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Histoire de la Wallonie avant 1830 - Wikipédia

Histoire de la Wallonie avant 1830

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Par histoire de la Wallonie, on entend ici l'histoire des territoires relevant de le Région Wallonne telle que définie et circonscrite par la constitution belge. Le mot Wallonie n'a commencé à vivre dans notre langue que peu avant que certaines propositions soient faites pour lui donner l'autonomie : Wallonie en 1932, Région de langue française en 1963, Région wallonne en 1970 et 1980.

Cependant les Wallons sont plus anciens que la Wallonie et le terme Wallon pour désigner un peuple, une nationalité, un territoire (Pays wallon), s'est imposé au XVIe siècle d'où la facilité avec laquelle par exemple les Wallons de Suède ont-ils été désignés comme cela par les gens de ce pays relativement lointain au XVIIe siècle.

Certaines parties des territoires compris dans cette Wallonie ne font pas partie de sa romanité, comme le territoire de la Communauté germanophone de Belgique. D'autres parties peuvent se distinguer par le fait qu'elle ne font pas partie du pays wallon ou de la wallonie tel que ces mots ont pu être définis avant la fédéralisation de la Belgique, mais leur histoire fait partie de l'histoire de Wallonie, puisqu'elles font partie aujourd'hui d'une Wallonie qui se donna son drapeau et une fête nationale (officieux) au Congrès wallon de 1913.

Sommaire

[modifier] Origine des noms Wallonie et Wallon

Le terme Wallonie a été créé par Charles-Joseph Grandgagnage en 1844, sur l'adjectif wallon tel qu'on le retrouve dans les expressions d'alors, pays wallon(s) (qu'utilise encore Jules Michelet), provinces wallonnes, de signification synonyme depuis le XVe siècle. Mais une forme latine Wallonia est attestée depuis 1618, avec le sens de terre wallonne, c'est-à-dire romane, dans les Pays-Bas (mot forgé d'après l'adjectif ethnique). Auparavant, on peut remonter jusqu'en 1014 avec le germanique Walschland (pays des Wallons), mais à ce moment le Walschland recouvre l'Austrasie cisrhénane, la Burgondie et la Lombardie et donc ne peut décrire uniquement la Wallonie actuelle. Albert Mockel fixera son orthographe avec un seul 'n' dans les années 1880.

Quant aux « Wallons », cette désignation semble d'origine germanique : les « Walaha » (ou « Walha »). Au IVe siècle av. J.-C., les formes Walhaz ou Walhoz désignaient les Volques; ce nom devint pour les Germains synonyme d'étranger car les Volques étaient leurs voisins les plus proches. Par extension, ils appelèrent Walhaz tous les Celtes romanisés habitants à proximité des frontières. Au IVe siècle, on trouve la forme latine Wallo (génitif Wallonis) pour désigner l'habitant gallo-roman du nord et de l'est de la Gaule pour les Francs occidentaux (walhon, datif de walha, pluriel de l'ancien haut allemand wal[a]h, qui donnera l'allemand Welsch : étranger).

En 1510, un Wallon est un sujet de langue romane de Marguerite d'Autriche. Enfin, au XVIIe siècle, il prend le sens d'habitant d'une région comprenant la Flandre gallicante, le Cambrésis, le Tournaisis, le Hainaut, Namur, le Lothier et le Luxembourg; par la suite prendra une définition plus restrictive; les habitants romans de la Principauté de Liège ne seront nommés comme tels qu'après la disparition de celle-ci, jusqu'alors on dira Wallons et Liégeois pour désigner les locuteurs romans de Belgique.[1]

[modifier] Au nord-est de la France, la Wallonie, excroissance latine

Langues régionales en France et Wallonie
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Langues régionales en France et Wallonie

