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Alfred Adler - Wikipédia

Alfred Adler

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Alfred Adler, fondateur de la psychologie individuelle

Alfred Adler (1870 - 1937) est un médecin, psychologue et psychiatre autrichien. Il a élaboré une théorie, la psychologie individuelle, fondée sur le sentiment d'infériorité.

Sommaire

[modifier] Introduction

Avec Freud et Jung, Alfred Adler est un des trois pères fondateurs de la psychologie des profondeurs. Il s'est séparé du « père » en déplaçant le principe explicatif des comportements de la libido des pulsions sexuelles à la « compensation » des sentiments d'infériorité. « Être homme, c'est se sentir inférieur » écrit Adler. Le principal problème pour l'homme est de liquider son sentiment d'infériorité. L'exemple illustratif est ce garçon chétif de Pennsylvanie devenu plusieurs fois champion de natation en 100 mètres nage libre et dont le record n'a pas été battu. C'est Johnny Weissmuller (1904 - 1984), plus connu comme acteur dans le rôle de Tarzan.

Ce sentiment d'infériorité peut se répandre et s'incruster en un « complexe d'infériorité » dont la surcompensation conduit à l'oscillation entre « automisérabilisme » et « autoglorification » aussi bien sur le plan individuel que dans l'espace collectif des sociétés

Le « complexe d’infériorité » est un nœud de sentiments d'infériorité vis-à-vis des autres de quelque façon. Il est souvent inconscient et peut conduire des individus à des réalisations grandioses ou à des comportements asociaux. Dans ses premiers travaux, il utilisait en exemples les complexes de Napoléon pour illustrer sa théorie. Des sociologues ont proposé l’existence de ce complexe d’infériorité à un niveau plus large des réalisations culturelles, économiques et politiques.

La compensation, au même niveau, est une « réaction » newtonienne de même nature que celle d'infériorité ressentie, d'orientation contraire et d'intensité au moins égale. À un autre niveau, la compensation peut être une rhétorique qui remplace l'action. Dans un autre champ, la compensation peut être un surdéveloppement intellectuel, en contraste à un sous-développement physique ou inversement.

Cadet d’une fratrie de trois enfants, né et élevé à Vienne d’une famille juive de marchands de grain, Alfred Adler a eu son doctorat en médecine en 1895, s’intéressa tôt à la psychologie des désordres physiques et rencontra Sigmund Freud en 1899 avec qui il forma la Société psychanalytique de Vienne dont il fut président. Il était influencé par les idées de Hans Vaihinger et développa une théorie organique de l’infériorité et de la surcompensation. La divergence avec Freud sur la primauté du libido et la notion de refoulement survint en 1911 au Congrès de psychanalyse à Weimar et se forma la Société de psychologie individuelle en 1912.

Le déni d'un sentiment d'infériorité peut transformer une difficulté à entrependre en un problème de complexe d'infériorité des névroses. Une compensation réussie peut donner lieu à des réussites éclatantes et la surcompensation à une personnalité agressive, associale, égocentrique ou mythomaniaque.

En transformant une déficience en avantage, le traitement paradoxal peut donner des résultats favorables, tout comme l'humour et le jeu d'une représentation théâtrale (play), en contraste au jeu d'une simulacre de lutte (game).

Adler pense que la théorie du refoulement soit remplacée par le concept des « tendances défensives du moi » d’un état névrotique dérivé des sentiments d’infériorité et de la surcompensation de la « protestation masculine » dans une Vienne catholique romaine phallocrate et antisémite. Freud, manifestement phallocrate, se dissocie de Adler avec la protestation masculine qui a été le point de départ des révenications des « suffragettes » en avant-garde des mouvements féministes d'aujourd'hui. Cette protestation masculine a été une révolte contre la domination machiste.

[modifier] L'homme et son œuvre

Alfred Adler (1870-1937), médecin viennois, était un des trois pères fondateurs de la psychologie des profondeurs avec Freud et Jung. Il s'est séparé du "Père" en déplaçant le principe explicatif des comportements de la "libido" des pulsions sexuelles à la "compensation" des sentiments d'infériorité. "Être homme, c'est se sentir inférieur" écrit Adler. Le principal problème pour l'homme est de liquider son sentiment d'infériorité jusqu'à un "complexe d’infériorité" qui est un nœud de sentiments d’infériorité vis-à-vis des autres de quelque façon. Il est souvent inconscient et peut conduire des individus à des réalisations grandioses ou à des comportements associaux. Dans ses premiers travaux, il utilisait, en exemples, les complexes de Napoléon pour illustrer sa théorie. Des sociologues ont proposé l’existence de ce complexe d’infériorité à un niveau plus large des réalisations culturelles, économiques et politiques. Cadet d’une fratrie de trois enfants nés et élevé, à Vienne d’une famille juive de marchant de grain, Alfred Adler a eu son doctorat en médecine en 1895, s’intéressa tôt à la psychologie des désordres physiques et rencontra Sigmund Freud en 1899 avec qui il forma la "Société psychanalytique de Vienne" dont il fut président.. Il était influencé par les idées Hans Vaihinger sur les conduites orientées vers un but et développa une " théorie organique de l’infériorité et de la surcompensation ". La divergence avec Freud sur la primauté de la libido et de la notion de refoulement survint en 1911 au "Congrès de psychanalyse" à Weimar et se forma la "Société de psychologie individuelle" en 1912. Adler pense que la théorie du refoulement soit remplacée par le concept des "tendances défensives du moi" d’un état névrotique dérivé des sentiments d’infériorité et de la surcompensation de la "protestation virile" dans une Vienne catholique romaine phallocrate et antisémite.

