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Français québécois - Wikipédia

Français québécois

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Le français québécois (le québécois, le français du Québec) est la variété la plus dominante et la plus répandue de la langue française au Canada.

La majorité des locuteurs du français québécois réside au Québec. Pourtant, dans ses registres courant, familier ou soutenu, cette variété est également utilisée par les importantes minorités francophones dans des régions limitrophes de l'Ontario et du Nouveau-Brunswick ainsi que par les petites communautés francophones dans le Maine, le New Hampshire et le Vermont aux États-Unis.

Le français québécois est souvent appelé « le français canadien » par ceux ignorant l'existence du français acadien, (autre variété régionale du français au Canada) ou par ceux n'ayant pas connaissance du statut du Québec en tant que bastion de la langue française en Amérique du Nord.


Sommaire

[modifier] Vive la différence ? : appellations et (mé)connaissances

[modifier] Pareil mais "distinct"

Loin d'être un dialecte archaïque ou de l'argot, le français québécois est, sous deux aspects, identique à toutes les autres variétés régionales du français. Premièrement, toutes les variétés régionales normalisées de la langue française utilisent la même orthographe et la même grammaire. Deuxièmement, comme c'est le cas avec toute variété régionale, le français québécois possède un éventail de variations internes selon les registres de langue et d'autres facteurs sociaux. À titre d'exemple, le français normalisé du Québec et celui de l'Europe emploient des graphies et des conjugaisons identiques. Pourtant, en même temps, le français québécois et, disons, le français métropolitain disposent de leurs propres régionalismes, prononciations et types d'argots (le joual, le louchebem, etc.).

[modifier] Parlez-vous franglais? (Do you speak franglais?)

Également, on ne doit pas confondre le français québécois avec le franglais (ou le « Frenglish »), le nom courant de trois phénomènes linguistiques distincts que l'on trouve au Québec, au Canada et dans d'autres lieux où cohabitent les langues française et anglaise. D'abord, le "franglais" peut signifier une interlangue qui résulte du mélange de l'anglais et du français et vice versa. Cette pratique langagière est répandue chez les apprenants de langue étrangère et parmi certains locuteurs du français ou de l'anglais dont la langue maternelle est autre. Ensuite, le terme "franglais" peut faire allusion à l'alternance-codique pratiquée par les personnes bilingues. Finalement, le terme peut également désigner l'emploi (non) voulu des anglicismes ou des gallicismes, une pratique tant méprisée que vantée dans toutes les variétés de français et d'anglais.

[modifier] Histoire

Article principal : Histoire du français québécois

Le français québécois n'est pas synonyme d'ancien français - ancêtre plus lointain qui existait entre 1000 et 1300 CE et qui, à plusieurs égards, ressemblait au latin. Les origines du français québécois sont issues plutôt des variétés régionales du début du français moderne du XVIIe et de XVIIIe siècles (aussi connu sous le nom « français classique ») et d'autres langues d'oïl (le normand, le picard, etc.) que les colons français ont amenées en Nouvelle-France. Cependant, la base la plus importante de cette langue est sans contredit le français de la cour du roi de France de l'époque. En effet, bien que les colons provenaient de différentes régions, ces derniers se retrouvaient très près les uns des autres et devaient maintenant se comprendre entre voisins. Le français de la cour du roi avait donc été choisi à titre de référence. C'est d'ailleurs de cette langue prestigieuse de France que provient y au lieu de ils ou encore toé ou moé. Le français québécois s'est développé à partir de cette base linguistique et a été influencé par les facteurs suivants (en ordre d'époque historique) :

[modifier] Nouvelle-France

[modifier] Régime colonial britannique

[modifier] deuxième moitié du XIXe siècle

[modifier] entre la Première Guerre mondiale et 1959

[modifier] entre 1959 et 1982

[modifier] de 1982 à nos jours

[modifier] Image sociale et politique linguistique

[modifier] Norme

Deux écoles de pensée s'affrontent pour définir la norme du français québécois. Les aménagistes désirent créer une norme québécoise distincte du reste de la Francophonie et les exogènistes préféreraient que la norme québécoise en matière de langue soit à peu près la même qu'à l'extérieur du Québec (voir querelle du français québécois).

[modifier] Familiarité

Les francophones du Québec utilisent le pronom de la deuxième personne tu plus souvent et dans plus de contextes que ceux de France. Dans certains cas, cela peut être parfaitement approprié de s'adresser à un étranger ou à un client de magasin en utilisant tu, alors que cela serait considéré comme impoli en France. Le vous est avant tout employé au Québec par égard pour l'âge de la personne à qui on s'adresse.

