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Guerre d'Afghanistan (2001) - Wikipédia

Guerre d'Afghanistan (2001)

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La seconde guerre d'Afghanistan de l'histoire contemporaine opposa, en octobre et novembre 2001, les États-Unis, avec la contribution militaire de l'Alliance du Nord et de d'autres nations occidentales (Royaume-Uni, France...), au régime Taliban en Afghanistan. Cette guerre s'inscrit dans la « Guerre contre le terrorisme » déclarée par les États-Unis suite aux attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington DC.

Force Spéciale US en Afghanistan
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Force Spéciale US en Afghanistan

Sommaire

[modifier] Évenements antérieurs

Aprés la première guerre d'Afghanistan qui à conduit au retrait de l'armée rouge en 1989 puis à la chute du régime communiste en 1989, la guerre civile entre les divers factions continua. Les Talibans se formérent fin 1994 et conquirent en quelques années la plus grande partie du pays.

Les moudjahiddin non Taliban et d'autres groupes résistants avaient créé une coalition connue sous le nom d'Alliance du Nord, laquelle ne contrôlait plus que la partie nord du pays. Le 9 septembre 2001, soit deux jours avant les attentats perpétrés aux États-Unis par Al-Qaïda, le chef de l'Alliance, Ahmad Shah Massoud, est assassiné (vraisemblablement par des agents d'Al-Qaïda).

Deux jours après les attentats, le 13 septembre 2001, le Président des États-Unis George W. Bush demande au régime des Talibans l'extradition hors d'Afghanistan du chef d'Al-Qaïda Oussama Ben Laden, principal responsable des attaques sur New York et Washington DC. Ces derniers refusent et narguent les États-Unis.

Le président américain George W. Bush et le premier ministre britannique Tony Blair tiennent des discours télévisés pour informer leurs nations respectives du déroulement des opérations. Le premier ministre britannique Tony Blair livre en octobre et novembre une offensive diplomatique durant laquelle il converse avec plus de soixante chefs d’état du monde entier. Dans ses discours, George W. Bush complimente Tony Blair pour la participation britannique aux attaques. Hormis le Royaume-Uni, le Canada, la France, l'Australie et l’Allemagne déclarent également leur soutien. Le chef d’état pakistanais - le général Pervez Musharraf - exprime lui aussi son accord, malgré le manque d’enthousiasme des états arabes quant à l’élimination du réseau pakistanais d’Al-Qaida. Le Pakistan ouvre ainsi ses frontières aux vagues de réfugiés venant d’Afghanistan.

[modifier] Composition de la coalition

La première vague fut menée par les forces américaines et britannique. Néanmoins très vite une seconde vague vint soutenir la première grâce à la contribution de nombreux pays.

[modifier]  Australie

L'Australie a déployé environ 300 commandos SAS, soutenus par 400 soldats oeuvrant pour reconstruire le pays. Plusieurs frégates, deux avions P-3 Orion et des chasseurs F/A-18 sont également présents.

[modifier] Bahreïn

Plusieurs navires.

[modifier]  Canada

Environ 2 500 hommes, dont une quarantaine de commandos, 6 navires et 6 avions. Depuis le début de l'année 2006, l'armée canadienne dirige les opérations des forces alliés dans le sud de l'Afghanistan. Durant l'été 2006, le Canada a commandé l'opération Médusa et fut la nation majeure durant la Bataille de Panjwaii. 44 soldats, un diplomate et un civil ont péri depuis le début des opérations.

[modifier]  Croatie

150 soldats dont 10 se trouvent dans la zone de Kandahar. Les 140 autres sont déployés avec les français dans la zone de Kaboul ou avec les allemands dans la région de Mazar-e-sharif. A la fin 2007, la Croatie enverra 150 hommes de plus, portant ses effectifs à 300.

[modifier]  République tchèque

Plusieurs forces spéciales, localisés au camp Mauer, sont assignés à la reconnaissance. Déployés une première fois en mars 2004 et retirés en septembre de la même année, ils devraient à nouveau déployés en 2006.

[modifier]  Danemark

Le Danemark a déployé également des forces spéciales ainsi qu'un avion de transport C-130. Par la suite, 6 F-16 spécialisés dans l'attaque au sol ont été envoyés sur place. Le Danemark a actuellement perdu trois hommes lors d'opérations de déminage.