[modifier] Sentiment d’infériorité et compensation

Comme Freud Juif et Autrichien, Alfred Adler, né à Vienne en 1870, s'orienta lui aussi vers la neuropsychiatrie, après s'être momentanément spécialisé en ophtalmologie. Lorsqu'il fit, en 1901, la connaissance de Freud, son aîné de 14 ans, les recherches du créateur de la psychanalyse sur l'étiologie de l'hystérie et des névroses, le passionnèrent et lui apportèrent un stimulant précieux. Mais il n'approuvait guère l'extrême importance attribuée par Freud alors à la sexualité. Dans son premier ouvrage de 1907 "Les infériorités organiques et leur retentissement psychique", il affirme déjà une conception originale. Mais, c'est en 1911 seulement que se produisit la scission définitive. Depuis lors, aux côtés de la psychanalyse freudienne, coexistera la " psychologie individuelle " d'Alfred Adler, que son créateur propagera jusqu'à Sa mort, en 1937, par une activité intense, partageant son temps entre ses consultations, des cours et des conférences en Europe et aux États-Unis, des articles et d'importants ouvrages ("Guérir et éduquer", "Manuel de psychologie individuelle", "La connaissance de l'homme", "Le tempérament nerveux"). Alors que Freud était comme hypnotisé au début par sa découverte du rôle joué par la sexualité dans l'étiologie des névroses, Adler insista d'emblée sur les " instincts " dominateurs du " moi " et sur les innombrables rivalités qui en découlent. Contrairement à Freud, Adler était persuadé que la personnalité humaine implique une certaine finalité ou " téléologie", que son comportement, au sens le plus large du terme, théorique et pratique, est toujours fonction d'un but orienté dès l'enfance. Il appelle "plan de vie" cette orientation fondamentale, bien antérieure au fameux " projet fondamental " de Sartre.

Philosophiquement, Adler se situe lui aussi dans le courant de la pensée irrationnelle qui remonte à Schopenhauer. Sa parenté mentale avec des hommes tels que Nietzsche, Dilthey et Hans Vaihinger, est certaine, mais il s'en distingue par le caractère essentiellement pratique de ses propres préoccupations. Pour Adler, toutes les " valeurs " sont nées des besoins de la vie sociale, et la grande affaire est, à ses yeux, le développement d'un sentiment communautaire, capable d'harmoniser les exigences individuelles et celles de la société. Nietzschéen, il admet que la vie soit une lutte. L'individu doit s'imposer de quelque manière, chercher à dominer d'une certaine façon. L'échec de cette tendance dominatrice congénitale engendre ce qui apparaît comme le leitmotiv de la psychologie individuelle le "sentiment d'infériorité", auquel le nom d'Adler restera lié comme à celui de Jung l'inconscient collectif. Chez l'enfant, qui doit se dépasser sans cesse à un rythme accéléré, cette tendance dominatrice est particulièrement forte. Mais, comme la contrainte de son entourage l'oblige à réprimer ses désirs, un violent conflit des premières années est inévitable. Adler considère donc que le sentiment d'infériorité soit "naturel" chez l'enfant, dont la faiblesse est réelle par rapport aux adultes, mais qu'il doive disparaître avec le développement de la personnalité et il disparaîtra si le besoin d'auto-affirmation, dans ce développement, est satisfait d'une manière positive, c'est-à-dire socialement ou culturellement valable. À défaut, le sentiment d'infériorité se cristallise et devient un "complexe". Pour Adler, toute infériorité a pour corollaire automatique la recherche d'une compensation, au niveau déjà de la vie physiologique. La "compensation" apparaît ainsi chez lui une notion clé, au même titre que celle du "refoulement" chez Freud.

