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Histoire de l'Allemagne - Wikipédia

Histoire de l'Allemagne

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Histoire de l'Allemagne

L'histoire de l'Allemagne est complexe et varie selon les limites géographiques et historiques dans lesquelles on considère le territoire et l'ethnogenèse du peuple allemand.

L'Allemagne n'existe en tant qu'Etat-nation que depuis 1871. Avant cette date, elle ne pouvait être considérée que comme une nation sans État unifié ou comme une région culturelle où de nombreux territoires, avec une indépendance très variable, possédaient chacun leur histoire et il n'est pas facile de prime abord de distinguer ce qui fait réellement partie de l'Allemagne.

Cet article se concentre donc sur l'histoire allemande après 1871. Les périodes plus anciennes ne sont que rapidement décrites mais amènent à des articles séparés qui les expliquent plus en détail.


Sommaire

[modifier] La lutte contre Rome

Une des plus importantes batailles lors de la période romaine fut la Bataille de Teutoburg en 9, où les tribus germaniques Chérusques, menées par Arminius (Hermann en Allemand) attirèrent les trois légions romaines du général Publius Quinctilius Varus dans un piège et les exterminèrent. L'épisode reste unique par l'un des premiers emplois de tactiques de guérilla enregistrés dans l'Histoire et par l'humiliation que subit Rome. Après cela, les Romains n'essayèrent jamais réellement d'étendre leur Empire à l'est du Rhin mais construisirent un limes (mur continu) du Rhin au Danube afin de se protéger contre les attaques barbares.

Voir l’article Germains.

[modifier] Le royaume franc (Ve-Xe siècles)

[modifier] Invasions germaniques

Après un siècle et demi de pression sur les frontières romaines, des tribus ou fédérations de peuple, drainant sans doute en grande partie des réfugiés, à savoir les Vandales, Burgondes, Alamans et Saxons, traversèrent le Rhin en 410 et pillèrent les régions occidentales de l'Empire. Alors que l'Empire romain se germanisait en accueillant un nombre important de ces barbares à son service pour lutter contre d'autres, nouveaux-venus plus menaçants, et tandis que la situation économique et sociale romaine se dégradait, certains chefs germains, tels le Vandale Stilicon, surent se hisser aux plus hautes dignités impériales.

À la fin du IVe siècle et au Ve siècle, certains de ces peuplades germaniques établirent des royaumes plus ou moins éphémères dans les régions de l'Empire romain qui correspondent actuellement à l'Angleterre (les Angles et les Saxons), à la France (Francs et Burgondes), à l'Espagne (Wisigoths) et même à la Tunisie (Vandales).

Parmi ces royaumes barbares, le royaume des Francs était promis à un bel avenir. Seul royaume germanique mené par des rois chrétiens catholiques, il perdura sous différentes formes durant plusieurs siècles.

[modifier] L'époque mérovingienne

Voir l’article Germanie franque.

[modifier] L'époque carolingienne

Puis sous la dynastie des Carolingiens, Charles Martel, un Franc austrasien, usurpa le pouvoir à l'issue d'une crise économique et démographique qui parachevait de fait la disparition de la culture romaine et l'entrée dans le Moyen Âge.

Sous le règne de son petit-fils connu sous le nom de Charlemagne (du latin Karolus Magnus, c'est-à-dire Charles le Grand), le troisième souverain carolingien, les Francs annexent la Bavière en 788-794 et la Basse-Saxe en 804 après une longue guerre contre les Saxons.

Charles fut couronné Empereur des Francs et des Romains en 800, principalement à l'instigation du pape et en raison de la pression qu'exerçait sur Rome une autre peuplade germanique arrivée tardivement et convertie à l'Arianisme : les Lombards. Le royaume des Francs couvrait alors la majeure partie de la France et de l'Allemagne, formant la base des deux futures nations.

Dans le même temps, le centre du pouvoir s'était déplacé vers l'Est (de l'Austrasie, région de Trèves et berceau des Austrasiens, jusqu'à la Saxe nouvellement conquise et à peine pacifiée), préfigurant le fait que l'Empire allait survivre en Germanie. Charlemagne fit d'Aix-la-Chapelle le centre politique de son empire.

Voir les articles duché de Saxe et Germanie franque.

[modifier] Le Saint Empire romain germanique

Après la mort du roi franc Louis le Pieux, fils de Charlemagne, les terres franques furent divisées lors du traité de Verdun en 843 entre une partie occidentale (Francie occidentale), la base de la France, une partie orientale (Francie orientale), le futur Empire Romain Germanique et une région centrale qui provoqua la rivalité franco-allemande.

