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Limoges - Wikipédia

Limoges

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Limoges

La gare des Bénédictins
Pays                     France               drapeau de la France
Région Limousin (Chef-lieu)
Collectivité {{{collectivité}}}
Département Haute-Vienne (préfecture)
Province {{{province}}}
Subdivision {{{subdivision}}}
Arrondissement Limoges (Chef-lieu)
Canton Chef-lieu de 16 cantons
Code INSEE 87085
Code postal 87000, 87100, 87280
Maire (mandat) Alain Rodet (PS) (2001-2008)
Intercommunalité Communauté d'agglomération Limoges Métropole
Latitude
Longitude
49' 09" Nord_N_01° 15' 05" Est_E_type:city_region:FR Expression error: Unrecognised punctuation character "�"
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Latitude
Longitude
45° 49' 09" Nord
01° 15' 05" Est
Altitude en mètres min 209 m  max 431 m
moy 294 m
Superficie 77,45 km²  (7 745 ha)
Population sans.. 137 502 habitants (2005)
Répartition
éthnique
{{{etnies}}}
Densité 1 730 hab./km²
Nom des habitants Limougeauds, Limougeaudes
Site(s) Web Ville de Limoges
15' 05" Est&lat=45° 49' 09" Nord Google Earth    49' 09" Nord&longitude=01° 15' 05" Est&zoom=8 Mapquest    Carte Michelin


Limoges (en occitan: Lemòtges, Limòtges) est une ville du centre/sud-ouest de la France située à 290 km au nord de Toulouse, 220 km au nord-est de Bordeaux et 390 km au sud de Paris, traversée par la Vienne.

Administrativement, c'est la préfecture du département de la Haute-Vienne et la capitale régionale du Limousin. Ses habitants sont appelés les Limougeauds et Limougeaudes.

Elle est officiellement 24e ville de France avec plus de 137 000 habitants, au cœur d'une agglomération de plus de 180 000 habitants. Avec près de 248 000 habitants, elle possède la 36e aire urbaine de France.

Elle est surnommée « capitale des arts du feu » en raison de l'implantation historique dans la ville de l'industrie de porcelaine et de l'artisanat de l'émail et des vitraux.

Limoges est ville fleurie "4 fleurs", lauréat européen 2001 et prix national 2002. Limoges réclame en 2006 d'appartenir aux Villes et Pays d'Art et d'Histoire.

Sommaire

[modifier] Héraldique

Blason de Limoges
Blason de Limoges
  • De gueules, au chef de Saint Martial de carnation, orné à l'antique d'or, ombré de sable, entre deux lettres gothiques d'or S et M ; au chef d'azur, chargé de trois fleurs de lis d'or[1].
Image:Limoges.jpg Logo actuel de Limoges
  • Le logo de la ville de Limoges représente une flamme, qui évoque bien évidemment les arts du feu (porcelaine et émaux).
Blason de la vicomté de Limoges
  • D'hermine à la bordure de gueules

[modifier] Toponymie

Le nom de Limoges provient de celui de la tribu gauloise des Lemovices, vivant sur le territoire limousin durant l'Antiquité. Il deviendra Lemòtges (forme classique) ou Limòtges (forme locale usuelle) en occitan et Limoges en français. La toponymie limougeaude reste très marquée par la langue d'oc. Ainsi nombre de quartiers ou de rues ont un nom occitan qui n'a jamais été francisé : rue du Rajat (participe passé du verbre rajar, jaillir), Puy Las Rodas, place de la Bareyrette. Certains ont été francisés phonétiquement sans prendre garde à la signification du nom. C'est le cas de la rue de la Cruche d'or qui correspond en fait au mot cruchador (à prononcer [krytsaˈdur]) désignant un type de balance.

voir aussi :

[modifier] Géographie

La Vienne à Limoges
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La Vienne à Limoges

Limoges est située au nord du grand sud-ouest de la France, sur la Vienne. Elle marque le point de commencement des contreforts ouest du Massif Central.

Le sous-sol limougeaud, comme la quasi-totalité du territoire limousin, est de l'époque précambriennne (granit).

[modifier] Climat

À 150 kilomètres à vol d'oiseau de l'océan Atlantique, la ville possède un climat tempéré océanique de façade ouest, à légère tendance montagnarde, dû à la proximité du Massif Central et à l'altitude (la commune culmine à plus de 400 m et les sommets de 500 m sont proches).

Les hivers sont souvent neigeux, parfois plus doux et l'été laisse sa place à un automne clément, véritable été indien.

Le total annuel des précipitations, sous l'influence de la montagne proche, est assez élevé (entre 900 et 1100 mm).

