Mare
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La mare est au premier sens du terme une étendue d'eau non-pérenne de faibles importance et profondeur. On la méprend souvent avec des étangs de faibles extensions.
Mais, la mare abrite également un écosystème endémique à chacune d'entre elle, elle a d'ailleurs été classifiée en tant que l'un des grands biomes aquatiques par le WWF.
Sommaire |
[modifier] Définition étendue
[modifier] Dimensions
Les mares sont des étendues d'eau de faibles extensions, moins de 5 000 m² soit un demi hectare mais elles sont aussi limitées à deux mètres de profondeur, cette faible profondeur correspond à la pénétration des rayons solaires dans l'ensemble de la mare.
En géomorphologie, le bassin qui accueille la mare est appelé doline, un regroupement de dolines formant un ouvala.
[modifier] Apports en eau
Elle est non-pérenne -non alimentée en continu- ce qui implique que son renouvellement est dépendant des eaux de pluie, des marées ou des crues, son eau est dite stagnante.
Si son renouvellement est limité, sa durée de vie ne l'est pas forcément, au contraire, -on a retrouvé des mares vieilles de 500 ans- étant situées sur des terrains imperméables, elles empêchent l'infiltration de l'eau par le sol, seule l'évaporation pourra assécher la mare, un phénomène peu fréquent en milieu forestier par exemple.
[modifier] Localisations
Presque la totalité des mares actuelles sont le fruit des activités humaines mais non régulées par l'Homme à contrario des étangs, elles peuvent se situer dans tous types d'endroits tant que le sol y est imperméable.
Les mares naturelles se retrouvent encore dans régions karstiques :
- elles prennent la dénomination de lavogne dans les Causses où une doline y a été rebâptisée en sotch, le fond de ces sotch est souvent ponctué d'une couche argileuse.
- on les appele mardelle dans le Limousin où elles sont établies sur un substrat marneux.
[modifier] Origines et formations
[modifier] Glaciations
A la fin d'une ère glaciaire où lors de la simple fonte d'un glacier, on peut observer la formation de mares dites glaciaires appelées Tjörn, elles se forment par l'accumulation de cette eau qui s'écoule des versants et qui se regroupe dans de petites dolines imperméables. La dernière glaciation remontant à une dizaine de milliers d'années, on ne retrouve plus des mares formées à cette époque-ci.
[modifier] Moyen Âge
Ce sont les mares que l'on retrouve encore aujourd'hui pour une partie, elles sont dûes aux actions anthropiques des activités du Moyen Âge, situées au creux d'une doline, dans une dépression, près d'une source, ces mares servaient alors d'abreuvoir pour le bétail et oiseaux de la basse-cour voire même de petits élevages à poisson.
[modifier] Époque contemporaine
Aujourd'hui, on sait que l'on observe une disparition de nombreuses mares dans les milieux naturels, mais dans les milieux urbains et humanisés, on peut rencontrer la formation de mares d'un type nouveau :
- dans les jardins: ces mares ne jouent plus leur rôle d'écosystème naturel car l'Homme les a totalement modifiées, ce sont des mares dites d'ornement ;
- dans les carrières, sablières et autres industries extractives de plein air : dans ces zones désaffectées ou non, la formation de mares est propice, n'importe quel trou creusé peut servir de mare, elles retrouvent un certain caractère sauvage avec un écosystème particulier dans cet environnement plutôt inhabituel.
[modifier] Ecosystème
Les mares sont vecteurs d'un écosystème saisonnier et endémique, en effet, les mares sont souvent asséchées durant la saison sèche (l'été en général). Elles abritent différents types de plantes qui s'enracinent sur son fond, souvent des plantes qui ont un besoin important de lumière, mais également de nombreux batraciens, insectes, mollusques, petits poissons et oiseaux.