[modifier] (petit drapeau) France

Déployement du groupe aéronaval du porte-avions Charles de Gaulle, permanence de plusieurs navires de combat, envoi de 2 000 hommes au sol dont 200 des forces spéciales. Fin 2006, on compte 9 tués dans leurs rangs.

[modifier]  Allemagne

Plus de 2 200 soldats, dont les forces spéciales KSK, ont été projetés, ainsi que des navires et des équipes luttant contre les menaces NBC. 18 soldats ont été tué (4 lors d'opérations de déminage, 7 lors d'un crash d'hélicoptère, 1 dans une accident, 5 par des attentats suicides et 1 par une mine).


[modifier]  Irlande

[modifier]  Italie

Plusieurs navires de guerre, dont un porte-aéronef. 6 soldats italiens sont morts.

[modifier]  Japon

Soutien naval non militaire.

[modifier] Jordanie

Une équipe de déminage.

[modifier]  Lituanie

40 soldats des forces spéciales depuis 2002, renforcés par 120 soldats dans la province de Ghowr depuis 2005.

[modifier]  Pays-Bas

[modifier]  Norvège

[modifier]  Nouvelle-Zélande

[modifier]  Pakistan

[modifier]  Pologne

[modifier]  Portugal

115 commandos et 37 contrôleurs aériens à Kaboul.

[modifier] Roumanie

25 policiers militaires et un avion de transport C-130. 3 d'entre eux sont morts.

[modifier]  Suède

Environ 160 troupes d'élites et plusieurs équipes de déminage.

[modifier] UK

[modifier]  Ouzbékistan

L'Ouzbékistan a autorisé les forces américaines à stationner sur son sol pour des opérations humanitaires.

[modifier] Déroulement

Navy SEAL, janvier 2002, Afghanistan
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Navy SEAL, janvier 2002, Afghanistan

Les États-Unis ont déployé plus d’un millier d’hommes en Ouzbékistan, pays qui a autorisé le stationnement de troupes américaines sur son sol.

Dans l'Océan Indien, les portes-avions USS Carl Vinson et USS Enterprise (CVN-65), les autres navires de guerre et les sous-marins nucléaires d’attaque se préparent à l’offensive.

Mais l’un des principaux soutiens de l’opération se situe en Afghanistan. En effet le régime des Talibans, dirigé par le mollah Omar, ne contrôle pas la totalité du territoire afghan. Certaines régions, notamment à l’est et au nord du pays, sont tenues par entre 15 000 et 20 000 résistants anti-talibans dont l’alliance du Nord.

Le United States Central Command qui est en charge de la campagne compte enfin sur l’inégalité du rapport des forces en présence. Les talibans ne peuvent aligner que 15 000 soldats permanents et 70 000 mobilisables. Leur matériel de guerre, quelque peu vétuste, date pour l’essentiel de la guerre contre l’URSS, notamment des missiles américains (FIM-92 Stinger) et russes (SA-16, SA-18 et Scud).

A cela s’ajoutent des chars soviétiques T-54 et T-55, des lance-roquettes multiples, des 4x4 équipés de mitrailleuses.

[modifier] Opération Liberté immuable (Opération Enduring Freedom)

« Nous avons ouvert un nouveau front dans notre guerre contre le terrorisme ». Par ces mots, le porte-parole de la Maison-Blanche annonce le dimanche 7 octobre 2001, le début de l’opération « Liberté immuable ».

Des frégates et des sous-marins de l’US Navy et de la Royal Navy lancent une quarantaine de missile de croisière Tomahawk sur Kandahar, Kaboul et Jalalabad. Pendant 12 jours, 25 avions de combat et 15 bombardiers B-1B, B-2 et B-52 pilonnent Kaboul (notamment la centrale électrique et les bâtiments officiels), l’aéroport et le centre militaire de Kandahar, Jalalabad ainsi que les camps d’entraînement d’Oussama Ben Laden.

[modifier] Le « Front uni » anti-taliban

L’intervention américaine s’accompagne d’une série opérations militaires menées en divers points du territoire par les différentes composantes du « Front uni » anti-taliban, héritier de l’Alliance du Nord. Cette vaste nébuleuse regroupe les 4 principales formations militaires afghanes d’opposition aux talibans.

