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Guerre Iran-Irak - Wikipédia

Guerre Iran-Irak

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Cimetière d'Azéris tués pendant la guerre Iran-Irak
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Cimetière d'Azéris tués pendant la guerre Iran-Irak

La première guerre du Golfe a opposé l'Iran et l'Irak entre 1980 et 1988, et a provoqué entre 600 000 et 1 200 000 victimes.

Sommaire

[modifier] Historique politique

Troupes iraniennes au début de la guerre.
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Troupes iraniennes au début de la guerre.

En 1979, le Shah d'Iran est renversé par la révolution islamique. Quant à l'ayatollah Khomeiny il proclame l'Iran république islamique après le départ forcé du Shah, en février 1979. Il s'était exilé en Irak de 1964 au 16 octobre 1978, puis en France jusqu'au mois de janvier 1979, ayant été expulsé d'Irak. Après le succès que remporte le référendum sur l'installation d'un régime islamique, remporté officiellement à 98% par le "oui", Khomeiny appelle les Iraquiens à renverser le régime de Saddam Hussein dès 1980. Son objectif est de répandre le mouvement islamique à travers tout le Proche-Orient.

De son côté, Saddam Hussein a pris le pouvoir en 1979 et redoute l'arrivée au pouvoir de Khomeiny. Il attaque l'Iran le 22 septembre 1980, sous le prétexte de désaccord frontalier. Lorgnant depuis longtemps sur plusieurs territoires iraniens, il espère faire disparaître Khomeiny et réduire l'influence du mouvement islamique, en faveur de son pays.

Ses objectifs sont clairs : obtenir le déplacement de la frontière sur la rive orientale du Chatt-el-Arab pour assurer une meilleure sécurité à la région de Bassorah ; obtenir la restitution des trois îles du détroit d'Ormuz annexées par le Shah en 1971 et soustraire ainsi le détroit à une exclusive emprise iranienne ; provoquer éventuellement un soulèvement dans la province iranienne du Khuzestan (Arabistan pour l'Irak) et l'annexer.

À cette époque, l'Irak était un pays économiquement et militairement puissant dans le golfe Persique, grâce aux revenus des pétrodollars et à une politique de modernisation qu'il a mis en place dans son pays (école obligatoire pour les garçons et les filles, politique volontariste et une élite irakienne de plus en plus nombreuse et importante). Les puissances occidentales, inquiètes de l'apparition de la république islamique iranienne, voyaient en l'Irak un pays qui pourrait évoluer vers la laïcité et le modernisme, en contrepoids à l'Iran. C'est pourquoi elles ne s'opposent pas dans un premier temps à la guerre Iran-Irak, allant jusqu'à la soutenir ensuite. C'est en particulier le cas de l'URSS, de la France et des États-Unis. Cependant, en dépit de la puissance militaire de l'Irak, le conflit s'enlise rapidement. Début 1981, les Iraniens contre-attaquent et parviennent à libérer l'essentiel du territoire iranien début 1982. En juin de cette même année, l'Irak décrète un cessez-le-feu, mais voit son territoire envahi le mois suivant.

La proclamation originelle de guerre de l'Iran se radicalise : il s'agit désormais de réduire la puissance de l'Irak, de destituer Saddam Hussein et de le remplacer par un régime islamique.

L'affrontement militaire se double d'une guerre des symboles. L'offensive irakienne de 1980 est baptisée Qaddasya, en référence à la conquête de l'Iran par les Arabes au VIIe siècle. Les contre-offensives iraniennes sont nommées Kerbela 1, 2, etc, évoquant le combat des premiers chiites contre le pouvoir sunnite.

Du côté iranien, l'enrôlement de masse, y compris de très jeunes garçons, s'accompagne d'une exaltation des martyrs. Il arrive que les jeunes volontaires endoctrinés se précipitent sur les champs de mines. Du côté irakien, on a davantage une guerre de techiciens professionnels (Garde présidentielle). Les conscrits, souvent chiites et kurdes, sont peu armés et ne servent qu'à freiner le premier élan des attaques ennemies.

