Saint-Dié-des-Vosges
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Saint-Dié-des-Vosges | |
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Pays | France |
Région | Lorraine |
Département | Vosges |
Arrondissement | Saint-Dié-des-Vosges |
Canton | Chef-lieu de 2 cantons |
Code INSEE | 88413 |
Code postal | 88100 |
Maire Mandat en cours |
Christian Pierret 2002-2008 |
Intercommunalité | sans |
Latitude | 48° 17' 06" N |
Longitude | 06° 57' 00" E |
Altitude | 310 m (mini) – 901 m (maxi) |
Superficie | 4 615 ha = 46,15 km2 |
Population sans doubles comptes |
22 569 hab. (1999) |
Densité | 489 hab./km2 |
Saint-Dié-des-Vosges est une commune du nord-est de la France, chef-lieu d'arrondissement dans le département des Vosges et la région Lorraine.
Auparavant dénommée Saint-Dié, elle a pris officiellement son nom actuel à compter du 29 décembre 1999, davantage pour la différencier de Saint-Dizier que de Saint-Dier-d'Auvergne, mais le nom court est largement employé. Les habitants de Saint-Dié-des-Vosges sont appelés les Déodatiens, Deodatus (Dieudonné) étant le nom latin du moine éponyme.
Sommaire |
[modifier] Géographie
Saint-Dié-des-Vosges est située sur la Meurthe, entre ses confluences avec la Fave, venant de Sainte-Marguerite, et avec le Taintroué issu de Taintrux. Elle s'entoure des massifs de grès rose du Kemberg, de l'Ormont, de la Bure et de la Madeleine. Chaque massif propose son lot de points de vue et de roches sculptées par l'érosion, facilement accessibles aux marcheurs par des sentiers bien balisés. Le plus accueillant des belvédères est celui de la Roche Saint-Martin. Les altitudes s'échelonnent de 310 m à 901 m, culminant à la Roche du Sapin Sec.
La topologie est à l'origine d'un microclimat marqué par la rareté des brouillards hivernaux en comparaison avec la vallée en aval.
La ville est le point de rencontre de deux axes routiers, de Nancy vers Colmar et d'Épinal vers Strasbourg. Le TGV mettra Paris à 2h20 en 2007.
[modifier] Histoire
Lieu d'un peuplement celte dispersé comme en témoigne le camp surélevé de la Bure, dominant l'antique voie de transport du sel (route des Salates), la ville se fixa à partir du VIIe siècle autour du monastère fondé par saint Déodat.
En 1026, Léon IX fut nommé, avant son élévation au trône pontifical, grand-prévôt du chapitre de Saint-Dié. Il visita la ville après le concile de Mayence et combla de faveurs la collégiale.
Pierre d'Ailly, auteur de l'Imago Mundi (qui servit de référence aux voyages de Christophe Colomb) fut grand prévôt de Saint-Dié.
En 1507, une assemblée savante nommée Gymnase vosgien réunit autour du chanoine Vautrin Lud son propre neveu Nicolas, le cartographe Martin Waldseemüller, l'humaniste Mathias Ringmann et le latiniste Jean Basin. Ensemble ils éditèrent à Saint-Dié la première carte dénommant "America" — en hommage aux descriptions très minutieuses d'Amerigo Vespucci le continent nouvellement découvert — ainsi qu'un livret explicatif, la Cosmographiae Introductio. Cette initiative vaut depuis à la ville le surnom de « Marraine de l'Amérique ».
Le 27 juillet puis le 6 septembre 1757, la ville fut la proie des flammes : 123 maisons furent détruites. Le duc de Lorraine Stanislas Leczinski reconstruisit la ville de 1758 à 1761 en la dotant d'un plan d'urbanisme cohérent développant les facilités de circulation.
En 1775, la ville devint siège épiscopal.
En 1793, le conseil de district débaptisa la ville au nom trop peu laïc et décréta qu'elle deviendrait Ormont. La silhouette de ce massif voisin remplaça même pendant quelque temps la croix de Lorraine sur le blason de la ville.
