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Ski alpin - Wikipédia

Ski alpin

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Le ski alpin est un sport de glisse qui consiste, au moyen de skis, à descendre une pente enneigée.

Ski alpin

Sommaire

[modifier] Histoire

Le ski alpin est un dérivé du ski nordique, provenant des pays scandinaves (en particulier la Norvège). On remonte en 1880 pour voir apparaître les premiers skis conçus pour une descente, invention de norvégiens qui furent en même temps à l'origine du Télémark. Les premières règles codifiés du ski alpin seront établis en Autriche en 1896 par Mathias Zdarsky et Hannes Schneider.

La première expérience de ski alpin en France intervient en 1897 sur le Mont Guillaume dans les Hautes-Alpes sur l'impulsion du 28e bataillon des chasseurs alpins, le ski qui d'ailleurs sera introduit dans l'armée en 1900. Les premières courses organisées se déroulent à Davos en Suisse en 1902 et en 1907 apparait le premier concours international de ski en France (exclusivement réservé aux militaires). En 1911, Arnold Lunn organise le "Challenge Roberts of Kandahar" à Montana et nous verrons l'apparition de la première véritable école de ski en 1922 à Sankt-Anton en Autriche (avec apparition du Slalom).

En 1924 sont créées la Fédération internationale de ski (FIS) et la Fédération française de ski (FFS), année où sont organisés les premiers Jeux Olympiques d'hiver à Chamonix mais où seul le ski nordique est présent, il faut attendre 1931 et les premiers championnats du monde de ski alpin à Mürren (en Suisse) à l'initiative d'Arnold Lunn pour faire reconnaître les épreuves alpins à la FIS qui intégrera le ski alpin aux Jeux Olympiques de Garmisch-Partenkirchen en 1936.

[modifier] Compétition

En compétition, les skieurs s'élancent un par un pour un contre la montre dans différentes disciplines. Les compétitions sont organisées par la Fédération internationale de ski (FIS, fondée en 1924) et le ski alpin a fait ses débuts olympiques lors des Jeux Olympiques d'hiver de 1936.

Outre l'incontournable rendez-vous olympique, il existe deux grandes catégories de compétitions :

  • Les championnats du monde. Disputés depuis 1931, officialisés par la FIS depuis 1950, les championnats du monde se proposent de couronner ses vainqueurs sur une seule course, à la manière des Jeux Olympiques. Ces épreuves se déroulent désormais sur une dizaine de jours, tous les deux ans (années impaires).
  • La Coupe du monde. Les courses d'un jour comme celles proposées aux Jeux Olympiques ou aux Championnats du monde sont parfois injustes. Afin de pallier cette carence, la FIS met en place en 1966 une Coupe du monde avec attribution de points lors de plusieurs courses, et classement général en fin de saison. À noter qu'elle intégra au cours de son histoire l'Arlberg-Kandahar.

[modifier] Matériel

Le ski alpin se pratique normalement avec deux bâtons (un pour chaque main) et deux skis (un pour chaque jambe). Le contrôle des skis est assuré par l'utilisation de chaussures de ski maintenues aux skis par des fixations. Un casque est parfois porté pour protéger la tête des impacts entraînés par une collision avec la neige, d'autres skieurs ou des obstacles ou encore pour améliorer l'aérodynamisme lors de compétitions.

[modifier] Le bâton

Le bâton est un élément déterminant dans la pratique du ski, même si pour le débutant il s'avère gênant et inutile. En effet, celui-ci contribue à l'équilibre du skieur et permet le déclenchement du virage en servant d'axe de rotation. Pendant le schuss, le bâton est également utilisé pour parfaire la position de l'œuf.

Bâton de ski alpin
Bâton de ski alpin

Le bâton ne doit pas être trop court ni trop long. Lorsqu'il est planté dans la neige, le skieur qui le tient doit avoir l'avant bras qui forme un angle droit avec le bras. Trop court, le bâton ne permet pas de toucher la neige et devient alors inutile. Trop long, il devient gênant.

A environ 5 cm du bout de chaque bâton se trouve une rondelle. Cette rondelle permet au skieur de pouvoir planter le bâton dans la neige sans que celui-ci ne s'enfonce trop. Cela est particulièrement utile dans le cas de neige poudreuse ou molle.

