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Sociologie des organisations - Wikipédia

Sociologie des organisations

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La sociologie des organisations est une branche de la sociologie qui étudie comment les acteurs construisent et coordonnent des activités organisées.

On peut également la définir comme une science sociale qui étudie des entités particulières nommées organisations, et qui applique les méthodes sociologiques à l'étude de ces entités.

Sommaire

[modifier] Qu'est-ce que la sociologie des organisations ?

[modifier] Qu'est-ce qu'une organisation ?

Concrètement, le terme organisation peut avoir trois sens distincts :

  • Un regroupement d'humains qui coordonnent leurs activités pour atteindre certains buts. L'organisation est donc envisagée comme une réponse au problème de l'action collective, de sa coordination et de sa stabilisation.
  • Les diverses façons par lesquelles ces groupements structurent les moyens dont ils disposent pour parvenir à leurs fins.
  • L'action d'organiser, ou encore le processus qui engendre les groupements ou les structures organisationnelles.

L'étude des organisations répond alors à une triple exigence :

  • Les sociétés (modernes ou anciennes), se composent d'ensembles au sein desquels les individus passent une grande partie de leur vie. Il est donc essentiel d'analyser et de comprendre le fonctionnement de ces groupements. D'autant plus que certains facteurs comme la concentration industrielle, l'accroissement du salariat, le développement des administrations publiques créent des entités de plus en plus vastes et de plus en plus nombreuses.
  • Toutes ces entités, malgré leurs différences, ont des caractéristiques communes et ont à résoudre des problèmes voisins.
  • Il importe de comprendre la logique qui se cache derrière cette diversité organisationnelle. Et il y a autant de formes spécifiques d'organisations que d'objectifs justifiant l'action collective : économique, sociale, politique, religieuse, écologique, caritatives, etc. La diversité organisationnelle est aussi liée à leur degré de complexité et à d'autres paramètres : taille, technologie, contexte...

[modifier] Problématiques courantes en sociologie des organisations

La sociologie des organisations, en étudiant le phénomène organisationnel, soulève certaines problématiques récurrentes, qui sont souvent liées aux tensions qui affectent les organisations. Elles ont donné lieu à différents thèmes d'études. Par exemple :

  • La cohésion. Les études s'inscrivant dans cette thématique s'efforcent de comprendre comment les organisations parviennent à maintenir leur structure et leur identité, malgré les tensions internes et externes qu'elles subissent.
  • L'étude de la structure formelle et informelle. Nombre d'études ont cherché à clarifier les liens entre la structure formelle et les relations sociales informelles au sein des organisations.
  • L'adaptation. Comment les organisations gèrent-elles l'innovation et comment l'intègrent-elles pour s'adapter à leur environnement technique et social ? Certaines études tentent de comprendre comment et pourquoi la structure formelle évolue, à travers les processus qui gouvernent la création et la modification des règles. D'autres s'intéressent à l'intégration des innovations techniques dans les organisations. D'autres enfin, se focalisent sur les changements culturels.
  • La hiérarchie et les relations de pouvoir. Les thèmes abordés sont l'autonomie des acteurs, les différents types d'organisation (matricielle, horizontale, pyramidale), la gestion du pouvoir, la répartition des ressources, la négociation, etc.
  • Le lien social et identitaire, ainsi que les phénomènes culturels.
  • L'étude de la circulation de l'information et les outils de communication.
  • Les situations conflictuelles ou pathologiques. Conflits syndicaux, situation de stress, précarité, phénomène du placard, baisse de la productivité, recherche des causes des blocages au sein des organisations, etc.

[modifier] Origines de la sociologie des organisations

[modifier] Les précurseurs : Frederick Winslow Taylor, Max Weber et Henri Fayol

C'est vers la fin du XIXe siècle que les premières études sociologiques du phénomène organisationnel apparaissent. Elles sont liées à un double mouvement : le développement des grandes industries et des bureaucraties, la constitution de la sociologie comme corps de connaissance distinct.

Trois auteurs vont se démarquer. Ils vont produire des travaux parallèles et complémentaires.

  • En Allemagne, Max Weber analyse le phénomène bureaucratique. Il l'étudie sous l'angle de la rationalisation, mais il va également s'intéresser au rôle de la religion sur l'esprit d'entreprise et sur la dynamique du capitalisme. Destinées principalement à un public universitaire, les théories de Max Weber auront une portée essentiellement heuristique. Elles ne donneront pas lieu à des applications concrètes.
  • Aux États-Unis, Frederick Taylor, ingénieur et économiste, développe une théorie normative de l'organisation : le Taylorisme. Celle-ci est axée sur l'étude de l'optimisation et de la rationalisation de la production. Ses travaux susciteront un grand intérêt et trouveront à s'appliquer dans de nombreux secteurs industriels. D'un point de vue théorique, on peut le considérer comme le précurseur de l'Organisation scientifique du travail.
  • En France, Henri Fayol, un ingénieur français, s'intéresse quant à lui aux différents types d'administrations. Il cherche les procédés de gestion qui sont les mieux adaptés pour établir une administration optimale. Il est considéré comme le père du management moderne. Sa théorie prendra plus tard l'appellation de Fayolisme.