Le Jamaar-islami dirigé par le général Fahim, depuis la mort de Massoud compte 9 000 soldats appartenant pour la plupart à l’ethnie tadjike vivant au Nord-Est du pays. Ces forces opèrent sur 2 fronts : le nord de Kaboul et le Takhar.

C’est dans cette dernière région qu’ils tentent d’établir la jonction avec les troupes du général Dostom, composées d’Ouzbeks et basées autour de Mazar-i-Sharif.

A ces deux formations s’ajoutent les 2 500 rebelles hazaras, des chiites mongoles et persanophones vivant dans la région de Baghran, ainsi que les 4 000 « Tadjiks de l’Ouest », commandés par Ismail Khan et stationnés autour Chagcharan. Le « Front uni » tente de former un vaste croissant anti-taliban depuis le corridor de Wakhan, à l’est, jusqu’à la frontière iranienne, en pratiquant entre ces différents fronts.

[modifier] L’offensive commune

Avant le 7 octobre, des conseillers et plusieurs centaines de membres des forces spéciales occidentales (très majoritairement américaines) sont dépêchés afin de préparer des actions communes auprès des divers représentants du « Front uni ». Mais il s’agit surtout aussi de rallier par différents moyens, surtout financiers, les chefs de clans encore hésitants. Les Américains proposent de leur racheter leur matériel militaires, notamment les missiles sol-air Stinger qui leur avaient été distribués pendant la guerre contre les Soviétiques. 300 millions de dollars sont même destinés à fomenter des soulèvements contre les Talibans.

Le 20 octobre 2001, les plans d’intervention se précisent. Les forces spéciales américaines et britanniques sont déployées dans la région de Kandahar. Au nord du pays, un millier de soldats des unités d’élite américaines sont stationnés dans la base de Termez, à la frontière entre l’Ouzbékistan et l’Afghanistan pour aider et encadrer les forces du « Front uni ». Le premier objectif et de permettre aux combattants de Dostom de conquérir la province de Balkh, afin d’établir un accès direct avec les forces américaines basées en Ouzbékistan. Puis il s’agit de favoriser l’avancée des « Tadjiks de l’Est ».

Pour préparer cette double offensive dans l’Est du pays, l’armée américaine organise le bombardement intensif de Mazar-e Charif et de Kaboul. Grâce à ces pilonnages, les troupes de Dostom parviennent le 10 novembre 2001, à prendre le contrôle de Mazar-e Charif, provoquant la fuites de l’armée talibane. Deux jours plus tard, les « Tadjiks de l’Est » s’emparent de Hérat.

[modifier] La prise de Kaboul

La chute de Mazar e-Charif apparaît comme un véritable tournant dans la guerre. Elle galvanise les « Tadjiks de l’Est », dont l’avancée vers Kaboul est encore accélérée par le changement de stratégie des Talibans.

En effet, début novembre, le mollah Omar ordonne à ses troupes de se retirer de la capitale afin de concentrer la guerilla sur les régions de Nangharar, de Laghman et de Kunar qui bordent le Pakistan

Mais pour le gouvernement américain, la prise de Kaboul risque d’être trop rapide. Les autorités américaines et l’ancien roi Zaher Shah tentent de convaincre les « Tadjiks de l’Est » de ralentir leur progression, le temps de négocier la démilitarisation de la capitale et la répartition des pouvoirs entre les différentes ethnies, notamment les Pachtounes, majoritaires dans le pays. Mais les combattants tadjiks ne s’arrêtent pas : le 13 novembre 2001, ils prennent possession de Kaboul sans réels combats.

Cinq semaines après le début des opérations militaires, le régime des Talibans est renversé. Plusieurs milliers de Talibans ont été tués ou faits prisonniers tandis que 3 700 civils ont péri dans les combats.


Début novembre 2001, différents pays — parmi lesquels les Pays-Bas, l’Allemagne et le Japon — annoncent, à la demande des États-Unis et du Royaume-Uni, qu’ils vont eux aussi apporter une aide militaire.

