Japonais
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Parlé en | Japon | |||
Région | Asie de l'Est | |||
Nombre de locuteurs | 127 millions | |||
Classement | 8 | |||
Typologie | SOV [1] Agglutinante - Morique |
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Classification par famille | ||||
- Hors classification (isolats) - Langues japonaises (Classification SIL - simplifiée)
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Statut officiel et codes de langue | ||||
Langue officielle de | Japon | |||
Régi par | ||||
ISO 639-1 | ja | |||
ISO 639-2 | jpn | |||
ISO/DIS 639-3 |
jpn (en) |
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SIL | JPN | |||
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Article premier de la Déclaration des Droits de l'Homme (voir le texte en français) |
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Voir aussi : langue, liste de langues, code couleur |
Le japonais est la langue utilisée par la plupart des habitants du Japon (sauf les Aïnous, les habitants des îles Ryūkyū et les immigrés) ainsi que par la diaspora nippone (notamment au Brésil et au Pérou).
En japonais, la langue japonaise se dit Nihongo (日本語). Le kanji 日 désigne le soleil et 本 ici « l'origine ». Le terme sino-japonais 日本 (nihon ou nippon) désigne le Japon vu de la Chine (Cipangu), en raison de la position géographique respective du Japon et de la Chine : l'un est le pays à partir duquel se lève le soleil, l'autre vers lequel il se couche. C'est de là que vient l'expression « pays du soleil levant ». Le dernier kanji, go (語), désigne une langue.
Bien qu'il s'agisse d'une langue unique en Asie du Nord- Est, le coréen est la langue qui a donné la naissance au japonais (morphologie, syntaxe surtout).
Sommaire |
[modifier] Avant l'écriture
Les vocables d'origine indigène sont appelés Yamato-kotoba (大和言葉, littéralement « les mots (du pays) de Yamato »). Selon Jean-Jacques Origas : « Yamato désigne les plaines et monts autour de l'ancienne capitale de Nara, et dans une seconde acception, toutes les terres soumises à l'autorité impériale. L'appelation officielle de Nihon, d'origine sino-japonaise, n'est employée qu'à partir du VIIe siècle ».
À la différence de la plupart des langues indo-européennes, la phonologie de la langue indigène japonaise a survécu sans grand changement (à l'exception du timbre vocalique de certaines syllabes), comme on peut en juger en comparant par exemple les mots indigènes me, aki, asa, ame, umi, kumo du japonais moderne aux mêmes mots du Manyôshû (VIIIe siècle).
- Ce système vocalique, de nature différente du chinois, se limite à cinq possibilités : A I U E O, chacune de ces voyelles étant en principe une brève. Deux voyelles contigües seront, soit prononcées successivement, soit formeront une seule voyelle longue (dans le japonais actuel). Il n'existe pas de voyelle nasale.
- La langue ancienne (époque du Manyôshû) présentait une autre série de voyelles (notées ï, ë, ö par les spécialistes) qui ont disparu par la suite.
- Deux semi-voyelles, Y et W, toujours combinées dans l'ordre semi-voyelle + voyelle :
YA YU YO et WA WI WE WO (les trois dernières ayant disparu par la suite).
Toutes ces voyelles ont par la suite été doublées de leur équivalent en voyelles longues (transcrites en romaines avec un macron diacritique), principalement pour la lecture de termes non indigènes, mais du lexique sino-japonais, comme Kyōto.
Les consonnes, toujours suivies d'une voyelle (syllabe ouverte), sont peu nombreuses.
- sourdes : K S T P H ;
- sonores : G Z R D B ;
- nasales :G N M.
La consonne N, d'apparition plus tardive, constitue une exception car elle apparaît à la fin d'une syllabe ou à la fin d'un mot.
Une consonne peut être associée à YA YU YO pour former les consonnes sourdes : KYA KYU KYO, SHA SHU SHO, CHA CHU CHO, PYA PYU PYO, HYA HYU HYO, et pareillement pour les autres consonnes.
[modifier] Systèmes graphiques
Consulter Écritures du japonais pour un article complet.