La ligne de front se stabilisa à la frontière commune, et malgré de nombreuses offensives de part et d'autre, il n'y eu pas de percée majeure.

Finalement, en 1988, l'armée iraquienne reprend le dessus. Le 18 juillet, Khomeiny accepte le cessez le feu exigé par la résolution 598 du conseil de sécurité de l'ONU (20 juillet 1987).

Le 15 août 1990, Saddam Hussein accepte de revenir aux accords d’Alger de 1975 : il libère les prisonniers de guerre et quitte les territoires occupés. Le traité de paix est finalement signé le 20 août 1990, selon les nouvelles conditions iraniennes. Retour à un statut quo ante.

Au total, les dépenses militaires, pertes en produit intérieur brut et capitaux non investis, auraient dépassé 500 milliards de dollars pour les deux pays. L’Iran estime officiellement à 300 milliards le prix de la reconstruction de son économie. L’Irak, pour sa part, l’évalue entre 50 et 60 milliards de dollars.

Les estimations des pertes en vies humaines varient de 600 000 à plus de 1 200 000 morts iraniens et à plus 250 000 Iraquiens, ce qui est très élevé pour un conflit régional.

[modifier] Historique militaire

Lorsque le shah était au pouvoir, les dissensions existaient déjà entre l'Iran et l'Irak, et, en 1975, un traité fut conclu pour redéfinir les frontières.

Cependant, après mai 1979, un certain nombre d'incidents éclatèrent le long de la frontière ; entre avril et juillet, 30 000 Iraquiens d'origine iranienne furent chassés d'Irak ; en septembre 1980, le président Saddam Hussein annula le traité de 1975.

Le 20 septembre 1980, l'aviation iraquienne bombarda un certain nombre de terrains d'aviations iraniens. Deux jours plus tard l'armée iraquienne entrait en Iran. L'Iraq affirmait vouloir exercer à nouveau sa souveraineté sur les voies navigables et sur les territoires du Chatt el'Arab, cédés en 1975.

Les forces iraquiennes avançaient le long de trois axes : vers Quarr-e Chirin au nord, Mehran au centre, et surtout Susangard et Khorramchahr dans le sud. L'Irak espérait qu'un tel mouvement entraînerait rapidement la chute du nouveau régime. L'Irak réussit à franchir la frontière, mais la profondeur de pénétration variait considérablement d'une percée à l'autre. Le plus gros succès fut obtenu au sud, après la chute de Khorramchahr après de très durs combats. L'armée iranienne livra au nord et au centre des contre-attaques peu importantes, en général à l'aide d'un léger support de blindés et d'artillerie. Il regagna ainsi quelques territoires perdus.

En janvier 1981, les Iraniens menèrent une contre-attaque de plus grande envergure, au sud de Susangerd, qui se solda par un échec dû à l'absence d'infanterie pour soutenir l'action des chars et la nature du terrain, très mou à cette époque de l'année, et donc impropre au déplacements des chars. Il est probable que, dans les combats, l'Irak ait laissé une cinquantaine de chars T-62 et l'Iran une centaine de chars Cheftain et de M-60A1.

Au cours de la 1re année de guerre, l'Iran et l'Irak ont perdu environ le méme nombre de chars, entre 250 et 300. Certains observateurs supposent que l'Irak avait capturé en un an une cinquantaine de Chieftain en bon état, ainsi que des M 60A1 et des Scorpion.

Quand ils ont été bien dirigés, les Cheftains iraniens (dotés de leur canon de 120 mm), se sont révélés bien supérieurs aux char T-54 et T-55 armés d'un 100 mm ainsi qu'aux T-62 avec leurs 115 mm de l'armée iraquienne.

