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Andrea Mantegna - Wikipédia

Andrea Mantegna

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Andrea Mantegna (c. 1431, Isola di Cartura, près de Vicence13 septembre 1506, Mantoue) est artiste peintre italien de la Renaissance.

Sommaire

[modifier] Biographie

Oculus en trompe-l'œil (fresque) de la "Chambre des Époux" du palais ducal de Mantoue
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Oculus en trompe-l'œil (fresque) de la "Chambre des Époux" du palais ducal de Mantoue

Mantegna, deuxième fils d'un pauvre bûcheron nommé Biagio, est né à Isola di Cartura, près de Vicence en République de Venise. À l'âge de dix ans il entra comme apprenti chez Francesco Squarcione, un peintre de second rang de Padoue. Squarcione. Comme Pétrarque, son célèbre compatriote, Squarcione était passionné pour la Rome antique : il voyagea en Italie et peut-être en Grèce, et forma une collection de statues, de bas-reliefs, de vases, etc. qu'il ouvrait à qui voulait l'étudier et à partir de laquelle il faisait lui même des dessins. Ses élèves, autant que lui, participaient aux œuvres qui lui étaient commandées. Pas moins de 137 peintres et apprentis passèrent par son école, fondée vers 1440, et qui devint célèbre dans toute l'Italie. Mantegna était son disciple préféré. Squarcione lui apprit le latin et lui donna à étudier des fragments de sculpture romaine. Il préférait également la perspective forcée.

A l'âge de 17 ans, Mantegna se sépara de Squarcione. Plus tard, il affirma que son ancien maître avait utilisé son travail sans le payer à sa juste mesure. Padoue attirait des artistes de Vénétie mais aussi de Toscane et les œuvres de jeunesse de Mantegna sont très marquées par des peintres florentins tels que Paolo Ucello, Fra Filippo Lippi ou Donatello

Le Christ mortc. 1480-1490 Tempera sur bois Pinacotheca Brera, Milan
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Le Christ mort
c. 1480-1490 Tempera sur bois
Pinacotheca Brera, Milan

Sa première œuvre, aujourd’hui perdue, fut un retable, destiné à l'église Santa Sofia (1448). La même année il fut appelé avec Nicolò Pizolo et de nombreux autres peintres pour travailler à la décoration de la chapelle d'Ovetari dans l'abside de l'église d'Eremitani. Une série d’événements fortuits fit que Mantegna termina seul la plus grande partie du travail (qui fut presque entièrement détruit dans les bombardements de Padoue en 1944). La partie la plus spectaculaire du cycle représenté sur la fresque est celle où l’on voyait, en perspective du bas, saint Jacques mené au supplice. L’esquisse de cette fresque a survécu. Elle est le travail préliminaire à une fresque le plus ancien qui nous soit parvenu et que nous puissions comparer à l'œuvre finale.En dépit de l’aspect authentique de ce monument, il n'est la copie d'aucune structure romaine connue. Pour habiller ses personnages, Mantegna a également adopté les modèles de draperie mouillée des Romains, laquelle venait elle-même d’une invention grecque, bien que les attitudes tendues et les interactions soient inspirées de Donatello. Le schéma montre à l’évidence que des figures nues ont été employées dans la conception des œuvres dès le début de la Renaissance. Dans le croquis préparatoire, la perspective est cependant moins élaborée et plus proche d'un point de vue moyen. La perspective par en-dessous, permettant une mise en œuvre plus vaste et plus efficace se retrouve également dans La Sainte Trinité avec la Vierge, saint Jean, et deux donateurs. Ansuino, qui a collaboré avec Mantegna pour la chapelle d'Ovetari, a introduit son style dans l'école de peinture de Forli.

Le Christ au jardin des Oliviers (huile sur toile, National Gallery, Londres)
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Le Christ au jardin des Oliviers (huile sur toile, National Gallery, Londres)

Alors que le jeune homme progressait dans ses études, il subit l'influence de Jacopo Bellini, père des peintres célèbres Giovanni et Gentile, et dont la fille Nicolosia épousa Mantegna en 1453.

