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Économie du Royaume-Uni - Wikipédia

Économie du Royaume-Uni

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Le Royaume-Uni est l’un des premiers pays commerciaux et industriels du monde. Avec un produit intérieur brut (PIB) d’environ 1 700 milliards d'euros en 2004, il occupe le quatrième rang mondial, derrière les États-Unis, le Japon et l’Allemagne. Le PIB britannique a dépassé le PIB français en 2003.

Depuis 1973, le Royaume-Uni est membre de la Communauté européenne (désormais Union européenne). Le ministre des Finances britannique a toutefois annoncé, en octobre 1997, que le Royaume-Uni n'adhérerait pas à la monnaie unique — l'euro — mis en circulation en janvier 2002. Cependant, après avoir ratifié le traité d’Amsterdam en juin 1998, un « plan national de transition » vers l’euro à partir du 1er janvier 1999 a été annoncé en novembre 1998.

Sommaire

[modifier] Historique sur 50 ans

Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le pays a dû faire face à des problèmes économiques persistants, tels que la pression sur la monnaie, un déficit de la balance générale des paiements, l’inflation et les difficultés de son système industriel. Pendant la crise économique mondiale des années 1970, ces problèmes sont devenus critiques : le chômage a frappé plus d’un million de personnes, la productivité a chuté, les salaires ont baissé et la monnaie a atteint son niveau le plus bas. En juillet 1975, le gouvernement a pris des mesures anti-inflationnistes draconiennes, soutenues à la fois par les entreprises et les syndicats, qui ont contenu avec succès la hausse des salaires et de l’inflation.

Les améliorations de la balance des paiements les plus significatives ont eu lieu à la fin des années 1970, grâce aux revenus générés par le pétrole de la mer du Nord. Depuis 1979, les politiques économiques gouvernementales ont encouragé le secteur privé tout en contrôlant les dépenses publiques. Le maintien de l’inflation à un niveau bas est resté la priorité du gouvernement mais au prix d’un taux de chômage élevé. Au milieu des années 1980, les chômeurs étaient plus de trois millions, et 2,6 millions une décennie plus tard. Le chiffres du chômage ont continué à baisser au cours des années suivantes, passant de 11,2 pour 100 en 1985 à 6,4 % en 1996 pour atteindre 4,5 % en 1998, soit un million de personnes.

Les secteurs les plus importants, comme les transports, les communications, l’acier, le pétrole, le charbon, le gaz et l’électricité, nationalisés par les Travaillistes dans les années 1940, ont été privatisés par les gouvernements conservateurs au cours des années 1980 et 1990.

Le déficit budgétaire annuel du début des années 1990 représentait 1,1 % du PIB.

[modifier] Évolution récente

Après deux décennies de libéralisation à marches forcées de l'économie britannique, le gouvernement de Tony Blair a mis en place quelques mécanismes de régulation sociale. En mars 1998, la Chambre des communes a donné son accord pour l’instauration d'un salaire minimum, entré en vigueur en avril 1999. Le chômage est officiellement à un taux très bas, mais les chômeurs non-pris en compte dans les statistiques (inaptes au travail) sont plus de deux millions : le premier ministre compte d’ailleurs prendre des mesures pour les remettre au travail.

La pauvreté reste préoccupante. Selon l’OCDE, le taux de pauvreté à 50% du revenu médian en 2000 était de 11,4% au Royaume-Uni. Le New Policy Institute recense en 2004 environ 8 millions de personnes vivant avec moins de 50% du revenu médian, soit environ 13% de la population britannique, et 12 millions vivant avec moins de 60% de ce revenu, soit environ 23% de la population du pays.

Le secteur des services, notamment financiers grâce à la City, se porte bien, alors que l'industrie est en déclin, symbolisé par la faillite de Rover et la fermeture d'une usine de Jaguar.

[modifier] Fragilités de l'économie britannique

La croissance britannique est basée sur quelques atouts dont quelques uns sont fragiles. L'évolution récente montre également une détérioration de plusieurs composantes de son économie.