Par contre, ce phénomène est relatif puisque le tu est plutôt utilisé lorsqu'on se sent à l'aise avec une personne ou quand on se perçoit comme étant membre du même groupe ou cercle. De plus, autrefois, le vous devait être employé et ce fait était très strict, particulièrement face aux membres de l'Église, aux adultes lorsqu'on est jeune (même les parents), ou à toute personne ayant un certain statut social supérieur à soi. L'avoir imposé de façon draconienne (laissant une impression d'infériorité) aura peut-être eu comme effet de l'abandonner. Selon certains, il s'agirait peut-être aussi d'une influence de l'anglais, où le « you » est à la fois singulier et pluriel ainsi que familier et formel. C'est peut-être aussi la familiarité et la simplicité d'une nation d'immigrants, comme aux États-Unis. Il s'agit d'une sociabilité des rencontres d'un pays à faible densité démographique où le contact social se faisait très vite.

Toute généralisation mise à part, le discours français parisien (et les parleurs publics tels que les politiciens) apparaît souvent comme étant vieux jeu et snob aux oreilles des francophones du Québec (qui désignent ces locuteurs comme étant des « Français de France »). L'expression « parler en cul de poule » sert d'ailleurs à désigner une personne dont l'accent se conforme un peu trop au français de France, en particulier parisien. Cela est assez similaire à la perception que les anglophones d'Amérique du Nord ont des anglophones d'Angleterre.

[modifier] Perception

L'impression de surutilisation d'anglicismes dans le langage familier est l'une des causes de la stigmatisation du français québécois. Les Québécois et les Français s'accusent mutuellement (et eux-mêmes) d'utiliser trop d'anglicismes. Une plaisanterie dit que la différence entre le français européen et le français québécois est qu'en Europe on se gare dans un parking et qu'au Québec on se parque dans un stationnement.

Le Québec et la France ont tendance à avoir des anglicismes totalement différents, car ils sont au Québec le résultat graduel de deux siècles et demi de vie parmi des anglophones, alors qu'en Europe, ils sont bien plus récents et résultent de l'hégémonie de l'anglais américain.

Voir aussi Franglais.

[modifier] Caractéristiques structurales

[modifier] Phonologie et phonétique

[modifier] Voyelles

  • conservation de l'opposition entre voyelles longues et courtes;
  • la conservation dans la distinction entre le A ouvert et le A fermé : patte et pâte ne se prononcent pas de la même façon;
  • une légère diphtongaison : â rendu [ɑʊ̯], ê rendu [ɛɪ̯] ou [aɪ] ;
  • la conservation de la prononciation originelle de in et de un : [ĩ] et [ũ] et non pas [ɛ̃] et [œ̃] ;
  • la conservation de la prononciation du XVIIIe siècle [we] pour oi à la place de [wa] (de moins en moins fréquent chez les jeunes locuteurs).

[modifier] Consonnes

  • un [s] intercalé après /t/ devant /i/ et /y/, un [z] intercalé après /d/ devant /i/ et /y/ : tu se prononce [tsu], dîner se prononce [dzine];
  • parfois, une jota entendue pour le son de la lettre j ou g doux dans certaines régions (Lac-Saint-Jean, Beauce): Georges se prononcera [xorx] (comme Jorge en espagnol, mais sans [é] à la fin);
  • le R traditionnellement roulé dans l'ouest du Québec et grasseyé dans l'est (quoique de nos jours, le grasseyé domine partout);
  • gn et ng prononcés de la même façon (camping, campagne); les deux se prononcent comme dans "campagne".

Ces caractéristiques varient selon les régions. Par exemple, à Montréal, on entend plus de mots avec des voyelles longues qu'à Québec (poteau se prononce [pɔto] à Québec, [po:to] à Montréal). De même, arrête se dit [arɛt] à Québec et [arɛ:t]/[arajt] à Montréal. Baleine sera [balɛn] à Québec et [balɛ:n]/[balajn] à Montréal (à Montréal, la tendance tend cependant à adopter la prononciation de Québec). La région de Trois-Rivières semble à première vue posséder encore plus de mots à voyelles longues. Par exemple, en plus des mots précédents prononcés comme à Montréal, on y retrouve [vinɛ:gr]/[vinajgr] au lieu de [vinɛgr] à Québec et à Montréal.