  • Données climatiques*


à Limoges moyenne nationale
Ensoleillement 1974 h/an 1973 h/an
Pluie 1023 mm/an 770 mm/an
Neige 18 j/an 14 j/an
Orage 23 j/an 22 j/an
Brouillard 85 j/an 40 j/an
  • Records de températures


T° records (les plus basses) (C°) T° records (les plus élevées) (C°) T° moyennes (C°) T° minimales moyennes (C°) T° maximales moyennes (C°)
Janvier -19,2° (1985) +17,0° (1999) +3,6° +0,9° +6,3°
Février -21,7° (1956) +22,0° (1998) +4,9° +1,9° +8,0°
Mars -11,3° (1964) +24,7° (2005) +6,8° +3,1° +10,4°
Avril -5,6° (1970) +27,8° (2005) +9,0° +5.0° +12,4°
Mai -3,9° (1957) +29,8° (2005) +12,7° +8,7° +16,8°
Juin +1,2° (1969) +34,7° (2003) +16,1° +11,8° +20,4°
Juillet +3,8° (1954) +35,7° (1983) +18,7° +14,1° +23,3°
Août +2,2° (1966) +37,2° (2003) +18,4° +13,8° +24,0°
Septembre -1,2° (1962) +32,6° (1987) +16,1° +11,7° +20,5°
Octobre -5,4° (1955) +27,3° (1985) +12,3° +8,3° +15,6°
Novembre -10,2° (1956) +22,9° (1981) +7,2° +4,1° +10,3°
Décembre -13,6° (1967) +18,3° (1983) +4,9° +2,1° +7,6°

[modifier] Relief

Topographie de Limoges
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Topographie de Limoges

La ville est bâtie de part et d'autre de la Vienne, plus largement sur la rive droite. Son altitude varie de moins de 230 mètres au bord de la rivière à plus de 400 mètres au nord de la commune (quartier Beaubreuil par exemple).

La ville est située aux portes du Massif Central.

[modifier] Histoire

Pour approfondir :

Voir l’article Histoire de Limoges.

La ville historique a été fondée avant la période romaine par la tribu des Lémovices, mais a vraissemblablement pris de l'importance sous le nom d'Augustoritum, au début du Ier siècle. Le nom de la ville est la traduction du latin "gué d'Auguste".

La cité est placée au carrefour de deux grand axes économiques majeurs de l'époque : la Via Aggripa qui joignait Lyon à Saintes, et la via Avaricum Tolosa entre Toulouse et Bourges.

Augustoritum suivait évidemment le plan romain, c'est-à-dire des rues perpendiculaires et parallèles entre elles. Des arènes, des thermes, et un amphithéâtre (aujourd'hui l'emplacement du jardin d’Orsay).

Saint Martial évangélise la région à la fin du IIIe siècle.

La ville subit au IVe siècle les invasions barbares et la population quitte la cité.

Au début du VIIIe siècle, les Francs s'emparent de la ville. C'est l'époque du futur célèbre saint Eloi, originaire de Chaptelat.

Au Xe siècle, saint Martial devient le protecteur de la ville suite aux miracles du mal des ardents (maladie causée par la consommation de pain de seigle ergoté) : l'exposition de ses reliques a permis le retour du calme dans la ville. Depuis, tous les sept ans, ont lieu à Limoges et en Limousin les ostensions : on ressort les reliques des saints pour une procession en mémoire de cet épisode de l'histoire régionale.

Au Moyen Âge, Augustoritum, devenue Limoges est une ville prospère, bien que divisée en deux : la Cité, siège religieux ou est situé la cathédrale Saint-Étienne, et le Château.

La ville prend également de l'importance grâce à sa situation sur la voie Lemovicensis du pèlerinage de St-Jacques-de-Compostelle.

Au XIIe siècle, le vicomte Adémar fait incendier la Cité mais sera condamné à la reconstruction. À la mort du roi de France Louis VI, son fils reprend le pouvoir mais perd la province du Limousin en répudiant sa femme. Celle-ci se remarie avec le roi d'Angleterre Henri Plantagenêt. Cette situation entraînera donc une suite de conflits et bien sûr la guerre de Cent Ans.

Une période relativement calme fait son apparition au milieu du Moyen Âge. Le Limousin est cédé aux Anglais, mais une guerre éclate et la province revient définitivement à la couronne française en 1276.

Au XVIIIe siècle, l'intendant Turgot relance l'économie limougeaude et favorise la création et le développement d'industries textiles, du cuir... Mais le véritable tournant est celui de 1765 : un gisement de kaolin est découvert à Saint-Yrieix-la-Perche, à 40 km au sud de Limoges. L'industrie de la porcelaine est lancée. Enfin, en 1792, la Cité et le Château sont réunis.

Limoges doit son surnom de ville rouge aux mouvements ouvriers de la fin du XIXe siècle et du début du XXe (surtout 1905). La CGT y est d'ailleurs créée en 1895.

[modifier] Langue et culture régionales

Limoges se situe au nord de la zone culturelle de la langue d'oc (voir le portail de l’Occitanie). On y parle donc l'occitan sous sa forme limousine.

Les dialectes de l'Occitan
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Les dialectes de l'Occitan

Les premiers textes occitans que l'on peut retrouver à Limoges sont parmi les plus anciens de cette langue (les poésies de l'abbaye Saint-Martial, notamment). Ainsi dès le Moyen Âge, Limoges est un centre culturel de première importance pour le Sud de l'Europe. Les communautés municipales et les bourgeois de Limoges feront le choix du dialecte limousin comme langue d’administration malgré la concurrence du français royal.

Réunion du félibrige
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Réunion du félibrige

Comme partout en France, la langue officielle progressera mais l'usage de la langue perdurera malgré tout. Il existe ainsi une littérature importante d'expression occitane produite et publiée à Limoges depuis le XVIIIe siècle. Le mouvement félibréen venu de Provence aura sa place en Limousin avec un majoral. À Limoges, le mouvement prendra la forme de groupes folkloriques comme l'Eicola dau Barbichet fondé le 23 mars 1923 par trois régionalistes : René Farnier, Jean Rebier et Albert Pestour. Il en existe actuellement deux autres : Lou Roussigno dau Limouzi et l'Eglantino do Lemouzi. Mais ces groupes ne sont pas les seuls, et les années 1990 ont vu la création de nouveaux groupes, cette fois-ci sans costumes traditionnels et au public plus jeune généralement.