Après la mort du dernier dirigeant de la lignée de Charlemagne à l'est en 911, la royauté passa d'abord à Conrad puis en 919 à Henri l'Oiseleur, fondateur de la dynastie saxonne. Son fils, Othon Ier le Grand fut couronné empereur (en allemand, Kaiser, qui dérive de César) en 962. Cet Empire, plus tard appelé « Saint Empire romain germanique » (Heiliges Römisches Reich deutscher Nation) s'identifia bientôt à la maison des Habsbourg dont le plus puissant souverain, Charles Quint, fut à la tête d'un empire immense en Europe et en Amérique. Cet ensemble, contrairement au royaume de France, son principal compétiteur, ne put acquérir d'unité politique. Le Saint Empire fut secoué et divisé par le mouvement de la réforme luthérienne ; la guerre de Trente Ans qui allait dévaster et durablement affaiblir ses territoires en est une conséquence directe. L'Empire survécut jusqu'en la personne de François II en 1806, où celui-ci déposa le titre impérial à titre conservatoire afin de priver Napoléon Ier de la possibilité de dissoudre l'empire. Cette dissolution, pourtant “passée sous le nez” de Napoléon, demeure comme un mythe en France, où l'on considère généralement que la déposition du titre par le titulaire vaut dissolution par son adversaire… (pour des explications plus complètes, consulter l'entrée Troisième Reich, sur l'origine de la dénomation-numération). Cet empire a plutôt été, pendant la plus grande partie de son histoire, une confédération sans réelle cohésion.

[modifier] L'Empire allemand (1871-1918)

[modifier] L'unité allemande

En 1866, le premier ministre prussien Otto von Bismarck annexa le Schleswig-Holstein, en condominium entre la Prusse et l'Autriche depuis leur victoire contre le Danemark lors de la courte guerre des Duchés en 1864. Dans la guerre austro-prussienne qui s'ensuivit, l'Autriche fut sévèrement défaite à la bataille de Sadowa, ce qui permit à Bismarck de former la Confédération de l'Allemagne du Nord excluant l'Autriche.

Après que Bismarck eut provoqué la France, la guerre franco-allemande éclata en 1870 et les États du Sud de l'Allemagne, percevant la France comme l'agresseur, se joignirent à la confédération. La France subit une défaite humiliante et le roi de Prusse Guillaume Ier fut proclamé empereur de l'Empire allemand à Versailles en 1871.

[modifier] De Bismarck à Guillaume II

Bien qu'il fut autoritaire sur beaucoup de sujets, l'empire permit la création de partis politiques et était très avancé socialement pour l'époque, du fait de la volonté de Otto von Bismarck de couper l'herbe sous les pieds des socialistes. Ce second Reich prospéra sous la direction de Bismarck jusqu'à la mort de l'empereur (1888). Son fils et successeur, Frédéric III, ne régna que 99 jours avant de décéder d'un cancer et de laisser la couronne au jeune et impétueux Guillaume II qui, ne s'entendant pas avec lui et étant souvent en désaccord sur la politique à mener, força Bismarck à démissionner en 1890.

En Allemagne, le parti social-démocrate grandit progressivement jusqu'à devenir pour un temps le parti socialiste le plus puissant du monde, remportant un tiers des votes lors des élections de janvier 1912 au Reichstag (le parlement de l'Empire). Le gouvernement resta toutefois entre les mains d'une lignée de partis conservateurs, soutenus par le clergé catholique et très dépendants des faveurs du Kaiser.

À l'étranger, les efforts coloniaux allemands initiés en 1884 mais surtout relancés sous Guillaume II, motivés par la volonté affirmée de « se faire une place au soleil », n'aboutirent qu'à un petit empire d'outre-mer comparé à ceux du Royaume-Uni et de la France. La politique étrangère qui en découla (notamment des programmes et lois permettant la création d'une importante flotte de guerre en 1898 en 1900, mais aussi les crises provoquées sur la question marocaine) poussa le Royaume-Uni à s'associer à la France et à la Russie, déjà alliées, formant ainsi l'Entente.

[modifier] La Première Guerre mondiale

Le fragile équilibre des forces en Europe se rompit lorsque l'Autriche-Hongrie, alliée à l'Allemagne depuis 1879, déclara la guerre à la Serbie en juillet 1914 après l'assassinat à Sarajevo de l'héritier du trône autrichien. La Serbie était soutenue par la Russie, elle-même l'alliée de la France. Suivant l'ordre le mobilisation générale russe, l'Allemagne déclara la guerre à la France et à la Russie en une sorte de frappe préventive.

C'était le début de la Première Guerre mondiale. Malgré d'importantes victoires au début du conflit, l'Allemagne et ses alliés furent battu par l'Entente renforcée en 1917 par l'arrivée des États-Unis. Le Kaiser Guillaume II fut forcé de s'exiler en novembre 1918, poussé par une révolution menée par l'aile gauche des sociaux-démocrates et les communistes (spartakistes) - qui tentèrent plus tard (janvier 1919) leur propre révolution, qui échoua. À la tête de la délégation allemande Matthias Erzberger mène les négociations et signe le 11 novembre 1918 l'armistice à Rethondes.