[modifier] École des relations humaines

Les travaux des précurseurs sont essentiellement normatifs, ou bien le champ d'étude qu'ils couvrent est trop vaste pour permettre la constitution d'une véritable discipline. En fait, la sociologie des organisations va réellement émerger avec le développement de l'École des relations humaines.

Comme le montre ce dessin satirique, le XIXe siècle et le XXe siècle sont marqués par l'organisation hiérarchique découlant du capitalisme
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Comme le montre ce dessin satirique, le XIXe siècle et le XXe siècle sont marqués par l'organisation hiérarchique découlant du capitalisme

Cette école, née dans les années 1930 aux États-Unis d’Amérique, est dominée par la personnalité d'Elton Mayo. Elle affirme, contre le taylorisme, le rôle essentiel du facteur humain et relationnel dans la détermination de la productivité économique. Elle réintroduit donc les facteurs psycho-sociaux au cœur de l'analyse organisationnelle, laissant ainsi le champ ouvert à l'application des méthodes issues de l'analyse sociologique.

[modifier] Les grands courants de la sociologie des organisations

[modifier] Approches classiques

Après la Seconde Guerre mondiale, la sociologie des organisations connaît un développement important jusqu'au début des années 80. C'est durant cette période que va se constituer un corpus classique. Ce corpus regroupe quelques grands courants théoriques qui explorent différentes dimensions des organisations. Il puise généralement son inspiration au sein de divers paradigmes sociologiques ou économiques : la systémique sociale, la sociologie compréhensive, l'approche culturaliste, la psychosociologie, la socioanalyse, l'économie des conventions, la micro-économie, etc.

[modifier] École socio-technique

Les décennies 1950 et 1960 voient naître avec le Tavistock Institute de Londres, l'école dite socio-technique. Cette école étudie le lien entre les systèmes techniques et humains. Elle part du constat que les changements technologiques ont un impact déterminant sur le fonctionnement des groupes et sur les individus qui les composent. Ce qui implique que les décisions doivent tenir compte des facteurs humains (qualifications, attentes, sentiments, valeurs) et de l’environnement (équipement, machinerie, procédés, horaires de travail, conditions de travail). L'école systémique va s'inscrire en prolongation des travaux de cette école.

[modifier] École de la contingence

Voir l’article École de la contingence.

Dans le prolongement de l'école socio-technique, l'école de la contingence tente de rendre compte de la manière dont se structurent les organisations en étudiant l'influence des variables de contexte sur les caractéristiques des organisations. A la différence de la conception taylorienne essentiellement normative de la bonne organisation « en soi », Henri Mintzberg, le principal représentant de l'école de la contingence, affirme que la structure organisationnelle est liée à la nature de l'environnement, mais elle ne l'est pas de manière mécanique ou déterministe. Car la structure dépend également des buts que se fixent les dirigeants. En fait, les mécanismes régulateurs internes d'une organisation doivent être aussi variés que l'environnement avec lequel elle doit composer.

[modifier] Théorie de l'acteur stratégique

Cette théorie, élaborée par Michel Crozier et Erhard Friedberg suppose au contraire qu'on ne peut considérer que le jeu des acteurs n'est déterminé que par la cohérence du système ou par les contraintes environnementales. On doit chercher en priorité à comprendre comment se construisent les actions collectives à partir de comportements et d'intérêts individuels parfois contradictoires entre eux. Donc, au lieu de relier la structure organisationnelle à un ensemble de facteurs externes, cette théorie l'appréhende comme un construit humain, rejoignant en cela une démarche qui situe les déterminants causals comme allant principalement de l'individu vers la structure (l'individualisme méthodologique) et non de la structure vers l'individu (structuralisme).

[modifier] Théorie de la régulation sociale

L'analyse stratégique reste assez imprécise sur la façon dont se construisent les règles. Elle met surtout en avant les stratégies des acteurs vis à vis des règles déjà en place, et insiste principalement sur le comportement rationnel des acteurs vis à vis de ces règles. Le courant de la régulation de Jean-Daniel Reynaud essaie de combler cette lacune, tout en restant dans la continuité de l'analyse stratégique, en étudiant les mécanismes qui interviennent dans la production, le maintien, la destruction et l'application des règles dans les organisations. Il tente donc de comprendre comment s'effectue la construction des règles, celles par lesquelles un groupe social se structure et devient capable d'actions collectives. En cela, il conduit à envisager l'ordre social non plus de manière statique, mais au contraire à la manière d'un ordre négocié et dynamique.

