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Parti républicain (États-Unis) - Wikipédia

Parti républicain (États-Unis)

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Parti Républicain
L'éléphant, logo du Parti républicain 
Président Ken Mehlman
Fondation 28 février 1854
Siège 310 First Street SE

Washington, D.C. 20003

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Présidents
au Sénat Bill Frist
à la Chambre des représentants Dennis Hastert John Boehner
Idéologie Conservatisme

Droite et Centre-droit

Affiliation internationale Union démocratique internationale
Couleurs* rouge
Site Web gop.com
voir aussi

Constitution américaine
Politique des États-Unis
Gouvernement américain
Président américain
Partis politiques

Le Parti républicain, aussi appelé GOP (anglais: "Grand Old Party"), est un parti politique américain créé le 28 février 1854. (Il ne doit pas être confondu avec le précédent Parti démocrate-républicain de Thomas Jefferson.)

Beaucoup de ses idées politiques initiales s'inspiraient du Parti whig, qu'il supplanta très vite.

Le parti a été créé par des dissidents nordistes du Parti whig et du Parti démocrate, hostiles au statu quo sur l'esclavage, aux revendications souverainistes des états fédérés et au protectionisme.

Son principal opposant sera dès lors le Parti démocrate.

Sommaire

[modifier] Quelques données

Depuis 1856, les candidats du parti républicain ont remporté 23 des 38 élections présidentielles dont 7 des 10 dernières élections depuis 1968. Le parti compte dans ses rangs 18 des 28 derniers présidents américains.

Le parti républicain a dominé le Congrès des États-Unis de 1995 à 2007.

En 2005, 39 % des américains se déclaraient Républicains, à égalité avec les Démocrates (ces derniers les dominaient depuis 1924).

En 2007, le pays compte 22 gouverneurs républicains.

En 2006-2007, Les deux plus grandes villes du pays dirigées par un maire républicain sont New York et San Diego.

[modifier] Idéologie

Affiche de la première campagne présidentielle du parti républicain en 1856
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Affiche de la première campagne présidentielle du parti républicain en 1856

Le parti républicain est un parti qui parait plus homogène que le parti démocrate bien qu'il soit également traversé par de nombreux courants internes souvent contradictoires. On discerne ainsi les conservateurs en matière fiscale, les évangélistes, les chrétiens fondamentalistes, les conservateurs sociaux, les néo-conservateurs (d'origine démocrates pour la plupart), les paléo-conservateurs (Dick Cheney), les libertariens, les modérés (majoritaires en Nouvelle-Angleterre) et autres centristes parfois affublés du sobriquet de RINO, et les Log Cabin Republicans (les républicains gays).

Depuis les années 80, on distingue un antagonisme assez prononcé, bien que non exclusif, entre les républicains de l'ouest, libertariens et individualistes, et ceux du Sud, chrétiens fondamentalistes, concentrées sur les valeurs morales et religieuses.

Le parti républicain est globalement considéré comme un parti de centre-droit, socialement plus conservateur et économiquement plus libertarien que son homologue démocrate. Proche des milieux d'affaires, il compte très peu de supports chez les syndicats.

Le parti républicain considère que c'est le seul congrès des États-Unis qui doit légiférer au niveau national et que les juges, notamment ceux de la Cour-Suprême, n'ont pas à interpréter la constitution pour créer parallèlement d'autre normes à valeur législatives ou constitutionnelles (cas du droit à l'avortement avec l'arrêt Roe v. Wade). C'est ce que les républicains appellent l'activisme judiciaire. Les républicains centristes considèrent cependant que c'est le travail des juges d'interpréter la constitution et de protéger les droits des citoyens contre l'abus du pouvoir législatif ou du pouvoir exécutif.

Dessin humoristique de 1904 illustrant la victoire électorale de Theodore Roosevelt et des républicains dont le symbole est un  éléphant
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Dessin humoristique de 1904 illustrant la victoire électorale de Theodore Roosevelt et des républicains dont le symbole est un éléphant

Les républicains ont historiquement défendu le développement du pouvoir fédéral au détriment des pouvoirs des états. Mais ils ont ensuite opté pour une redéfinition des compétences en choisissant de limiter le pouvoir de l'état fédéral au profit des différents états constituant les États-Unis. Les libertariens sont ainsi les plus hostiles au pouvoir fédéral.

