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France Télécom - Wikipédia

France Télécom

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France Télécom
Forme juridique : Société anonyme au capital de 10 406 399 336 euros (octobre 2005)
Dates clés : 1988 séparation des PTT 
Slogan : Le futur et toutes les raisons d'y croire  
Siège social : Paris, France (siège social)
Personnes-clés : Didier Lombard;
Secteurs d’activité : opérateur de télécommunications
Principaux produits :  
Filiales : Globecast, Viaccess, Orange, Goa
Effectif : 203 000 (fin 2005)
Chiffre d’affaires : 49 milliards d'euros
Bénéfice net :  ???
Site Web : francetelecom.com

France Télécom (Euronext: FTE, NYSE: FTE) (souvent France telecom, sans accent et/ou sans majuscules, dans le logo et les textes) est la principale entreprise de télécommunication en France. Elle emploie près de 220 000 personnes et possède près de 90 millions de clients dans le monde. Son président directeur général actuel est Didier Lombard.

Sommaire

[modifier] L'entreprise aujourd'hui

France Télécom développe et commercialise trois grandes familles de services sous la marque Orange :

  • les services de communication résidentiels (SCR), qui restent sous leur marque historique dans les pays où France Télécom est l'opérateur historique (France, Pologne, Jordanie, Sénégal etc.)
  • les services de communication personnels (SCP), c'est-à-dire mobiles,
  • les services de communication d'entreprise (SCE).

Les services résidentiels utilisent principalement la traditionnelle ligne fixe éventuellement équipée en ADSL et sont commercialisés sous les marques France Télécom ou Orange :

Les services personnels utilisent principalement les réseaux mobiles de 2e et 3e génération et sont commercialisés sous la marque Orange :

Les services aux entreprises sont plus spécialement destinés aux activités professionnelles et sont principalement commercialisés sous la marque Orange Business Services :

En 2005, l'entreprise compte 203 000 employés, réalise un chiffre d'affaires de 49 milliards d'euros avec un résultat d'exploitation de 11,3 milliards d'euros (23%) pour un bénéfice net de 5,7 milliards d'euros soit 2,28 euros par action. Elle est cotée à Paris et à New York. La dette se monte à 47,8 milliards d'euros (soit 2,48 fois la Marge Brute Opérationnelle).

Elle a 84 millions de clients mobile (dont 22 en France), 49 millions de clients fixe (dont 33 en France) et 12 millions de clients internet (dont 6 en France).

60% de ses employés sont en France, 16% en Pologne, 12% au Royaume Uni, 2% en Espagne avant le rachat d'Aména fin 2005.

[modifier] Historique

Sous la Révolution française, en 1792, le premier réseau de communication voit le jour pour permettre d'acheminer rapidement les informations dans un pays en guerre et peu sûr. Il s'agit du réseau de télégraphie optique de Chappe.

Après l'invention du télégraphe électrique et ensuite du téléphone l'État Français crée en 1878 un ministère des Postes et Télégraphes, ce dernier annexe bientôt les services du téléphone, qui sont nationalisés en 1889. Pourtant ce n'est qu'en 1923, que le second « T » apparaît, le ministère des P & T devenant celui des PTT.

En 1941, une Direction Générale des Télécommunications est créée au sein de ce ministère et en 1944 le CNET, Centre National d'Études des Télécommunications, a pour mission de développer l'industrie des télécommunications en France.

Dans les années 1970, la France met les bouchées doubles pour rattraper son retard sur plusieurs autres nations avec le programme « delta LP » (accroissement des lignes principales). De fait, avec le concours des industriels français, sont mis au point par les ingénieurs et chercheurs du CNET, la commutation numérique, le minitel, la norme GSM.

Pour répondre à une directive européenne de mise en concurrence des services publics, la Direction générale des télécommunications devient France Télécom le 1er janvier 1988.

Ancien logo France Telecom
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Ancien logo France Telecom

La loi du 2 juillet 1990 transforme France Télécom en un exploitant de droit public, dont Marcel Roulet est le premier Président ; elle est dotée d'une personnalité morale distincte de l'État et, acquiert une autonomie financière. Auparavant, le budget des Télécommunications était inscrit au sein du budget annexe des PTT voté chaque année par l'Assemblée nationale.

En septembre 1995, Michel Bon est nommé à la tête du Groupe France Télécom.

