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Censure - Wikipédia

Censure

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La censure est la limitation arbitraire de la liberté d'expression de chacun. Elle passe par l'examen d'une autorité (étatique ou religieuse) sur des livres, journaux, bulletins d'informations, pièces de théâtre et films, avant d'en permettre la diffusion au public. Par extension, la censure désigne différentes formes d'atteintes à la liberté d'expression, avant et/ou après leur diffusion (censure a priori et a posteriori). On distingue la censure politique (limitation par le gouvernement de la liberté d'expression) de la censure indirecte, non officielle, mais sous forme de pression, en particulier une forme de censure économique (due notamment à la concentration des médias, etc.) ; on peut aussi ajouter les phénomènes d'auto-censure.

La censure est représentée sous la forme d'Anastasie tenant de grands ciseaux.

Sommaire

[modifier] Histoire de la censure

Sous la Rome antique, la censure est sous la responsabilité d'un magistrat élu parmi les anciens consuls, le censeur.

Avec l'arrivée de l'imprimerie, les autorités civiles et religieuses sentent le besoin de contrôler l'information diffusée au public.

[modifier] Censure par les autorités religieuses

Voir les articles Blasphème et Autodafé.

Les autorités de l'Église catholique romaine nommaient des censores librorum chargés de s'assurer que rien de contraire à la foi ne puisse être publié. Cette première étape de vérification était sanctionnée par le Nihil obstat (pas d'obstacle à la publication). Une deuxième étape permettait à l'évêque de donner son autorisation d'imprimer (Imprimatur, « qu'il soit imprimé ! »). En 1515 lors du Ve concile du Latran, le pape Léon X, ordonne qu'à l'avenir personne n'ose imprimer ou faire imprimer un livre dans quelque diocèse que ce soit, sans qu'il n'ait été examiné avec soin par l'évêque ou son représentant, sous peine d'excommunication. En 1559 l'inquisition établit l'Index Librorum Prohibitorum, liste de livres interdits aux personnes non averties. Celui-ci perdurera jusqu'au concile Vatican II.

[modifier] Censure par les autorités civiles

En 1534, après avoir été excommunié et proclamé chef de l'Église d'Angleterre, le roi Henri VIII instaure l'obligation d’obtenir une approbation de son conseil privé avant qu'un livre ne puisse être imprimé. Sous le règne d'Élisabeth Ire, le Master of the Revels est chargé d'approuver les pièces de théâtre. En 1662 le parlement anglais vote le licensing act.

Suite à l'affaire des Placards (18 octobre 1534), le roi François Ier qui était jusqu'alors favorable aux idées nouvelles, ordonne la chasse aux hérétiques et promulgue un édit contre les imprimeurs insoumis. En 1629 Richelieu laïcise la censure jusqu'alors sous la responsabilité de l'Église catholique.

Pendant la Révolution française, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 affirme solenellement : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, mêmes religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi. » (article 10) et « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas prévus par la loi. » (article 11). En d'autres termes, on peut sanctionner une publication, mais en aucun cas empêcher celle-ci.

En 1810, un décret de Napoléon rétablit officiellement la censure. Suit une succession de suppression et de rétablissement de la censure. Les articles ou dessins censurés étaient alors remplacés par des « blancs ». La censure disparaît officiellement en 1881, lors de la promulgation de la loi du 29 juillet 1881, sur la liberté de la presse. Cette loi confie au système judiciaire l'essentiel du contrôle des informations publiées en France. Ce contrôle s'effectue après diffusion ce qui limite les abus de pouvoirs. Toutefois, la censure théâtrale subsiste jusqu'en 1906.

La censure n'a jamais été officiellement rétablie en France, sauf en temps de guerre, notamment lors des deux guerres mondiales, avec le retour des « blancs » dans les pages. Sous le régime de Vichy, on alla plus loin et la censure devint préventive. Ainsi les directeurs de journaux reçevaient-ils de l'autorité compétente des consignes sur les informations à mettre en évidence en première page, à éliminer, ou à réduire à l'état d'entrefilets dans les pages les moins lues.(Le Canard enchaîné à ses début dut se débattre contre la censure en adoptant son ton ironique pour la détourner, de nombreux articles, même anodins, étant censurés). Pour la guerre d'Algérie le pouvoir innova et décida de saisir les journaux (notamment ceux qui évoquaient les actes de torture).

Pour la censure en France après 1962, voir plus bas ainsi que l'article détaillé Censure en France.

[modifier] Censure postale

La censure occulte des correspondances a été pratiquée dans toute l'Europe, à partir de l'ouverture des postes royales aux particuliers, malgré la reconnaissance officielle du secret des lettres, et ce par tous les régimes, jusqu'à la fin du règne de Napoléon III (cf. Cabinet noir). La censure postale a cependant été rétablie en temps de guerre par les différents belligérants au nom de leur intérêt national, mais elle l'a alors été de façon ouverte, avec apposition de diverses marques de censure et bandes de fermeture (cf. Histoire postale (Données générales)).