Image de bâtiments de 5 nations engagées dans l'opération Enduring Freedom en mer d'Oman. De haut à gauche en bas à droite :  ITS Maestrale (F 570), FS De Grasse (D 612), USS John C. Stennis (CVN 74), USS Port Royal (CG 73), FS Charles de Gaulle (R 91), HMS Ocean (L 12), FS Surcouf (F 711), USS John F. Kennedy (CV 67), HNLMS Van Amstel (F 831), et ITS Luigi Durand de la Penne (D 560) (18 avril 2002).
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Image de bâtiments de 5 nations engagées dans l'opération Enduring Freedom en mer d'Oman. De haut à gauche en bas à droite : ITS Maestrale (F 570), FS De Grasse (D 612), USS John C. Stennis (CVN 74), USS Port Royal (CG 73), FS Charles de Gaulle (R 91), HMS Ocean (L 12), FS Surcouf (F 711), USS John F. Kennedy (CV 67), HNLMS Van Amstel (F 831), et ITS Luigi Durand de la Penne (D 560) (18 avril 2002).

[modifier] Crimes de guerre commis par les protagonistes

L'Alliance du nord, alliée des États-Unis, a été accusée de crimes de guerre, commis en novembre 2001, à l'encontre de prisonniers talibans et de membres d'Al-Qaïda. Le gouvernement des États-Unis est accusé de vouloir clore l'affaire pour ne pas déranger leurs alliés afghans et pour certains d'avoir même été les témoins direct des évènements.

Cette affaire a été révélée par le journal Newsweek, après la publication d'un mémorandum confidentiel de l'ONU, où il était question de fosses communes où plus de 3 000 cadavres ayant été trouvées. Selon le mémorandum, les éléments trouvés « suffisent à justifier une enquête criminelle officielle ». Toujours selon le mémorandum, ce serait le chef de guerre ouzbek Abdul Rachid Dostom qui en serait le responsable (ces milices ont affronté les forces du nouveau gouvernement qui voulaient les désarmer en avril 2004). Les prisonniers ont été enfermés dans des conteneurs sans eau et nourriture en plein soleil, pour être transportés en semi-remorque dans la prison de Sheberghan. Avant d'y arriver, les hommes de Abdul Rachid Dostom auraient sortis les cadavres et les auraient enterrés à Dashte-Leili.

Cela n'est malheureusement pas le seul cas de ce type rencontré au cours de cette guerre en cours depuis 1978. En 1997 et 1998, de telles scènes avaient déjà eu lieu, commises par les Talibans et leurs adversaires. Les villes de Meymana, Faryab, Hérat en autre furent aussi le théatre d'exécutions massives commises par les Talibans durant cette période, tandis qu'en 1998, la ville de Shebarghan vit leurs adversaires utiliser la même méthode.

[modifier] Aide humanitaire de l'armée

L'aide humanitaire fournie par l'armée en Afghanistan est aussi un sujet de critique. L'armée américaine, en distribuant une aide humanitaire, tient à se faire bien voir de la population, de manière à montrer qu'elle n'est pas qu'une armée d'invasion et d'occupation. Le problème est qu'en fournissant une aide humanitaire, l'armée fausse les cartes et fait croire à la population que toutes les aides humanitaires proviennent des États-Unis. Les associations et les différentes ONG se retrouvent donc sous les feux des critiques et certaines sont attaquées par des groupes terroristes talibans, sous prétexte qu'elles sont au service des États-Unis.

C'est ainsi que certaines ONG, comme Médecins sans frontières (MSF), quittent le pays pour des raisons de sécurité, alors qu'elles étaient présentes dans le pays depuis longtemps, même sous le régime des Talibans.

[modifier] Suites

Aujourd'hui les Talibans ne contrôleraient plus que quelques territoires de taille modeste au sud-est et au nord-est du pays.

De nombreux pourparlers sont entamés après les hostilités (entre autres une Loya Jirga) au sujet de la formation d’un nouveau gouvernement sous la direction de Hamid Karzai et l'OTAN s'engage fortement avec l'envoi de forces placé sous le commandement de l'ISAF;

Ce gouvernement reçoit un contrôle limité sur la majorité du territoire afghan. Mais en 2006, la situation est toujours délicate.

La nouvelle administration, les troupes d’occupation et les équipes d’aide sont souvent attaquées par les combattants talibans qui exercent toujours une guérilla, les chefs de guerre s'étant partagés une partie du territoire et les forces spéciales de pays occidentaux (États-Unis, Royaume-Uni, France, Canada et Pays-Bas[1]) poursuivent toujours leurs opérations afin de capturer Ben Laden. Ainsi, les 17 et 18 mai 2006, 90 rebelles talibans et 13 policiers ont été tués dans des opérations militaires au sud du pays[2].