[modifier] Les identités au travail

A côté de ces grandes écoles, qui se focalisent sur les règles et les relations de pouvoir, on trouve des approches qui se concentrent davantage sur les aspects identitaires. Elles étudient d'une part la création du Soi à travers l'expérience de la socialisation en entreprise, et d'autre part, elles rattachent la permanence des règles aux phénomènes identitaires. Ces approches se centrent donc sur l'identité sociale au travail.

Renaud Sainsaulieu, par exemple, affirme que la construction de l'identité au travail se fait au sein de différents modèles de relations de pouvoir comme :

  • Le modèle de la fusion. Il apparaît dans les contextes marqués par des tâches répétitives et peu qualifiées. L'acteur pour se valoriser n'a d'autres ressources que le collectif.
  • Le modèle de la négociation. Il intervient quand les situations de travail permettent un accès aux positions stratégiques.
  • Le modèle des affinités. Il apparaît dans des situations de mobilité professionnelle.
  • Le modèle de retrait. L'expérience du pouvoir est si sporadique qu'elle n'autorise qu'un faible investissement dans les relations personnelles au travail.

On substitue donc avec Sainsaulieu une approche du pouvoir en terme d'identité à une approche du pouvoir en terme d'utilité. Fondamentalement, le pouvoir, la négociation dans l'action deviennent aussi importants, si ce n'est plus, que le contenu des négociations.

[modifier] Approches culturelles

On trouve deux grands types d'analyses : celles qui s'intéressent à la culture macro-sociale et à ses effets sur l'entreprise, celles qui se focalisent sur la culture qui émerge de l'activité continue au sein des lieux de travail.

[modifier] Approches macro-sociologiques

La première s'oriente dans deux directions.

  • Trouver des homologies structurelles entre la structure organisationnelle et la structure sociale. Par exemple, selon Philippe d'Iribarne, la ressemblance entre le modèle de hiérarchie militaire, et celui de la hiérarchie en entreprise n'est pas une simple coïncidence. Car selon lui, la gestion des entreprises n'est pas exclusivement déterminée par des critères économiques ou technologiques. Dans la pratique en effet, le gestionnaire se saisit des possibilités offertes par les systèmes sociaux et culturels qui proposent un répertoire de formes d'organisation légitimes. Le gestionnaire doit alors - et il est même plus ou moins contraint de le faire - mettre en place les pratiques d'organisation qui sont cohérentes avec ces formes.
  • Etudier l'impact de la culture sociale sur les comportements individuels en entreprise. Cette approche a notamment été développée par Pierre Bourdieu et ses disciples.

Ces approches ont eu à essuyer diverses critiques. Elles présenteraient l'inconvénient de ne pas rendre compte de l'autonomie du phénomène organisationnel, et de sa capacité à gérer les relations et la coordination d'individus relativement libres et unis dans un but collectif. De plus, elles présupposeraient que les réponses des individus sont plus ou moins mécaniques, et déterminées pas à un modèle culturel imposé de l'extérieur. Pourtant dans une organisation, le système de valeurs et le système de règles ne sont pas figés. Ils sont dynamiques, et s'adaptent aussi bien à l'environnement, qu'aux modifications contextuelle des situations internes à l'organisation.

[modifier] Approches mixtes

Une autre approche permet de corriger ce biais, c'est celle de l'étude des micro-cultures. Elle a été développée entre autres, par Michel Liu. Elle permet d'analyser les organisations en combinant les apports de l'école culturaliste, de la sociologie qualitative, de l'interactionnisme symbolique, et de l'école socio-technique.

L'idée est que la culture émerge de l'activité de travail. Les cultures de métier se constituent à partir d'expériences cumulées et historicisées de capacités stratégiques. Ces expériences proviennent de :

  • La culture sociale antérieure.
  • Les caractéristiques du travail à travers ses symboles.
  • L'organisation technique de la production.
  • La situation stratégique dans les relations de pouvoir.
  • Le systèmes des relations de travail.

La culture se repère ainsi à travers la construction de règles issues en partie de la situation d'action, en partie des représentations des relations entre acteurs.

On montre alors que l'application d'une régulation de contrôle peut se heurter à la micro-culture d'une entreprise ou d'un atelier. Les acteurs gardant, du fait du pouvoir de négociation que leur confèrent les zones d'incertitude, la possibilité de faire échouer les règles qui émanent de la direction. Par conséquent, un changement organisationnel doit être accompagné de la prise en compte de ces règles sociétales. Et ces règles ont été le plus souvent élaborées et sélectionnées au cours d'un long processus d'essais et d'erreurs, qui a permis l'accumulation et l'amélioration d'un savoir-faire local. Les règles peuvent alors servir une ou plusieurs finalités masquées. Et ces finalités seront le plus souvent méconnues du régulateur, dans la mesure où n'étant pas intégré dans le contexte de travail, il n'a pas accès à « l'historique » de cette règle au moment où il entreprend d'exercer son pouvoir de régulation.