[modifier] Différents types de mares
[modifier] La mare d'eau douce
[modifier] La mare naturelle d'eau de pluie
Elle apparait naturellement lors de l'accumulation de l'eau de pluie par ruissellement. Certaines mares d'eau de pluie sont cependant artificielles, utilisées autrefois pour le bétail, bien que cette pratique soit en déclin. On peut l'observer dans une clairière, en pleine forêt, aux abords d'un champ, elle est la plus répandue à nos yeux, créées naturellement ou à l'issue des activités humaines (carrières désaffectées, trou d'obus). Mais beaucoup de ces mares ont été comblées ou ont disparu durant ce siècle, victimes de l'agriculture et de l'élevage principalement.
[modifier] Végétation
La végétation qui habite les mares peut être soit :
- Hydrophyte : plantes flottantes sans extension au dessus de la surface (sauf fleurs) : renoncules aquatiques, flûteaux nageants ou luronium, nymphéas dont nénuphars.
- Hélophyte : racines sous l'eau, tige et feuilles à l'air : saules, iris des marais, roseaux, droseras, prêle aquatique.
Nombreux ont un statut protégé au niveau européen.
[modifier] Faune
De multiples espèces d'amphibiens, d'insectes et de mollusques peuvent coloniser les mares. Les conditions propres à chaque mare détermineront les espèces qui s'installeront. Dans le cas des mares d'eau douces, de nombreux mammifère peuvent venir s'y abreuver et participer ainsi à l'enrichissement des milieux allentours.
[modifier] La mare temporaire
Elle peut prendre la dénomination de playa, il s'agit du fond d'un ancien lac en régions arides situé à l'embouchure d'un cours d'eau endoréïque (qui ne se jette pas dans la mer, généralement dans le désert).
L'eau qui parvient dans ce bassin y reste très peu de temps, l'évaporation est très importante dans les zones désertiques. Cette eau est plus souvent le fruit des rares précipitations qu'un apport du cours d'eau.
[modifier] Le tjörd
à compléter
[modifier] Les mares salées
[modifier] Littorales
Également appelées bassin de marée, elles se rencontrent principalement dans deux types de milieux :
- Les littoraux rocheux, où se sont creusées de petites dépressions, elles sont observables en tant que mare généralement à marée basse.
- Il faut noter que certains de ces bassins de marée peuvent être saturés en sel (tels des lacs salés), à marée basse, lorsque la mare est exposée à un fort ensoleillement, l'eau contenue dans ces bassins peut totalement s'évaporer, le sel se solidifiant alors et s'agglutinant sur les parois des roches.
- Les chenaux de marées des marais salants dans les vasières, les sols y sont généralement de type argileux.
[modifier] Continentales
Elles se forment à proximité de marais salants, en France on peut encore en observer une dizaine en Lorraine, dans la vallée de la Seille, le sol étant chargé en sel, l'eau douce qui va former les mares se gorge de sel à son contact.
[modifier] Ecosystème
Ces mares forment des écosystèmes rares et les plantes qui y survivent sont également rares, elles ont dû s'adapter à la salinité de ce milieu et sont donc devenues endémiques à ce dernier.
On peut y rencontrer :
- des plantes hydrophiles : la renoncule de Baudot et la ruppie maritime ;
- dans les vases salées : différentes salicornes, la pucinellie ;
- dans les prairies salées : le jonc de Gérard, le scirpe, le troscart et l'aster, tous trois maritimes ;
- des oiseaux sédentaires tels le courlis cendré et le râle des genêts ainsi que de nombreux migrateurs qui profitent de ces étendues d'eau peu profondes ;
- des libellules, des coléoptères halophiles ainsi que quelques hétéroptères constituent les insectes locaux.
[modifier] Les mares artificielles
Créer une mare permet à de nombreux petits animaux de se développer (batraciens, libellules...), en plus du plaisir esthétique qu'elle procure.
[modifier] La mare d'ornement
à compléter
[modifier] La mare de traitement
On peut traiter l'eau usée par une série de bassin, une mare étant le dernier de ces bassins. On renvoit ainsi une eau saine dans le milieu naturel. Cette technique s'appelle le lagunage.