[modifier] Infériorités physique et sociale

Lorsqu'un individu naît avec une infériorité organique constitutionnelle physique ou une infériorité conventionnelle sociale par attribution des significations et des valeurs, toute une série de processus inconscients se déclenchent, à la fois physiologiques et psychiques, pour rétablir un certain équilibre à engendrer un développement qui compense d'une manière quelconque cette infériorité. La "libido" freudienne, dans cette perspective, apparaît comme subordonnée à un "instinct" de domination ; et le personnage de Don Juan, par exemple, s'expliquerait mieux par le rôle qu'y jouent la vanité et la volonté de puissance, que par l'érotisme comme tel. Adler pense d'ailleurs qu'il y a des "Don Juan" féminins, dont le comportement trahit l'intention de dominer et d'humilier l'homme. Il a décrit sous le nom de "protestation virile" l'attitude de certaines femmes - "garçons manqués", "femmes phalliques", "viragos", "pétroleuses", ou "amazones", etc. - qui peut conduire aisément à la frigidité ou à l'homosexualité. Il croit que le besoin de dominer, trouvant aussi l'occasion de s'exercer sous le couvert de la compassion et du dévouement, pousse des femmes à aimer un être faible ou infirme. Il pense aussi que l'infériorité ressentie à cette époque de la vie puisse jouer un grand rôle dans les névroses si fréquentes à l'âge critique.

Étant donné le rôle quasiment exclusif attribué par Adler à la visée compensatoire, il n'est pas étonnant que son interprétation des rêves diffère en tous points de celle de Freud. Il ne lui importe nullement de chercher en eux les traces d'un traumatisme initial, étant persuadé que tous les souvenirs oniriques sont évoqués par rapport à une projection vers un avenir proche ou lointain. Le rêve a pour sens, affirme-t-il, de préparer par des tâtonnements une voie à la supériorité désirée par le dormeur et de créer en lui un certain état affectif, une sorte d'entraînement inconscient propre à lui faciliter la confrontation avec certaines difficultés rencontrées par son besoin particulier d'affirmation. La fixation d'un sentiment d'infériorité peut avoir des conséquences très diverses. Outre le cas d'une infériorité réelle, organique ou fonctionnelle, très souvent héréditaire, accidentelle ou congénitale, ou encore simplement conventionnelle (l’anomalie de l'enfant roux, par exemple, ou porteur de lunettes ou encore n’importe quelle différence avec les " autres "), elle peut avoir pour origine une éducation maladroite (parents tyranniques ou trop vaniteux, qui comparent sans cesse leurs enfants avec d'autres plus doués), ou une situation sociale frustrée (enfants de prolétaires notamment, dont le développement se heurte à des obstacles matériels et psychologiques), et une situation particulièrement grave lorsqu'il s'agit d'orphelins abandonnés ou élevés par l'Assistance publique. Des circonstances particulières peuvent également jouer un rôle déterminant: l'introduction dans le cercle familial d'un nouveau venu, le plus souvent un petit frère ou une petite sœur, qui capte un intérêt dont l'enfant bénéficiait seul jusqu'alors. Inversement, un cadet pourra se sentir écrasé par ses frères ou sœurs plus âgés.

Un tel inventaire pourrait être considérablement allongé. Il suffit de comprendre, en l'occurrence, que ces diverses causes comptent moins pour Adler que leurs conséquences qui entraînent la formation d'un certain "plan de vie". Conséquences elles-mêmes nombreuses et variables, encore qu'elles puissent être ramenées à un dénominateur commun, et dont Adler a observé justement le caractère d’ambiguïté paradoxale. Car elles peuvent se manifester alternativement, parfois chez un même individu ou un groupe humain, par une timidité paralysante et une résignation excessive, ou par de la forfanterie et du bluff. C’est la surcompensation qui conduit à l’oscillation entre "auto-misérabilisme" et "auto-glorification", comme le zigzag d’un dérapage en automobile sur une route glissante à droite corrigé ou compensé par un grand coup de volant à gauche et ainsi de suite.

Si tout être humain, selon Adler, pense et agit en fonction d'une finalité qui lui est propre, le névrosé est, à ses yeux, celui qui mobilise exagérément ses forces psychiques pour réagir à un sentiment d'infériorité et cela dans un sens orienté, le plus souvent, vers un but fictif de puissance et de supériorité. Si son irrationalisme lui fait admettre que toute volonté constitue un effort de compensation au service des "instincts" de domination du "moi", il considère que le besoin de compenser un sentiment d'infériorité est, chez les nerveux, à la racine même de la volonté et de la pensée. Adler a bien vu qu'une extrême susceptibilité est toujours le signe révélateur d'un sentiment d'infériorité, en ce qu'elle surgit chaque fois que la personne a le vague sentiment qu'on a mis le doigt sur le défaut de sa cuirasse. Dans le meilleur des cas, la compensation est positive, voire triomphante. C'est celui de l'individu qui, ayant affronté résolument son sentiment d'infériorité, l'a surmonté au point que le résultat est finalement supérieur à celui qu'il aurait obtenu si, mieux pourvu au départ, il s'était trop reposé sur un oreiller de paresse. Il y a certainement là une profonde vérité de la psychologie adlérienne, trop souvent méconnue de ceux qui attendent trop des fameux "tests" en matière d'orientation professionnelle. Car une tension de cet ordre échappe forcément à l'observation objective, recourut-elle aux instruments les plus subtilement perfectionnés.