En 1981, les 2 armées commencèrent à avoir de nouveaux besoins en équipements. Les Iraniens réussirent à obtenir d'Israël des pièces détachées de chars M-48 et M-60. La Syrie, la Libye et quelques pays socialistes leur en fournirent également. L'Irak continuait à être approvisionné par la France (y compris en missiles antichars), l'URSS, la Corée du Nord, le Viêt Nam et l'Égypte, essentiellement en munitions de char T-54 et T-55, que les livraisons en matériel américain rendirent rapidement inutiles. Au début de 1983, l'Iraq commença à recevoir de nombreux équipements de République Populaire de Chine dont le char Type 63, qui transita par l'Arabie saoudite.

Avant la guerre, l'Iran et l'Irak comptaient sur leurs revenus pétroliers pour subvenir à leurs besoins militaires : 3,5 millions de barils/jour exportés pour l'Irak et 1,6 million pour l'Iran. Au début de 1980, les deux pays n'exportaient plus que 600 000 barils. En raison de cette diminution considérable, l'Irak dut recourir à l'aide de l'Arabie saoudite, entre autres.

En 1984 commencèrent les attaques systématiques d'installations pétrolières et de pétroliers par les deux camps.

En janvier 1987, l'Iran lance deux grandes offensives : Kerbala 5, à l'est de Bassorah, où Téhéran voulait établir un gouvernement provisoire de la République islamique irakienne, constitué des chefs des opposants chi'ites irakiens réfugiés en Iran ; Kerbala 6, à 150 kilomètres au nord de Bagdad en direction des grands barrages de l'Euphrate. Les pertes sont énormes de part et d'autre mais les forces iraniennes seront finalement bloquées.

En juillet 1987, l'Iran entreprend de contrôler la navigation maritime dans le golfe. Les navires koweitiens sont alors placés sous pavillon des États-Unis.

Le 18 juillet 1988, Téhéran accepta le cessez-le-feu, qui prit effet le 22. Le 25, les moudjahidines du peuple, mouvement d'opposition armée au régime des ayatollahs, soutenu par Saddam Hussein, franchit la frontière iraquo-iranienne pour tenter de renverser le régime iranien. La manœuvre échoua et contribua à une répression sanglante de Téhéran, exécutant et torturant des prisonniers par milliers.

[modifier] Armes chimiques

Dès 1984, des armes chimiques sont utilisées par l'Irak, à la fois contre l'armée iranienne mais également contre les populations civiles et plus particulièrement Kurdes, sans réactions notables de la communauté internationale. Le 17 mars 1988, l'armée irakienne utilise des armes chimiques et biologiques sur Habalja, se concluant par la mort de près de 7 000 habitants. Le régime irakien de l'époque a expliqué que c'était l'œuvre de l'armée iranienne. On estime qu'à cette époque, plus de 150 000 Kurdes ont été exposés à des armes non conventionnelles.

[modifier] Implication occidentale dans le conflit

Les États-Unis ont eu des contentieux avec l'Iran dès la proclamation de la République islamique; L'investissement de l'ambassade américaine à Téhéran par des étudiants, la longue prise d'otages qui s'en suivit et l'échec de l'opération destinée à libérer les employés fut le premier acte d'une guerre larvée entre ces 2 pays.

Bien que leurs relations diplomatiques soient gelées durant cette période, l'affaire Iran-Contra prouve que des contacts et des rencontres eurent tout de même lieu entre les gouvernements de ces nations quand leurs intérêts étaient convergents.

Divers affrontements armés eurent lieu, allant de simples escarmouches à des batailles en règle concernant essentiellement la liberté de navigation des pétroliers dans le Golfe Persique.

Au moins 2 LSM type "Iran Asr" reconvertis en mouilleurs de mines furent coulés par l'US Navy en 1980 et 1987 lorsqu'ils furent pris en flagrant délit de pose de mines sur les voies commerciales.