Avec cette stabilisation de la frontière linguistique entre le monde germanique et le monde latin et après l'achèvement des migrations celtiques, les Germains - au nord de cette frontière - parlaient des Walahas pour désigner les gens au-delà de la frontière, dans l'Empire romain. Cette stabilisation de la frontière des langues s'est progressivement réalisée en fonction de plusieurs facteurs dont le moindre peuplement au Nord (la Flandre actuelle), moins à même d'assimiler l'élément germanique: moindre peuplement lui-même dû à des terres alors moins fertiles (relativement). Face à cela, le plus fort (relativement) peuplement du sud ( qui correspond à l'actuelle Wallonie), attira les établissements de l'Église, facteur de romanisation. Au cours des siècles, l'élément roman allait grignoter peu à peu le territoire germanique, la frontière se déplaçant sur quelques lieues (les dernières francisations - wallonisations, romanisations… - d'Enghien ou d'Aubel en sont les ultimes avatars). La frontière entre parlers romans et germaniques en Europe, forme (Léopold Genicot), de Dunkerque à Bâle, un arc-de-cercle. La Wallonie crève cet arc, ouvrant ainsi à l'est une excroissance, une enclave latine dans les pays de langue germanique. L'excroissance "wallonne" (et picarde), est parfaitement lisible sur cette carte, où le wallon (langue régionale en vert foncé), produit cette figure d'enclave de concert avec une part du picard (à l'ouest de son aire) et une parcelle du lorrain (au sud) en vert plus clair. L'aire du wallon correspond très exactement à la partie romane du diocèse de Liège dans ses frontières d'avant 1559.

[modifier] La Wallonie scaldienne et mosane

Dans Atouts et références d'une région (Charleroi, 1995),[2] cite Léopold Genicot pour parler de la Wallonie d'avant 1830, un Genicot qui se réfère lui-même (voir Racines d'expérance), à la dynastie des Mérovingiens qui, partie de Tournai sur l'Escaut, se tailla un grand royaume que l'on peut considérer comme la première forme de la France. Ils furent supplantés par les Carolingiens, installés sur la Meuse et dans la région de Liège et Aix-la-Chapelle, qui finirent par prendre la tête d'un vaste Empire dont chacun sait qu'il fut divisé en trois parties en 843 au Traité de Verdun. Les trois parts n'en firent bientôt plus que deux et, en gros, la Wallonie "mosane" - les 3/4 de la Wallonie actuelle - va faire partie du Saint Empire et la Wallonie scaldienne de la France. Voilà qui éclaire sur ce dont nous parlons ici et qui a été défini comme un espace, rappelons-le.

[modifier] Longue durée industrielle et latine

Spatialement à nouveau (non pas culturellement ou linguistiquement ou pas d'abord), - géographiquement-, la Wallonie se lit aussi sur la carte d'Europe à partir de l'Ardenne, un de ces plissements hercyniens aux flancs desquels gisent toujours en sous-sol fer, zinc, cuivre, d' autres métaux et du charbon. C'est d'abord l'Ardenne qui fournira son charbon de bois pour les transformer, devenant ainsi une sorte de région industrielle. Mais au pied de ce socle antécarbonifère qu'est l'Ardenne, il y a de la houille enfouie profondément là où la Sambre forme avec la Meuse (Charleroi-Namur-Liège voir ci-dessous) un trait sinueux et continu d’ouest en est, se prolongeant vers l'ouest avec la Haine (Mons (Hainaut)-Borinage) et vers l'est avec la Vesdre (Verviers). (Prolongements également en Allemagne et en France). C'est exactement ce qu'illustre le bassin hydrographique de la Meuse, dont la Wallonie représente le 1/3 de l'espace.

carte annexée à l' Accord international sur la Meuse
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carte annexée à l' Accord international sur la Meuse

C'est d'abord le charbon de bois qui va être utilisé pour transformer le fer dans des centaines de forges le long des petites rivières de l'Ardenne. Ce sera aussi le charbon de terre. Quand ce dernier est utilisé plus massivement à partir du 18e siècle, les forges de la Wallonie glissent en quelque sorte le long des pentes ardennaises, pour s'installer le long des plus grandes rivières de la Sambre et de la Meuse et y côtoyer bien d'autres industries. Le sillon industriel wallon est né.