Proche des frontières, la ville eut souvent à souffrir des luttes armées. La guerre de Trente Ans l'avait déjà vue mise à sac par les Suédois en 1633 et 1639. En 1815, elle fut rançonnée durement. Occupée du 19 octobre 1870 au 2 août 1873, elle vit ses habitants soumis à de nombreuses amendes et réquisitions. Occupée à nouveau du 26 août au 11 septembre 1914 par les Allemands qui fusillèrent plusieurs habitants et incendièrent une partie du quartier de La Bolle, Saint-Dié était libérée par les combats de la Chipotte et du Grand Couronné. Elle devait rester jusqu'à l'armistice à proximité des lignes et subir de nombreux bombardements par avions et canons. Elle reçut la Croix de guerre de la part du président Raymond Poincaré.
Occupée à partir du 22 août 1940, la ville fut partiellement incendiée et dynamitée par les troupes allemandes engagées dans les combats de la bataille de Bruyères en novembre 1944. Le projet de reconstruction proposé par Le Corbusier ne fut cependant pas suivi d'effet. Seule l'usine Claude et Duval, quai du Torrent, montre ce qu'aurait pu être le nouveau visage de la ville.
- Blasonnement
- 1°) D'azur, à une croix de Lorraine d'or côtoyée d'une S et d'un D de même, liés d'un ruban de gueules brochant sur le tout.
(Malte-Brun, la France illustrée, tome V, 1884)
- 2°) D'azur à une tour crénelée d'or, sommée de trois tourillons d'or.
(Malte-Brun, la France illustrée, tome V, 1884)
[modifier] Démographie
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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23 108 | 25 117 | 25 423 | 23 759 | 22 635 | 22 569 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Nombre retenu à partir de 1962 : Population sans doubles comptes |
[modifier] Économie
- Métallurgie
- Textiles et plastiques
- Imprimerie
- Agroalimentaire
- Transports
- Réseau de transports en commun Déobus.
- Une déviation de la nationale 59 par les contreforts du massif du Kemberg a permis de désengorger le centre-ville.
- Un aérodrome (code OACI : LFGY) situé sur la commune de Remomeix.
- Le TGV est attendu pour juin 2007.
[modifier] Administration
L'ancien Hôtel de ville, reconstruit après l'incendie de 1757, se situait à l'angle de la rue Thiers et de la rue Stanislas. Son ancien fronton est toujours visible dans le parc Jean-Mansuy, près de l'Espace François-Mitterrand.
Le nouveau bâtiment fait désormais face à la Tour de la Liberté.
Le maire de Saint-Dié-des-Vosges est Christian Pierret depuis 1989. Entre 1997 et 2002, ayant exercé des fonctions gouvernementales, il fut remplacé par Robert Bernard (décédé le 20/04/2002).
Période | Identité | Parti | Qualité |
---|---|---|---|
Depuis 2002 | Christian Pierret | PS | Avocat |
1997 - 2002 | Robert Bernard | PS | Retraité, décédé en cours de mandat |
1989 - 1997 | Christian Pierret | PS | Député-maire de 1989 à 1993 |
1977 - 1989 | Maurice Jeandon | Divers droite | Conseiller financier (1931-2006) |
1965 - 1977 | Pierre Noël | PS | Professeur d'anglais |
1947 - 1965 | Jean Mansuy | Commerçant | |
François Joseph Ferry | |||
1830 - 1831 | Jean Hubert Houël | Avocat | |
1790 - 1792 | Julien Souhait | Avocat | |
Les données antérieures ne sont pas encore connues. |
Saint-Dié-des-Vosges est divisée en deux cantons dont elle est le chef-lieu :
- le canton de Saint-Dié-des-Vosges-Est est formé d'une partie de Saint-Dié-des-Vosges et des communes de Ban-de-Laveline, Bertrimoutier, Coinches, Combrimont, Frapelle, Gemaingoutte, Lesseux, Nayemont-les-Fosses, Neuvillers-sur-Fave, Pair-et-Grandrupt, Raves, Remomeix, Sainte-Marguerite, Saulcy-sur-Meurthe et Wisembach (19 390 habitants) ;
- le canton de Saint-Dié-des-Vosges-Ouest est formé d'une partie de Saint-Dié-des-Vosges et des communes de La Bourgonce, Saint-Michel-sur-Meurthe, La Salle, Taintrux et La Voivre (17 732 habitants).