Pour contrer les vedettes rapides des Gardiens de la Révolution (Pasdarans), le 160th SOAR (A), une unité composé d'hélicoptères légers AH-6/MH-6 "Little Bird" des forces spéciales des États-Unis fut engagé en 1987 pour lutter contre cette guérilla maritime, il y eut une centaine d'accrochages.

Le 17 mai 1987, 2 missiles Exocet lancés par un Mirage F1 irakien touchèrent la frégate "USS Stark" tuant 37 marins et blessant 21 autres, le pilote de chasse a dit avoir confondu le navire avec un pétrolier iranien.

Le 14 avril 1988, la frégate USS Samuel B. Roberts est gravement endommagée par une mine iranienne. Cela entraina le 18 avril 1988, une opération de grande envergure nommée Praying Mantis lancée par les États-Unis qui neutralisa le tiers de la flotte iranienne. Une frégate iranienne (le "Sahand" de type Vosper Mk5) fut coulée ; une autre, le "Sabaland" (même type) gravement endommagée, un patrouilleur type Combattante II (P 225 Joshan) et 5 vedettes furent envoyés par le fond, et des plates-formes de forage reconverties en base pour les vedettes rapides furent investies par l'US Navy qui perdit un hélicoptère et ses 2 pilotes.

Le 3 juillet 1988, le croiseur USS Vincennes abat un Airbus A300 d'Iran Air reliant Bandar Abbas à Dubaï, et fait 290 morts. Les États-Unis émettent plusieurs versions contradictoires au cours des jours suivants. Le Pentagone a d'abord affirmé que le commandant du navire croyait avoir affaire (sur les radars) à un chasseur F-14 iranien en mode plongée. Cette version fut démentie par la marine italienne, et par la frégate américaine Sides, qui confirmèrent que l'avion était en montée. La seconde version fut donc de dire que le transpondeur de l'Airbus A300 l'identifiait à la fois comme un avion civil et comme un chasseur militaire, et que la marine américaine, n'ayant eu de réponse à ses appels de semonce, aurait ouvert le feu. Le plus indigne dans cette affaire fut certainement l'hypocrisie des excuses des autorités américaines. À leur retour à San Diego, leur port d'attache, les marins de l'USS Vincennes furent tous décorés. La ville de Vincennes, dans l'Indiana, érigea un monument en mémoire des marins de l'USS Vincennes. Et pour Margaret Thatcher, le premier ministre britannique, l'attaque du vol IR655 était "compréhensible". L'année suivante, la femme du commandant du navire (le capitaine de vaisseau Wille Rogers) échappa à un attentat à la voiture piégée, chez elle, en Californie.

La Royal Navy et la Marine nationale française en autre dépêchèrent des navires de guerre dans l'océan Indien pour surveiller les voies de navigation et neutraliser les champs de mines pouvant gêner l'approvisionnement pétrolier de l'Occident et du Japon.

D'autres grandes nations furent impliquées de façon directe ou indirecte dans ce conflit, surtout dans la vente d'armes à l'un ou à l'autre des belligérants, voire aux deux. La France, par exemple, fut le deuxième fournisseur d'armes de l'Irak, formant des pilotes et prêtant mêmes cinq Dassault Super-Étendard de sa marine le temps que les Mirage F1 commandés furent livrés.

[modifier] Implication des autres pays du Moyen-Orient

L'Arabie saoudite et les autres monarchies du Golfe ont largement financé l'effort de guerre irakien, par crainte d'une contagion révolutionnaire vers leurs propres populations chiites. Le contentieux de dettes de guerre a d'ailleurs été une des causes de l'invasion du Koweit par l'Iraq en 1990.

La Syrie, au contraire, a tenté d'affaiblir l'Irak en coupant le pipe-line reliant Kirkouk au port syrien de Lattaqyya. Les exportations irakiennes de pétrole auraient été ruinées sans l'ouverture d'une nouvelle ligne par la Turquie.