[modifier] Creuser une mare
Les potentialités écologiques, esthétiques et pédagogiques des mares et plans d’eau du jardin sont sans conteste parmi les plus fortes. Creuser une mare, un ruisseau permet de recréer un habitat des plus menacés et constitue donc un facteur de diversité biologique pour les espaces verts, à la condition d’être aménagés suivant certaines règles. Même en ville, sur une petite parcelle, la mare est synonyme de biodiversité : la flore et la faune aquatique s’y développent rapidement, les oiseaux, chauves-souris et autres mammifères peuvent venir s’y abreuver.
[modifier] Localisation, forme et dimensions
La localisation de la mare est un point essentiel. On peut construire la mare dans la partie du jardin la plus basse pour qu’elle recueille les précipitations. Pour les mares de petites superficies, il faut éviter la proximité directe d’un arbre pour éviter une situation trop ombragée (entre 2 et 4h d’ombre par jour suffisent) et une accumulation de feuilles en automne (trop grand apport de matières nutritives et acidification de l’eau provoquée par certaines feuilles, risque d’eutrophisation). Il est préférable de construire la mare loin des axes de communication routiers pour éviter que les batraciens en migration ne se fassent écraser.
D’une manière générale, plus un milieu est complexe (creux, bosses, irrégularités, ombre, soleil, …) plus il est susceptible d’accueillir une faune et une flore riche et diversifiée. Ce principe vaut également pour les plans d’eau. La flore aquatique et hygrophile se développe et se différencie en fonction de la qualité et de la profondeur de l’eau. Plus les niveaux seront variés, plus les habitats et les espèces présentes seront diversifiés. Le profilage des berges en pente douce ou en paliers permettra d’obtenir une plus grande surface d’écoulement et une organisation optimale de l’espace pour la végétation. Différentes communautés végétales, avec leurs cortèges faunistiques associés, s’organiseront alors en ceintures concentriques selon la profondeur de l’eau. On pourra démultiplier cet « effet de lisière » avec des contours irréguliers et variés, des îlots inaccessibles, un profil de fond irrégulier. Cependant, un profil trop compliqué ne facilite pas l’étanchéification de la mare... Les déblais issus du creusement pourront être utilisés comme talus en bord de mare. Au moins d’un côté, les berges doivent être en pente douce pour permettre aux animaux de sortir facilement de l’eau. Un rebord net d’une dizaine de centimètre constitue une barrière infranchissable pour nombre d’animaux. Le reste des berges peut alors être en paliers.
Il n’est pas nécessaire que le plan d’eau soit immense. Une surface d’eau de 4m² et une profondeur de 60 cm peuvent suffire. Cependant, il faut savoir que plus le plan d’eau est étendu et profond, plus il est stable biologiquement parlant. Une zone profonde de 80 à 120 cm, d’au moins 1m² assure la survie de la faune en période de sécheresse ou sous la glace. Pour un plan d’eau particulier, 8 à 12 m² pour une profondeur maximale de 1m20 paraissent des dimensions satisfaisantes.
Au niveau de la réglementation, il est interdit de barrer ou de détourner un ruisseau pour alimenter sa propre mare. En outre, il faut impérativement éviter d’installer une mare sur une zone humide déjà existante. D’une part, cela détruirait la faune et la flore qui peuvent s’y trouver et d’autre part, il vaut mieux apporter de l’eau sur un endroit sec qui manque naturellement d’eau. Avant de construire le plan d’eau, il est nécessaire de se renseigner sur la réglementation en vigueur dans la commune ou le département.