Dans cette optique libertarienne, le parti républicain est hostile à un système de sécurité sociale universelle tel qu'il existe au Canada et en Europe. Il défend le principe d'un système de santé individuel secondé par une sécurité sociale gratuite pour les plus agés et les plus démunis.

Le parti républicain défend le principe d'une fiscalité modérée (baisse d'impôts), d'une intervention réduite au minimum de l'état dans l'économie. Ainsi, le principe du moindre état se résume dans la déclaration du président Ronald Reagan dans son discours inaugural en 1981 quand il déclara que "dans les temps de crise, le gouvernement n'est pas la solution à vos problèmes, le gouvernement est le problème " [1]. Partisan du libéralisme économique, le parti républicain préfère le développement des accords de libre-échange bilatéraux aux grands accords internationaux. D'ordinaire, il préconise la maitrise des dépenses et le principe de l'équilibre budgétaire [2].

Le parti républicain défend l'individualisme contre le collectivisme et le communautarisme et ses membres sont majoritairement hostiles à la politique de discrimination positive et aux quotas raciaux, globalement parce qu'ils refusent de faire de distinctions entre américains [3]. Partisans de l'école libre et donc de laisser aux parents le droit de choisir l'école de leurs enfants, les républicains sont favorables à l'évaluation qualitative de l'enseignement et des résultats scolaires dans les écoles publics. La branche conservatrice du parti soutient le principe de la prière à l'école dans les établissements publics tout comme une partie de ce courant soutient la théorie du dessein intelligent, opposé au Darwinisme.

Au nom de la responsabilité individuelle, les républicains sont aussi souvent des partisans de la liberté de ports d'armes et de la répression maximum en matière de criminalité. Ainsi, ils sont très largement favorables à la peine de mort.

Dans une moindre mesure, les républicains sont favorables également à la restriction du droit à l'avortement.

Ils sont aussi très majoritairement hostile au mariage homosexuel mais plus divisés sur les unions civiles homosexuelles (les libertariens y sont plutôt favorables).

Le parti est particulièrement divisé sur les recherches sur les cellules souches à partir d'embryons humains, sur les problèmes liés à l'environnement (protocole de Kyoto, forages en Alaska ...) et sur la politique d'immigration à tenir envers les Hispaniques.

Suite aux attentats du 11 septembre 2001, un courant jusque là discret et très minoritaire a pris de l'ascendant sur le parti républicain. Le courant néo-conservateur a imposé une politique étrangère unilatéraliste et idéaliste concrétisée par une hostilité renforcée au multilatéralisme et à l'ONU, par la guerre en Afghanistan en 2001 puis surtout par la guerre en Irak à partir de 2003, le but étant d'apporter la paix et la démocratie au Moyen-Orient. Cette politique a été néanmoins remis en cause électoralement à la fin de l'année 2006.

En 2006, la base sociale du parti républicain se compose majoritairement d'hommes d'affaires, d'entrepreneurs et des membres de professions libérales. On y trouve majoritairement des hommes, des blancs d'ascendance WASP [4] et [5], des couples mariés avec enfants, des banlieusards, des habitants de zones rurales et des chrétiens (61% des pratiquants, 59% de protestants et 52% de catholiques en 2004 [6]). En 2004, le président Bush a obtenu aussi le vote de 41% des 20% américains les plus pauvres, 55% des 20% les plus riches et 53% des 60% américains des classes moyennes.

Seulement 23-25% des membres de la communauté homosexuelle vote pour les candidats du parti républicain.

[modifier] Histoire

[modifier] La fondation du Parti républicain

Le parti républicain est fondé en 1854 à Pittsburgh pour s'opposer à loi Kansas-Nebraska, autorisant la pratique de l'esclavage au Kansas. Les activistes républicains y voyaient la preuve du pouvoir des propriétaires d'esclaves, conspirant pour s'emparer du pouvoir fédéral et étendre l'esclavage à toute le pays. Il s'agissait pour ses fondateurs de proclamer les vertues républicaines comme l'opposition à l'aristocratie et à la corruption. Le programme du parti républicain proposait une vision progressiste et libérale d'une société industrielle et éduquée, fondée sur la liberté individuelle, la promotion sociale par l'effort et le mérite, une société où la loi du marché l'emportait sur toutes les formes d'asservissement économiques comme l'esclavage.

Les premiers partisans du parti républicain sont alors les Whigs (libéraux) et les démocrates de Nouvelle-Angleterre et de la région des grands-lacs comme les gouverneurs ou candidats au poste de gouverneurs comme Nathaniel P. Banks (Massachusetts), Hannibal Hamlin (Maine), Kinsley Bingham (Michigan).