Pour préparer l'ouverture à la concurrence au 1er janvier 1998, une loi est votée en juillet 1996 transformant l'exploitant public en société anonyme dont l'État français est le seul actionnaire.

En 1997, le capital de la nouvelle société anonyme a été ouvert avec succès dans le cadre d'une bourse euphorique due au phénomène de la bulle Internet, une seconde ouverture eut lieu en 1998. Le groupe a racheté la grande majorité d'Orange plc en 2000 et l'intégralité en 2003 ensuite il l'a fusionné avec ses activités mobiles (Itinéris, OLA, Mobicarte) en une filiale nommée Orange SA. FT a également procédé à de nombreuses autres acquisitions de sociétés dans le monde devenant le quatrième opérateur de la planète par sa taille.

Le 2 octobre 2002, le président-directeur général est Thierry Breton. Il a été appelé pour redresser l'entreprise qui est à ce moment là, la deuxième entreprise la plus endettée du monde. Il a obtenu 15 milliards de réaménagement de la dette à prendre en charge par les banques et les investisseurs, 15 milliards d'augmentation de capital réclamés à l'État alors actionnaire majoritaire, et 15 milliards de trésorerie à dégager grâce à des économies en interne. Nommé au gouvernement, il démissionne de France Télécom fin février 2005.

En septembre 2004, l'État français cède une partie de ses actions pour passer en-dessous de la barre des 50%. France Télécom devient une entreprise privée. 115 ans après sa nationalisation, le téléphone redevient privé en France.

Le 27 Juillet 2005, France Télécom annonce le rachat de 80% de l'opérateur de téléphonie mobile Amena, détenteur de 24% de parts de marché en Espagne, pour la somme de 6,4 milliards d'euros dont 3 par augmentation de capital.

Précédent logo de l'entreprise
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Précédent logo de l'entreprise

France Télécom a aussi annoncé le déploiement du plan NExT dont l'objectif est de fournir à ses clients, de façon intégrée, l'ensemble des services de télécommunications dont ils ont besoin.

Selon la société Dataxis, France Télécom serait en 2005 le deuxième opérateur ADSL mondial derrière China Telecom et devant l'américain SBC Communications. Il serait le premier opérateur ADSL européen.

Depuis le 1er juin 2006, France Télécom commercialise l'ensemble de ses produits dans le monde sous la seule marque commerciale Orange. Le logo (esperluette) de la marque France Télécom est devenu plus arrondi, la charte (couleur et police) a été modifiée.

[modifier] Actionnaires

France Telecom, est une Société Anonyme dont le capital de 10 412 239 188 Euros est réparti de la façon suivante :

- Actionnaires individuels (Grand Public) et Salariés du groupe : 67,55% - État Francais : 18,18% - ERAP (Organisme d'État): 14,27%

[modifier] Filiales

Voici les principales filiales du groupe France Télécom

- France Télécom Mobile Satellite filiale détenue à 100% par France Télécom qui gère les activités de télécommunications par satellite. Filiale en cours de rachat par Apax Partners.

- Viaccess filiale détenue à 100% par France Télécom qui développe un système de cryptage d'offre télévisuelles par satellite utilisée notamment par TPS.

- W-HA filiale détenue à 100% par France Télécom qui développe des services d'achats sur internet débités directement sur la facture du client abonné à un fournisseur d'accès.

- Nordnet, racheté en 1996 par France Télécom, Nordnet commercialise des produits et services téléphonie et internet haut débit ainsi que des services hébergement et noms de domaines sous la marque "Le Relais Internet" mais également des produits sécurité avec "Securitoo".

- Orange, rachetée en 2000 au groupe Vodafone, la holding gère les activités mobiles et internet dans de nombreux pays du monde notamment en France à travers sa filiale ORANGE FRANCE SA.

- Etrali, intégrateur de systèmes de vente (trading) et de services réseaux pour la communauté financière, principalement pour les salles de marché.

- Expertel Consulting, filiale à 100%, est le pôle conseil aux grandes Entreprises et administrations. Les missions de conseil portent sur l'impact des technologies et des innovations pour accroître la performance des entreprises. Les domaines majeurs sont la Gestion de la relation client, les processus internes de l'entreprise (Machine to Machine, travail collaboratif), la transformation IP, la performance applicative.