En compétition, particulièrement pendant les épreuves de vitesse, le bâton est profilé pour épouser la forme du corps du skieur lors du schuss. La rondelle est également courbée en forme de cône pour améliorer sa pénétration dans l'air.

[modifier] La chaussure de ski

La chaussure de ski permet au skieur de contrôler ses skis. Pour ce faire, le soulier doit épouser et serrer le pied et, ainsi, transmettre les mouvements des jambes et des pieds.

Chaussure de ski alpin
Chaussure de ski alpin

Pour cela, la chaussure de ski est composée de :

  • une coque : extrêmement rigide, elle est faite de plastique et englobe le pied et monte jusqu'à mi mollet, bien que plusieurs itérations précédentes de la chaussure de ski aient eu des designs très différents (arrêt à la cheville ou au genou). La coque assure le maintien du pied et la transmission du mouvement. Elle doit néanmoins permettre la flexion.
  • un chausson : incrusté dans la coque. Il assure le confort du skieur. De nos jours, le chausson peut être moulé à la forme du pied par des techniques de thermoformage et peut être chauffé en cas de grand froid.
  • une semelle: toutes les chaussures de ski alpin ont une semelle d'origine. Cependant, plusieurs skieurs opteront de la remplacer pour une orthèse, notamment s'ils ont des problèmes de posture ou de flexibilité majeurs, afin d'utiliser la chaussure au maximum de son potentiel.
  • des crochets : liés à la coque. Ils permettent de serrer la chaussure de ski. Normalement, plus le nombre de crochets est élevé, plus la chaussure est liée au pied et donc plus le contrôle du ski est fin. Ainsi, il peut y avoir entre 1, pour le skieur débutant, et 4 crochets pour le skieur professionnel. Toutefois, une chaussure qui aurait trop été serrée peut réduire les sensations du pied et ainsi nuire aux habiletés mortices fines de ce dernier.

Pour que la chaussure soit maintenue dans la fixation, une protubérance de plastique est moulée dans la coque à l'avant et au talon de la chaussure. Ce système est utilisé par tous les manufacturiers depuis le milieu des années soixante-dix lorsque le monde du ski a vu un effort concerté pour mettre de l'avant une interface chaussure-fixation (le DIN) qui serait sécuritaire et facile à ajuster par des techniciens formés.

Depuis quelques années, un très grand nombre de skieurs font appel aux services de bootfitters: spécialistes de l'anatomie du pied et des techniques permettant un ajustement bio-moteur raffiné de la coque, du chausson et de la semelle, ceux-ci sont quelquefois la seule porte d'entrée pour un amateur dont le pied serait problématique. Auparavant réservé aux coureurs ou aux professionnels du ski (moniteurs, guides), l'avènement d'un engoument pour la pratique de haut niveau du ski (découlant, entre autres, des avancées technologiques dans d'autres domaines du sport), le bootfitting est maintenant une partie importante de l'achat de chaussures de ski pour nombre de skieurs.

[modifier] Les fixations

La fixation permet de relier la chaussure du skieur au ski. La fixation est aujourd'hui un composant capable de supporter les brusques secousses du ski tout en pouvant se relâcher en cas de chute.

Fixation de ski alpin
Fixation de ski alpin

Pour cela, des ressorts sont montés dans la fixation. Il est indispensable de faire régler sa fixation selon les normes en vigueur. La norme internationale est l'ISO 11088. La France a pris une inititative intéressante en introduisant une distinction homme/femme dans les préconisations de réglage (fascicule de documentation AFNOR FD S 52-748). Les normes permettent un réglage personnalisé en tenant compte:

  • du poids du skieur
  • de la taille du skieur
  • de la longueur de la semelle de la chaussure

Ces trois éléments permettent d'obtenir selon le sexe un indice de réglage qui doit être modifié pour tenir compte:

  • de l'age du skieur
  • du niveau du skieur
  • de sa condition physique
  • de son style de ski

Le réglage d'une fixation est donc un compromis subtil de 8 paramètres pour que la chaussure tienne au ski sans que cela devienne dangereux en cas de chute. Il est indispensable que le réglage soit fait en tenant compte des normes selon les critères ci dessus.