[modifier] Les opérations Apollo, Athena et Archer

Le Canada a assuré l'opération Apollo (2001-04) pour 588 millions qui consistait à surveiller l'Océan Indien, l'opération Athena (de 2003 au début de 2006) pour 840 millions dans la région de Kaboul et commence ensuite l'opération Archer dans la région de Khandahar pour soulager les États-Unis d'Amérique pour un coût bien supérieur.

[modifier] Aide à la stabilisation et à la reconstruction

Unité slovène de la force d'assistance et de sécurité internationale
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Unité slovène de la force d'assistance et de sécurité internationale
Patrouille du 6th Marine Regiment le 23 mai 2004
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Patrouille du 6th Marine Regiment le 23 mai 2004

La coalition en Afghanistan a fait de nombreuses annonces visant à donner toutes les chances pour reconstruire le pays. Ces annonces sont notamment destinées à fournir :

  • une aide économique importante ;
  • une présence militaire et policière visant à protéger la population et démanteler les groupes terroristes (la force d'assistance et de sécurité internationale sous commandement de l'OTAN plus l'opération Enduring Freedom toujours en cours, 36 000 hommes au total, dont 20 000 soldats américains;
  • une formation pour créer une police et une armée nationale afghane qui seront finalement chargées de maintenir la sécurité du pays.

Mais toutes ces déclarations n'ont jamais été entièrement remplies. La communauté internationale a fait de nombreuses promesses sans les tenir complètement et la corruption locale à détourné une importante partie des milliards de dollars données par de nombreux pays.

Les critiques de la politique menée pour la guerre contre le terrorisme jugent que la pacification de l'Afghanistan n'est pas complète et que, sans cela, la guerre contre le terrorisme est un échec sur ce point. Sur les dix premiers mois de 2006, la guérilla et les combats ont fait plus de 3000 morts en Afghanistan[3]

[modifier] Matériel employé

Différentes techniques ont été utilisées durant le combat. Apparemment, on a commencé par tirer des missiles Tomahawk à partir de sous-marins et de navires de guerre britanniques et américains. Ensuite, les américain ont envoyé des hélicoptères et des avions de chasse. On estime à 150 et à 25 le nombre - respectivement - d’avions de chasse et de bombardiers utilisés. On a également envisagé d’envoyer le premier jour deux avion de transport McDonnell Douglas C-17 Globemaster III pour larger 37 500 rations de nourriture pour des groupes de réfugiés en Afghanistan.

L'armée canadienne a commencé par utiliser ses anciens Iltis, puis des Mercedes type G blindés, et à partir de mars 2006 les RG-31 Nyala capable de résister aux attentats suicides et des mines.

[modifier] La presse

Al-Jazeera, le premier réseau médiatique arabe, a montré des enregistrements vidéo préenregistrés d’un discours de Ben Laden, dans lequel ce dernier condamne chaque attaque contre l’Afghanistan. Al-Jazeera clame qu’elle a reçu ces bandes récemment. Ben Laden y dit aussi qu’il est le réel responsable des attaques du 11 septembre, que les États-Unis vont s’écraser après avoir échoué dans leur mission en Afghanistan (comme l’Union soviétique auparavant), et il appelle les musulmans à la guerre sainte (jihad) contre l’Amérique, le christianisme (« les croisés »), Israël (« les sionistes ») et le reste du monde.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Notes

  1. « De violents combats opposent les armées américaine et afghane aux Talibans » dans Le Monde web, 19/05/2006
  2. « Plus de cent morts lors d'affrontements dans le sud de l'Afghanistan » dans Le Monde web, 18/05/2006
  3. « Des dizaines de civils afghans tués dans un raid aérien de l'OTAN », dans Le Monde du 26/10/2006, [lire en ligne]

[modifier] Lien interne

  • Suite des opérations militaires
    • Opération Anaconda : 2002 voir l'entrée dans l'homonymie
    • Opérations sporadiques au Waziristan depuis 2004 (le terme de "Guerre" est employé pour cette guérilla)

[modifier] Lien externe

Wikimedia Commons propose des documents multimédia sur Category:ISAF.
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