[modifier] Personnages célèbres nés à Saint-Dié-des-Vosges
- Vautrin Lud (1448-1527), chanoine, créateur du Gymnase vosgien
- Jacques Augustin (1759-1832), peintre miniaturiste
- Jules Ferry (1832-1893), avocat et homme politique
- Ferdinand Brunot (1860-1938), grammairien
- Fernand Baldensperger (1871-1958), professeur d'université
- Ivan Goll (1891-1950), poète et romancier
- Jacques Brenner (1922-2001), écrivain et critique
- Julien Lepers (1949- ), présentateur de Question pour un Champion, y a passé son enfance au collège de Ste Marie notamment.
[modifier] Patrimoine et tourisme
La ville est classée « station touristique » depuis 1998, et la valorisation de ses atouts patrimoniaux — en complément des attraits naturels du massif vosgien — fait désormais partie de ses priorités.
- Deuxième site archéologique du département des Vosges, le Camp celtique de la Bure domine la cité sur une superficie de 3 ha. Ce castellum fut habité en permanence du Ier siècle avant jusqu'au IVe siècle après J.C. Le fossé, les remparts, les poternes, les bassins, mais aussi les objets aujourd'hui exposés au Musée Pierre-Noël, témoignent de l'activité de ce camp retranché jusqu'à l'arrivée des Alamans en 352.
- L'art médiéval, celui de la Renaissance, puis le classicisme, sont illustrés notamment par un ensemble cathédral en grès rose comprenant l'église Notre-Dame de Galilée, la cathédrale elle-même et son cloître. Éprouvée par plusieurs incendies et surtout la Seconde guerre mondiale, la cathédrale, restaurée, bénéficie aussi d'un mobilier et de vitraux contemporains signés des grands noms de la non-figuration française.
- Édifiée à partir du XVe siècle, la chapelle du Petit-Saint-Dié s'élève à l'endroit même où saint Déodat établit son oratoire vers 660. À proximité, deux fontaines d'eau ferrugineuse rappellent l'engouement pour l'hydrothérapie à la fin du XVIIIe siècle.
- Pour accueillir les pestiférés à l'extérieur de la ville, le chanoine Vautrin Lud construisit vers 1500 une ferme ainsi que la chapelle Saint-Roch, qui abrite un retable de l'Assomption, œuvre du peintre vosgien Claude Bassot et datée de 1625.
- Incendiée, puis reconstruite en 1902, l'église Saint-Martin est de style néo-roman. Une série de vitraux, dont plusieurs illustrant la vie de saint Martin, ont bien résisté aux destructions de 1944.
- Le Musée Pierre-Noël est dédié à la vie dans les Hautes-Vosges (faune, flore et traditions populaires). Il présente également une collection archéologique liée au Camp celtique de la Bure. Les beaux-arts et les arts décoratifs y sont bien représentés, et des sections spécifiques sont consacrées à Jules Ferry, à l'aviateur René Fonck, au couple Claire et Yvan Goll, ainsi qu'au projet d'urbanisme que le Corbusier conçut pour la ville de Saint-Dié après la guerre.
- Jugé trop audacieux, ce projet ne fut pas réalisé, mais l'architecte construisit néanmoins ici son seul bâtiment industriel, l'Usine Claude et Duval, toujours en activité, et que des visiteurs du monde entier viennent contempler.
- C'est sans doute la silhouette blanche de la Tour de la Liberté qui incarne le mieux la ville d'aujourd'hui. Espace de rencontres et d'expositions, elle présente en permanence une importante collection de bijoux que Heger de Loewenfeld créa d'après l'œuvre de Georges Braque.
[modifier] Enseignement et culture
- Quatre lycées publics et deux lycées privés
- Lycée Jules-Ferry
- Lycée Georges-Baumont
- Lycée professionnel Georges-Baumont (il partage les locaux avec le lycée général)
- Lycée professionnel Jacques-Augustin
- Lycée privé du Beau Jardin
- Lycée professionnel privé Notre-Dame de la Providence
- Trois collèges publics et deux collèges privés
- Collège Jules-Ferry (il partage les locaux avec le lycée)
- Collège Joseph-Souhait
- Collège Vautrin-Lud
- Collège privé de la Providence
- Institution Sainte-Marie
- Une antenne de l'École supérieure des sciences et technologies de l'ingénieur de Nancy : le CIRTES
- Un IUT (Institut universitaire de technologie)
- Une école d'ingénieurs, l'Institut supérieur d'ingénierie de la conception (INSIC)
- Un Institut de formation aux soins infirmiers (IFSI)
[modifier] Festivités et événements
Chaque année depuis 1990, Saint-Dié-des-Vosges accueille, le 1er week-end d'octobre, le Festival international de géographie (FIG).