Quant aux terres riches de part et d’autre de ce sillon Haine-Sambre-Meuse-Vesdre, elles avaient fixé une population romanisée et christianisée (Tournai est ville dès cette époque), qui, au lieu d'être assimilée par les envahisseurs germaniques, les assimila à partir du Ve siècle

La Wallonie est donc à la fois une enclave latine dans les pays germaniques et une enclave latine marquée par le fait de longue durée de l'industrie. Al' prumî rang, on l'met po l'industreye, comme dit l'hymne officiel wallon qui dit vrai, malgré les revers récents.

Comme l'indiquent l'émigration spectaculaire au XVIIe siècle de milliers de métallurgistes Wallons de Suède et le rôle, en sa naissance, des Wallons, dans l'industrie allemande au XIXe siècle, une formidable activité économique (à Liège, à Charleroi ...) se développa qui en fit la deuxième puissance industrielle du monde au XIXe siècle, capable de construire entreprises et chemins de fer partout (Russie, Chine, Amérique latine, Afrique, USA pour le verre).

Ces deux traits, l'un culturel ou linguistique (la romanisation sur la quelle insistait Félix Rousseau), la longue durée de l'industrialisation sont probablement les deux grands faits de longue durée qui font qu'il y a une Wallonie aujourd'hui. Par le travail du fer (et des autres métaux) qu'il implique, par sa sensibilité romane entre France et Empire, l'Art Mosan éclaire cette perspective historique à travers mille réalisations dans la dinanderie, la sculpture, l'architecture, la littérature, la musique qu'il faudra détailler ici. C'est l'éclosion d'une civilisation que Henri Pirenne a - étrangement - ignorée.

[modifier] Un repère intellectuel: le rayonnement intellectuel des Écoles de Wallonie

Ce rayonnement artistique fut aussi un rayonnement intellectuel au début du Moyen Âge et au début (XIe et XIIe siècles), de l'Histoire des sciences en Wallonie (900-1800) .

[modifier] Un repère artistique: l'Art Mosan

La collégiale Sainte-Gertrude (XIe-XIIIe siècle)
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La collégiale Sainte-Gertrude (XIe-XIIIe siècle)

L'Art Mosan dont la collégiale Sainte-Gertrude est une grande œuvre, de 900 à 1600 (architecture, travail de l'ivoire, de la pierre, du bois, du cuivre… la Rome ancienne passée au filtre de Byzance et de la culture ottonienne ), la littérature romane de Wallonie (de la Cantilène de sainte Eulalie en 880 – premier texte littéraire français - à Jean d'Outremeuse en passant par le Roman de Renart en sa version wallonne), la musique (d'Étienne de Liège à Dufay), le wallon.

Cet Art appartient à la région de la Meuse tant dans son parcours wallon que français.

[modifier] Travail du bois, de l'ivoire

Ce sont les statues du Christ de Rausa, la Vierge d'Évegnée, les Vierges en Majesté telles qu'on peut les admirer au musée d'art mosan de Liège, ou en l'Église Saint-Jean

[modifier] Architecture

Celles, à l'aube de l’art mosan (XIe siècle) Photo JP Grandmont
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Celles, à l'aube de l’art mosan (XIe siècle) Photo JP Grandmont

L'architecture, ce sont les collégiales de Nivelles, d'Hastière-par-delà, de Celles, de Dinant, de Waha, Wierde, Saint-Séverin-en-Condroz, Gelbressée, la Hall a Al'chair à Namur (renaissance mosane)...

[modifier] Dinanderie

  • le travail de la pierre ce sont notamment les Fonts Baptismaux du petit village de Furnaux

[modifier] Jules Michelet

Il faut lire les pages vraiment étonnantes que Jules Michelet consacre à Dinant et à Liège (mais aussi à Tournai, Mons, Nivelles, l'Ardenne) quand il aborde le règne de Louis XI dans son Histoire de France. Même si tout n'est pas à prendre au pied de la lettre, Michelet a génialement senti toute une société. Et il fait preuve en matière de culture wallonne d'une érudition prodigieuse (intuitions surprenantes sur la littérature française de Wallonie par exemple), à un tel point qu'on peut se demander si malgré son ancienneté, ces textes des années 1840, ont jamais été dépassés avant la naissance d'une vraie historiographie wallonne dans les années 1960 et 1970.