[modifier] Coopération

Avant son changement de statut, France Télécom était une administration dont le principal objectif était de servir les besoins des Français. France Télécom ne pouvait légalement avoir pour objectif de se développer commercialement. France Télécom participait de la politique industrielle de la France. France Télécom avait une stratégie de développement technologique particulière : France Télécom aidait les pays souhaitant s'équiper dans des domaines qu'elle maîtrisait grâce à la DAII (Direction des affaires industrielles et internationales), en particulier en louant (parfois gratuitement) les services du SCT du CNET (Service de Contrôle technique), au nom de la solidarité entre services publics, mais ces pays pouvaient aussi profiter du fond Innovacom qui est une filiale de France Télécom. France Télécom invitait aussi nombre d'étudiants étrangers dans ses écoles : l'INT d'Évry et l'ENST. Cette méthode de développement n'était pas sans rappeler celle des logiciels libres.

Mais avec le changement de statut, France Télécom est devenue une entreprise privée et elle n'a donc pas pu continuer cette coopération. Par exemple les écoles INT et ENST ont dû quitter FranceTélécom et se regrouper au sein d'un établissement public appelé Groupe des écoles des télécommunications (ou GET). Au contraire, ce lien privilégié a, dans un contexte mondial de privatisation, permis à France Télécom de racheter plus facilement ces services au moment de leur privatisation.

Liens:

http://www.csdptt.org/article288.html

http://www.colidre-ft.asso.fr/progs/menuHIS3.htm

http://www.icann.org/committees/nom-comm/nc2004/jjd-bio-fr.htm

[modifier] Direction du groupe

Directeurs généraux des Télécommunications :

  • 1941-1951 : Charles Lange
  • 1951-1957 : Jean Rouvière
  • 1957-1967 : Raymond Croze
  • 1967-1971 : Pierre Marzin
  • 1971-1974 : Louis-Joseph Libois
  • 1974-1981 : Gérard Théry
  • 1981-1986 : Jacques Dondoux
  • 1986-1990 : Marcel Roulet

Après la réforme de 1990, Présidents du Groupe :

[modifier] Comité de Direction Générale (juillet 2006) [1]

  • Didier Lombard, Président Directeur Général
  • Sanjiv Ahuja, Directeur Général d'Orange et en charge du Royaume-Uni
  • Gervais Pellissier, responsable des finances du Groupe et en charge de l'Espagne
  • Louis-Pierre Wenes, responsable de la transformation du Groupe et en charge de la France
  • Olivier Barberot, responsable des ressources humaines du Groupe et en charge de la Pologne
  • Barbara Dalibard, responsable des services de communication pour les entreprises
  • Georges Penalver, responsable du marketing stratégique et du Technocentre du Groupe
  • Jean-Philippe Vanot, responsable des réseaux et des systèmes d'information du Groupe
  • Jean-Yves Larrouturou, Secrétaire Général du Groupe

[modifier] Conseil d'administration (20 avril 2006) [2]

Administrateurs élus par l'Assemblée Générale :

  • Didier Lombard, PDG
  • Bernard Dufau, ancien PDG d'IBM France
  • Arnaud Lagardère, Gérant et Associé commandité de Lagardère SCA
  • Henri Martre, Président d'Honneur de la Société Aérospatiale
  • Stéphane Richard, Directeur Général de Véolia Transport
  • Marcel Roulet, Président d'Honneur de France Télécom
  • Jean Simonin, maire et vice-Président d'une Communauté de communes

Administrateurs représentant l'État :

  • Jean-Pierre Jouyet, chef de Service à l'Inspection Générale des Finances
  • Jacques de Larosière, conseiller à BNP Paribas
  • Denis Samuel-Lajeunesse, directeur Général de l'Agence des Participations de l'État
  • Henri Serres, vice-Président du Conseil Général des Technologies de l'Information

Administrateurs représentant les membres du personnel :

  • Hélène Adam
  • René Bernardi
  • Jean-Michel Gaveau

Administrateur représentant les membres du personnel actionnaires :

  • Stéphane Tierce

Représentant du Comité Central d'Entreprise :

  • Jean-Paul Gristi

[modifier] Réorganisations de la partie opérationnelle de France Télécom

En 1980, il existe deux types de directions en France : les directions régionales et les directions opérationnelles (DOT) qui sont sous la coupe des premières et supervisent un département. À Paris intra muros il y a la DTIF qui est un peu à part. Toutes ces directions dépendent de la direction générale des télécommunication (DGT). Les établissements opérationnels sont organisés dans le fameux schéma "CCL/Agence/CPE/" qui va persister une quinzaine d'années. Ce schéma correspond à une vision du cycle de vie de la ligne téléphonique: Création en CCL, vente en agence, SAV et comptage en CPE. Chacun de ces établissements comprend environ 150 personnes. Il y a aussi des fonctions en back-office renseignement, centre de facturation.