[modifier] L’étanchéité
Si le sol n’est pas naturellement imperméable (argileux), le recours à un revêtement étanche devient obligatoire. Il existe plusieurs possibilité :
- Le béton hydrofugé
- La bâche plastique (associée à un treillis rongeur sous la bâche)
- Membrane caoutchouc synthétique
- La résine de polyester
- Les moquettes d’argile et bentonite
Si on utilise une bâche plastique (polyéthylène par exemple), on peut recouvrir le fond de la mare par un lit de sable ou de tourbe, après avoir retiré les pierres et matériaux coupants. On peut ensuite ajouter un géotextile de protection (grillage plastique souple, toile de jute, vieille moquette, géotextile tissé, …) pour éviter la perforation de la bâche par les racines ou les rongeurs. On évitera les feuilles de PVC qui libèrent à la longue des ions chlorés, néfastes à la vie aquatique. De même, le bitume, l’asphalter et le papier goudronné sont à proscrire car ils dégagent des benzols, toluols et autres substances aromatiques toxiques pour la faune et la flore de la mare. Enfin, le béton donnera une eau très alcaline, même après plusieurs années de mise en service. La couche imperméabilisante pourra être prolongée sur quelques mètres carrés au-delà des berges de la mare, afin de constituer un pré humide attrayant et riche pour la faune et la flore spécifique.
[modifier] Le fond de la mare
Dans l’optique d’amener un maximum de complexité dans la mare afin de favoriser l’installation d’une faune et d’une flore riche et diversifiée, on peut confectionner une couche de substrat d’au moins 5 cm d’épaisseur. On peut y mettre des graviers propres, des galets lavés et même du sable grossier dépoussiéré. On peut également ajouter des objets plus gros comme des troncs d’arbres sains, des pierres volumineuses (pas de béton ni de calcaire), des briques creuses, etc. Par contre, il est déconseillé de remettre les matériaux extraits du creusement. Trop riches en matière organique, ils perturberaient l’équilibre de la mare.
[modifier] Le remplissage
On peut remplir la mare avec l’eau du robinet, mais il est préférable de la remplir avec l’eau pluviale ou l’eau d’un puits. Cependant, dans certaines régions et notamment après les longues périodes de sécheresse, les eaux pluviales se chargent de micro-polluants, néfastes pour les petits animaux.
Les variations de niveau de la mare au cours du temps ne doivent pas nécessairement être compensées. Cela permet le développement d’une faune et d’une flore encore plus variée, qui se différencie en fonction de la hauteur d’eau.
[modifier] La colonisation de la mare
[modifier] Par la flore
Les végétaux aquatiques ont une capacité de développement impressionnante. On pourra éviter d’introduire en trop grand nombre les plantes aquatiques « agressives », telles que les lentilles d’eau ou les élodées et de saturer les berges de plantations. Il est préférable de n’introduire que quelques plants qui se développeront rapidement au cours des prochaines saisons. Les plantes lacustres (nénuphar, trèfle d’eau, sagittaire, potamot) ont un développement important que l’on pourra prévenir en les rempotant dans des baquets en bois ou en osiers immergés.
[modifier] Par la faune
La mare creusée, les plantes installées, la faune apparaîtra progressivement dans et autour du bassin. Il est fortement conseillé de ne procéder à aucune introduction hasardeuse de poissons et d’amphibiens. En ce qui concerne les poissons, ils coloniseraient le milieu rapidement en se nourrissant de toutes les ressources disponibles de cet enclos limité. Les poissons sont sources de problèmes et proscrits dans une mare inférieure à 15m². Dans tous les cas, il faut respecter quelques règles de bases :
- Attendre deux ou trois ans, le temps pour la mare d’atteindre un équilibre
- Utiliser des espèces de petite taille (ablettes, vairon, bouvière, …)
Enfin, une mare naturelle est totalement incompatible avec un bassin d’ornement à Koï et poissons rouges. L’introduction de ce type de poisson compromettra fortement l’équilibre du bassin. Le résultat pourrait être catastrophique : une mare à eau constamment trouble et algues indésirables. Quant aux amphibiens, ils sont reconnus pour la plupart comme espèces protégées, par conséquent, leur capture et leur transport sont interdits. La colonisation se fera de manière naturelle.
A la belle saison, la colonisation de la mare par toute une faune spécifique peut se faire très rapidement (libellule, notonecte, dytique, …) Dans un jardin au naturel, les moustiques sont régulés. Leurs larves aquatiques sont mangées par les dytiques ou les larves de libellules; les adultes sont la proie des insectivores. Des désagréments sont toutefois possibles les premières années en attendant que les écosystèmes s'équilibrent…
L’introduction d’espèces exotiques sera totalement bannie.