[modifier] Des points forts fragilisés

[modifier] Le système bancaire

Le système bancaire britannique jouit de sa position à côté de l'euro : il en bénéficie sans être dedans.

  • Par exemple, comme le dollar US, la livre sterling profite actuellement (2006) des taux plus faibles de l'euro qui rendent intéressants, par comparaison, les placements en monnaie britannique mieux rémunérés.
  • De même, les autorités britanniques n'ont pas les mêmes contraintes que celles des pays ayant adopté l'euro, soumis à des contraintes plus coercitives de la part de UE, notamment sur les déficits publics.

De plus, le système bancaire britannique ne reflète pas l'ensemble de la politique monétaire du Royaume-Uni. La bank of england (BOE)est un organisme indépendant, organisé par le financial services authority (FSA).
Toutefois, cette situation avantageuse pourrait se retourner rapidement dès lors que le différentiel des taux £/€ se réduit ou en cas d'une dégradation chronique des comptes publics.

L'essor de la consommation intérieure profite également au système bancaire britannique, d'abord puisque c'est lui qui la finance ; et en second lieu, puisque 30 % des prêts aux particuliers sont destinés au refinancement de leur dette.
Mais ce système bancaire est également fragilisé par la situation d'endettement exceptionnelle des ménages britanniques, endettés à plus de 150 % les revenus annuels et sur des durées de plus en plus longues[1], et le risque d'un crash de la bulle immobilière.
Au delà du système financier, cet endettement qui a soutenu la croissance risque d'être désormais un frein à la consommation des ménages. Ils devront faire face à une dette croissante (plus de revenus consommés par les frais financiers) et à la dégradation de leur note de crédit (conditions d'emprunt plus difficiles).

[modifier] La consommation intérieure

Celle-ci est dopée par le crédit, au point que certains journalistes comparent le comportement des consommateurs britanniques à l'oniomanie (ressentir le besoin irrépressible d'acheter ce qu'on a pas). La dette des ménages britanniques s'élève au 1er juillet 2005 à 1600 milliards d'euros (66 000 € par ménage), soit une augmentation de 11,7 % en un an, et environ 150 % des revenus annuels des ménages. La dépense moyenne (hebdomadaire ?) des ménages est de 884 € pour un revenu moyen de 851 €. Chaque adulte a en moyenne un découvert de 6000 € par an (y compris les prêts non sécurisés), soit encore une augmentation de 82 % en cinq ans.
La dette totale des ménages britanniques excède ainsi la production économique du pays. Le niveau de dette des ménages est la deuxième la plus élevée parmi les pays de l'OCDE, après celle des ménages japonais (chiffres 2005).

Le crédit est en effet favorisé : ainsi, les banques ne demandent pas le moindre apport personnel pour un emprunt immobilier, ce qui a provoqué en huit ans une hausse de 90 % du prix de la pierre. Les taux d'intérêts n'étant plus limités depuis 1974 (l'inflation avait atteint 20 %), les plus démunis se voient proposer des emprunts à 30-35 % d'intérêts. De plus, la plupart des prêts étant conclus à taux variables, les ménages britanniques sont exposés au risque de taux, situation dramatique en cas de remontée de ceux-ci, comme en 2005-2006.

Cette course à la consommation via l'endettement cause ainsi une hausse record des déclarations de faillite personnelles : 38 000 pour l'année fiscale 2004-2005, soit 30 % d'augmentation en un an, après une hausse de 30 % déjà en 2003. Elle commence déjà à freiner la consommation, puisque 20 % des dépenses des ménages britanniques servent à rembourser leurs dettes.

[modifier] Une économie moins performante

Depuis le début des années 2000, et plus particulièrement depuis 2003, l'économie britannique se dégrade pour des raisons essentiellement structurelles. Les conséquences se retrouvent au niveau de la balance commerciale et dans le dérapage des comptes publics.

[modifier] Un sous équipement en infrastructures

En 2005, l'OCDE demande au Royaume-Uni de faire un effort pour rattraper son retard, ne serait-ce qu'au niveau de l'entretien des équipements existants.