[modifier] Sur le plan politique, de Jules César à 1795

Après la conquête romaine de la Gaule belgique par Jules César, certains de ses habitants celtes divisé en de multiples tribus indépendantes deviennent gallo-romains et sont appelés les Walha par leurs voisins germaniques : de là dérive le mot wallon selon son meilleur historien Albert Henry. C'est ici que se situe désormais la frontière entre monde latin et germanique. Ce mot veut dire "étrangers" mais plus tard il est devenu un mot qui veut dire "un peuple romanisé" (voit aussi le 'Wales' / pays de Galles de Grande Bretagne, ou la Valachie de Roumanie).

Au cours des siècles suivants, les territoires wallons seront romanisés et intégrés à l'Empire romain. Après cette période ils passeront aux mains des Francs et seront finalement intégrés à l'Empire de Charlemagne, avant de se fragmenter progressivement en principautés rivales. Au XVe siècle, ils se retrouvent incorporés au Pays-Bas bourguignons. Par la suite, ils font partie des Pays-Bas espagnols puis autrichiens jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, sauf la Principauté de Liège indépendante pendant toute cette période.

Le rassemblement des territoires wallons aura lieu lors de l'annexion par la République française puis de l'intégration dans l'empire napoléonien jusqu'en 1815, quand le Congrès de Vienne les attribuent au royaume des Pays-Bas.

Celui-ci se déchire en septembre 1830. Un Gouvernement provisoire proclame l'indépendance de la Belgique. Nous arrivons à l'Histoire de la Wallonie de 1830 à 1914