En 1984, les "directions de zone" sont créées, il s'agit d'un échelon supérieur à celui des directions régionales. Ces directions de zones sont cependant supprimées au bout d'un an d'existence environ.

Vers 1987, l'informatisation supprime massivement des postes de travail en back-office (environ un tiers), les personnel sont affectés à de nouveaux établissements (agences commerciales) et de nouvelles fonctions (vendeurs). Il s'agit de vendre des abonnements téléphoniques, des postes et des fax. C'est aussi l'introduction de la TVA et de la première libéralisation, celle des services à valeur ajoutés pour laquelle il n'y aura jamais de concurrents à se déclarer.

En 1992, il y a deux réformes de front :

  • La réforme des classification qui remplace les 700 grades de fonctionnaires par quatre classes et trois niveaux dans chaque classe. Bien que cela engendre une certaine grogne, en fait la masse salariale augmentera largement plus que ce qui était anticipé.
  • Les directions régionales sont supprimées, les 2 à 3000 personnes qui y travaillaient sont reversés dans des "Organismes nationaux de soutien (ONS)". Pour ce qui est de l'informatique c'est le début de toute une série de regroupements qui accompagneront l'évolution de la technologie et la professionalisation.

En 1995, il y a une nouvelle réorganisation pour passer à trois marchés (résidentiel, petit professionnels et grande entreprises). En effet alors qu'en 1980 il y avait peu de produits qui avaient eux-même un cycle de vie long, logiquement l'organisation était modelée d'après le cycle de vie. En 1995 les produits explosent en nombre et en fonctionnalitées. Leur cycle de vie raccourci. Aussi l'organisation est conçue autour des usages des clients et non plus des produits. Les personnels sont donc réaffectés avec changement de métier. C'est aussi l'année de l'explosion des ventes de téléphones mobiles et l'arrivée d'un concurrent (SFR). Les établissements opérationnels ont un effectif d'environ 400 personnes.

En 1998, la quasi totalité des ONS sont supprimés. C'est aussi le début de la généralisation des Intranets, le premier étant celui de la branche développement depuis 1996. C'est l'explosion d'Internet et des offres sur ce domaine. Wanadoo est constitué par le rachat de plus d'une centaine de sociétés. C'est aussi la création d'un pôle Informatique au niveau national marquant la prise de pouvoir des possesseurs de cette technologie au sein de la branche "développement". Ce pôle challenge un autre pôle "FT R&D" dans sa capacité à fournir de la technologie à l'entreprise. FT R&D est issue du regroupement du CNET, du CCETT et du SEPT. Il y a des recrutement massifs et une restructuration des types d'emplois et de l'organisation interne de façon à redynamiser ce service de R&D qui s'était un peu endormi depuis l'aventure Minitel.

En 2000, un des marchés créé en 1995 est supprimé, le marché "professionnels". Il ne semble pas avoir eu de motivation commerciale, organisationnelle ou économique à cette restructuration. Des établissements techniques de taille régionales sont créés. Les agences sont réorganisées doublement sous l'angle géographique (doublement de la surface) et sous l'angle réorganisation des marchés.

En 2003, les agences sont divisées en deux spécialités (agences spécialisées dans la vente à distance et les agences spécialisées en vente physique). Les tailles géographiques doublent aussi (et le nombre d'agences est divisé par deux).

En 2006 les directions régionales sont réduites à la relation institutionnelle régionale avec un effectif divisé approximativement par dix. Le pouvoir d'organisation de l'activité opérationnelle de l'entreprise est transféré aux Directions Territoriales. Il y a deux fois moins de DT que de DR. La taille des établissements gérés par les DT atteint couramment et dépasse parfois 1000 personnes.