L'Égypte a aidé indirectement l'Iraq en lui fournissant 2 millions de travailleurs immigrés, pour remplacer ses hommes mobilisés.

Israël, ancien allié de l'Iran du Shah, avait autant de raisons de redouter le panislamisme de la République iranienne que le panarabisme laïque de l'Iraq. Sa principale intervention dans le conflit a été le bombardement de la centrale nucléaire Osirak en 1981. Construite avec des technologies françaises, cette centrale aurait permis à l'Iraq, selon les Israéliens, de se doter à terme de l'arme nucléaire.

Des pays et des organisations internationales ont tenté à plusieurs reprises des médiations pour cesser le conflit, dont l'Algérie, mais celui-ci a reçu une réponse négative de la part de l'Iraq qui a abattu le 3 mai 1982 un avion d'affaire Gulfstream II du gouvernement Algérien avec 14 personnes à bord dont le ministre des affaires étrangères se rendant à Téhéran avec un Mig-25.


[modifier] Vente d'armes

L'Irak fut, entre 1985 et 1990, le premier importateur de matériel militaire au monde, représentant 10% du marché.

Entre 1970 et 1990, ses achats furent de 31,5 milliards de dollars (valeur 1985).

Il est à noter que les chars T-72 irakiens qui furent livrés à partir de 1984 n'étaient pas aux standards de l'Armée rouge. En effet, Saddam Hussein avait demandé à ce qu'on retire le système de visée de nuit ; le système de visée laser télémétrique ainsi que la protection NBC pour réduire les coûts, 500 000 dollars pièce au lieu de 1 150 000

Fournisseurs en milliard de $ 1985 % du total
URSS 19,2 61
France 5,5 18
Chine 1,7 5
Brésil 1,1 4
Égypte 1,1 4
Autres pays 2,9 6
Total monde 31,5 100,0

L'Iran ne fut pas en reste et acquit de manière légale ou illégale des armements venus de nombreux pays.

La guerre Iran-Irak fut en effet le théâtre d'un des plus grands scandales de trafic d'armes : l'affaire dite "Iran-Contra", également connue sous le nom de "l'Irangate". Le scandale était lié au sort d'otages américains retenus au Liban, par le Hezbollah. Il s'avéra que la libération des otages (ainsi que le financement occulte d'opposants proches des États-Unis au Nicaragua, les Contra) fut négociée contre la livraison d'armes américaines (des missiles et des armes anti-char) et de rapports secrets sur les troupes irakiennes à l'Iran. Le scandale ébranla la Maison-Blanche, qui avait elle-même placée l'Iran sous embargo militaire avec l'arrivée au pouvoir de l'ayatollah Khomeyni, et soutenait très clairement l'Irak en lui fournissant armes et renseignements.

Parmi les vedettes des Pasdarans qui s'attaquaient aux navires dans le golfe persique, 20 étaient construites en Suède et livrées en 1986, il s'agit des "Boghammar" qui faisaient 13 m de long, filaient à 45 nœuds avec un équipage de 6 hommes. 25 autres vedettes venaient d'un chantier de Boston.

Les deux belligérants s'échangèrent même une cinquantaine de chars capturés l'un par l'autre en 1985, ce qui fut un des événements parmi les plus inhabituels de cette guerre.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Liens externes

[modifier] Bibliographie

  • (en) The longest war, Dilip Hiro, éditions Paladin
  • (en) Iran-Irak war- A military analysis ”;Ephraim Karsh - Adelphi.
  • (fr) Les défis de la prolifération des ADM, rapport d’information a l’Assemblée nationale par la commission de la défense nationale - No2788 .
  • (en) Iran-Iraq War in the Air 1980-1988, Tom Cooper, 2003, Schiffer Publishing, ISBN 0764316699
  • (fr) La Grande Guerre pour la civilisation, l'Occident à la conquête du Moyen-Orient (1979-2005)" Robert Fisk, 2005, La Découverte, ISBN 2-7071-4573-4


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