Un réglage trop serré est dangereux puisqu'en l'absence de déclenchement, le skieur pourra se blesser au niveau du membre inférieur. Un réglage trop souple peut aussi être dangereux puisque la fixation va s'ouvrir de manière intempestive et peut provoquer la chute du skieur et un traumatisme de n'importe quelle partie du corps.

Le réglage en longueur de la fixation est l'élement principal de la sécurité. Sans un réglage en longueur adéquat, la fixation même réglée dans la norme ne pourra fonctionner.

La fixation est composée de deux parties :

  • la fixation avant. L'avant de la chaussure vient s'y enclencher. Elle possède un système de ressorts permettant au skieur de déchausser (la chaussure n'est plus liée à la fixation) en cas d'effort arrière ou avant latéral. Cela permet de se prémunir de nombreux problèmes de ligaments au niveau du genou.
  • la fixation arrière. L'arrière de la chaussure vient s'y appuyer puis par une pression verticale vient enclencher la fixation qui maintient alors la chaussure. Elle possède également un système de ressort permettant de s'ouvrir en cas d'effort avant (talon qui se décolle).

Des aides électroniques au réglage existent (ex. ISOSKI).

[modifier] Le ski

Le ski est évidemment l'élément essentiel puisqu'il est l'intermédiaire entre le skieur et la neige et par conséquent permet au skieur de glisser. Le ski s'est extraordinairement complexifié au fil des années pour aboutir ajourd'hui à une forme et à une structure de haute technologie.

Le ski est partagé en trois parties : l'avant du ski ou spatule, l'arrière du ski ou talon, le milieu du ski (sous les chaussures) ou patin.

Ski alpin vu de dessus
Ski alpin vu de dessus

[modifier] La forme

Vu de dessus, le ski alpin moderne possède ce que le jargon appelle une "taille de guêpe" : la spatule et le talon sont plus larges que le patin. Cela se traduit par la définition d'une ligne de côtes, c'est à dire par la définition de la largeur du ski en ces trois points.

Quand un ski possède une taille de guêpe, on dit qu'il s'agit d'un ski profilé (parabolique étant le nom d'un modèle de ski profilé lancé par Élan et qui connu un vif succès), en référence à la forme de la courbe qu'il permet de réaliser. En effet, de par cette forme courbe, et si le skieur exerce une pression et donc une flexion suffisante, le ski peut épouser la forme d'un virage pour tailler la neige. Le skieur gagne donc en vitesse puisque le ski ne dérape plus pendant le virage.

Le ski profilé est maintenant l'outil de choix pour une vaste gamme de terrains et d'adeptes: le débutant aimera la facilité avec lequel celui-ci se manœuvre dès les premières descentes, alors que l'expert appréciera sa polyvalence et sa rapidité de mouvement, même à grande vitesse. Cependant, depuis quelques années, plusieurs skis ayant un profil beaucoup moins prononcé ont fait l'apparition sur les pentes et gagnés la faveur du consommateur moyen, notamment pour des usgages particuliers, comme le ski hors piste ou les acrobaties. Certains skis ont même une spatule et un talon de dimensions inférieures au patin. Cette construction répartit le du poids du skieur sur une plus large surface de contact et, en retour, permet une plus grande flotabilité dans la poudreuse.

De plus, les dimensions et la construction du ski sont parfois dictés par des normes très précises. Pensons ici aux skis de slalom qui, selon les normes FIS devront mesurer 165 centimètres pour les hommes et 155 centimètres pour les femmes, lors des compétitions internationales. Les épreuves de descente, slalom géant et super-g ont également des restrictions concernant la longueur et le rayon des skis permis.

[modifier] La structure

La structure d'un ski dépend beaucoup d'un constructeur à l'autre, il est donc difficile d'en faire une description précise tant les constructeurs rivalisent d'imagination et de recherche pour améliorer son poids, sa rigidité, son niveau de résonance, …

Pour simplifier, résumons sa structure à :