[modifier] L’entretien
Une fois que le bassin est installé, il nécessite un minimum d’entretien pour conserver les écosystèmes mis en place.
- Pour éviter l’envasement progressif de la mare, on peut extraire en automne une partie de la vase, par exemple, la moitié du bassin une année, l’autre l’année suivante pour ne pas appauvrir la faune. Pour retirer la vase on pourra procéder de telle sorte que les animaux aient toujours la possibilité de se réfugier dans un autre coin de la mare auquel on laissera la vase.
- Eviter de tondre autour de la mare, procéder uniquement à une ou deux fauches par an, afin de créer une zone tampon pour les amphibiens
- Contenir l’extension de certaines plantes qui pourraient envahir la mare et empêcher un ensoleillement suffisant. Pour cela, on peut enlever les plantes et les laisser reposer quelques jours sur la berge pour permettre aux animaux qui y avaient trouvé refuge de regagner la mare.
- En hiver, la glace ne pose pas de problème particulier si la mare est suffisamment profonde, au contraire la neige gène l’éclairement de l’eau et donc son oxygénation par photosynthèse. On pourra donc la déblayer régulièrement.
La mare peut se trouver confronté à différents problèmes dans les premiers mois suivant sa création, notamment l’apparition d’algues ou de lentilles d’eau. En principe, la mare devrait peu à peu s’équilibrer avec le développement de la faune et de la flore. Si les problèmes persistent, il faut trouver une solution adaptée au problème.
- Pullulation d'algues
Le problème de la pullulation des algues est lié à la trop grande richesse de l’eau (décomposition de plantes, d’animaux, ou arrivée d’eaux de ruissellement riche en nitrates, phosphates), renforcé par une exposition au soleil très importante. Il faut intervenir si la mare dégage une odeur de moisi ou si la visibilité de l’eau ne dépasse pas 10 centimètres. On peut envisager d’enlever, en novembre ou début mars, une partie des plantes, enlever les algues pour éviter qu’elles ne se décomposent dans l’eau ou encore limiter l’ensoleillement de la mare en favorisant les plantes aquatiques à feuilles flottantes (nénuphars, nymphéas, …)
- Pullulation de bactéries
Ce problème est lié à un excès de sels minéraux et au réchauffement du milieu. L’eau devient laiteuse et on assiste à une raréfaction de l’oxygène dont souffre la faune et la flore aquatique. On peut aérer l’eau à l’aide d’une pompe ou limiter l’envasement du bassin
- Lentilles d'eau
Là encore, les lentilles d’eau pullulent et forment une pellicule verte, continue à la surface lorsqu ‘elles profitent d’un excès d’éléments nutritifs. Il suffit de les enlever régulièrement pour rééquilibrer la mare.
[modifier] Voir aussi
[modifier] Articles connexes
- Étang
- (en)Mare d'eau de mer
- (en)Mare d'ornement
- (en)Mare de traitement
- (en)Tjörn
[modifier] Liens externes
- Une intervention de Bertrand Sajaloli lors d'un café géo organisé au FIG : [1].
- Le site du pôle-relais des mares et mouillères de France: [2].
- Le site de l'observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charente [3] et sa description des milieux régionaux [4].
- Le site les mares [5].
- Une description de l'écosystème des mares, chez les amis de la Terre belges : [6].
- Tout ce qu'il faut savoir sur les mares et les jardins aquatiques : http://www.aquajardin.net.
[modifier] Bibliographie
- Bertrand Sajaloli et Anne Teissier-Ensminger : Radioscopie des mares aux éditions de L'Harmattan (1997).
- NOBLET Jean François, La nature sous son toit, Hommes et bêtes : Comment cohabiter ? Editions Delachaux et Niestlé, 2005, p 154-156
- Certu, Composer avec la nature en ville, Collection du Certu, 1995
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