Pourtant, ces règles ont une fonction cruciale au sein de l'organisation. Par exemple, si dans un atelier, il est de coutume d'accueillir sèchement les nouveaux venus, il ne faut pas pour autant en conclure à l'existence d'un sentiment hostile qui viserait à écarter des concurrents potentiels. En fait, une telle règle a une toute autre finalité. Elle permet de sélectionner les travailleurs en testant leur capacité de résistance, tout en les habituant aux conditions de travail difficiles qui règnent dans l'organisation.

[modifier] Approches psychosociologiques

Au sein du corpus classique, il existe également de nombreuses approches, peut-être plus marginales, qui mélangent sociologie et psychologie. On peut en distinguer (arbitrairement) trois types.

  • Les théories issues de la socio-psychanalyse. Ce sont des approches qui appliquent les concepts et les méthodes psychanalytiques aux organisations. Certaines s'inspirent des théories de Lacan, d'autres comme celles d'Eugène Enriquez, exploitent et prolongent les travaux de Freud sur la psychologie des foules.

[modifier] Approches récentes

Au cours des années 80 et 90 sont apparues de nouvelles approches. Elles tentent d'explorer de nouvelles pistes, ou de synthétiser des approches plus anciennes.

[modifier] Modèle théorique des économies de la grandeur

Voir l’article Économies de la grandeur.

Ce courant analyse les organisations en terme de conventions et d'accords. Il s'agit d'une approche interdisciplinaire.

L'économie des conventions, qui sert de base au modèle des économies de la grandeur, part de l'idée que pour qu'il y ait échange, coordination, coopération entre des agents, il faut qu'il y ait des conventions entre les personnes concernées, c'est à dire un système d'attentes réciproques entre les personnes sur leurs comportements. Ces conventions peuvent être écrites ou non. Dès lors, les acteurs sont insérés dans des situations à la fois conflictuelles et coopératives, et on doit dépasser le clivage entre économie et sociologie.

Le modèle des économies de la grandeur éclaire la problématique de la coordination en entreprise. Il permet de répondre en partie à des questions que les modèles classiques, axés sur les stratégies, les phénomènes de pouvoir, les phénomènes de régulation et les phénomènes identitaires, laissent de côté.

[modifier] Sociologie de la traduction

Voir l’article Sociologie de la traduction.

Une approche également prometteuse en sociologie des organisations nous est fournie par la sociologie de la traduction de Michel Callon et Bruno Latour. Elle permet elle aussi d'aborder des thématiques plus ou moins négligées par le corpus classique. Elle se concentre sur les phénomènes de réseau, sur les méthodes d'intervention au sein de ces réseaux et sur la constitution du savoir au sein des organisations.

[modifier] Sociologie des logiques d'action

La sociologie des logiques d'action est développée par Henri Amblard et Philippe Bernoux. Elle s'oriente dans trois directions :

  • la nécessité de dépasser le corpus classique de sociologie des organisations.
  • l'impossibilité de penser l'entreprise en dehors d'une dialectique entre le conflit et la coopération.
  • la réarticulation d'ensembles théoriques pouvant à priori sembler exclusifs.

[modifier] Ressources

[modifier] Bibliographie en sociologie des organisations

  • Philippe Bernoux, La sociologie des organisations, Seuil, 1990.
  • Philippe Bernoux, Henri Amblard, Gilles Herreros, Yves-Frédéric Livian, Les nouvelles approches sociologiques des organisations, Seuil, 2005.
  • Luc Boltanski, Ève Chiapello, Le Nouvel Esprit du capitalisme, Gallimard, 1999.
  • Michel Callon, Bruno Latour, La Science telle qu'elle se fait, la Découverte, 1991.
  • Michel Crozier, Erhard Friedberg, L'acteur et le système. Les contraintes de l'action collective, Seuil, 1992.
  • Eugène Enriquez, De la horde à l'état : Essai de psychanalyse du lien social, Gallimard, 2003, ISBN : 2070428303
  • Michel Liu, Fondements et pratiques de la recherche-action, Paris, l'Harmattan, 1997.
  • Henri Mintzberg, Le pouvoir dans les organisations, Éditions d'Organisation, 1986.
  • Jean-Daniel Reynaud, Les Règles du jeu: L'action collective et la régulation sociale, Armand Colin, 1997.
  • Renaud Sainsaulieu, L'identité au travail, Presses de Sciences Po, 1977.

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

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