À cette sorte de surcompensation, considérée comme pleinement valable, Adler oppose d'autres plus fréquentes, mais malheureuses, négatives. Compensations dissimulatrices dans le cas de l'individu qui cherche toujours un alibi à ses dérobades devant des décisions susceptibles de blesser son amour-propre, qui prétexte son indolence naturelle, sa lassitude, ou se retranche derrière un "à quoi bon?" d'esprit fort ou de celui qui se complaît dans un héroïsme verbal, bluffe les autres et lui-même, tombe dans la mythomanie ou qui recourt à la médisance pour diminuer les mérites des autres, pour les nier dans leur supériorité. On n'en finirait pas d'énoncer les diverses formes de compensation dissimulatrice visant à duper autrui et surtout soi-même, par une attitude ou par quelque prouesse compensatoire (excès de vitesse, bravades, paris stupides, beuveries d'étudiants, etc.). Il a été rappelé que le besoin de compenser, selon Adler, puisse fournir en dernier ressort la clé des rêves. Il leur attribue comme fonction de satisfaire fictivement un "instinct de puissance", ainsi qu'en témoigne la "mégalomanie", ce rêve éveillé, et observe que le délire somnambulique lui-même trahit ce besoin de domination (le fait de monter sur un toit). Les fugues d'enfants, dues selon Freud à la jalousie à l'égard du père, à l'hostilité éprouvée envers lui, manifestent - dans la perspective adlérienne - le besoin de sauver un "moi" menacé d'étouffement. Plus fréquemment, la fuite dans la volupté, avec le sentiment de puissance, d'échappement à soi qu'elle dispense, constitue un fantôme de compensation.

D'autres formes compensatoires (exploitatrices) comportent elles aussi des modalités diverses dont on ne saurait donner une liste exhaustive. C'est l'enfant qui continue à mouiller son lit, comme s'il préférait être plutôt puni que de vivre dans ce qu'il éprouve comme de l'indifférence. C'est le névrosé qui s'installe dans la maladie, comme s'il trouvait dans la tyrannie exercée sur son entourage une satisfaction dépassant la misère de son état. À la lumière de la médecine dite psychosomatique, aujourd'hui en plein essor, maintes idées adlériennes sont d'un grand intérêt, encore qu'elles paraissent trop radicales dans ce domaine, en admettant que tous les troubles sont l'expression symbolique d'une certaine visée "téléologique". De toute façon, Adler a le mérite d'avoir élaboré, bien avant Freud, une théorie de la personnalité totale, d'avoir mis en valeur, en montrant l'existence d'une finalité névrotique, les forces du "moi" et leur besoin d'expansion. Les freudiens lui ont reproché une méconnaissance du rôle de l'inconscient, une distinction très insuffisante entre ses processus et ceux de la conscience. Une telle distinction apparaît, en effet, comme tout à fait secondaire chez Adler qui estime suffisante la constatation que le sentiment d'infériorité, lorsqu'il s'installe, puisse susciter un malaise intérieur poussant l'individu à s'engager dans un certain type de compensation. Adler a même demandé de remplacer le "refoulement", fondement de l’inconscient freudien par des "tendances défensives du moi".

Quoi qu'il en soit de ce problème particulier, un autre mérite de la "psychologie individuelle" adlerienne est de rendre compte des facteurs culturels, en admettant le rôle d'infériorités conventionnelles. Il n'est guère douteux que, dans une société comme la nôtre, où la concurrence s'exerce avec une singulière âpreté, la femme se trouve placée dans une situation ambiguë, propre à favoriser chez elle ce refus de la féminité et de ses servitudes qu'Adler décrit sous le nom de "protestation virile". Il va de même pour le "métèque", étranger et tutti quanti. Comparées aux idées freudiennes, celles d'Adler frappent par leur simplicité, par leur schématisme. Ce caractère peut apparaître comme un avantage ou un défaut aux yeux des freudiens, qui voient dans ce "simplisme" d’une "économie d’explication" qui est la simplicité de la règle ou "Rasoir d'Ockham" ("Entia non sunt multiplicanda, praeter necessitatem", ne pas multiplier des entités explicatives sans necessité). Un aspect positif de la psychologie adlérienne doit, en tout cas, être souligné: sa démonstration qu'un individu, presque toujours, puisse exploiter au maximum aussi bien ses faiblesses que ses dons naturels et ses talents appris et que l'essentiel soit le courage avec lequel il affronte son infériorité, réelle ou conventionnelle. La vie même d'Adler constitue une illustration de sa théorie. Enfant chétif constitutionnel et juif conventionnel, il eut à exercer de bonne heure son énergie dans un sens qui devait lui permettre de surmonter cette faiblesse constitutionnelle et cette infériorité conventionnelle. À l'école, il eut à surmonter de grandes " difficultés ". Ces conditions particulières inciteront Jung à expliquer par des différences caractérologiques les divergences de vue entre Adler et Freud : Freud, "extraverti " selon Jung, devait élaborer une théorie de la libido et attribuer une grande importance au "transfert"; Adler, " introverti ", devait mettre tout l'accent sur l'individu préoccupé de lui-même et de son propre dépassement dans la relativité du normal et du pathologique.