[modifier] Internet et la censure

Voir l’article Internet et la censure.

[modifier] Les autres atteintes à la liberté d'expression

Dans un sens plus large la censure regroupe différentes formes d'atteinte à la liberté d'expression.

Le fonctionnement des médias implique de nombreuses personnes ayant chacune à son niveau un pouvoir de modification voire de suppression de certaines propositions initialement faites. Nombreux sont ceux qui assimilent une telle action à de la censure dans les faits, ce qui étend assez largement la définition de la censure. Même s'il n'en demeure pas moins que les propriétaires des médias évitent évidemment de publier ce qui peut déplaire à des clients, à l'État, à des syndicats, etc. et que même les professionnels s'abstiennent généralement de simplement proposer un article potentiellement litigieux (auto-censure).

Quelquefois, une information spécifique et unique dont la véritable existence est à peine connu du grand public, est gardé dans une subtile situation de quasi-censure, étant classée comme « subversive » ou « inconvenante ». Le texte de 1978 de Michel Foucault, La loi de la pudeur, par exemple – défend l’abolition de l’âge du consentement, et depuis août 2006, est presque totalement invisible sur Internet, que ce soit en français ou anglais, et n’apparaît même pas sur les sites Web spécialisés sur Foucault.

Paradoxalement, les appels à la censure constituent souvent une vériable publicité qui, en éveillant la curiosité du public, provoque l'effet inverse à celui recherché. Les films Amen. et La Dernière Tentation du Christ, le roman Les Versets sataniques ont reçu une publicité qu'ils n'auraient sans doute pas eue sans les menaces dont ces œuvres ou leurs auteurs ont été la cible.

[modifier] Débats sur la censure et la liberté d'expression

Depuis Spinoza, la liberté d'expression est devenue l'un des socles de la philosophie politique, qu'elle soit libérale ou républicaine. On définit ainsi la censure comme la limitation arbitraire par le gouvernement de la liberté d'expression: la censure s'exerce d'en haut. Certains philosophes, pourtant, ont légitimé une telle censure dans certaines situations déterminées. Ainsi, Kant justifiait le « despotisme éclairé » et, s'il affirmait l'impératif éthique du Aude sapere (Ose savoir) dans Was ist Aufklarüng? (Qu'est-ce que les Lumières?), il assignait aussi des limites à cette liberté d'expression. Il y écrivait ainsi:

« Le citoyen ne peut se refuser à payer les impôts dont il est redevable; une critique déplacée de telles charges, quand il doit lui-même les payer, peut même être punie comme scandale (susceptible de provoquer des actes d'insoumission généralisés). Néanmoins celui-là ne contrevient pas au devoir d'un citoyen s'il exprime publiquement, en tant que savant, ses pensées contre l'incongruité ou l'illégitimité de telles impositions. De même un prêtre est tenu de faire son exposé à ses catéchumènes et à sa paroisse selon le symbole de l'église qu'il sert, car c'est à cette condition qu'il a été engagé. Mais, en tant que savant, il a pleine liberté, et c'est même sa vocation, de communiquer à son public les pensées soigneusement examinées et bien intentionnées qu'il a conçues sur les imperfections de ce symbole ainsi que des propositions en vue d'une meilleure organisation des affaires religieuses et ecclésiastiques. »

C'est ce qu'il appelait l'« usage privé de la raison ». Ainsi, la liberté d'expression était garantie dans ce cadre, Kant maintenant ainsi la préservation de l'ordre public. Les lois actuelles limitant la liberté d'expression au nom du maintien de l'ordre public (mais s'opposant à la censure proprement dite) sont donc d'inspiration kantienne. Les opposants à toute censure affirment non seulement la liberté d'opinion, mais défendent le droit de chacun de « tout dire », y compris à leurs pires ennemis. C'est à ce titre, par exemple, que Noam Chomsky a pu défendre le droit des négationnistes à rendre public leur discours, bien qu'il soit en complet désaccord avec celui-ci. Ainsi, le débat sur les lois restreignant les discours révisionnistes continuent à agiter le monde contemporain, en opposant notamment les Etats-Unis et le monde anglo-saxon au continent européen — qui, il est vrai, à fait l'expérience directe de l'Holocauste — qui, dans l'ensemble, réprime de tels propos. Le problème est bien sûr complexe, et les positions en général nuancées, bien que fermes. Ainsi, si Chomsky prend parti pour une liberté d'expression illimitée, l'historien Pierre Vidal-Naquet tolérait de même le droit de chacun à s'exprimer, tout en affirmant qu'on ne discute pas avec des négationnistes, de la même façon qu'un « astronome ne discute pas avec un astrologue ».