  • Etablissements d’enseignement : selon une étude consacrée aux établissements d’enseignement (OCDE - 2002) on estime à quelque 7 milliards de £ les fonds qui doivent être investis dans des travaux d’amélioration ou d’entretien des bâtiments scolaires au cours des cinq prochaines années. Cette estimation ne tient pas compte de la nécessité de construire de nouvelles écoles du fait de la croissance démographique, ou de procéder à des aménagements pour adapter les locaux à l’enseignement dispensé. L’ampleur des travaux nécessaires est sans doute imputable aux sous-investissements du passé.
  • ...(à compléter)

[modifier] L'épuisement de la manne pétrolière

Le pic pétrolier au Royaume-Uni a été atteint en 2000. En 2004, la production de pétrole de la mer du nord a encore chuté de plus de 10%, et dans ces conditions, il est probable que le Royaume-Uni devienne dès 2005, pour la première fois depuis plus de 25 ans, importatrice nette de pétrole à la suite du tassement de sa production. En effet, selon les chiffres publiés le mercredi 9 novembre 2005 par l'Office des statistiques nationales (ONS), le Royaume-Uni a enregistré au troisième trimestre 2005 le premier déficit de la balance pétrolière depuis le début des années 1980. En volume, les exportations de pétrole brut ont représenté 11,2 millions de tonnes, en baisse de 24 % par rapport au deuxième trimestre, tandis que les importations ont progressé de 3,3 % à 13,68 millions de tonnes

[modifier] Le manque de productivité

Il résulte du fait qu'un grand nombre de salariés, chômeurs ou non, ne participent pas à la production et d'un absentéisme important.

  • Les horaires hebdomadaires longs et élastiques (48 heures est le seuil légal) et le peu de congés payés, alliés à des salaires peu intéressants pour la majorité des salariés et des emplois instables, diminuent la productivité générale. Ainsi, plus de 15 % de l'absentéisme serait frauduleux.
  • Par ailleurs, un grand nombre de salariés, non chômeurs, ne participent pas à la production ; en effet selon l'OCDE (AFP du 12 octobre 2005) l'amélioration de la productivité passe par un retour des bénéficiaires de prestations d'incapacité (soit environ 2,7 millions de personnes non comptabilisées dans les chiffres du chômage) sur le marché du travail.

La productivité est ainsi de 20 % inférieure à celle des Français, et de 40 % moindre que celle des Étatsuniens.

Il est de plus aggravé par des éléments spécifiques au Royaume-Uni. Dans le cas par exemple des fermetures d'usines dans le secteur automobile (Ford, Peugeot, ...) au profit de pays de l'Europe de l'est, on peut évidemment souligner le manque de compétitivité globale des usines britanniques vis-à-vis de ces nouveaux pays aux coûts plus attractifs. Toutefois dans ce domaine, la faible productivité se rajoute à d'autres handicaps tels que la livre britannique (monnaie non liée à l’euro, avec des risques potentiels de change) ou à la situation des sites de production, excentrée par rapport aux marchés visés.

Ce manque de productivité est, avec la disparition de la manne pétrolière, une des causes de la balance commerciale déficitaire du Royaume-Uni.

[modifier] Une dégradation des échanges commerciaux

En 2005, le déficit commercial britannique a atteint un record : 65,5 milliards de livres (95,2 mds EUR), contre 60,4 milliards en 2004 et 47,9 milliards en 2003, selon les chiffres publiés le 9 février 2006 par l'Office des statistiques nationales (ONS). Ce déficit représente 5,4% du PIB britannique, pourcentage le plus élevé depuis 1974 (6,3%); il est comparable en pourcentage au déficit commercial américain.
Ce déficit reflète la détérioration persistante de l'économie depuis un an, d'autant que pour la première fois depuis 1979 le pétrole ne l'a pas soutenu.

Avec les services, traditionnellement bénéficiaires, le déficit sur l'année a atteint 47,6 milliards, également un record, après 39 milliards en 2004.

[modifier] Un ralentissement de la croissance

La croissance économique du pays a également fortement ralenti en 2005/2006, tombant au plus bas depuis 1992, à 1,8% (initialement une fourchette de 3% - 3,5% avait été retenue) contre 3,2% en 2004, ce qui a pesé sur les recettes fiscales du gouvernement.