[modifier] La psychologie individuelle

En contraste à Freud qui cherche la cause dans la “scène primitive”, Adler était persuadé que la personnalité humaine implique une certaine finalité ou " téléologie", que son comportement, au sens le plus large du terme, théorique et pratique, soit toujours fonction d'un but orienté dès l'enfance. Il appelle "plan de vie" cette orientation fondamentale, bien antérieure au fameux "projet fondamental" de Jean-Paul Sartre. Pour Adler, toutes les "valeurs" sont nées des besoins de la vie sociale et la grande affaire est, à ses yeux, le développement d'un sentiment communautaire, capable d'harmoniser les exigences individuelles et celles de la société. Nietzschéen, il admet que la vie soit une lutte. L'individu doit s'imposer de quelque manière, chercher à dominer d'une certaine façon. L'échec de cette tendance dominatrice congénitale engendre ce qui apparaît comme le leitmotiv de la psychologie individuelle le "sentiment d'infériorité", auquel le nom d'Adler restera lié comme à celui de Jung l'inconscient collectif. Chez l'enfant, qui doit se dépasser sans cesse à un rythme accéléré, cette tendance dominatrice est particulièrement forte. Mais, comme la contrainte de son entourage l'oblige à réprimer ses désirs, un violent conflit des premières années est inévitable. Adler considère donc que le sentiment d'infériorité soit "naturel" chez l'enfant dont la faiblesse est réelle par rapport aux adultes, mais qu'il doive disparaître avec le développement de la personnalité et il disparaîtra si le besoin d'auto-affirmation dans ce développement est satisfait d'une manière positive, c'est-à-dire socialement ou culturellement valable. À défaut, le sentiment d'infériorité se cristallise et devient un "complexe". Pour Adler, toute infériorité a pour corollaire automatique la recherche d'une compensation, au niveau déjà de la vie physiologique. La "compensation" apparaît ainsi chez lui une notion clé, au même titre que celle du "refoulement" chez Freud.

[modifier] Les contributions de la psychologie individuelle

Mais est-ce déjà de la névrose? La psychologie individuelle a vraiment beaucoup contribué à éclaircir le fait qu'on peut être bien ou mal préparé pour résoudre les problèmes de la vie et qu'entre ces deux extrêmes il existe des milliers de variantes. Elle a aussi contribué à faire comprendre que le sentiment d'inaptitude à résoudre les problèmes, fait vibrer le corps et l'âme de mille façons en face du facteur exogène. Elle a démontré que la préparation défectueuse remonte à la première enfance et qu'elle ne se laisse améliorer ni par l'expérience, ni par des émotions, mais uniquement par une meilleure compréhension. Et elle a découvert comme facteur intégrant dans le style de vie le sentiment social, qui doit être présent d'une façon décisive pour la solution de tous les problèmes vitaux.

Le "complexe d'infériorité" a été décrit comme des manifestations organiques et psychiques qui accompagnent le sentiment de l'échec et qui le caractérisent. Les effets de choc, en cas de complexe d'infériorité, sont évidemment plus grands chez des individus mal préparés que chez ceux qui le sont mieux, ils le sont moins chez des êtres courageux que chez des êtres découragés et qui cherchent constamment une aide extérieure. Le sentiment d’infériorité est souvent asocié au sentiment de culpabilité. Cette histoire inventéée pourrait être un exemple ilustratif.

Deux amis se rencontrent par hasard après une longue période d’absence de contacts.

  • Vous ici?
  • Je n’aurais donc pas dû?

Les manifestations psychiques les plus évidentes sont l’estime de soi, la confiance en soi à un niveau assez bas. Le manque d’humour est une manifestation comportementale aussi évidente, car le sujet se sent attaqué par la moindre plaisanterie et la plus gentille moquerie.

Chacun a des détresses qui l'ébranlent plus ou moins, chacun les ressent dans son corps et dans son âme. Notre ensemble organique, les conditions sociales extérieures ne dispensent personne du “sentiment d'infériorité” vis-à-vis du monde extérieur. Les infériorités organiques héréditaires sont trop fréquentes pour qu'elles ne soient pas touchées par les dures exigences de la vie.