En juin 1919, le Traité de Versailles marqua officiellement la fin de la guerre. Il fut signé dans la Galerie des Glaces de Versailles, l'endroit même où le second Reich avait été proclamé. L'Allemagne perdit des territoires au profit de la France, de la Belgique et de la Pologne (qui fut recréée) et dut payer pour les réparations pour sa responsabilité dans la guerre. La Pologne se voit offrir un accès à la mer Baltique par le Couloir de Dantzig, qui sépare la Prusse orientale du reste du territoire allemand. C'est aussi à l'issue de la guerre que l'Allemagne va perdre ses colonies.

[modifier] La République de Weimar (1919-1933)

La montée du NSDAP au Reichstag
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La montée du NSDAP au Reichstag

La république de Weimar d'après-guerre fut une tentative d'établissement d'un régime pacifique et démocratique en Allemagne. Cependant, le gouvernement fut sévèrement handicapé et peut-être condamné à cause des difficultés économiques et de la faiblesse inhérente à l'État de Weimar.

Lors des premières années, elle dut lutter contre des révoltes de gauche et de droite (1919-1923) et contre l'hyperinflation en 1923. Les années suivantes, la condition de l'Allemagne s'améliora avec la remise des paiements à effectuer en tant que réparation pour la guerre et l'amélioration des relations avec ses anciens ennemis. Une succession de gouvernements de coalition rétablirent un ordre et une prospérité relative jusqu'à la Grande Dépression en 1930

Le chômage, terreau fertile pour le NSDAP
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Le chômage, terreau fertile pour le NSDAP

Le nouvelle crise économique combinée avec le souvenir de l'hyperinflation de 1923 et les oppositions nationalistes luttant contre les conditions du traité de Versailles minèrent le gouvernement de l'intérieur et de l'extérieur. Adolf Hitler et son Parti national-socialiste des Travailleurs allemands (NSDAP - voir nazisme) insistèrent sur ses difficultés et sur le chômage grandissant. Des bagarres de rues incessantes opposent communistes aux nazis. En défendant une doctrine nationaliste et raciste et en promettant de redonner du travail aux chômeurs, les Nazis attribuaient de nombreux maux de l'Allemagne à de prétendus complots juifs, soutenant même que la Première Guerre mondiale avait été perdue à cause d'une trahison juive (la Dolchstoßlegende).

La République aurait pu être sauvée si le KPD (Parti communiste allemand) n'avait pas adopté une ligne dure souhaitée par Staline, « classe contre classe » et s'était allié avec le Parti socialiste. Dès 1934, Staline fera adopter une stratégie d'union des partis communistes avec les « partis bourgeois », permettant le Front Populaire en France et l'alliance en Chine entre les nationalistes de Jiang Jieshi et les communistes de Mao Zedong contre le Japon.

[modifier] La montée et la chute du nazisme (1933-1945)

Après le succès du NSDAP aux élections de juillet, puis de novembre 1932 (premier parti, sans toutefois disposer de la majorité au Reichstag), Hitler, désormais incontournable, fut nommé Reichskanzler (Chancelier) par le président Paul von Hindenburg le 30 janvier 1933 grâce à l'aide des monarchistes, des magnats de l'industrie et des partis conservateurs comme le Parti Nationaliste (DNVP).

Hitler réussit à convaincre Ludwig Kaas et les dirigeants du Zentrum à voter la loi des pleins pouvoirs (23 mars 1933). Très rapidement la dictature nazie se mit en place, par une série de lois qui orientèrent toute l'économie du pays vers le réarmement.

Après la mort du président Hindenburg le 2 août 1934 et le plébiscite du 19 août 1934, Hitler réunit les deux rôles de Président et de Chancelier sous le titre de Reichsführer de l'Allemagne. Une fois au pouvoir, il commença par abolir les libertés démocratiques et les partis de l'opposition, débutant ainsi le Troisième Reich.

En six ans, le parti nazi prépara l'Allemagne à la guerre en relançant l'industrie de l'armement et édicta des lois discriminatoires contre les juifs.

Après avoir annexé l'Autriche en mars 1938 puis placé la Bohême-Moravie sous son protectorat, l'Allemagne déclenche le début de la Seconde Guerre mondiale en envahissant la Pologne le 1er septembre 1939. Elle est alliée principalement au Japon et à l'Italie, et les trois forment l'Axe. Après des succès initiaux, le cours de la guerre change en 1942.