Après guerre, la langue perdra de son importance dans les quartiers populaires comme celui des Ponts. Certaines figures la feront néanmoins vivre. Ainsi, André Dexet, alias Panazô, la fera vivre au travers de ses romans, mais aussi de ses articles dans la presse (en 1958 dans son Journau dé Panazô, de 1963 à 1977, dans l'Echo du Centre avec la chronique du village imaginaire Viro-Tranujo (Tourne-Chiendent), sur Radio-Limoges dans l'émission Et hardi qué té deibouaïré !). Panazô animera aussi, sur FR3 Limousin, un magazine de 13 minutes tous les 15 jours en alternance avec l'IEO 87. La chaîne publique locale retransmettra également quelques émissions de FR3 Aquitaine dans les années 1980.

La pratique de musiques et d'instruments traditionnels comme la vielle à roue est toujours très vivace
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La pratique de musiques et d'instruments traditionnels comme la vielle à roue est toujours très vivace

D’autres personnalités auront la parole dans les médias limougeauds. Yves Lavalade fera une Cronica occitana dans l'Echo où il parlera des noms de lieux et des mots de la langue d'oc. Cette chronique se fera de 1974 à 1997 soit quelques 1500 chroniques, de manière bénévole, avec également d'autres auteurs. Le musicien-écrivain Jan dau Melhau animera une émission sur Radio-Limoges : Las cronicas dau saubre-viure (les chroniques du savoir-vivre). L'autre quotidien limougeaud, Le Populaire du Centre, ne sera pas en reste en publiant une Cronica de Josep Platussat. Les radios associatives feront quelques émissions bénévoles en langue d'oc durant les années 1980.

Limoges verra aussi une revue plus littéraire et linguistique : La Clau lemosina. Son nom signifie La Clé limousine en référence à un poème de l'écrivain provençal Frédéric Mistral[2]. La première paraît en 1970 à la fondation du Cercle Limousin d'Études Occitanes (CLÉO) puis jusqu'en 2000 : 130 numéros pendant plus de 20 ans et entre 80 et 100 numéros spéciaux (Solelhs gris, La conjugaison occitane, Peire Lallet, Au país de la metafòra, ...) qui ont grandement contribué à l'édition occitane.

Actuellement, la langue et la culture occitane sont toujours présentes à Limoges bien que dans les médias, la situation soit moins riche que dans les années 1980-1990 (une demi page tous les dimanches dans Le Populaire du centre et une gnorle dans le mensuel Sillon du diocèse de Limoges). Un département de musique traditionnelle a été créé en 1987 au Conservatoire national de région (CNR) de Limoges. Y est enseigné la pratique d'instruments : la chabrette, la cornemuse, la vielle à roue, le violon traditionnel et l'accordéon diatonique mais aussi les danses et la langue occitane à travers le répertoire de chants régionaux. L'IEO dau Lemosin, outre sa librairie, propose des cours pour adultes, des stages de chants et de danse, ainsi qu'un atelier d'écriture dont l'une des participantes a reçu le deuxième prix de littérature occitane du Val d'Aran (Espagne) en 2005[3].

La langue d'oc est aussi un atout touristique pour Limoges. Ainsi, l'office de tourisme organise depuis l'été 2006 des visites en occitan de la ville. Les groupes folkloriques cités précédemment recueillent toujours un vif succès lors de leur spectacle, essentiellement au près d'un public âgé et occitanophone.

[modifier] Monuments historiques et autres sites

  • Crypte Saint-Martial (Xe siècle) : place de la République ; conserve encore les tombeaux de Saint Martial, de ses deux compagnons Alpinien et Austriclinien et de Sainte Valérie. Cette crypte fut découverte durant les années 1960, lors de la création du parking de la Place de la République. Il n'en reste aujourd'hui qu'une petite partie.
  • Amphithéâtre gallo-romain : une partie notable de cet ouvrage —l'un des plus vastes de la Gaule— a été enterrée sous le jardin d'Orsay, à la suite des fouilles réalisées à la fin des années 1960.


  • Couvent des Carmes (XIIIe siècle) : avenue Saint-Éloi ; à l'emplacement du couvent fut construite une banque qui a soigneusement inscrit dans ses murs les anciens arcs sur lesquels subsistent de magnifiques peintures médiévales. Le couvent a été malencontreusement vendu à un propriétaire privé. Une fresque de la fin du Moyen Âge —pourtant classée monument historique— a dû être déposée et déplacée.
  • Pavillon du Verdurier (XXe siècle) : ancien réfrigérateur géant de style Art Déco, il sert désormais de hall d'exposition. L'ancien quartier du Verdurier, très intéressant quartier du Moyen Âge présentant de beaux immeubles gothiques en pierre, a été détruit au début du XXe siècle.
  • Chapelle Saint-Aurélien (XIVe et XVIIe siècles) : ce petit édifice renferme les reliques du second évêque de Limoges, saint patron de la confrérie des Bouchers. Elle renferme des statues médiévales et un magnifique retable baroque.
  • Château de Beauvais (XVIIIe siècle) : Landouge ; ancienne demeure des abbés de l'abbaye Saint-Martial, elle fut construite sur les plans de l'architecte limousin Joseph Brousseau.
  • Caserne de la Visitation (XVIIe siècle) : cet ancien couvent, affecté jusqu'à ces dernières années à l'armée, a conservé son église à dôme construite par Brousseau.
  • Pont St-Martial (bases de l'époque romaine).
  • Pont St-Étienne (XIIIe siècle).
  • Pont de la révolution.
  • Pont Neuf.