C'est à Ripon, le 20 mars 1854, qu'eu lieu la première convention du parti républicain. Le 6 juillet, à Jackson, les délégués républicains proclamèrent que le nouveau parti était opposé à l'extension de l'esclavage dans les nouveaux territoires et commença à sélectionner des candidats pour les élections au Congrès. Le parti s'organisa rapidement dans tout le pays à l'exception du Sud esclavagiste où il ne comptait quasiment aucun partisan.

John Frémont, le premier candidat républicain à l'élection présidentielle en 1856
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John Frémont, le premier candidat républicain à l'élection présidentielle en 1856

Son moralisme et son puritanisme lui acquière rapidement le soutien des Yankees de Nouvelle-Angleterre, de New York et du Mid-Ouest, et plus précisemment des presbytériens, des méthodistes, des Quakers et des Luthériens d'origine scandinaves. A contrario, il échoue à emporter l'adhésion des catholiques, des épiscopaliens et des luthériens d'origine germanique.

En 1856, son premier candidat à l'élection présidentielle est John Frémont sur un programme proposant "une terre libre, la liberté du travail, la liberté d'expression et des hommes libres". Fremont est battu avec 33 % des voix par le Démocrate James Buchanan (45 %), tandis que le vieux Parti Whig s'effondre avec seulement 22% des voix pour son candidat, l'ancien Président Millard Fillmore. Néanmoins, le parti républicain remporte un incontestable succès immédiat puisque qu'il s'impose en Nouvelle-Angleterre, à New York et dans les états de la région des grands lacs. Fremont n'obtient cependant presque aucun suffrage dans le sud et échoue face à un candidat démocrate soutenu par un parti rassemblé, unissant les ségrégationnistes du sud et les démocrates "conciliants" du nord.

[modifier] L'élection d'Abraham Lincoln et la guerre de sécession

Affiche de la campagne républicaine de 1860
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Affiche de la campagne républicaine de 1860

En 1860, le candidat du Parti républicain est Abraham Lincoln de l'Illinois. Le contexte de l'élection présidentielle est alors très différent de celui de 1856. L'unité démocrate a implosé et le parti présente deux candidats, l'un est un sudiste ségrégationniste et l'autre, un nordiste, modéré. C'est la chance du candidat républicain. Au soir des élections, Abraham Lincoln est en tête des candidats et par conséqueent est élu président avec 39% des voix alors que les Démocrates divisés totalisaient ensemble 48% des suffrages.

Abraham Lincoln, premier président des États-Unis émanant du parti républicain.
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Abraham Lincoln, premier président des États-Unis émanant du parti républicain.

L'arrivée au pouvoir d'un Républicain « yankee » (nordiste) soutenu par les abolitionnistes déclenche le processus qui mène à la guerre de Sécession.

Voir l’article Guerre de sécession.

Lincoln parvint brillament à rassembler les courants de son parti autour de lui et à faire front pour défendre l'intégrité de l'Union. Il reçut également dans un premier temps le soutien des démocrates du nord, appelés alors Démocrates de guerre tandis que les Républicains-radicaux envisageaient déjà de sanctionner durement les sudistes à la fin de la guerre.

Quand Lincoln proclama que le but de guerre serait l'abolition de l'esclavage, une partie des démocrates le lachèrent pour devenir des "Démocrates de paix" alors que les partis républicains de chaque état de l'union se rangeaient à la cause abolitionniste, à l'exception des républicains du Kentucky.

En 1862, alors que le pays est en pleine guerre civile, les républicains alliés aux démocrates de guerre remportèrent les élections de mi-mandat. Lincoln est à son tour réélu en 1864 mais est assassiné en avril 1865 par un partisan sudiste alors que la guerre vient de prendre fin avec la victoire des armées de l'Union.

[modifier] La domination républicaine

Après la victoire du Nord en 1865, les Républicains vont dominer la vie politique nationale jusqu'en 1932.

Ils imposent la reconstruction au Sud et privent brièvement de droit de vote les États sécessionistes. En 1877, cette période prend fin après des négociations secrètes, en contrepartie de l'élection de Rutherford B Hayes à la Maison Blanche.