[modifier] Syntaxe

En règle générale, le français québécois parlé et écrit utilise la même grammaire que le français international, bien qu'il y ait des exceptions ponctuelles. Les Québécois se soumettent aux recommandations de l'Académie française, tout comme le reste des pays de la Francophonie. En revanche, il existe l'Office québécois de la langue française qui promeut un usage adéquat et personnalisé du fait français québécois et américain. On y retrouve donc des mots qui font référence à la réalité des locuteurs, mais qui ne sont pas encore approuvés ni reconnus par l'Académie française, mais qui ont été régularisés par l'OQLF (exemple : courriel, clavardage, banc de neige, dépanneur, magasinage, cégep, etc.)

Il y a par contre de nombreuses différences dans la grammaire non officielle, surtout à l'oral : par exemple, certains mots ont un genre différent (une job, au Québec, et un job en France). Il y a certaines règles s'appliquant plus ou moins. Par exemple, tout comme la différence de prononciation entre chien /ʃjɛ̃/ (masculin) et chienne /ʃjɛn/ (féminin) est la présence ou l'absence d'une consonne finale, les mots ambigus terminés par une consonne (tels que job (/dʒʌb/)) sont souvent assignés au féminin. De plus, les mots commençant par une voyelle qui sont masculins en grammaire officielle sont parfois marqués comme féminins.

En outre, certaines expressions prenant le subjonctif en français officiel prennent l'indicatif en français québécois, et vice versa (« bien qu'il est trop tard » plutôt que « bien qu'il soit trop tard »). C'est principalement un emploi familier oral, étant donné que l'usage écrit tend à suivre de plus près l'usage de France. Le subjonctif est à respecter à l'écrit sinon il y a faute de grammaire.

Avant la féminisation des noms de fonction (comme "professeure", "auteure", "mairesse", "présidente", etc.), la tendance à mettre ces noms au féminin existait déjà depuis longtemps, peut-être à cause de la sociologie de la mère qui gouverne la famille pendant que le père s'absente pour travailler des mois en région comme bûcheron dans le bois, mais rien n'est moins sûr à ce sujet.

[modifier] Verbes

Il y a quelques différences dans la structure verbale. Pour le verbe « s'asseoir », la conjugaison en « oi » est bien plus fréquente au Québec que « ie » ou « ey » (je m'assois au lieu de je m'assieds, assoyez-vous au lieu de asseyez-vous). D'autre part, le verbe « haïr » est usuellement conjugué en « j'haïs » /ʒai/ (le verbe a deux syllabes) plutôt que « je hais » /ʒəɛ/ (le verbe a une syllabe).

Au Québec, il est courant de dire Fais-toi-z-en pas au lieu de (ne) t'en fais pas.

Dans le parler familier, le verbe « être » à la première personne du singulier se rend par la contraction chu (qui rappelle le chui - je + suis - utilisé dans le langage parlé du français métropolitain); suivi de un(e), il est souvent élidé avec un t inséré : Ch't'un gars patient. Un t est également souvent inséré après la seconde personne du singulier : T'é t'un gars patient ou encore, personnalisé d'un toi (familièrement, toé) à la fin : Té t'un gars patient toé. Est se prononce souvent É.

Toujours dans le parler familier, aller à la première personne du singulier est souvent vas au lieu de vais. De plus, je vais + verbe (futur) est souvent modifié en m'as, comme dans M'as t'tuer. Le futur simple est d'ailleurs souvent absent du parler familier, étant remplacé par le verbe aller et l'infinitif (par exemple: "Demain, je vais aller magasiner".)

Signalons au passage le fameux « M'a aller maller ma lettre » (je vais aller poster ma lettre), dont le sens est le même que le verbe anglais to mail, tout deux venant de l'ancien français « malle(-poste) » (« sacoche portant le courrier »).

À l'oral, l'emploi du conditionnel après "si" est fréquent chez les moins éduqués et chez les enfants, comme dans le reste de la francophonie. Là où on devrait avoir "si je pouvais, je le ferais", on a "si je pourrais, je le ferais".

[modifier] Particule -tu

La particule -tu est souvent utilisée dans le langage familier quand on pose une question directe (dont la réponse ne peut être que oui ou non) à quelqu'un. Le -tu tient alors le rôle d'un adverbe d'interrogation ou d'exclamation. Ce -tu est dérivé du -ti, particule interrogative du langage populaire en France, tirée du (-)t de la 3e personne verbale accolé au pronom il comme dans "Y en a-t-il d'autres?" ou "Faut-il être fou?", perdant graduellement le l comme dans "C'est-y pas possible". On retrouve beaucoup, au Québec, de la "parlure sarthouaise" du Maine-Anjou, ainsi qu'une grande communalité de vocabulaire rural.