Le gouvernement nazi tenta d'éliminer la population juive d'Allemagne, d’abord en lui faisant quitter l’Allemagne par des mesures discriminatoires, puis dans les pays conquis par la déportation dans des camps de concentration, enfin par un génocide (Shoah), mis en œuvre (entre autres) dans des camps d'extermination. Ils appliquèrent la même politique aux populations tziganes, ainsi qu'aux homosexuels et aux handicapés — groupes qui, selon les dogmes nazis, sapaient la pureté de la race aryenne.

L'Allemagne, bien qu'ayant perdu toutes ses colonies y fut un acteur influent en participant à la surenchère internationale que ces pays durent subir pendant la guerre. Le régime nazi tenta grâce à la radio de saper le moral et de créer des révoltes dans les colonies. Elle tenta de se rapprocher des pays dominés par les Alliés afin d'obtenir des matières premières, et devint de cette manière amie des colonies. Cette démarche participa au processus de décolonisation, car en proposant plus que les métropoles, l'Allemagne provoqua une autoréflexion sur la situation dans les colonies.

1945 marque la défaite de l'Axe. L'Europe est en ruines, il y a eu des dizaines de millions de morts dont de très nombreux civils, six millions de juifs assassinés, vingt millions de citoyens soviétiques sont morts au cours du conflit. L'Allemagne perd de nombreux territoires à l'est, toutes ses infrastructures économiques et politiques et le pays est occupé et divisé.

[modifier] L'Allemagne depuis 1945

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Les Allemands parlent souvent de l'année 1945 comme de la « Stunde Null » (l'heure zéro) pour décrire l'effondrement de leur pays. La conférence de Potsdam marque la séparation de l'Allemagne en quatre zones distinctes, une sous surveillance soviétique et les autres sous surveillance occidentale (États-Unis, Royaume-Uni, France). La première formera l'Allemagne de l'Est (République démocratique allemande ou RDA) et les trois autres l'Allemagne de l'Ouest (République fédérale d'Allemagne ou RFA). Ces deux pays resteront séparés jusqu'à la date symbolique de la chute du mur de Berlin en 1989 qui marque la fin de la guerre froide et seront effectivement réunifiés le 3 octobre 1990, jour qui deviendra dès lors le jour de la fête nationale allemande. Voir aussi l'article Mur de Berlin qui contient des détails sur cette période.

Durant l'après-guerre, la RDA, totalement sous le joug soviétique, ne jouera pas de rôle significatif sur la scène internationale, si ce n'est celui d'une vitrine du communisme. Sa sœur RFA sera en revanche, avec la France, l'un des moteurs de la construction européenne. Du traité de l'Élysée à l'avènement de l'euro, on ne peut oublier le rôle majeur de la RFA. Comment après « l'année zéro » un redressement aussi rapide fut-il possible ?

Tout d'abord, l'aide américaine (Plan Marshall) pour la reconstruction européenne fut plus intense en RFA que partout ailleurs, par crainte des américains que cette zone frontière avec les pays sous emprise soviétique ne passe lui aussi sous la coupe de Moscou. Ensuite, ce fut la volonté de chanceliers tels que Konrad Adenauer, Willy Brandt ou Helmut Kohl, qui ont œuvré pour que l'Allemagne prennent un rôle majeur dans la construction de l'Europe.

Les chanceliers de la RFA furent successivement Konrad Adenauer (1949-1963), Ludwig Erhard, ancien ministre des finances, fondateur de l'économie sociale de marché (1963-1966), tous deux issus de la CDU. Leur succèdent Kiesinger, au sein d'une grande coalition SPD/CDU de 1966 à 1969, puis le SPD Willy Brandt de 1969 à 1974, maire de Berlin, qui commence à renouer les relations avec l'Allemagne et l'Europe de l'Est à partir de 1971, à travers l'"ostpolitik", le SPD Helmut Schmidt, de 1974 à 1983… avant que la défection des libéraux du FDP ne donnent le pouvoir à la CDU d'Helmut Kohl, à partir de 1983.

Dans les années 70 et 80, la RFA a été notamment marquée par l'émergence des mouvements d'extrême-gauche : Fraction armée rouge, mouvement autonome, mouvements des squatters, mouvement antinucléaire, mouvements pacifistes ou anti-impérialistes. En 1980, une partie de l'extrême-gauche allemande a rompu avec la violence politique pour fonder le parti des « Grünen » (Les Verts) et s'engager dans une voie électoraliste. Après la réunification, l'Allemagne a dû faire face dans les années 90 à un retour de l'extrême droite.

De 1998 à l'automne 2005, le gouvernement allemand est dirigé par Gerhard Schröder, du SPD (Parti social-démocrate). Les Grünen participent au gouvernement. Depuis les élections législatives anticipées de 2005, la chancelière chrétienne démocrate Angela Merkel dirige un gouvernement basée sur une "grande coalition" qui regroupe la CDU( sa branche bavaroise la CSU) et le SPD

[modifier] Voir aussi

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[modifier] Liens externes

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