Saint Marc (huile/toile, Museum Städel, Francfort sur le Main)
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Saint Marc (huile/toile, Museum Städel, Francfort sur le Main)

Parmi les autres fresques du jeune Mantegna se trouvent les deux saints qui surmontent le porche d'entrée de l'église Sant'Antonio à Padoue(1452), et un retable montrant saint Luc et d'autres saints pour l'église de S. Giustina, maintenant à la galerie Brera de Milan (1453). Il est probable, cependant, qu'avant cette époque certains des élèves de Squarcione, y compris Mantegna, avaient déjà commencé cette série de fresques dans la chapelle S. Cristoforo de l'église des Ermites de Saint-Augustin, regardée maintenant comme son chef d’œuvre. Squarcione, maintenant porté à critiquer, trouvait à redire sur les premières réalisations de cette série qui illustrait la vie de saint Jacques ; il prétendait que les personnages ressemblaient à des hommes en pierre, et qu’autant aurait valu leur donner la couleur de la pierre.

Andrea semble avoir été influencé par les vieux préceptes de ses maîtres ; et dans les sujets plus tardifs, de la légende de saint Christophe, il combine avec ses autres qualités davantage de caractère naturel et de vivacité. Habitué comme il l’avait été à étudier les marbres et la sévérité du style antique, et reconnaissant ouvertement qu’il considérait les œuvres antiques comme supérieures à la nature. il s’efforçait à présent à la précision du trait, à la dignité de l'idée et du personnage, ce qui le faisait tendre vers une certaine rigidité, et vers une austérité intègre plutôt que vers une sensibilité aimable de l'expression. Ses draperies présentent des plis puissants et étroits, étant étudiés (a-t-on dit) sur des modèles drapés en papier et des tissus collés. Des personnages minces, tout muscles et tout os, une action impétueuse mais à l'énergie contenue, un paysage aux couleurs fauves, fait de sable et où traînent des galets, voilà qui élève son style et lui donne une majesté athlétique.

Saint Sébastien (huile/toile, Kunsthistorisches Museum, Vienne, Autriche)
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Saint Sébastien (huile/toile, Kunsthistorisches Museum, Vienne, Autriche)
Saint Sébastien (huile/toile, Louvre, Paris)
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Saint Sébastien (huile/toile, Louvre, Paris)

Jamais il n'a changé cette manière qu'il avait adoptée à Padoue ; sa coloration, au début neutre et indécise, s’est renforcée et s’est mûrie. Il y a dans tout son travail plus d’équilibre dans les couleurs que de finesse dans la tonalité. Un de ses grands objectifs était l'illusion d’optique, fondée sur la maîtrise de la perspective ; et il y est parvenu tout seul, grâce à un travail laborieux, même si sur ce point il n’a pas atteint la perfection et s’il n’a pas absolument dépassé ce qu’on faisait alors de mieux. Mais l’illusion de la réalité reste étonnante pour cette époque.

Malgré son succès et l’admiration dont il était l’objet, Mantegna quitta de bonne heure son Padoue natal et n’y revint jamais. On y a vu le résultat de l’hostilité de Squarcione. Il passa le reste de sa vie à Vérone, à Mantoue et à Rome ; on n’a pu établir qu'il ait aussi résidé à Venise et à Florence. À Vérone, vers 1459, il peignit un grand retable pour l'église San Zeno Maggiore, une Madone et des anges, avec quatre saints de chaque côté.

[modifier] Sa vie à Mantoue

Depuis quelque temps déjà, le marquis Louis III Gonzague, marquis de Mantoue avait pressé Mantegna d’entrer à son service ; aussi l'année suivante, en 1460, fut-il nommé artiste de cour. Au début il résida de temps à autre à Goito, mais, à partir de décembre 1466, il s’installa avec sa famille à Mantoue même. Il recevait un salaire de 75 lires par mois, somme considérable pour l’époque et qui indiquait nettement la haute estime dans laquelle on tenait son art. Il était en fait le premier peintre parmi tous ceux qui avaient été domiciliés à Mantoue.

Son chef-d’œuvre réalisé dans cette ville a été peint dans la partie du château de la ville, aujourd'hui connue sous le nom de Camera degli Sposi (chambres des époux) : une série de compositions ne comprenant que des fresques et montrant différentes représentations de la famille Gonzague en compagnie de génies.