Les facteurs extérieurs qui influencent l'enfant ne sont pas de nature à lui faciliter la structure d'un style de vie "juste". Le fait d'avoir été gâté principalement, d'avoir été négligé, apparemment ou effectivement, incitent l'enfant trop souvent à se mettre en contradiction avec le sentiment social.

Ajoutons à cela que l'enfant trouve sa loi dynamique le plus souvent sans être convenablement guidé d'après la loi trompeuse de l'expérience et de l'erreur, avec un libre choix personnel, simplement limitée par les possibilités humaines mais tendant toujours vers un but de supériorité par des milliers de variantes. La force créatrice de l'enfant emploie, "utilise" toutes ses impressions et toutes ses sensations pour édifier une attitude définitive en face de la vie, pour développer sa loi dynamique individuelle.

Ce fait, mis en évidence par la psychologie individuelle, a été désigné plus tard comme une "attitude" ou "forme", sans tenir compte de l'ensemble de l'individu et de ses rapports étroits avec les trois grandes questions de la vie et aussi sans reconnaître la contribution de la psychologie individuelle.

[modifier] Compensation et surcompensation

La compensation est une stratégie de retournement et de contournement du sentiment d’infériorité. La compensation et surcompensation imaginaires sont dans l’oscillation entre “automisérabilisme” et “autoglorification” que l’on retrouve chez les individus aussi bien que chez les peuples.

La compensation, en mécanique newtonienne, est l’élément “réactif” mis en œuvre pour contrer un élément actif dans l’équilibration d’une structure. L'exemple illustratif est ce garçon chétif de Pennsylvanie devenu plusieurs fois champion de natation en 100m nage libre et dont le record n'a pas été battu. C'est Johnny Weissmuller (1904-1984) plus connu comme acteur dans le rôle de Tarzan.

1 - Compensation au même niveau de réalité que celui du sentiment d'infériorité, comme la force physique pour la faiblesse physique, la richesse monétaire pour la pauvreté monétaire, le prix d'un concours de beauté pour une laideur ressentie et ainsi de suite.

2 - Compensation à un autre niveau de réalité, comme la rhétorique qui remplace l'action dans les vantardises, comme la puissance intellectuelle pour une faiblesse physique, comme le droit de la force pour la force du droit dans beaucoup de cas

Des anthropologues, politologues et sociologues ont utilisé ces notions de sentiment d’infériorité et de compensation dans leur champ opératoire. Pour l’anthropologue, c’est une langue bâtarde, métisse de toutes les immigrations, devenue une langue universelle, à la mesure du latin en son temps. Pour le politologue, c’est la guerrilla, ou petite guerre des pauvres, qui compense la faiblesse matérielle par la force idéologique. Pour le sociologue, c’est aussi la rhétorique qui remplace l’action dans beaucoup d’exemples illustratifs possibles. En philosophie, il y a la dialectique du maître et de l’esclave chez Hegel. Avec son autorité, le Maître est servi par ses esclaves. Ne faisant plus rien, le Maître n’acquiert plus de nouvelles compétences et perd ses compétences acquises et son autorité. L’esclave, en servant, acquiert de plus en plus de nouvelles compétences et une nouvelle autorité. Le Maître devient l’esclave de son ancien esclave et l’esclave devient le nouveau Maître dans cette dialectique.

Sur le plan collectif et en cherchant profondément et largement dans leur histoire, les États-Unis, Israël et le Viêt Nam représentent des exemples de compensation réussie, les États-Unis, d'une nation d'immigrants venus de toutes les mers sont devenus une superpuissance dans les dimensions culturelle, économique, politique et militaire, Israël moderne est faite de différentes défaites et dispersions. Le Viêt Nam, de sa longue marche vers le Sud, du Quang Dong (anton, Yue en chinois) qui donne "Viêt", pour se sauver des "Han", jusqu'à devenir à la fin du XXème siècle une puissance régiomale après des siècles de domination chinoise et des décennies de colonisation française.

Dans l'espace individuel, à la source de grandes réussites, il y a le sentiment d'infériorité, comme ce petit corse maigrichon immigré en France pour devenir le grand Napoléon dont le prénom suffit.

Il y a aussi des compensations dissimulatrices. C'est le cas de l'individu qui cherche toujours un alibi à ses dérobades devant des décisions susceptibles de blesser son amour-propre ; qui prétexte son indolence naturelle, sa lassitude, ou se retranche derrière un " à quoi bon ? " C'est l'esprit fort de celui qui se complaît dans un héroïsme verbal, bluffe les autres et lui-même, tombe dans la mythomanie ou qui recourt à la médisance pour diminuer les mérites des autres, pour les nier dans leur supériorité. C'est le cas social individuel et collectif qui consiste à dévaloriser l'autre pour se valoriser. On n'en finirait pas d'énoncer les diverses formes de compensation dissimulatrice, visant à duper autrui et surtout soi-même, par une attitude ou par quelque prouesse compensatoire (excès de vitesse, bravades, paris stupides, beuveries d'étudiants et ainsi de suite dans une énumération fastidieuse.).