Tous les ans, du 7 au 13 juillet, a lieu la Semaine de la Liberté. Plus de 80 manifestations dans les rues de la ville.
[modifier] Sports
Saint-Dié-des-Vosges est une ville où le sport est omniprésent avec une vingtaine d'installations sportives et de multiples manifestations.
La ville a accueilli pour la première fois la super-finale du Trophée Andros 2005 dans le circuit du Géoparc (grand complexe sportif et nautique en cours de construction) et devrait l'accueillir de nouveau le 11 février 2007.
Dans le cadre d'un partenariat avec la FFVB, la ville accueille régulièrement l'équipe de France féminine de volley-ball pour des matchs et tournois internationaux. La ville a notamment accueilli en 2005 le tournoi de qualification pour le Mondial seniors Féminins de 2006 et a organisé, en partenariat avec la ville de Metz, la phase finale du Championnat d'Europe Junior Féminin 2006.
Chaque année, pendant le week-end de Pâques, se déroule un Open International d'Échecs.
[modifier] Jumelages
Saint-Dié-des-Vosges est jumelée avec les villes suivantes :
- Arlon (Belgique)
- Cattolica (Italie)
- Crikvenica (Croatie)
- Friedrichshafen (Allemagne)
- Lowell (États-Unis)
- Meckhe (Sénégal)
- Ville de Lorraine (Canada)
- Zakopane (Pologne)
Le long de la Meurthe, un parcours boisé et aménagé porte le nom de "Promenade des villes jumelées".
[modifier] Bibliographie
- America. L’Amérique est née à Saint-Dié-des-Vosges en 1507, catalogue de l’exposition au Musée de Saint-Dié-des-Vosges (9 mai-30 août 1992), Imprimerie municipale de Saint-Dié-des-Vosges, 1992, 99 p.
- Fernand Baldensperger, Images et aperçus du Vieux Saint-Dié, Loos, 1947
- Georges Baumont (photographies de Jean Blaire), Saint-Dié. Terre brûlée (documents pour servir à l’histoire de l’incendie de Saint-Dié par les Allemands, 13-18 novembre 1944, Paris, Le Livre d’histoire, coll. « Des faits et des hommes », 2006 (1re éd. 1946), 123 p. (ISBN 2-84373-842-3)
- Georges Baumont, Saint-Dié des Vosges. Origines et développement, Paris, Le Livre d’histoire, coll. « Monographies des villes et villages de France », 2006 (1re éd. 1961), 460 p. (ISBN 2-84373-873-3)
- Nicolas-François Gravier, Histoire de la ville épiscopale et de l'arrondissement de Saint-Dié, département des Vosges / sous le gouvernement théocratique de quatre monastères en opposition avec les ducs de Lorraine et les princes constitutionnels de Salm, Epinal, Impr. de Gérard, 1836, 400 p.
- François Jodin, Saint-Dié-des-Vosges, une histoire de liberté, Ludres, Une Page à l'autre, 2000, 175 p. (ISBN 2-914366-01-9)
- Albert Ohl des Marais, Histoire chronologique de la ville et du Val de Saint-Dié, Saint-Dié, Loos, 1947, 383 p.
- Albert Ronsin, Saint-Dié-des-Vosges, 13 siècles d'histoire (669-1969), Saint-Dié, Loos, 1969, 173 p.
- Albert Ronsin, Il était une fois Saint-Dié-des-Vosges (sélection de cartes postales anciennes), Paris, Citédis, 1998, 90 p. (ISBN 2-911920-15-5)
- Bulletins de la Société philomatique vosgienne (depuis 1875), en consultation à la médiathèque Victor-Hugo de Saint-Dié-des-Vosges
[modifier] Liens externes
- Site de la ville
- Site du Festival international de géographie
- Site de l'Office du Tourisme de Saint-Dié-des-Vosges
- Site sur les orgues de la région : orgues de Saint-Dié
- Site de l'Académie de l'Orgue de Saint-Dié-des-Vosges
- Site de l'IUT de Saint-Dié-des-Vosges
- Saint-Dié, Le Corbusier et l'usine Duval
- Site de Déobus, transports urbains de Saint-Dié-des-Vosges
- Saint-Dié-des-Vosges sur le site de l'Institut géographique national
- Saint-Dié-des-Vosges sur le site de l'Insee
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