[modifier] Un dérapage budgétaire

Entre 2001/2002 et 2005/2006, soit en cinq ans le déficit annuel a quasiment décuplé au grand dam de l'opposition et les milieux d'affaires qui dénoncent un gaspillage de l'argent public.

  • Le pays termine l'année fiscale 2001/02 sur un déficit de seulement 4,32 milliards de livres.
  • Au cours de l'année fiscale 2004-2005, achevée fin mars 2005, le déficit budgétaire s'est en effet inscrit à 3,2 %, au-dessus de la barre de 3 % fixée par le pacte de stabilité. Et les exercices suivants n'apporteraient, selon les prévisions, aucune amélioration (déficit de 3,4% prévu pour 2005-2006).
  • Le déficit a atteint 41 milliards de livres (60 milliards d'euros) sur l'année 2005/06. C'est le plus élevé depuis le trou record de 46 milliards de livres atteint en 1993/94 (sources ONS).

Ces mauvaises performances budgétaires sont surtout la conséquence du net ralentissement de la croissance économique qui s'est traduit par des recettes fiscales moins importantes que prévu, et dans une moindre mesure de l'augmentation des dépenses publiques.
A la suite du dérapage des comptes publics observé outre-Manche, la Commission européenne a lancé début 2006 une procédure de déficit budgétaire excessif contre le Royaume-Uni. Toutefois, cette démarche ne pourra donner lieu à la moindre sanction financière du fait que ce pays ne fait pas partie de la zone Euro.

[modifier] Une dette publique encore maîtrisée, mais en nette progression

La dette du Royaume-Uni s'établit à 459 milliards de livres (environ 700 milliard d'euros) à la fin mars 2006, soit 36,6% du produit intérieur brut, ce qui est tout à fait conforme aux souhaits européens (< 60 %) et bien moindre que celles constatées dans d'autres pays (Allemagne, France ou Italie), toutes à plus de 60 %.
Toutefois, elle progresse très rapidement : la dette publique a ainsi gonflé de 145 milliards (210 milliards d'euros), soit 46%, en seulement quatre ans.

[modifier] Statistiques

Indice des prix à la consommation : RPI : 3 % (En 2004), CPI : 1,6 % (En 2004)

Répartition de la population active par secteur (En 2004) :

Primaire : 2 %
Agriculture : 1 %
Énergie : 1 %
Secondaire (Industrie et BTP) : 24 %
Tertiaire : 74 %
Services marchands : 46 %
Administrations : 28 %

Croissance industrielle : -0,3 % (En 1999)

Production d'électricité : 359,6 TWh ((En 2003)

Énergies fossiles : 73,8 %
Nucléaire : 23,7 %
hydroélectricité : 0,9 %

Consommation d'électricité (En 2001) : 337,4 TWh

Produits agricoles : céréales, pommes de terre, légumes, poisson


Exportations : biens manufacturés, énergie (pétrole et gaz naturel de la Mer du Nord), boissons, produits chimiques, tabac

Importations : Biens manufacturés, machines, énergie

[modifier] Impôts et endettement

Ces données indiquent le rapport entre le montant total des impôts prélevés et le PNB, et entre la dette publique et le PNB, en pourcentage.

Année fiscale Prélèvements Dette publique
1975/6 54 % 43 %
1985/6 44 % 43 %
1995/6 43 % 38 %
2005/6 36 % 40 % (estimations)


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[modifier] Notes

  1. Le site de comparaison de taux de crédit MoneyExpert a publié début novembre 2006 une étude montrant que désormais, près d'un tiers des prêteurs (38 sur 126) proposaient une durée de crédit de 40 ans ou plus au Royaume-Uni, avec un maximum théorique de 52 ans pour la branche financière de la chaîne de supermarchés Tesco, voire de 57 ans à la banque Abbey, filiale de l'espagnol SCH

[modifier] Voir aussi

  • À lire : Philippe Auclair. Le Monde enchanté de Tony Blair. Paris : Fayard, 2006.
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