La langue japonaise utilise conjointement deux ensembles de caractères distincts :
- les kanji (漢字, littéralement « caractères des Han », ethnonyme des Chinois) écriture idéographique d'origine chinoise ;
- les kana (仮名), système syllabique dérivé des kanji. Les kana se divisent eux-mêmes en deux groupes : les hiragana (平仮名) et les katakana (片仮名) ;
- Les katakana sont employés pour l'écriture de mots d'origine étrangère au Japon (ex. : チーズ : cheese, fromage en anglais), appelés gairaigo (外来語, littéralement « mots venus de l'extérieur »), d'onomatopées, de mots que l'on veut mettre en relief (comme pour l'italique dans l'alphabet latin), et de temps en temps de noms d'animaux et de végétation (surtout dans l'académisme et dans les restaurants), etc. ;
- Les hiragana ont été composés à partir des kanji par « simplification » (ex. : 安→あ), alors que les katakana sont eux une partie extraite d'un kanji (ex. : 多→タ). Les mots d'origine « purement » japonaise (non dérivés du chinois) s'écrivent en hiragana (on qualifie ces mots de yamatokotoba 大和言葉, littéralement « mots du Yamato »). Mais la fonction première des hiragana est surtout d'écrire les enclitiques et suffixes grammaticaux des prédicats et parfois pour faciliter la lecture des kanji.
Il existe plusieurs méthodes de transcription du japonais en lettres latines ou rōmaji (ローマ字). La plus utilisée à l'étranger est la méthode Hepburn dite modifiée ou révisée (appelée Hebon-shiki au Japon). Cependant, un certain nombre de Japonais utilisent la méthode Kunrei ou kunrei-shiki qui diffère légèrement de Hepburn (certains Japonais, notamment ceux qui ont poursuivi des études supérieures, utilisent tout de même la méthode Hepburn).
Voici les syllabes en kana (hiragana et katakana) puis dans le rōmaji Hepburn :
Certains kana peuvent être modifiés par les diacritiques des syllabaires japonais, à savoir le dakuten (゛) et le handakuten (゜). Par exemple :
- か ka → が ga ;
- さ sa → ざ za ;
- た ta → だ da ;
- は ha → ば ba et ぱ pa.
A signaler pour la prononciation que les syllabes écrites en H désignent une voyelle aspirée (HA, HI, HU(FU), HE, HO) et que les syllabes écrites en R se prononcent plutôt d'une façon proche d'un L français un peu forcé (RA, RI, RU, RE, RO).
- Article détaillé : prononciation du japonais.
[modifier] Locuteurs
Le japonais est parlé par les 127 millions d'habitants du Japon. Aujourd'hui, dans certains pays ayant été colonisés par le Japon jusqu'à la fin de la 2ème Guerre Mondiale tels que Taiwan ou la Corée du Sud, il n'existe cependant plus de nipponophones, bien qu'il existe une petite communauté japonaise au Brésil qui parle encore japonais. Par ailleurs, bien que rarement, le japonais est enseigné comme une langue étrangère dans plusieurs pays d'Asie orientale et d'Océanie. Le japonais reste donc une langue fortement locale, parlée de manière assez restreinte.
[modifier] Grammaire, syntaxe et usages
La grammaire japonaise est très différente de la grammaire française : tout comme le turc ou le basque, c'est une langue agglutinante. Certains linguistes classent le japonais dans le groupe des langues altaïques avec le mongol, le turc, le toungouze et le coréen (la langue la plus proche du japonais, surtout dans sa syntaxe). Certaines théories font du japonais une langue mixte, mélangeant des éléments des langues altaïquestelle que la langue coréenne et des langues austronésiennes.
Le prédicat se place à la fin des énoncés dans lesquels l'expansion n'est pas mise en vedette. Il n'y a ni genre, ni nombre, les verbes ne se conjuguent pas selon les personnes (je, tu, il…), et des particules invariables indiquent la fonction du mot dans la phrase.