La cour du marquis Louis III de Mantoue1474 Fresque, Palais ducal de Mantoue
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La cour du marquis Louis III de Mantoue
1474 Fresque, Palais ducal de Mantoue

La décoration de la chambre a été terminée vraisemblablement en 1474. Les dix années qui suivirent ne furent pas heureuses pour Mantegna ni pour Mantoue : son caractère devint irritable, son fils Bernardino mourut, et également le marquis Louis III en 1478, son épouse Barbara en 1481 ainsi que son successeur Frédéric Ier le Bossu en 1484 (celui qui avait fait Mantegna chevalier). Ce n’est seulement qu'avec l'avènement de François II que les commandes artistiques pour Mantoue reprirent. Il construisit une maison imposante au voisinage de l'église San Sebastiano, et l’orna avec une multitude de peintures. On peut encore voir cette maison aujourd'hui, mais les peintures ont disparu. À cette époque, il commença à réunir quelques bustes antiques de Rome (qui furent donnés à Laurent de Médicis quand le chef florentin visita Mantoue en 1483), peignit quelques fragments architecturaux et décoratifs, et acheva son impressionnant saint Sébastien maintenant au Louvre.

Crucifixion1459 Tempera sur bois, tableau central d'un retable en triptyque Église de Saint-Zénon, Vérone
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Crucifixion
1459 Tempera sur bois, tableau central d'un retable en triptyque
Église de Saint-Zénon, Vérone

En 1488, Mantegna fut appelé par le pape Innocent VIII pour décorer de fresques le belvédère d’une chapelle au Vatican. Cette série de fresques, y compris un remarquable baptême du Christ, devait être détruite par Pie VI en 1780. Le pape traita Mantegna moins généreusement qu'il ne l’avait été à la cour de Mantoue ; mais, à tout prendre, leur entente, qui cessa en 1500, n'était nullement désavantageuse pour aucune des deux parties. Mantegna rencontra également le célèbre otage turc Jem et étudia attentivement les monuments antiques, mais l'impression que lui laissa la ville fut dans l'ensemble décevante. Retourné à Mantoue en 1490, il reprit avec force sa vision plus littéraire et plus amère de l’Antiquité, et se lia étroitement avec la nouvelle marquise, Isabelle d'Este, cultivée et intelligente.

Dans ce qui maintenant était sa ville, il continua son travail avec les neuf peintures « a tempera » du triomphe de Jules César, qu’il avait probablement commencées avant son départ pour Rome, et qu’il termina autour de 1492. Ces compositions, superbement inventées et réalisées, rayonnantes de toute la splendeur du principal sujet et des accessoires, grâce à la formation classique et à l’enthousiasme d’un des plus grands esprits de son temps, ont toujours été mises au premier rang parmi les travaux de Mantegna. Considérées comme son travail le plus achevé, elles ont été vendues en 1628 avec la majeure partie des trésors d'art de Mantoue, et elles n’ont pas, comme on le dit généralement, été dérobées à l’occasion du sac de Mantoue en 1630, mais elles sont aujourd’hui extrêmement endommagées par des rafraîchissements maladroits.

Malgré une santé déclinante, Mantegna restait actif. Parmi d’autres travaux de la même période on trouve la Madone des cavernes, saint Sébastien et la célèbre Lamentation au-dessus du Christ mort, qu’il a probablement peinte pour sa chapelle funéraire personnelle. Un autre travail des dernières années de Mantegna était ce qu’on appelle la Madone de la Victoire, maintenant au Louvre. Elle a été peinte en « tempera » vers 1495, en souvenir de la bataille de Fornoue dont l’issue était discutable mais que François II souhaitait montrer comme une victoire de la ligue italienne ; l'église qui à l'origine a abrité ce tableau a été construite suivant les plans même de Mantegna.

La Madone entourée de saints, avec François II de Mantoue à genouxc. 1496 Huile sur toileLouvre, Paris
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La Madone entourée de saints, avec François II de Mantoue à genoux
c. 1496 Huile sur toile
Louvre, Paris

]La Madone est ici représentée en compagnie de plusieurs saints, de l'archange saint Michel et de saint Maurice qui lui tient son manteau, sous le prolongement duquel se tient François II à genoux, dans une profusion de riches guirlandes et d’autres ornements. Indépendamment de sa perfection dans l’exécution, cette œuvre compte manifestement parmi les plus belles et les plus attachantes des œuvres de Mantegna où les qualités de beauté et de séduction sont souvent exclues, au profit de la poursuite rigoureuse de ces autres idéaux plus appropriés à son génie grave : la tension de l’énergie s’exprimant dans une passion hagarde.