[modifier] Métiers

En 2005, 1er opérateur télécoms (fixe et mobiles) en France et 3e opérateur mobile en Europe (après Vodafone et Téléfonica).

Les effectifs passent de 140 000 personnes en 1993 à 200 000 personnes en 2005 après un pic à 220 000 en 2001.

Les 140 0000 personnes en 1993 sont essentiellement des fonctionnaires Français. Il y a moins de 80 000 fonctionnaires aujourd'hui à FT.

La moitié du personnel travaille hors de France. Les personnes qui ne sont pas sous statut de fonctionnaire, sont en CDI dans le droit de leur pays.

Quelques centaines de nouveau recrutés sont en CDI à temps partiel pour horaires élargis.

La Suisse et la Pologne ont payés le plus lourd tribu des restructurations, avec, pour la Pologne, un licenciement sur deux employés.

Les métiers sont :

  • La vente (près d'un emploi sur deux, soit 40 000 en France). Trois emplois sur quatre de vendeurs sont des emplois assez mal rémunérés (à peu près autant qu'un ouvrier : 1500 euros net par mois).
  • Le réseau et le SI, environ 40 000 personnes souvent avec un grade de "cadre" avec un salaire d'environ 3000 Euro net par mois.
  • Le marketing, soit plusieurs milliers de personnes gagnant 4000 euros par mois.
  • La R&D, plusieurs milliers de personnes à 3000 euros par mois.

Le turn over qui était évidemment très faible en 1993, est plus important aujourd'hui. Essentiellement il s'agit de mouvements entrant pour ingénieurs confirmés qui sont séduit par la relative stabilité de FT par rapport aux SSII. Les mouvements internes sont très importants. Les départs existent, soit par un système de préretraite pour les fonctionnaires, soit vers des sociétés de haute technologie.

Traditionnellement le nombre de cadres était très élevé à FT (15% de cadres moyens et 15% de cadre supérieur en 1993). Il est probable que cette proportion soit beaucoup plus élevée aujourd'hui.

[modifier] Données financières

Données financières en millions d'euros
Années 2001 2002 2003 2004 2005
Chiffre d'affaires 43 026 46 630 46 121 47 157 49 038
Résultat net -8 280 -20 736 3 206 2 784 5 709

[modifier] Données boursières

  • Actionnaires principaux en 2006 : public : 64%, État français : 18%, ERAP : 14%, salariés: 3,5%

[modifier] Dettes

Cette période d'expansion euphorique tous azimuts de la fin du XXe siècle connut le revers de la médaille en 2002. France Télécom fut obligée d'afficher pour la première fois depuis plusieurs décennies un déficit abyssal suite à des investissements hasardeux à l'étranger en vue d'en faire un groupe de taille européenne en préparation de l'ouverture à la concurrence. La dette s'élevait en 2003 à environ 50 milliards d'euros. L'endettement financier net de France Télécom au 31 décembre 2005, en normes IFRS s'élève à 47,8 milliards d'euros, soit un ratio dette nette sur marge brute opérationnelle de 2,48.

[modifier] Anecdote

La société est lauréate du prix de la carpette anglaise qui est un prix d'indignité civique, est attribué à un membre des « élites françaises » qui s'est particulièrement distingué par son acharnement à promouvoir la domination de l'anglo-américain en France au détriment de la langue française.

[modifier] Voir aussi

L'aventure du Minitel, de la carte à puce, du bibop, du satellite, d'Itineris et du GSM.

[modifier] Articles connexes

Télécommunications | Services publics | Répartiteur

[modifier] Sites externes

[modifier] Références


Entreprises du CAC 40

Accor | AGF | Air liquide | Alcatel | Arcelor-Mittal | AXA | BNP Paribas | Bouygues | Capgemini | Carrefour | Crédit agricole SA | Danone | Dexia | EADS | EDF | Essilor | France Télécom | Gaz de France | Groupe Danone | L'Oréal | Lafarge | Lagardère | LVMH | Michelin | Pernod Ricard | Peugeot (Groupe PSA) | Pinault-Printemps-Redoute | Publicis | Renault | Saint-Gobain | Sanofi Aventis | Schneider Electric | Société générale | STMicroelectronics | Suez | Thomson | Total S.A. | Veolia Environnement | VINCI | Vivendi

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