Enfin, le droit à la liberté d'expression constitue le fondement des démocraties libérales, tandis que le marxisme a pu justifier la restriction temporaire de certains discours, au nom d'une conception de la « dictature du prolétariat » (quoi qu'on entende par là). La tradition marxiste rappelait ainsi que si les libéraux défendent le droit formel à la liberté d'expression, ils n'en assurent pas nécessairement les moyens matériels de l'exercer: ainsi, celle-ci peut être restreinte par les pouvoirs économiques (censure économique), entre autres par le biais de la concentration des médias (à l'œuvre aussi dans le domaine de l'édition). A ce titre, le philosophe italien Antonio Gramsci écrivait dans l'Avanti!, le 18 avril 1919 :

« A l'« initiative privée » qui se promet — par les complots, par le poignard, par des gestes audacieux — d'anéantir l'élan irrésistible de la lutte de classe, menée par le prolétariat pour son autonomie dans la production industrielle et agricole et dans les obscurs méandres de la politique internationale, l'appareil autoritaire de l'organisation étatique ajoute l'artillerie lourde de ses institutions: la censure, le monopole du télégraphe, du téléphone, de la poste, des chemins de fer, l'agence Stefani. L'artillerie légère de l'initiative privée attaque la classe prolétarienne (...) L'artillerie lourde de l'appareil d'État protège les dévastations de l'artillerie légère (...) Mais l'histoire qui est esssentiellement liberté, et vérité, ne se laisse pas enfermer dans une bouteille comme le diable par le magicien (...) Hier les journaux de la bourgeoisie de Milan et de Turin n'ont pas paru: la solidarité de classe des typos a supprimé pour un jour la déloyauté et le mensonge antiprolétarien. La Vérité, mutilée, a triomphé dans cette modeste édition turinoise de l'Avanti! (...) la classe ouvrière et paysanne se révèle, avec une efficacité toujours accrue, comme l'Anti-Etat, qui peut opposer à l'État capitaliste un colossal appareil de forces (...) Le journal est la grande tranchée de la lutte de classe; mais le journal est fabriqué par les ouvriers, c'est grace au travail de l'ouvrier que la nouvelle et l'opinion prennent une forme sensible (...) Chaque force adverse doit être combattue avec des forces adéquates: à la censure du mensonge et de la déloyauté, qui veut imupnément poursuivre et intensifier le travail accru de la délinquance privée, au mensonge et à la déloyauté, la classe prolétarienne doit opposer, dans ses corporations compétentes, la censure rouge. » [1]

Ainsi, le théoricien marxiste pensait le problème non pas dans les termes de la liberté formelle d'expression, mais dans une opposition de rapports de force, censure contre censure. En posant la question de l'idéologie, les marxistes soulignent ainsi l'effet d'une censure insidieuse, l'hégémonie, qu'il convient de combattre en lui opposant un discours libre et offensif. Dès lors, il convient de distinguer entre plusieurs types de censure, politique, économique, etc., et, selon Gramsci, de leur opposer non pas une liberté d'expression individuelle, mais une censure rouge, force d'opposition collective.

[modifier] La censure dans le monde aujourd'hui

Reporters sans frontières (RSF) a présenté en 2005 la liste des 15 pays qui censurent le plus dont la Chine, la Biélorussie, l'Iran, le Viêt Nam, l'Arabie saoudite, les Maldives et la Tunisie.

[modifier] En République populaire de Chine

Voir l’article Censure de l'Internet en RPC.

Le Parti communiste chinois, parti unique de la RPC, censure systématiquement tout ce qui concerne :

Les Chinois n'ont toujours pas accès à la moindre information indépendante sur ces sujets.

Il existe un Ministère de la propagande qui garde la main sur les médias. Le Bureau du film contrôle la diffusion des films en Chine : il a par exemple fait retirer des salles le film américain Da Vinci Code au mois de juin 2006[2]. La télévision n'échappe pas à la censure puisque le gouvernement a décrété que les dessins animés (la plupart sont japonais ou américains) seront interdits entre 17h et 20h à partir du 1er septembre 2006[3].

[modifier] En France

Voir l’article Censure en France.

Actuellement, la censure préventive s'exerce essentiellement dans deux domaines :

Une autre forme de censure a subsisté longtemps : celle du contrôle de la presse étrangère, à travers le décret-loi du 6 mai 1939, qui permettait au ministère de l'Intérieur (France) d'interdire en France certaines publications éditées à l'étranger. Mais dans un arrêt du 7 février 2003 (no 243634), à la demande du GISTI, le Conseil d'État a annulé le refus du Premier ministre d'abroger le décret-loi en question qui modifiait l'article 14 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Le Conseil d'État a estimé que cet article violait l'article 10 de la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales et le décret-loi a été abrogé par le décret no 2004-1044 du 4 octobre 2004.

