et la théologie en général
[modifier] Sur les Encycliques en rapport avec la théologie catholique
- Fides et ratio, Jean-Paul II, 1998, sur les relations entre la foi et la raison,
- Æterni Patris, Léon XIII, 1879, sur la théologie de saint Thomas d'Aquin,
- Humani Generis, Pie XII, sur la théologie catholique.
- Liste des encycliques, pour les autres encycliques.
[modifier] Sur les relations avec la philosophie
[modifier] Formation en ligne
- Catéchisme de l'Église catholique, en ligne.
- Bibliothèque catholique en ligne, avec des écrits bibliques, patristiques, théologiques et du Magistère.
[modifier] Bibliographie
- Marcel Neusch, Bruno Chenu, Au pays de la théologie, Centurion Paris, ISBN 2-227-31544-X
- Henri de Lubac, Catholicisme, les aspects sociaux du dogme, Cerf, 1938.