  • Église Saint-Michel-des-Lions (XIVe siècle) : cette église conserve, depuis la Révolution française, les reliques de saint Martial. Elle possède de magnifiques vitraux des XVe et XVIe siècles, deux piétas médiévales et de nombreux objets de cultes.
  • Église Saint-Pierre-du-Queyroix (XIIIe siècle) : cet édifice conserve un vitrail du XVIe siècle, une armoire de reliquaires. Derrière cette église, est né il y a plus de 50 ans le fameux club de basket du Cercle Saint-Pierre, plus connu sous le sigle CSP.
  • Église de Beaune-les-Mines : cette petite église romane a conservé une très belle statue de saint Christophe. Sur son parvis, s'élève une croix de pierre du XVe siècle.


  • Palais de l'Évêché (XVIIIe siècle) : de l'architecte limousin Brousseau, ce palais a conservé de l'époque de sa construction sa magnifique chapelle. Il est le siège du Musée de l'Émail.
  • Gare des Bénédictins (1924-1929): autrefois cœur d'un quartier animé, l'avenue de la Gare dépérit, et succombe sous les coups des promoteurs immobiliers.


  • Halles Centrales (XIXe siècle) : le « ventre de Limoges » fut dessiné dans les ateliers de Gustave Eiffel. La jolie place de la Motte à été redessinée au milieu des années 1990 (fouilles puis destruction de la motte vicomtale, de vestiges gallo-romains et mérovingiens, création d'un parking souterrain) en s'inspirant d'une esthétique très minérale, en vogue actuellement...


  • Place Denis Dussoubs (XVIIIe siècle) : cette ancienne place royale est longée de magnifiques immeubles en briques rouges. Au sud de l'ancien quartier du Château se situe une autre place du XVIIIe siècle : la place Manigne, défigurée par un immeuble moderne.
  • Village de la boucherie (Moyen Âge et XVIIe siècle) : il s'agit de l'un des quartiers les plus pittoresques de Limoges, le long de la rue du même nom et des ruelles alentours, les maisons à colombages —occupées aux rez-de-chaussée par d'anciennes boutiques (bouchers, tripiers)— et les fenêtres à meneaux, rappellent les activités du quartier tournées vers la viande.
  • La bibliothèque francophone multimédia : construite par l'architecte Pierre Riboulet, elle a ouvert en 1998, sur le site de l'ancien hôpital général (XVIIe et XVIIIe siècles) ainsi que d'un très important site archéologique gallo-romain. Forte de 58 000 usagers inscrits (1/3 de la population de Limoges, alors que la moyenne nationale est de 18%), la BFM accueille près de 500 000 visiteurs par an avec une moyenne de 2000 personnes/jour, et des pointes de fréquentation de 4500 visiteurs le samedi.
  • Hôtel Estienne de la Rivière (XIXe siècle) : place du Présidial.
  • Hôtel Maledent de Savignac de Feytiat (XVIIe siècle) : rue Haute-de-la-Comédie ; ce petit immeuble a conservé de son époque de construction un portail classique et une cour intérieure à colonnade.
  • Lycée Gay-Lussac (XVIIe siècle) : l'ancien collège des Jésuites, dont seule la chapelle a survécu, fut reconstruit sur les plans de l'architecte Brousseau dans un brillant style classique. La chapelle, qui sert de gymnase, contient un remarquable retable baroque qui est en péril (ayant notamment été dégradé par un incendie).
  • Cour du Temple (XVIIe siècle) : cette petite place est bordée par un hôtel particulier à colonnade et à pans de bois, c'est sans doute le lieu le plus enchanteur de Limoges. La rue du Temple, qui lui est voisine, possède de beaux hôtels qui mériteraient d'être restaurés.
  • Le sous-sol de Limoges possède deux ou trois niveaux de caves voûtées et de souterrains (souvent des aqueducs), soit creusés dans le tuf, soit maçonnés, et formant un impressionnant réseau. Leur construction s'étale probablement sur plusieurs siècles. Durant ces vingt dernières années, le nombre de cavités et de galeries souterraines que compte Limoges a bien malheureusement considérablement diminué, sous les effets combinés de l'urbanisme, des travaux de voirie, et d'une certaine négligence.
  • Préfecture (XXe siècle), construite sur les décombres du quartier du Viraclaud.


  • Four des Casseaux (XIXe siècle) : il est l'un des derniers fours à porcelaine de la ville, témoin du passé industriel de Limoges.
  • Cité des Coutures et Cité-jardin de Beaublanc : cités ouvrières édifiées au début du XXe siècle par Roger Gonthier, l'architecte de la gare des Bénédictins et du pavillon du Verdurier.