  • Sur le plan individuel,un exemple illustratif de compensation réussie est celle de David (Mickey) Marcus un petit oyou des trottoirs de Brooklyn, fils d’Immigrants juifs d’Euope centrale. Par ses performances intellectuelles et athlétique,, il a pu entrer à l’Académie Militaire de West Point, NY, et sortir avec des résultats impressionnants. À la Guerre israélo-arabe de1948, il a contribué à faire de bons combattants à partir des survivants de l’holocauste et gagner la Bataille de Latroun qui a ouvert la route de Jérusalem assiégé et affamé. http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/biography/marcus.html
  • Dans l’espace collectif, l’exemple illustratif de compensation réussie est celle des Nippo-Américains du 442 RCT, fils d’Immigrants japonais, qui ont démontré leur patriotisme et leur loyauté au pays d’accueil qui les a exclu et méprisé. Leur démonstration a fortement contribué à faire passer le Territoire d’Hawaï au statut d’État d’Hawaï.

[modifier] Alfred Adler et Ronald Laing

Par l’étiologie sociale de la psychologie individuelle l’antipsychiatrie de Ronald Laing rejoint le sentiment d'infériorité de Adler par les lieux de vie qui sont à la fois pathogènes et curatifs.Le sentiment d'infériorité génère l'angoisse des peurs appréhendés. Les premiers travaux de Adler se portaient sur la névrose et la psychose.

Les lieux de vie créent une ambiance permettant aux gens de prendre conscience de leur souffrance. Le travail soignant sera d'aider l'individu dans son expérience, de pourvoir à ses besoins élémentaires, de laisser surgir l'effondrement, puis la guérison sans s'immiscer dans le processus. Ces lieux s'opposent aux valeurs de la famille nucléaire, et font éclater la vie de couple et les liens de parenté.

Il faut voir cela comme une tentative de débarrasser le malade de toute contrainte sociale. Et aussi comme une acceptation et une réponse par rapport au langage de la folie. Le personnel est référent privilégié des malades. Dans chaque communauté, chacun peut discuter des faits et gestes de tout le monde. Il faut assister le malade dans son délire plutôt que l'arrêter. Il y a une reconsidération de la maladie mentale, comme partie intégrante d'un processus social. Puisque les hôpitaux psychiatriques ne peuvent accueillir les expériences communautaires, les participants sont obligés de fonder leurs propres locaux. Le malade est quelqu'un en crise et le soignant est là pour recueillir cette crise. Les buts de l'antipsychiatrie sont la tolérance et l'acceptation de la folie. Ainsi est l’avis de Ronald Laing.

  • "[…] Je pense que les schizophrènes ont plus de choses à apprendre aux psychiatres sur leur monde intérieur, que les psychiatres aux malades". La société -et ils rejoignent en cela Alfred Adler - a un rôle déterminant dans la maladie. Le psychiatre est un agent du pouvoir médical. L'hôpital psychiatrique reproduit dans une large mesure le jeu pathogène de la famille, contraignant le malade à réagir de façon apparemment arbitraire, à l'encontre du cadre qui l'angoisse. L'aliénation mentale renvoie à un comportement et à une expérience qui sont inacceptables dans le cadre culturel où nous vivons. Dans les communautés, les patients sont à tour de rôle soignants de l'un d'entre eux: c'est le groupe qui s'autorégule, qui contrôle le délire de ses membres. Quand les manifestations délirantes ne sont plus tolérables, le groupe demande au patient de s'isoler. "Nous nous soumettons aux règles pour être accepté des autres".

L'antipsychiatrie fut un moment d'interrogation, de flottement, d'ambivalence et de vérité de la psychiatrie. Actuellement, de l'antipsychiatrie ne restent que les lieux de vie et les communautés, mais rattachés à la psychiatrie traditionnelle.

L'individu se réfugie dans la folie pour faire face à une situation sociale intolérable. La psychose est un voyage intérieur, une période de dépression menant à une reconstruction qui permet de trouver un meilleur contact avec soi. L'antipsychiatrie s'engage dans une expérience en milieu psychiatrique sur le mode des communautés thérapeutiques. Il s'agit de faire en sorte que les malades gèrent eux-mêmes leur communauté, ainsi que les mesures thérapeutiques qui peuvent être prises. Les malades doivent donc devenir responsables de leur prise en charge, les soignants n'ayant qu'un rôle d'écoute et de soutien.