En outre, le japonais, tout comme la plupart des langues asiatiques telle que la langue coréenne, se caractérise par son système de politesse reflétant la hiérarchie (d'où les questions d'âge, de situation maritale, de statut social et l'omniprésente carte de visite) : on ne s'exprime pas de la même manière suivant que l'on s'adresse à quelqu'un à qui l'on doit montrer du respect ou non. On utilise alors d'autres verbes et formes grammaticales. Ainsi, lorsque l'on dit « j'ai reçu un cadeau », on utilisera des verbes différents, selon qu'on l'a reçu d'un ami ou d'un professeur.
De plus, l'opposition de « l'humilité » (pour soi-même ou son groupe) et du « respect » (pour son interlocuteur) est omniprésente. Ainsi, tous les mots désignant les membres de la famille (père, mère…) sont en double : un pour parler des membres de sa propre famille et un pour parler des autres.
On distingue trois niveaux de politesse : la forme simple (familière), la forme polie simple ou teinei et la forme polie avancée ou keigo (敬語) qui se décline en sonkeigo (尊敬語, « mots de respect ») et kenjōgo (謙譲語, « mots d'humilité »). C'est dans ce dernier niveau que l'opposition humilité/respect est exprimée.
On distingue également, même si cela diminue à notre époque, une façon de parler spécifiquement féminine (ou enfantine) et une autre spécifiquement masculine. Les femmes ont en outre pour des raisons sociales un langage plus soutenu que les garçons. Détail qui a son importance lors de l'apprentissage du japonais oral car selon le sexe du professeur on risque de passer pour un personnage de manga ou alors pour une femme yakuza.
[modifier] Politesse
La politesse japonaise, ou en japonais keigo (敬語), dont une traduction approximative serait « langage poli », constitue d'un certain point de vue une langue dans la langue, et est le reflet direct de la structure et des interactions sociales.
L'utilisation de la politesse est un pré-requis dans la majorité des situations sociales : contrairement à la France où une utilisation trop poussée de la politesse peut conduire à paraître obséquieux ou hypocrite, au Japon une utilisation insuffisante de la politesse conduit à paraître incorrect, voire insolent.
La systémique de la politesse japonaise peut apparaître difficile au premier abord, mais ses concepts de base sont relativement faciles à intégrer. Cependant, la maîtrise de la politesse japonaise à un niveau avancé, subtil et instinctif, notamment à l'écrit, est, de l'aveu des Japonais eux-mêmes, particulièrement ardue.
Pour reprendre la définition du japanologue Sadaki Hagino, la politesse japonaise peut se définir comme « un système organisé de mots visant à exprimer la reconnaissance de différentes nuances de différence de hauteur entre plusieurs personnes » (敬語は人間のなんらかの意味の上下関係の認識を表現する語彙の体系である). Alors que dans la majorité des langues occidentales la « politesse » ne s'exprime que vis-à-vis de son interlocuteur (choix du tutoiement ou du vouvoiement en français par exemple), il existe une distinction claire dans la politesse japonaise entre :
- Wadai (話題), objet de la conversation, c'est-à-dire la personne/le groupe social dont on parle
- Dentatsu (伝達), [situation de] communication, c'est-à-dire la personne/le groupe social à qui l'on parle.
Par ailleurs, la politesse japonaise repose sur la distinction fondamentale entre uchi (内, « intérieur », c'est-à-dire les membres de son propre groupe social) et soto (外, « extérieur », c'est-à-dire les membres d'un groupe social différent de son propre groupe).
La politesse japonaise comporte concrètement trois dimensions relativement indépendantes : sonkeigo (尊敬語), langage de respect ; kenjōgo (謙譲語), langage d'humilité ; teineigo (丁寧語), langage de courtoisie. Chacune de ces trois dimensions possède un certain nombre de nuances, notamment d'intensité. On peut également noter la différence d'intensité entre les suffixes chan (ちゃん), kun (くん-君), san (さん), sama (さま-様) et dono (どの-殿) pour ne citer qu'eux. Ces suffixes sont ajoutés aux prénoms/noms des personnes a qui on s'adresse, que ce soit verbalement ou oralement. Ces mots n'ont pas de traduction propre et sont contextuellement traduits en francais par « M./Mme/Mlle ». L'adresse d'un courrier utilisera toujours le suffixe sama (様) au minimum et dono (殿) dans certains cas (courrier venant d'un sanctuaire, par exemple). Dans certains cas, ces suffixes seront remplacés par le titre accompagnant la profession de la personne à qui l'on s'adresse. Sensei (先生) pour un professeur, un chercheur, une personne à qui nous désirons transmettre un sentiment de reconnaissance ou que l'on considère comme supérieur dans un domaine.