[modifier] Démographie

LIMOGES 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005*
Population 118 576 132 935 143 725 140 400 133 464 133 968 137502
Sources : INSEE (*2005 : Mairie)

[modifier] Administration

L'hôtel de ville
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L'hôtel de ville
Liste des maires successifs
Période Identité Affiliation
politique
Profession
1732-1779 Jacques Juge de La Borie
1799-1801 Joseph Ardent Masjambost
1801-1804 Pierre Petit
1804-1814 Joseph françois Noualhier
1814-1815 Comte Louis de Villelume
1815-1815 PierreAlpinien, Bertrand Bourdeau
1816-1821 Athanase Martin de la bastide
1821-1830 Pierre Hypolithe Martin de la Bastide
1830-1835 François Alluaud Ainé
1835-1839 Jean Juge St Martin
1839-1848 Pierre Mazard
1848-1848 Joseph Audoin
1848-1848 Théodore Bac
1848-1848 Gustave Lasserre
1849-1853 Louis Ardant
1853-1860 Armand Noualhier
1860-1862 Louis Ardant
1862-1867 Othon Péconnet
1867-1870 Charles Joseph le Sage
1870-1870 Jean Nassans
1870-1870 Adrien Dubouché
1870-1871 Louis Casimir Ranson
1871-1871 Jules Delignat Lavaud
1871-1876 Jules Delignat Lavaud
1876-1881 René Penicaud
1881-1885 Louis Casimir Ranson
1885-1887 Adrien Tarrade
1887-1888 Louis Joly
1889-1892 Émile Labussière
1892-1895 François Chénieux
1895-1906 Émile Labussière
1906-1910 François Chénieux
1910-1912 Émile Dantony
1912-1941 Léon Betoulle SFIO Employé de bureau
1941-1944 André Faure
1944-1945 Henri Chadourne
1945-1947 Georges Guingouin PCF Instituteur
1947-1956 Léon Betoulle SFIO Employé de bureau
1956-1990 Louis Longequeue PS Pharmacien
1990- Alain Rodet PS Économiste

[modifier] Intercommunalité et division administratives

En 1962, Limoges a fusionné avec la petite commune de Beaune-les-Mines, formant la commune de Limoges actuelle.

La Communauté d'agglomération Limoges Métropole, créée en 2003, a remplacé le SIVOM de l'agglomération de Limoges.

La commune de Limoges est formée de la ville-centre et de plusieurs quartiers excentrés nommés ici "écarts".

À l'extrême-nord, l'ancienne commune de Beaune-les-Mines, puis en descendant vers le sud, la ZUP de Beaubreuil accolée à la Zone Industrielle Nord, à la technopôle ESTER et proche du village de Grossereix.

À l'ouest, les quartiers de Landouge, véritable petit village, et du Mas Blanc, ainsi que Bellegarde, où se trouve l'aéroport du même nom.

  • Quartiers
  1. La Cité
  2. Le Sablard
  3. La ZUP de l'Aurence
  4. La Bastide
  5. Le Centre-Ville
  6. La Gare et le Champ de Juillet
  7. Montjovis
  8. Corgnac
  9. Beaublanc
  10. Le Vigenal
  11. Saint-Lazare
  12. Carnot-Marceau
  13. CHRU
  14. Fontgeaudrant
  15. Le Roussillon
  16. Les Carmes et La Mauvendière
  17. Le Mas-Loubier
  18. Puy-las-Rodas

Limoges est divisée en 16 cantons :

[modifier] L'agglomération

Les chiffres datent de 1999.

  • Banlieue : 173 200 habitants (Limoges, Panazol, Feytiat, Condat, Isle, Couzeix, Le Palais)
  • Moyenne couronne : 176 900 habitants (Limoges, Panazol, Feytiat, Condat, Isle, Couzeix, Le Palais, Rilhac)
  • Grande couronne : 200 100 habitants (Limoges, Panazol, Feytiat, Condat, Isle, Couzeix, Le Palais, Rilhac, Boisseuil, St-Priest-Taurion, St-Just, Bosmie, Verneuil, Bonnac-la-Côte, Chaptelat, Le Vigen, Solignac, Aixe-sur-Vienne)

Les premiers résultats du recensement de la population partiel de quelques communes du département voient se confirmer la hausse de population, ce qui laisse penser que l'agglomération va voir sa population augmenter dans les prochaines années. Il est réaliste d'estimer, pour 2009, date de publication des chiffres, pour la grande couronne, 204 000 à 208 000 habitants.

  • Aire urbaine : 250 000 habitants.

[modifier] Médias

Le principal quotidien régional diffus sur Limoges est le Populaire du Centre ([1]), du groupe Centre France (surnommé le Popu), qui est aussi le quotidien de la région Limousin. S'y ajoutent l'Echo du Centre et Info.

La direction de la communication de la mairie a créé en 1996 une chaîne d'information locale continue, 7 à Limoges, qui diffuse des annonces, des reportages...

France Bleu Limousin est la radio régionale qui émet sur les départements de la Corrèze et de la Haute-Vienne.

Média Nom Date de création Siège
Presse régionale écrite Le Populaire du Centre 1905 Limoges
Chaîne de télévision locale 7 à Limoges 1996 (Mairie de) Limoges
Chaîne de télévision régionale France 3 Limousin-Poitou-Charentes 1965 (ORTF) Limoges
Radio régionale France Bleu Limousin 1926 (Radio-Limoges) Limoges

[modifier] Jumelages

Limoges est jumelée avec les villes suivantes :

Ville Année Région, province Pays
Grodno 1982 Biélorussie
Pilsen 1987 région de Plzeň République Tchèque
Fürth 1992 Moyenne-Franconie Allemagne
Charlotte 1992 Caroline du Nord États-Unis
Seto 2003 Préfecture d'Aichi Japon

La ville de Limoges consacre une partie de son budget à l'aide au développement du département de :


[modifier] Politique et syndicalisme

Logo de la CGT
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Logo de la CGT

La ville de Limoges, comme l'ensemble de la Haute-Vienne, est traditionnellement de gauche (socialiste). C'est à Limoges que fut fondée la CGT (Confédération générale du travail) lors de son Congrès constitutif du 23 au 28 septembre 1895.