  • la semelle. Elle est au contact de la neige et permet donc au ski de glisser. Généralement en polyéthylène, elle est légèrement rainurée dans le sens le plus long pour permettre à la neige fondue de s'évacuer plus rapidement et ainsi accroître la vitesse du skieur. En effet, le ski ne glisse pas directement sur de la neige mais sur l'eau qui résulte de la fonte de la neige au contact du ski. Elle nécessite un entretien régulier pour améliorer la glisse ( reboucher les trous et farter ). Par ailleurs, le fartage utilisé dépend de la consistance de la neige.
  • la carre. Il y en a une de chaque côté du ski et permettent de le contrôler sur la neige. En acier très résistant à l’abrasion et très aiguisé, elles permettent la conduite des virages et l’accrochage sur neige dure. De la même façon, elle nécessite un entretien régulier pour améliorer l'aspect tranchant : c'est l'affutage.
  • le noyau. Comme son nom l'indique, il se situe au cœur du ski et joue un rôle majeur sur sa rigidité. C'est sur point que les constructeurs diffèrent le plus. Constitué d'alliages, de bois, de métaux, il donne au ski sa solidité et sa rigidité. Ce cœur est souvent très sensible à l'eau et donc être protégé par des couches sandwiches.
  • Le dessus du ski. Souvent fabriqué à partir composite époxy renforcé de fibres de verre, il permet de protéger le cœur du ski et joue un rôle décoratif. La dernière couche est une feuille polymérique transparente décorée sur le dessous et malheureusement parfois sensible au choc.

[modifier] Le casque

Bien qu'il ne soit pas une partie intégrante du matériel nécessaire à la pratique du ski alpin, le casque est depuis une dizaine d'années une pièce d'équipement prisée par un grand nombre de débutants et d'experts.

À la suite d'études, plusieurs écoles de ski exigent maintenant le port du casque pour les enfants ou les débutants, alors que la branche compétitive du sport s'est fait à la nécessité de son utilisation. Les très grandes vitesses atteintes par les coureurs (et par les skieurs amateurs) rendent dangereuses les chutes et collisions: le port du casque atténue les risques de traumatisme et de lésions qui peuvent s'avérer fatales.

Enfin, avec l'invention de nouveaux plastiques et matériau légers, attrayants et permettant une plus grande respiration que ceux utilisés dans les anciens casques, celui-ci est maintenant une option à la fois abordable et esthétique.

[modifier] Disciplines

Bode Miller en descente
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Bode Miller en descente

Il existe cinq disciplines en ski alpin qui sont courues chaque année de novembre à mars en coupe du monde de ski alpin et sont toutes présentes aux Jeux Olympiques d'hiver et aux championnats du monde de ski alpin :

[modifier] Descente

Cette discipline est créée par Arnold Lunn en 1911 à Montana. La descente est la plus vieille discipline sportive du ski alpin et est surnommée aujourd'hui la «discipline reine». C'est la discipline la plus rapide et ses parcours sont les plus longs des épreuves de ski alpin.

La descente combine la vitesse à l'état pur, une maîtrise technique et un courage à toute épreuve. Aujourd'hui, les descendeurs atteignent souvent des vitesses de 130 km/h. La dénivellation est de 800 m à 1100 m pour les hommes et de 500 m à 800 m pour les femmes, des piquets sont installés le long du parcours, le coureur doit passer entre eux. Des virages larges, des sauts, des compressions et de grandes lignes droites sont placés stratégiquement le long du parcours de façon à contrôler la vitesse des skieurs tout en testant leurs habiletés techniques. De par le danger d'une telle course, les skieurs doivent s'entraîner sur le parcours avant la course (cela n'est vrai qu'en descente et en super G). Il n'y a qu'une manche chronométrée, le vainqueur étant celui qui réalise le temps le plus rapide. À noter que la largeur minimale d'une piste doit être de 30 mètres.

La moindre petite erreur à ces vitesses et sur de tels parcours engendre souvent des chutes spectaculaires, parfois des blessures et, malheureusement et très rarement, des décès. La piste la plus célèbre est sans contredit le Hanenkamm à Kitzbühel où les coureurs atteingent les vitesses les plus rapides en ski alpin sur le circuit de la coupe du monde et où les chutes sont le plus souvent accompagnées de blessures très sérieuses. C'est pour cette raison que les mesures de sécurité se sont accrues ces dernières années.

[modifier] Slalom

Le premier slalom (ou slalom spécial) apparut en janvier 1922 à Mürren. Il s'agit de l'épreuve la plus technique. Les slalomeurs ont besoin d'être agressifs, rapides et agiles. Les parcours de slalom sont les plus courts, mais ils comportent le plus grand nombre de portes. Le dénivelé pour les épreuves masculines varie entre 180 m et 220 m, tandis qu'il est de 140 m à 200 m pour les dames. Les portes sont espacées de 4 à 15 mètres et on en compte entre 40 et 75.