Toutefois, des faits de censure directe ou indirecte subsistent dans la période récente.

En novembre 2005, le député UMP François Grosdidier porte plainte contre divers groupes de rap français, certains dissous, pour avoir pratiqué selon lui, une « incitation au racisme et à la haine ». Déposée dans le contexte des émeutes de l'automne, elle est vue, à gauche, comme un « acharnement » et une tentative de censurer la « parole des quartiers ». Les groupes concernés sont : Monsieur R, Smala, les groupes Lunatic (dissous), 113, Ministère A.M.E.R. et les chanteurs Fabe et Salif[4].

En outre, le groupe de rap La Rumeur a été poursuivi par le ministère de l'intérieur pour des propos tenus dans La Rumeur Magazine. La plainte a été déposée en 2002 par le ministère de la Justice mais a fait l'objet d'une décision de non-lieu rendue en première instance le 17 décembre 2004. Le procureur de la République en a fait appel en 2005 (alors que Dominique de Villepin dirigeait l'Intérieur).

Tout récemment, l'annulation par l'administrateur général de la Comédie française, Marcel Bozonnet, des représentations de la pièce de Peter Handke Voyage au pays sonore ou l'art de la question, prévues pour l'année 2007, constitue une forme de censure. Elle est la conséquence de la présence de Peter Handke à l'enterrement du dirigeant serbe Slobodan Milosevic, et, de manière plus générale, des opinions de Handke sur le rôle de la Serbie dans les conflits yougoslaves des années 90.

[modifier] En Russie

L'indépendance des médias russes est mise en doute lorsque l'on sait que les deux principales chaînes de télévision publique (ORT et RTR) sont contrôlées par le gouvernement. Selon Marie Mendras, au moins la moitié des journaux télévisés de ces chaînes est dédiée aux faits et gestes du président Poutine[5]. Depuis 2003-2004, Moscou a resserré son emprise sur les chaînes de télévision privées telles que NTV. Après la prise d'otages de Beslan en 2004, les Izvestia avaient publié plusieurs photographies de la tragédie et le rédacteur en chef avait été renvoyé immédiatement.

Seuls l'internet, les radios et la presse indépendantes moscovites (Novaïa Gazeta, Kommersant, Radio Echo de Moscou ou Radio Liberté) échappent aujourd'hui à la mainmise du pouvoir. Cependant, 20 à 30 % de la population russe seulement a accès au web[6].

[modifier] Références

  1. Antonio Gramsci, « Les ruses de l'histoire », 19 avril 1919, publié sans signature dans l'Avanti! le 19 avril 1919 (in Ecrits politiques I, Gallimard, 1974, p.217-219)
  2. Brice Pedroletti, « Pékin censure le film "Da Vinci Code" pour ménager les chrétiens chinois » dans Le Monde, 11/06/2006 [lire en ligne]
  3. Hélène Lepelletier, « Télévision chinoise : le nouvel ordre moral », dans Le Point, n°1770, p.45, 17/08/06, [lire en ligne]
  4. « Rap: la réponse aux censeurs », dans L'Humanité du 30 novembre 2005
  5. Entretien avec Marie Mendras, « Une Russie imprégnée de violence », dans Le Monde du 15/10/2006, [lire en ligne] ; Marie Mendras est chercheuse au Centre d'études et de recherches internationales (CERI), professeur de politique russe à l'IEP de Paris
  6. Entretien avec Marie Mendras, « Une Russie imprégnée de violence », dans Le Monde du 15/10/2006, [lire en ligne]

[modifier] Bibliographie

  • Maxime Dury, La censure, Paris, Publisud, 1995, 325 p., (d'après une thèse de Science politique : La prédication silencieuse. Recherche sur la signification de la censure en France depuis la fondation du droit moderne, XIIIe-XXe siècles réalisée sous la direction de Claude Courvoisier, Dijon, 1992).
  • Pierre Hébert, Yves Lever et Kenneth Landry (dir.), Dictionnaire de la censure au Québec, littérature et cinéma. Fides, Montréal, 2006, 715 p.
  • Jean-Jacques Pauvert, Nouveaux (et moins nouveaux) visages de la censure, Belles Lettres, Paris (ISBN 2251440194) (Interview de l'auteur)
  • Septentrion, (1963), Denoël, 1984, le livre de Louis Calaferte, censuré ne fut réédité que vingt ans plus tard.

[modifier] Voir aussi

Le Wiktionnaire possède une entrée pour « censure ».

[modifier] Liens externes

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