La fonction de ces dimensions s'explique facilement au moyen des distinctions exposées plus haut :
- Le sonkeigo est utilisé pour marquer le respect dû par le locuteur à la personne/au groupe social dont il parle. Cette personne/son groupe social peut n'être autre que l'interlocuteur/son groupe, mais peut tout aussi bien être une personne/un groupe non présent.
- Le kenjōgo est utilisé pour exprimer la relation de hauteur entre deux entités (personnes ou groupes sociaux) constituant le sujet de conversation. Contrairement à ce que le nom pourrait faire croire, le kenjōgo n'est donc pas uniquement utilisé pour parler avec humilité de soi/de son groupe : ce n'est le cas que lorsque qu'il y a identité entre la personne/le groupe social constituant la partie « inférieure » de la relation de hauteur mentionnée dans le sujet de conversation et le locuteur ou son groupe.
- Le teineigo est utilisé pour exprimer de manière directe de la courtoisie à son interlocuteur, et ce quel que soit le sujet de la conversation. Notons la différence subtile entre courtoisie et respect : là ou le respect exprime une différence de hauteur entre deux entités, la courtoisie exprime, elle, une absence de familiarité entre ces deux entités. Alors que l'expression de respect implique en général l'expression de courtoisie, l'inverse n'est pas vrai : il est tout à fait possible de parler courtoisement à quelqu'un sans lui exprimer de respect (le cas typique est celui de deux collègues d'une même entreprise de même niveau hiérarchique et n'étant pas en termes familiers).
Ainsi, les moyens qu'offrent la politesse japonaise permettent (et souvent la situation sociale impose) par exemple :
- de parler familièrement à quelqu'un de quelqu'un d'autre avec respect ;
- de parler courtoisement à quelqu'un de quelqu'un sans respect ;
- d'exprimer de la courtoisie à son interlocuteur sans lui exprimer de respect (voir plus haut) ;
- d'exprimer du respect à son interlocuteur (ce qui implique de lui exprimer de la courtoisie, et le plus souvent d'exprimer de la modestie envers soi-même) ;
- d'exprimer (au moyen du langage de respect et du langage de modestie) à son interlocuteur la relation entre deux personnes externes, ce qui peut se faire en parlant familièrement ou courtoisement à son interlocuteur ;
- etc.
[modifier] Dialectes
Comme pour la plupart des langues, il existe de nombreux dialectes du japonais qui se distinguent bien sûr par le vocabulaire, mais aussi par l'accentuation et les particules ajoutées en fin de phrases. « Dialecte » se dit « hougen » en japonais (方言), et pour désigner un dialecte en particulier on accole le suffixe « ben » (弁) au nom de la ville, de la préfecture ou de la région où il est parlé.