[modifier] Transports

[modifier] Transports en commun

Limoges fait partie des quatre villes françaises (avec Lyon, Nancy et Saint-Étienne) à posséder encore aujourd'hui un réseau de trolleybus, qu'elle continue à développer.

De nouveaux trolleybus ont été mis en place en mai 2006 sur la ligne no 1[4].

Les lignes de bus, numérotées de 1 à 41 (dont les cinq lignes de trolley), desservent les communes de Limoges, Condat-sur-Vienne, Feytiat, Isle, Le Palais-sur-Vienne, Panazol, Boisseuil, Rilhac-Rancon et Saint-Just-le-Martel et sont exploitées par la STCL (Société des Transports en Commun de Limoges, souvent appelée TCL).

À cela viennent s'ajouter deux lignes de nuit et cinq lignes circulant les dimanches et jours fériés.

Depuis le 4 septembre 2006, les 17 communes de la communauté d'agglomération sont reliées au réseau des bus de Limoges (TCL), contre seulement six auparavant.

[modifier] Voies ferroviaires

Limoges : gare des Bénédictins
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Limoges : gare des Bénédictins

Limoges est desservie par deux gares SNCF, la gare des Bénédictins et la gare Montjovis.

La gare des Bénédictins, placée sur l'axe Paris-Toulouse, est la plus fréquentée mais perd de l'importance depuis la réduction des dessertes Paris-Toulouse via Limoges, au profit de Bordeaux.

La ville en 2005 n'est pas encore desservie par le TGV, l'État étant revenu en 2004 sur son engagement de créer le POLT (liaison Paris-Orléans-Limoges-Toulouse) par TGV pendulaire. Ces décisions ont provoqué la colère d'une partie des élus et des habitants. Il existe cependant un autre projet de ligne à grande vitesse entre Poitiers et Limoges, qui se concrétise en 2006 avec le lancement du débat public.

Il faut environ trois heures pour rejoindre Paris et trois heures et demie pour rejoindre Toulouse. La desserte vers Lyon, Clermont-Ferrand ou Bordeaux reste mauvaise, du fait de l'enclavement relatif de la région sur l'axe Ouest-Est.

La gare Montjovis est placée sur l'axe Limoges-Angoulême, mais son trafic est faible sur cette ligne, et les voyageurs préfèrent « embarquer » aux Bénédictins, gare plus pratique.

[modifier] Voie aérienne

L'aéroport international de Limoges propose des vols quotidiens vers les grandes villes françaises (Paris, Lyon, Nice), la Corse en saison (Figari) ainsi qu'une importante desserte du Royaume-Uni par compagnies "low cost" (vols quotidiens vers Londres et plusieurs fois par semaine vers Liverpool, Southampton, Nottingham). D'autres dessertes internationales pourraient voir le jour à court ou moyen terme, notamment vers l'Allemagne, l'Irlande et les Pays-Bas.

Des correspondances vers toutes les destinations du monde sont assurées à Paris-Charles de Gaulle, Lyon-Saint-Exupéry et London-Stansted.

L'aéroport de Limoges-Bellegarde propose également un programme saisonnier de vols charters vers de nombreuses destinations touristiques d'Europe, d'Afrique du Nord ou des DOM-TOM.

[modifier] Voies routières et autoroutières

Limoges est située sur l'autoroute A20, surnommée l'Occitane, qui relie Vierzon à Montauban. Elle permet d'inclure Limoges dans un grand axe autoroutier européen qui va des Pays-Bas à l'Espagne, via Paris et Toulouse.

La N147 relie Limoges à Poitiers, Tours, Châtellerault, Saumur et Angers.

La N21 relie Limoges à Périgueux et Agen.

La N141 la relie à Angoulême, Saintes à l'ouest, et Aubusson, Clermont-Ferrand à l'est.

Limoges est située entre deux carrefours importants : au Nord, la jonction entre la RN 145 (Route Centre-Europe-Atlantique : Suisse - Montluçon - Guéret, Poitiers et grand Ouest) et l'A20 (carrefour de La Croisière, près de La Souterraine) ; au Sud, entre l'A89 (Lyon - Bordeaux) et l'A20 à la hauteur de Brive-la-Gaillarde.

[modifier] Kilométrage de Limoges à diverses villes de France

[modifier] Écoles et université

[modifier] Enseignement primaire et secondaire (chiffres 2001)

Le primaire regroupe près de 9 500 élèves.

Le projet d'une calandreta apparaît en 1992, avec la constitution d'une association. Avec le soutien du conseil régional, l'école maternelle ouvre en 1994, puis le cours préparatoire en 1998. Aujourd'hui, elle assure l'ensemble des classes de la maternelle et du primaire.

[modifier] L'université de Limoges

Voir l’article Université de Limoges.