Affiche de la campagne électorale républicaine de 1900 en faveur de William McKinley et Theodore Roosevelt
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Affiche de la campagne électorale républicaine de 1900 en faveur de William McKinley et Theodore Roosevelt

Le Parti républicain, symbole des yankees et des États du nord, n'a alors presque aucun poids dans les États du sud, situation qui perdurera pendant près d'un siècle. Mais, jusqu'à l'arrivée de Franklin Delano Roosevelt dans les années 30, le vote noir lui sera acquis grâce à son passé abolitionniste (et du fait que le Parti Démocrate est gangréné par les « Dixiecrats », les Démocrates ségrégationistes du sud).

Parti composé d'une aile progressiste et d'une aile conservatrice, fervent défenseur de la libre entreprise, il est souvent représentant du capitalisme libéral. Cependant, des Républicains comme Theodore Roosevelt s'opposent aux grandes entreprises, et réclament un pouvoir fédéral fort, capable de réglementer l'activité économique. Le Parti républicain défend l'individualisme contre le communautarisme et est hostile par principe à toute discrimination, même positive.

Le mouvement populiste, opposé à la politique économique des Républicains jugées défavorables aux États de l'ouest, est absorbé par les Démocrates à la fin du XIXème siècle. Au contraire, le mouvement progressiste, puissant au début du XXème siècle, qui réclame une moralisation de la vie publique et une meilleure prise en compte des aspirations de la population, inspire certains leaders Républicains, comme le Président Theodore Roosevelt.

[modifier] La droitisation du parti républicain

Sa ligne politique continue d'évoluer au cours des années, tantôt isolationniste et nationaliste, tantôt interventionniste (William McKinley, Theodore Roosevelt).

Billets pour l'inauguration de la présidence de Dwight Eisenhower et de son vice-président Richard Nixon en 1953
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Billets pour l'inauguration de la présidence de Dwight Eisenhower et de son vice-président Richard Nixon en 1953

Au nom de la « real-politik », après 1945, le Parti républicain va soutenir l’implication forcée des États-Unis dans les affaires du monde (ligne datant de la période de Guerre Froide).

Si, durant la période du New Deal, le Parti républicain s'aligne sur certaines positions défendues par les Démocrates, à partir des années 1960, l'aile conservatrice du parti va commencer à prendre de l'ascendant sur l'aile modérée en imposant ses candidats aux présidentielles (Barry Goldwater en 1964, Ronald Reagan en 1980, George W. Bush en 2000).

Dans les années 1970, le parti opère une percée dans le sud grâce à cette ligne conservatrice en accaparant le vote des blancs qui désertent avec leurs élus le Parti démocrate dominé par son aile progressiste et réformiste. Les Républicains parviennent ainsi à faire élire des gouverneurs pour la première fois depuis 1877 (La Géorgie se dote ainsi en 2001 de son premier gouverneur républicain en 124 ans).

Dans les années 1980, la « révolution conservatrice » lancée par le Président Ronald Reagan finit d'ancrer le parti à droite, malgré l'intermède de 1989 à 1993 de la présidence de George Bush, représentant de l'aile modérée.

En 1994, pour la première fois en 40 ans, le parti républicain remporte les 2 chambres du Congrès et devient majoritaire. Il le restera jusqu'en 2007 (à l'exception des années 2001-2002 pour le Sénat).

Depuis les années 80-90, le Parti républicain remplace le Parti démocrate dans ses anciennes zones d'influence, à savoir le Sud, mais perd bon nombre d'électeurs en Nouvelle Angleterre, dans les Grands Lacs et sur la côte Ouest. Si le parti se maintient encore localement dans ses anciennes places fortes grâce à des élus modérés, il est nationalement ancré au sud et à l'ouest non côtier. En 2007, 20 des 26 sénateurs des États de l'ancienne Confédération sont Républicains. Il y a 30 ans, ils étaient tous Démocrates.

Depuis 2001, les Républicains conservateurs sont de retour à la Maison Blanche avec le Président George W. Bush, et le Vice-président, Dick Cheney, réélus en 2004.

[modifier] Le parti républicain depuis les années 2000

Le parti républicain est dominé par sa branche conservatrice depuis les années 80 mais celle-ci s'est renforcée depuis 1994 (conquête du Congrès) et par l'arrivée au pouvoir du texan conservateur George W. Bush. Cette branche conservatrice s'appuie sur ses bastions électoraux du Sud et de l'ouest et repose sur un électorat essentiellement blanc, nationaliste et évangéliste. Cette posture conservatrice lui a néanmoins aussi attiré, dans une moindre mesure, un soutien non négligeable de la communautée hispanique et des catholiques, traditionnelement démocrates.