À partir de 1497 Mantegna fut chargé par Isabelle d'Este de transposer les thèmes mythologiques chantés par le poète de cour Paride Ceresara dans des peintures destinées à son appartement privé (studiolo) au Palais Ducal. Ces peintures furent dispersées au cours des années suivantes : l’une d’elles, la légende du Dieu Comus, a été laissée inachevée par Mantegna et terminée par Costa de Lorenzo, qui lui succéda comme peintre de cour à Mantoue.

Après la mort de son épouse, Mantegna eut à un âge avancé un fils naturel, Giovanni Andrea ; et vers la fin, bien qu'il continuât à se lancer dans toutes sortes de dépenses, il connut de graves ennuis, comme l'exil de Mantoue de son fils Francesco, qui s’était attiré le courroux du marquis. Il est possible que le vieux maître, connaisseur éclairé, ait considéré comme à peine moins tragique la dure nécessité de se séparer d’un buste antique de Faustina qu’il aimait beaucoup.

Très peu de temps après cette vente, il mourut à Mantoue, le 13 septembre 1506. En 1516, un superbe monument fut placé en son honneur par ses fils dans l'église Sant'Andrea, où il avait peint le retable de la chapelle mortuaire. Le dôme a été décoré par Le Corrège.

[modifier] Le graveur

Mantegna n’a pas moins brillé comme graveur, même si c’est une question assez difficile à étudier, en partie parce qu'il n'a jamais signé ni daté aucune de ses plaques, sauf une seule fois, en 1472, et le fait est contesté. La liste qui nous est parvenue montrerait que Mantegna a commencé la gravure à Rome, incité à le faire par les gravures qu’avait réalisées le Florentin Baccio Baldini après Sandro Botticelli ; on ne peut rien opposer à cette liste si ce n’est qu’elle daterait les gravures que Mantegna a faites, nombreuses et élaborées, des seize ou dix-sept dernières années de sa vie, ce qui semble bien peu de temps, sans compter que les gravures les plus anciennes rappellent les débuts de son style artistique. On a suggéré qu'il aurait commencé à graver alors qu’il était toujours à Padoue, en recevant l’enseignement d'un orfèvre distingué, Niccolò. Il a gravé environ cinquante plaques, selon le compte habituel ; quelque trente d'entre elles sont généralement considérées comme indiscutables, elles sont souvent grandes, remplies de personnages et remarquablement étudiées. Certains experts, cependant, ont récemment demandé de limiter à sept le nombre de ses gravures authentiques, ce qui semble peu raisonnable. Parmi les principaux exemples on cite des triomphes romains, une fête orgiaque, Hercule et Antée, les dieux marins, Judith avec la tête d'Holopherne, la Déposition de la Croix, la Mise au Tombeau, la Résurrection, l'Homme de Douleurs, la Vierge dans une grotte. Mantegna a été parfois crédité de l'invention importante de la gravure sur cuivre au burin. Cette attribution est difficile à soutenir si on tient compte des dates, mais en tout cas c’est lui qui a introduit cette technique en Italie septentrionale. On suppose que plusieurs de ses gravures ont été exécutées à l’aide d’un métal moins dur que le cuivre. Sa propre technique et celle de ses élèves se caractérisent par les formes puissamment marquées du dessin, et par les hachures de forme oblique pour marquer les ombres. On trouve souvent les épreuves en deux éditions différentes. Dans le premier cas les épreuves ont été réalisées au rouleau, ou même par pression manuelle, et elles sont faiblement teintées ; dans le deuxième cas on a employé la presse, et l'encre est plus marquée.

[modifier] Place de Mantegna et héritage

Giorgio Vasari fait l’éloge de Mantegna, malgré quelques réserves sur l’homme. Il s’était très bien entendu avec ses camarades alors qu’il apprenait le métier à Padoue et avait conservé des liens solides d’amitié avec deux d'entre eux : Dario da Trevigi et Marco Zoppo. Mantegna prit des habitudes de, ce qui lui causa parfois des difficultés financières, et il dut parfois faire valoir ses droits auprès du marquis.