[modifier] 3iL, l'Institut d'Ingénierie Informatique de Limoges

Voir [2]

[modifier] Ecole Nationale Supérieure de Céramique Industrielle

Ecole d'ingénieur spécialisée dans les matériaux céramiques Voir [3]

[modifier] L'École nationale supérieure d'art de Limoges Aubusson

École regroupant les écoles nationales d'art décoratif de Limoges et d'Aubusson : ENSA.

Cette école, également connue sous le nom d'école des Beaux-Arts ou école d'art décoratif, est indépendante de l'université ; elle est sous la tutelle du ministère de la Culture. Elle offre des cursus d'art et de design. L'école est spécialisée dans la céramique et la tapisserie. Les diplômes sont obtenus après cinq ans. Il n'existe que cinq ENSA en France.

[modifier] Économie et recherche

Limoges est réputée pour sa porcelaine, fabriquée à partir du kaolin de Saint-Yrieix-la-Perche.

Ville ouvrière au début du XXe siècle, le secteur secondaire est maintenant largement dominant avec l'industrie mécanique (usines Renault Trucks) et électrique (siège de la multinationale Legrand) et la chimie.

ESTER Technopôle, créé en 1992, est un point de rencontre des industries et technologies de pointe. Limoges est aussi le siège de nombreuses administrations, dont le siège national du CNASEA.

Limoges est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de Limoges et de la Haute-Vienne qui gère l’aéroport de Limoges-Bellegarde.

Limoges est aussi le siège de la Chambre régionale de commerce et d'industrie Limousin Poitou-Charentes qui gère Innov’ia.

En décembre 2005, le taux de chômage avoisine les 8%.

[modifier] Travaux et réalisations

[modifier] Projets

Les principaux projets de la commune sont la restructuration et l'extension du CNR, l'ouverture du "Zénith de Limoges" au printemps 2007 ([4]), l'ouverture du 3e cinéma de Limoges, la continuation du renouvellement des bus et trolleybus (un tiers renouvelé en 2009), l'aménagement du quartier de la Cité, l'aménagement du futur musée (été 2009), la restructuration de la crèche du Sablard, la création d'une crèche relais, l'extension de la crèche Jean Gagnant, la réfection de l'éclairage du parc de Beaublanc, le réaménagement de diverses voies, la mises aux normes et réhabilitation de l'abattoir...

[modifier] Zones industrielles et commerciales

Limoges possède plusieurs zones industrielles : la Zone Industrielle Nord (ZIN), jumelée au centre routier de Grossereix, la Zone Industrielle de Magré-Romanet, au sud, et la zone industrielle "de la route du Palais".

Les centres commerciaux les plus fréquentés sont ceux de la zone industrielle Nord (ZIN) située à Beaubreuil et la zone commerciale des Quatre-Vents à Boisseuil, apercevable grâce à son antenne de télécommunications.

[modifier] Art et patrimoine

En parlant de Limoges il n'est pas possible d'ignorer les arts du feu, représentés principalement par la porcelaine, les émaux et les vitraux.

[modifier] La porcelaine

La fabrication de la porcelaine a pu se développer grâce au kaolin, matière première abondante dans la région (cf Saint-Yrieix-la-Perche). Depuis le XVIIIe siècle, Limoges est mondialement connue pour sa porcelaine.

L'arrivée de la porcelaine à Limoges est donc très récente en comparaison de l'émail.

Voir l’article Porcelaine de Limoges.

[modifier] Les émaux

Email de Limoges : feuille de châtaigner
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Email de Limoges : feuille de châtaigner

Le développement de l'émail date des XIIe et XIIIe siècles. L'émail peint, dont Limoges détient le quasi-monopole, date de la fin du XVe siècle.

Après deux siècles de décadence, un nouvel essor de l'émail a lieu dans les années 1880 / 1900, notamment grâce aux peintres passionnés d'art décoratif et aux artisans de la porcelaine.

Actuellement, l'émail traverse une certaine crise, avec la baisse du nombre des émailleurs et la suppression de la Biennale de l'Émail. Quelques émailleurs dynamiques s'efforcent pourtant de redonner un certain prestige à cette technique ancestrale, en produisant des œuvres d'art originales.

Voir l’article Émail de Limoges.

[modifier] Culture et vie associative

[modifier] Salles de spectacles, de concerts et cinémas

La culture est un des points forts de la ville. La programmation des centres culturels municipaux est réputée. On trouve :

  • Cinq centres culturels municipaux (CCSM) : Jean-Gagnant, Jean-Moulin, John-Lennon, Jean-Le-Bail, Jean-Macé ;
  • Le Grand Théâtre municipal (opéra, théâtre, certains concerts) ;
  • Le Palais des Sports (concerts en attendant le Zénith, qui ouvrira en 2007, voir "travaux et réalisations" plus bas) ;
  • Les théâtres : Jules-Noriac, Expression 7, ...

Alors que Limoges comptait au XXe siècle de nombreuses salles de cinéma (Les Omnia, Les Stars, Le Colisée, Le Rex, Les Écrans, pour ne citer qu'eux), il n'existe désormais plus que deux complexes, appartenant tous les deux au même groupe cinématographique :

  • Les Grands Écrans (14 salles) ;
  • Le Lido, classé cinéma Art et essai.

Un troisième multiplex, toujours dépendant des "Grands Ecrans", devrait ouvrir dans les prochaines années, à la périphérie de la ville, non loin de la technopole.