[modifier] BIBLIOGRAPHIE

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  • La Terre Wallonne, Revue d'idées mensuelle dirigée par Élie Baussart, catholique et progressiste, avec des collaborations du Père Charles, de François Mauriac, de Fernand Baudhuin, de Désiré Denuit, d'Auguste Donnay, Franz Weyergans… publiée de 1919 à 1940.
  • L'Action wallonne, revue mensuelle publiée à Liège, où l'on retrouve des noms comme Fernand Dehousse, Georges Truffaut, Marcel Thiry, Jean Rey, Auguste Buisseret, Englebert Renier, avec aussi la collaboration du correspondant belge au journal Le Temps. La revue prit des positions très hostiles à la politique belge de neutralité. Elle était tirée à 5.000 exemplaires et a paru de 1933 à 1940.
  • Le Congrès de Liège des 20 et 21 octobre 1945, Débats et résolutions Editions du Congrès national wallon Liège (sans date: 1946).
  • Élisée Legros La frontière des dialectes romans en Belgique in Mémoires de la Commision royale de toponymie et de dialectologie, 4, Bruxelles, 1948.
  • Maurice-Pierre Herremans, La Wallonie, ses griefs, ses aspirations, éd. Marie Julienne, Bruxelles, 1951.
  • André Renard, À propos d’une synthèse applicable à deux Peuples et à trois Communautés, in Synthèses, novembre 1961.
  • Roger Mols, Bruxelles et les Bruxellois, Duculot, Gembloux, 1961.
  • André Renard écrivait, Impredi, Liège, 1962
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  • Lucien Outers, Le divorce belge, Minuit, Paris, 1968
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  • Giovanni Carpinelli, Le fractionnement de l’unité belge (pp. 43-57) et surtout L’État, les groupes et les classes dans la structure actuelle du fait national belge (pp. 247-256) in Contradictions n° 23-24, Walhain, 1980 (n° spécial sur l’histoire de Belgique).
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  • Robert Deschamps, Michel Quévit, Robert Tollet, Vers une réforme de type confédéral de l'État belge dans le cadre du maintien de l'union monétaire, in Wallonie 84, n°2, pp. 95-111.
  • Robert Moreau, Combat syndical et conscience wallonne, IJD, EVO, FAR, Charleroi, Bruxelles, Liège, 1984.
  • Léopold Genicot, Racines d’espérance, 20 siècles en Wallonie, par les textes, les images et les cartes, Bruxelles, Didier Hatier, 1986
  • Collectif, La Wallonie née de la grève, Liège, 1987.
  • Groupe Coudenberg, Quelle Belgique pour demain?, Duculot, Gembloux, 1987.
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  • Jean Neuville et Jacques Yerna, Le choc de l’hiver 60-61, Pol-His, Bxl, 1990.
  • José Fontaine et Baudouin Piret (éditeurs), Les faces cachées de la monarchie belge, Walhain-Enghien, 1991.
  • La Wallonie et ses intellectuels, TOUDI n° 7/Cahiers Marxistes, n°187, Bruxelles-Enghien, 1992.
  • Jean Stengers, L'Action du Roi en Belgique depuis 1831, Duculot, Gembloux, 1992
  • Jean Stengers, Le siècle de la nationalité belge, Quorum, Bruxelles, 2002
  • C.Kesteloot, Mouvement wallon et identité nationale, CRISP, 1993, n°1392.
  • Notre adieu au Roi, n° spécial des Cahiers Marxistes n° 192, novembre-décembre 1993.
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  • Renée Fox, In the Belgian Château, Ivan R.Dee, Chicago, 1994.
  • Hugues Le Paige (directeur) Questions royales, Labor, Bruxelles, 1994
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  • Anne Morelli, Les grands mythes de l’histoire de Belgique, EVO, BXL, 1995.
  • Hervé Hasquin, La Wallonie d'où vient-elle? in Atouts et référence d'une Région, Gouvernement wallon et Labor, Namur, 1995, pp. 17-33.
  • Pierre Lebrun, Le traitement idéologique du problème majeur de l’emploi par la société-époque belge, in Contradictions n° 80, 1996.
  • Denise Van Dam, Bllijven we buren in België? Vlamingen en Walen over Vlamingen en Walen, Van Halewijck, Leuven, 1996. Tr. fr. Flandre, Wallonie, le rêve brisé, Quorum Bruxelles, 1997.
  • Philipppe Raxhon, La mémoire de la Révolution française en Belgique. Entre Liège et Wallonie, Labor, Bruxelles, 1996
  • Wallons d'ici et d'ailleurs, la société wallonne depuis la Libération, Institut Destrée, Charleroi, 1996.
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  • Arnaud Pirottte, L'apport des courants régionalistes et dialectaux au mouvement wallon naissant, Editions Peeters, Louvain-la-neuve, 1997.
  • M.Swyngedouw, M.Martiniello (directeurs), Où va la Belgique?, L’Harmattan, Paris, 1998.
  • Jules Gheude, François Perin, Ecrits et mémoires, Gerpinnes, 1998
  • Guido Fonteyn, De Nieuwe Walen, Lannoo, Tielt, 1988.
  • Kas Deprez et Louis Vos, Nationalism in Belgium. Shifting Identities 1780-1995, MacMillan, Londres, 1998 et Nationalisme in België. Identiteiten in bewegin 1780-2000, Houtekiet, Amsterdam/Anvers, 1999.
  • Luc Courtois et Jean Pirottte, Entre toponymie et utopie, les lieux de la mémoire wallonne, Louvain-la-neuve, 1999.
  • Hervé Hasquin, La Wallonie, son histoire, Luc Pire, Bruxelles, 1999.
  • Jean-François Potelle, Les Wallons à l'étranger, hier et aujourd'hui, Institut Destrée, Charleroi, 2000.
  • Robert Halleux, Cockerill, Deux siècles de technologie, éditions du Perron, Liège 2002.
  • Luc Courtois et Jean Pirottte, De fer et de feu, l'émigration walllonne vers la Suède, Fondation Humblet, Louvain-la-neuve, 2003.
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  • Charles-Etienne Lagasse, Les nouvelles institutions politiques de la Belgique et de l’Europe, Erasme, Namur, 2003
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  • Yves Quairiaux, L'image du Flamand en Wallonie, Labor, Bruxelles, 2006.

[modifier] Notes

  1. * Jean-Jacques Jespers, Dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et à Bruxelles, Racine, Bruxelles, 2005
  2. * Hervé Hasquin
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