Par la solidité de son goût pour l’Antiquité, Mantegna surpasse tous ses contemporains. Quoiqu'elle se limite pour l'essentiel au XVe siècle, l'influence de Mantegna a été très nette sur le style et les tendances de tout l’art italien de son époque. Elle est évidente sur les premières œuvres deGiovanni Bellini, son beau-frère. Albrecht Dürer a subi l’influence de son style au cours de ses deux voyages en Italie. Léonard de Vinci prit de Mantegna les motifs décoratifs avec des festons et des fruits.

On considère que l'apport principal de Mantegna est l'introduction de l'illusionnisme spatial, tant dans les fresques que dans les peintures de « Sacra conversazione » : son influence dans la décoration des plafonds s’est poursuivie pendant presque trois siècles. À partir du plafond en trompe-l'œil de la Chambre des Époux, Le Corrège a développé les recherches de celui qui avait été son maître et son collaborateur dans l’élaboration de perspectives, aboutissant au chef-d’œuvre qu’est le dôme de la cathédrale de Parme.

[modifier] Principales œuvres

  • L'adoration des bergers (vers 1415-1453) - Tempera sur toile transférée à partir du bois, 40 x 55.6 centimètres, Metropolitan Museum of Art, New York
  • Crucifixion sur bois (1457-1459) -, 67 x 93 centimètres, Musée du Louvre, Paris
  • Agonie au Jardin des Oliviers (vers 1459) - Tempera sur bois, 63 x 80 centimètres, National Gallery, Londres
  • Portrait du cardinal Lodovico Trevisano, (vers 1459-1469) - Tempera sur bois, 44 x 33 centimètres, Staatliche Museen, Berlin
  • Retable de San Luca (1453) - Panneau, 177 x 230 centimètres, Pinacoteca di Brera, Milan
  • Dormition (vers 1461) - Panneau, 54 x 42 centimètres, Musée du Prado, Madrid
  • Portrait d'un homme (vers 1460) - Bois, National Gallery of Art, Washington
  • Présentation au Temple (vers 1460-1466) - Tempera sur bois, 67 x 86 centimètres, Staatliche Museen, Berlin
  • Madone à l'enfant endormi (vers1465-1470) - huile sur toile, 43x32 centimètres, Staatliche Museen, Berlin
  • Saint Georges (vers 1460) - Tempera sur panneau, 66 x 32 centimètres, Galerie de l’Académie, Venise
  • Retable de San Zeno (1457-1460) - Panneau, 480 x 450 centimètres, San Zeno, Vérone
  • Saint Sébastien (vers 1457-1459) - bois, 68 x 30 centimètres, Kunsthistorisches Museum, Vienne
  • Saint Sébastien - Panneau, 255 x 140 centimètres, Louvre, Paris
  • Portrait de Charles de Médicis (vers 1467) - Tempera sur panneau, 40.6 x 29.5 centimètres, Uffizi, Florence
  • La Madone au Chérubin (vers 1485) - panneau, 88 x 70 centimètres, Pinacoteca di Brera, Milan
  • Triomphe de César (vers 1486) - Hampton Court Palace, Angleterre
  • Lamentation sur le Christ mort (vers 1490) - Tempera sur toile, 68 x 81 centimètres, Pinacoteca di Brera, Milan
  • Madone des cavernes (1489-1490) - Uffizi, Florence
  • Saint Sébastien (1490) – Ca d’Oro, Venise
  • Madone de la Victoire (1495) – Huile sur toile, 285 x 168 centimètres, Louvre, Paris
  • Sainte Famille (vers 1495-1500) - Tempera sur toile, 75.5 x 61.5 centimètres, Galerie de Dresde.
  • Judith et Holopherne (1495) – Tempera à l’œuf sur bois, National Gallery of Art, Washington, D.C.
  • Minerve chassant les Vices du jardin de la Vertu (vers 1502) – Huile sur toile, 160x192 centimètres, Louvre, Paris
  • Parnasse (Mars et Vénus) (1497) - Toile, 160 x 192 centimètres, Louvre, Paris

Voir également la chapelle Ovetari et la Chambre des Époux de Mantoue.

[modifier] Référence

  • Janson, H.W., Janson, Anthony F. History of Art. Harry N. Abrams, Inc., Publishers. 6ème édition. 1er janvier 2005. ISBN 0131828959

[modifier] Sources

[modifier] Liens internes

[modifier] Liens externes

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