[modifier] Musées, lieux d'expositions et bibliothèques

  • le musée des Émaux et de la Porcelaine Adrien-Dubouché.

Le bâtiment, construit par Henri Mayeux et inauguré en 1900, accueille plusieurs collections de porcelaine, de faïence, de grès, de verre et de poterie.

Six bibliothèques de prêt sont présentes sur Limoges : la Bfm (Bibliothèque Francophone Multimédia), et les cinq bibliothèques de quartier : l'Aurence, Beaubreuil, la Bastide, Landouge et le Vigenal

Chiffres : Plus de 700 000 documents dont 350 000 en libre accès, 57 637 lecteurs inscrits, près de 1,2 million de prêts par an.

Limoges est la seule ville de plus de 100 000 habitants où l'inscription et le prêt sont totalement gratuits (tous supports et pour tous les lecteurs).

[modifier] Évènements et festivités

  • Les Francophonies en Limousin : ce festival international des théâtres francophones se déroule tous les ans durant le mois de septembre. Il a fêté sa vingtième édition en 2003 ;
  • Les Puces de la Cité : tous les deuxièmes dimanches du mois dans le quartier de la Cité ;
  • Danse emoi : festival biennal de la danse contemporaine (en février), l'un des plus importants de France (en 2006, 2008...) ;
  • Lire à Limoges : le grand salon du livre, tous les ans en avril ;
  • Foire exposition de Limoges : tous les ans pendant la semaine de l'Ascension en mai ;
  • Le Festival Pop sur la Ville organisé par l'association Melting Pop : festival pour la promotion d'artistes de Pop, se déroule courant octobre ou novembre. Il fêtera ses 10 ans courant 2007;
  • Foire à l'ancienne de la Saint Loup : le dernier week-end de mai ;
  • Fête des ponts : sur les bords de Vienne, à la mi-juin ;
  • Tour cycliste du Limousin : l'arrivée se fait à Limoges dans la 2e quinzaine d'août ;
  • Frairie des petits ventres : le 3e vendredi d'octobre, triperie traditionnelle dans la rue de la Boucherie ;
  • Foire des Saints Innocents : le dernier week-end de décembre, foire traditionnelle ;
  • Grande fête foraine d'hiver : en décembre au Champ de Juillet ;
  • Ostensions limousines : tous les sept ans, les limougeauds et les limousins célèbrent leurs saints (Saint Martial, Saint Aurélien, Saint Loup, Saint Junien, ...) lors de manifestations religieuses et populaires ; cette tradition remonte à l'an 994. Les prochaines Ostensions auront lieu en 2009.

[modifier] Sports et loisirs

[modifier] Équipements de loisirs

  • le parc d'attractions de Bellevue ;
  • les différents parcs de jeux.

[modifier] Équipements sportifs

  • le Palais des Sports ;
    • le parc des sports de Beaublanc ;
  • les piscines (Beaubreuil, Saint-Lazare, Les Casseaux, Beaublanc) ;
  • les divers stades et autres constructions sportives ;
    • Dojo Robert Lecomte / Salle d'arme situé dans le quartier de Saint-Lazare ;
    • le golf de Saint-Lazare, situé à l'emplacement de l'ancien aérodrome de Feytiat.

[modifier] Clubs et équipes

Voir l’article Sport à Limoges.

Les clubs professionnels.

Logo Club Championnat Stade Fondation Titres de champion
Limoges CSP club disparu Palais des Sports de Beaublanc 1929 23
Limoges CSP Élite Championnat de France Pro B (basket, D2) Palais des sports de Beaublanc 2004 vice-champion de NM1 (2006)
USAL Championnat de France Pro D2 (rugby, D2) Parc des Sports de Beaublanc 1902 2
Limoges Football Club CFA 2 (football, D5) Stade de Saint-Lazare 1947 3
LABC NF1 (basket, D2) Salle municipale des Soeurs de la Rivière  ?  ?

[modifier] Limougeauds célèbres

Renoir
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Renoir

[modifier] Autres personnalités liées à la commune

[modifier] Notes

  1. Malte-Brun, la France illustrée, tome V, 1884
  2. ...qu'un pòble tombe esclau, se tèn sa lenga, tèn la clau que dei cadenas lo desliura (qu'un peuple tombe en esclavage, s'il possède sa langue, il possède la clé, qui de ses chaînes le délivrera)
  3. Monique Sarazy pour La Lison dau Peirat
  4. Nouveaux trolleybus

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

Wikimedia Commons propose des documents multimédia sur Limoges.


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</noinclude>


Drapeau français Agglomération de Limoges Drapeau français

Boisseuil | Bosmie-l'Aiguille | Condat-sur-Vienne | Couzeix | Feytiat | Isle | Limoges | Le Palais-sur-Vienne | Panazol | Rilhac-Rancon | Saint-Just-le-Martel | Verneuil-sur-Vienne

Drapeau français Monuments et sites de Limoges Drapeau français

Liste des communes :

Gare des Bénédictins | Hôtel de Ville | Halles centrales | Cathédrale Saint-Étienne | BFM | Pavillon du Verdurier | Église Saint-Michel-des-Lions | Église Saint-Pierre-du-Quéroix | Chapelle Saint-Aurélien | Place de la République | Place Denis Dussoubs | Aquarium du Limousin | Place Jourdan | Gare Montjovis | Place Carnot | jardin d'Orsay

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