L'épreuve comporte deux manches disputées sur des parcours différents. Le skieur qui obtient le meilleur temps combiné des deux manches remporte l'épreuve.

L'avénement des skis paraboliques ces derniers années a rendu le slalom beaucoup plus technique. En effet, les nouvelles formes des skis permettant de réduire le rayon des virages, les portes de slalom ont tendance à être rapprochées tout en conservant l'écartement transversal. Il en résulte des virages beacoup plus courts que seuls les skis paraboliques permettent de suivre tout en conservant une vitesse et une relance en sortie de virage importante.

[modifier] Slalom géant

Le slalom géant (ou géant), qui apparait en 1950 aux championnats du monde de ski alpin 1950 à Aspen, est une discipline technique comme le slalom mais qui est plus rapide. Le but consiste à slalomer entre des portes composées de deux piquets reliés par un tissu de couleur bleu ou rouge.

Quoique d'apparence moins technique que le slalom, le géant requiert une grande précision, un bon sens du rythme et une bonne puissance pour aborder au mieux chaque virage. Comme son nom l'indique, le parcours d'un slalom géant est plus long que celui de slalom. Les portes sont également plus espacées, ce qui donne des virages plus larges. Le dénivelé peut atteindre 450 m pour les hommes et 400 m pour les femmes. Les skieurs doivent négocier un minimum de 30 portes distancées les une des autres d'au moins dix mètres.

L'épreuve officielle comporte deux manches disputées sur deux parcours différents. Le skieur qui obtient le meilleur temps combiné des deux manches l'emporte.

[modifier] Super G

Le super G (créé en 1982) est, avec la descente, une des deux disciplines de vitesse. C'est un compromis entre la descente et le slalom géant ce qui la rend plus technique que la descente mais plus rapide que le géant. Les participants doivent donc être très précis à haute vitesse pour enchaîner de grandes courbes. La dénivellation en super-G est légèrement moindre qu'en descente, mais le parcours est préparé sensiblement de la même façon. Contrairement à la descente, les compétiteurs ne peuvent pas essayer le parcours avant la course officielle.

Le super G a été introduit par la FIS lors de la coupe du monde de 1986.

[modifier] Combiné

Cette épreuve a été créée pour la première fois aux championnats du monde de ski alpin de 1932. Il ne s'agit pas vraiment d'une discipline à part entière puisque les participants doivent réaliser une descente puis deux manches de slalom. Le total cumulatif des chronos des trois manches détermine le classement final. Cette épreuve permet de mettre en valeur les skieurs polyvalents qui savent jouer de leur vitesse dans la descente et rivaliser d'adresse et de technique dans le slalom.

Absent du menu olympique de 1952 à 1984 inclus, le combiné alpin a été réintroduit à Calgary en 1988. Il y a très peu de combiné lors d'une saison car il est rare que les épreuves techniques et de vitesse aient lieu le même week-end.

[modifier] Grands noms du ski alpin

Hommes

Femmes

[modifier] Popularité

Comme son nom l'indique, ce sport est très populaire dans les pays alpins mais également en Scandinavie. Depuis plusieurs décennies, le nombre d'adeptes est en augmentation au Japon et en Amérique du Nord.

[modifier] Ruptures des ligaments du genou

A cause des cales sous les chaussures qui donnent des effets de levier considérables qui ne sont pas atténués par des skis "sur des rails" le moindre incident provoque une surtension puis une rupture des ligaments du genou.

Fédération internationale de ski

Ski alpin : Coupe du MondeChampionnat du MondeJO

Ski de fond : Coupe du mondeChampionnat du mondeJO

Saut à ski : Coupe du mondeChampionnat du mondeJO

Ski acrobatique : Coupe du mondeChampionnat du mondeJO

Snowboard : Coupe du mondeChampionnat du mondeJO

Combiné nordique : Coupe du mondeChampionnat du mondeJO

Divers, autres : Ski de vitesseTélémarkSki sur herbe

Le CIO organise en partenariat avec la FIS les épreuves Olympiques dans les disciplines ci-dessus.

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