- Hakata-ben
- Hiroshima-ben
- Hokkaidō-ben
- Kagoshima-ben
- Kansai-ben
- Nara-ben - Yamatokotoba
- Kyōto-ben
- Ōsaka-ben
- Kōbe-ben
- Kumamoto-ben
- Mikawa-ben
- Miyazaki-ben
- Nagasaki-ben
- Nagoya-ben
- Ōita-ben
- Okayama-ben
- Okinawa-ben (Ryūkyū-go)
- Shizuoka-ben
- Tochigi-ben
- Tōhoku-ben
- Tōkyō-ben
- Yamagata-ben
[modifier] Exemples
Kanji | Transcription | Prononciation approchée | Traduction |
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土 | tsuchi | tsoutchi | terre |
天 | ten | tène | ciel |
水 | mizu | mizou | eau |
火 | hi | Hi (H aspiré) | feu |
風 | kaze | kazé | vent |
男 | otoko | otoko | homme |
女 | onna | onna | femme |
食べる | tabelu | tabelou ("r" roulé une fois) | manger |
飲む | nomu | nomou | boire |
大きい | ōkii | ookii ("o" long) | grand |
小さい | chiisai | tchiisaï ("i" long) | petit |
夜 | yoru | yolou ("l" roulé une fois) | nuit |
日 | hi | hi ("h" aspiré) | jour, |
[modifier] Particularités
- Le franponais
- Le japonais argotique
[modifier] Voir aussi
- écritures du japonais
- vocabulaire japonais
- prononciation du japonais
- grammaire japonaise
- abréviation en japonais
- linguistique
[modifier] Liens externes
[modifier] Apprendre le japonais
- Cours de japonais en français de la NHK - un livret de cours gratuit est disponible sur simple demande par email.
- Cours et Exercices interactif en Flash gratuit - Suivi personnalisé de vos progrès sur Japan-Activator
- Initiation au japonais sur Lejapon.org
- Cours de japonais gratuit via Internet sur cours-japonais.fr
- Guide luinguistique japonais de Wikitravel
- Osaka.int.ms - Cours de japonais Cours très simple pour débuter.
- Forumjapon.com Cours de japonais et forum, dictionnaire en ligne, proverbes, expressions imagées ; tests de vocabulaire, de grammaire, de kanji.
- Ponpokopon.net Cours de japonais simple pour tous.
- isshoni.org Exercices intéractifs sur le vocabulaire, les kanji, la grammaire et l'écoute
- Tevader.com Cours de japonais, grammaire, exercices, . . .
- 4 mots de japonais chaque jour
- Objectif-Japon Cours de japonais, culture, trucs et astuces...
- Cours de Tae Kim Cours de japonais dont la version anglaise est très complète, avec une traduction française en cours
[modifier] Etudier le japonais au Japon
[modifier] Dictionnaires de japonais
- http://www.edicojaponais.com/ Dictionnaire français-japonais de près de 16 000 entrées : rômaji,hiragana,kanji et français. Editeur de japonais en ligne et cours de japonais.
- (en) JDIC (miroir) (original) : Un extraordinaire (et le plus important) dictionnaire de japonais en ligne (plus de 100 000 mots), avec un choix de plusieurs dizaines de mots traduits. Environ 17 000 entrées françaises (+ 41 000 autres importées). Si la langue d'accueil est l'anglais, cet outil est inestimable : parfaite introduction à l'écriture pour le néophyte et superbe outil pour l'étudiant confirmé, le «Jim Breen's» présente de multiples possibiltés de recherche, de traduction de plusieurs termes japonais d'une phrase ou d'un paragraphe, d'un coup, les 漢字 (kanji) sont donnés avec toutes leurs lectures possibles, et chaque demande de traduction conduit à un très large champ sémantique.
- Dictionnaire de japonais français-anglais-japonais avec Romaji et kanji
- (fr) http://www.dictionnaire-japonais.fr : Dictionnaire de japonais collaboratif illustré et sonorisé avec 15 000 mots référencés.
- Dictionnaire Freelang - Dictionnaire japonais-français/français-japonais.
- http://www.quebec-japon.com/lexique/ Les lexiques de Québec-Japon (plus de 65 000 entrées)
- Moji - Extension pour Firefox permettant une traduction par un simple clic-droit
- (en) Dictionnaire Japonais <-> Anglais Hiraganas, kanas et kanjis avec recherche floue.
- (en) Traducteur Japonais -> Anglais
- (en) Nihongo Benkyo Dictionnaire et outil d'apprentissage du japonais pour Linux et Windows.
- (en) Traduction de mots japonais en de nombreuses langues.
[modifier] Divers
- Foire aux questions du forum usenet news:fr.lettres.langue.japonaise
- http://www.ideki-sensei.be : Site personnel sur les bases de la langue.
- Apprendre et écouter des expressions pratiques en japonais (avec audio et illustrations
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