La branche libérale du parti républicain (représentée par Arnold Schwarzenegger, Arlen Specter, Olympia Snowe, Susan Collins, Gordon Smith, Jim Douglas, Rudolph Giuliani ...) a été la victime de la droitisation du parti. Ses places fortes du nord-est et de la Californie se sont effondrées d'abord lors des élections présidentielles puis lors des élections locales et fédérales. Les élus républicains qui ont réussi à s'y maintenir sont souvent en dissidence de la ligne officielle conservatrice du parti et de l'administration de George W. Bush.

Une petite branche centriste incarnée par John McCain ou George H. W. Bush subsiste pour tenter de rassembler l'aile gauche et l'aile droite du parti et d'incarner ainsi la tradition historique modérée du parti républicain.

[modifier] Présidents républicains des États-Unis

Résultats des élections présidentielles depuis 1856 (les états remportés par les républicains sont en rouge)
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Résultats des élections présidentielles depuis 1856 (les états remportés par les républicains sont en rouge)
  1. Abraham Lincoln de 1861 à 1865
  2. Andrew Johnson de 1865 à 1869
  3. Ulysses Grant de 1869 à 1877
  4. Rutherford B. Hayes de 1877 à 1881
  5. James Garfield en 1881
  6. Chester Arthur de 1881 à 1885
  7. Benjamin Harrison de 1889 à 1893
  8. William McKinley de 1897 à 1901
  9. Theodore Roosevelt de 1901 à 1909
  10. William H. Taft de 1909 à 1913
  11. Warren G. Harding de 1921 à 1923
  12. Calvin Coolidge de 1923 à 1929
  13. Herbert Hoover de 1929 à 1933
  14. Dwight Eisenhower de 1953 à 1961
  15. Richard Nixon de 1969 à 1974
  16. Gerald Ford de 1974 à 1977
  17. Ronald Reagan de 1981 à 1989
  18. George Bush de 1989 à 1993
  19. George W. Bush depuis 2001 (fin du mandat en 2009)

[modifier] Vice-présidents républicains

[modifier] Candidats à la présidence et vice-présidence

[modifier] États dirigés par des gouverneurs républicains

En rouge, les 28 états dirigés par un gouverneur républicain en 2006
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En rouge, les 28 états dirigés par un gouverneur républicain en 2006

En 2006, 28 états (sur 50) sont dirigés par un gouverneur républicain :

Alabama, Alaska, Arkansas, Californie, Caroline du Sud, Colorado, Connecticut, Dakota du Nord, Dakota du Sud, Floride, Géorgie, Hawaii, Idaho,Indiana, Kentucky, Massachusetts, Maryland,Minnesota, Mississippi, Missouri, Nebraska, Nevada, New York, Ohio, Rhode Island, Texas, Utah, Vermont.

En 2007, ils ne seront plus que 22 après la perte de 6 états lors des élections du 7 novembre 2006: Alabama, Alaska, Californie, Caroline du Sud, Connecticut, Dakota du Nord, Dakota du Sud, Floride, Géorgie, Hawaii, Idaho,Indiana, Kentucky, Minnesota, Mississippi, Missouri, Nebraska, Nevada, Rhode Island, Texas, Utah, Vermont.

Les parlements des états ont été dans leur majorité à dominante légèrement républicaine durant la législature 2004-2006.

[modifier] Résultats du parti républicain aux législatives depuis 1992

[modifier] Personnalités républicaines actuelles

[modifier] Voir aussi

  • RINO, "Republican In Name Only", terme dénigrant les tendances individuelles dangereusement anticonservatrices, ainsi opposées à la ligne traditionnelle du parti.

[modifier] Notes et références

  1. "In the present crisis, government is not the solution to our problem; government is the problem." - Ronald Reagan
  2. Ce principe est remis en cause par l'action du gouvernement de George W. Bush depuis 2001
  3. Condoleeza Rice témoignera avoir notamment opté pour le parti républicain par le fait qu'elle n'y avait pas été accueillie comme la représentante d'une minorité ethnique mais comme une américaine comme une autre
  4. 51% des blancs ont voté pour un candidat républicain en 2006 alors qu'en moyenne, seulement 15% des noirs ont voté pour le GOP depuis 1980 (alors qu'ils étaient 36% en 1968)
  5. En 2004, le président Bush a obtenu 44% des suffrages de la communauté hispanique et 44% de la communauté asiatique.
  6. 70% des évangélistes en 2004
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