[modifier] Alfred Adler et l’éducation

Il a appliqué ses principes à l'éducation et a développé sa théorie où il a défini le "complexe d'infériorité" et a mis de l'avant l'importance du sentiment social comme facteur de base de la vie psychique.

De nombreux disciples se sont groupés peu à peu autour de lui, si bien qu'il se fût agrégé à l'Institut de pédagogie de Vienne en 1924, avant de devenir titulaire d'une chaire en psychologie médicale à la "Columbia University" de New York en 1927 et au "Long Island Medical College" de New York City, NY, en 1932. Entre-temps, son école a connu une extension croissante dans les pays de langue allemande, anglaise et française et a influencé ainsi les courants de la pensée contemporaine par sa contribution à la psychopédagogie et à la compréhension et au traitement des névroses. Il a fondé le "Journal de Psychologie individuelle" en 1935, soit deux ans avant de mourir subitement en à Aberdeen, à l'âge de 67 ans.

Aujourd'hui, Adler est sans conteste considéré comme un des pères de la psychologie moderne, pour être notamment à l'origine du mouvement psychanalytique américain qui fait grand usage du "complexe d’infériorité", dans la mesure où une origine sociale est assignée à la névrose.

[modifier] Alfred Adler et Theodore Roosevelt

Theodore Roosevelt est né le 27 octobre 1858 à Manhattan, New York City, NY, de Theodore Sr. et Martha Roosevelt. Il a été dit qu’il fût un bébé particulièrement grâcieux, mais il demandait beaucoup de soins en entrant dans ce monde. Ses parents étaient grands et forts, riches et puissants et il aurait du avoir une enfance idyllique.

Mais “Teedie”, comme on l’a surnommé affectueusement, n’avait pas une bonne santé dès le départ, malgré son apparance. Il souffrait gravement de l’asthme, toussait facilement, prenait froid et développait de la fièvre avec nausée et diarrhée. Il était petit, gracile.et fragile. Sa voix était rugueuse et le demeurait jusqu’à l’âge adulte. Il se nourrissait mal et était forcé de dormir assis. Plusieurs fois, il était à l’article de la mort par étouffement..

Malgré ce sombre tableau, Teedie” était un garçon actif, voire sur-actif pour certains, avec une personnalité attachante et fantastique, pleine de curiosité pour la nature qui l’a amené à monter des expéditions avec ses cousins et cousines pour trouver mulots et écureuils, serpents et grenouilles, tout ce que ces enfants pouvaient attraper, disséquer et conserver dans des bocaux de formol. Ses périodes de confinement pour des crises d’asthme, durant toute sa vie, le poussait à la lecture. Il a eu une adolescence maladive et voulait vivre.

Après un voyage en Europe avec sa famille, sa santé s’est eméliorée, il a grandi, mais n’a pas pris plus de poids et de muscles. Le père Roosevelt encourageait “Teedie”, alors à 12 ans, à faire de l’haltèophilie et, pour tout un mois entier, “Teedie” n’a plus une seule crise d’asthme et sa santé s’est améliorée.

À 13 ans, “Teedie” s’est découvert une très forte myopie. Durant un voyage avec des garçons de son âge, il s’appercevait qu’il ne pouvait pas se battre avec eux et il a entrepris d’apprendre la boxe. Au moment où il allait à l’Université Harvard, il n’était pas seulement Teddy Roosevelt en pleine santé, mais gagnait régulièrement de nombreuses compétitions athlétiques.

Le reste de l’histoire et de la égende est connu, de soldat amateur avec sa cavalerie de “Rough Riders” à Cuba durant la Guerre hispano-américaine jusqu’aux chasses aux grands fauves d’Afrique. Il fut le plus jeune Président des États Unis.

Comment un maladif, gracile et fragile peut-il devenir vigoureux et en bonne santé avec autant de succès? Pourquoi certains enfants physiquement dépourvus de naissance réussissent à sortir de cette défficience et d’autres y sont restés? La trajectoire de “Teedie” lui est-elle particulière ou commune à chacun de nous?

Ce questionnement ou problématique a intrigué et a poussé un jeune médecin viennois du nom de Alfred Adler, lui-même handiquapé social d’être juif et cadet d’une fratrie de trois enfants, à développer la théorie de la “Psychologie individuelle”, d’une simplicité et d’une clarté aveuglantes.

[modifier] Conclusion

La psychologie individuelle de Adler est plus simple et plus complet dans son schéma explicatif et elle est d’une portée plus grande dans ses applications. En refusant la libido des pulsions sexuelles, elle a fait l’économie du refoulement et de l’inconscient.

[modifier] Références bibliographiques

Alfred Adler

  • "Le tempérament nerveux ", 1912 (Payot, 1948)
  • "Connaissance de l'homme", 1927 (Payot, 1949)
  • "Le sens de la vie", 1933 (Payot, 1950).
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