  • C'est-tu loin, ça?
  • J'ai-tu l'air fatigué?
  • Y'en a-tu d'autres?
  • Ça vous tente-tu vraiment d'y aller?
  • Faut-tu être cave pas à peu près!
  • C'est-tu pas possible, ce qui arrive là!
  • Tu vas-tu bien?
  • Ça vas-tu?
  • Vous allez-tu y goûter finalement?

Par le fait même, le québécois parlé se rapproche de la très grande majorité des langues en distinguant le mode interrogatif du mode indicatif par l'ajout d'une particule interrogative :

  • On a gagné (indicatif) → On a-tu gagné? (interrogatif)

[modifier] Prépositions

La préposition à est souvent utilisée dans des contextes possessifs, alors que le français de France utilise de : la voiture à Pierre au lieu de la voiture de Pierre.

Dans de nombreux cas, les locuteurs québécois préfèrent utiliser la préposition à au lieu d'utiliser une expression non prépositionnelle avec ce : par exemple, à matin ou à soir au lieu de ce matin et ce soir. Notez aussi à cette heure, prononcé et parfois écrit asteure ou astheure pour maintenant, qu'on peut trouver dans les écrits de Queneau ou Montaigne.

Cet usage de à est considéré familier et n'est pas utilisé dans le langage écrit.

En parler familier, la combinaison de la préposition sur + article défini est souvent abrégée : sur + lesu'l ; sur + lasu'a ou (le a est allongé); sur + lessès. Parfois, dans + un est abrégé en dun, dans + les en dins, dans + le est en dan'l (par exemple, dan'l'champ pour dans le champ). Selon la même construction, l'article la vient à s'effacer complètement (par exemple dan' boîte pour dans la boîte) et ne fait qu'allonger la voyelle an.

[modifier] Pronoms

En parler familier, a est utilisé à la place de elle : A m'énarve!Elle m'énerve!. Y ou i est également utilisé à la place de il, ils, ou elles : Y sont fous. È est parfois utilisé pour Elle est: È folle.

Il est courant de dire chez nous, chez vous et chez eux au lieu de chez moi, chez toi ou chez lui/elle, même si la personne concernée vit seule.

Lorsque le pronom "nous" est utilisé comme sujet (à l'oral), il est remplacé presque exclusivement par "on". "Nous allons souper" se dit "on va souper". "Qu'allons-nous faire ce soir?" devient "Qu'est-ce qu'on fait à soir?" ou alors "On fait quoi à soir?"

[modifier] Lexique du français québécois

Voir l'article plus détaillé Lexique du français québécois

[modifier] L'utilisation de la litote

Les Québecois utilisent communément la litote, une figure de style qui consiste à nier le contraire de la réalité qu'on souhaite communiquer, afin de suggérer davantage que ce qui est exprimé. En employant cette technique, les gens peuvent détourner certaines questions embêtantes et donner une réponse qui est plus ou moins claire.

Exemples

  • Si quelqu'un vous demande si vous avez apprécié le dîner et que vous répondiez : Ce repas n'est pas mauvais, c'est que vous l'avez aimé. Vous n'avez toutefois jamais dit que c'était bon!
  • Une dame vous demande de critiquer sa coiffure et vous répondez : Ce n'est pas laid (ce qu'on entend est bien : «c'est pas laid», dans ce cas précis) Si on lui répond "C'est pas laid pantoute!", c'est que la coiffure est très réussie.

[modifier] Variation par région

Le français québécois a une variété de registres, allant du français officiel, fortement influencé par le français européen moderne et avec des traits phonétiques effacés, préservant cependant fortement de nombreux traits québécois, jusqu'au joual.

Des différences régionales remarquables existent lorsqu'on compare, par exemple, le français de Montréal et celui du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Par exemple, le français de Montréal diphtongue dans plus de cas que le français de la région de la ville de Québec.

Le français de région de la ville de Québec est la variété la plus proéminente du français canadien, et certains français canadiens ont des formes similaires. Toutefois, les Acadiens ont une variété à part, le français acadien. Voir aussi Michif.

Le français québécois fut autrefois stigmatisé, parmi les Québécois eux-mêmes comme parmi les Français d'Europe et les anglophones, comme étant un dialecte de bas étage, parfois à cause de l'usage des anglicismes, parfois simplement à cause de ses différences d'avec le français européen, perçu comme étant la référence. Jusqu'en 1968, on n'entendait pas de vocabulaire du français québécois dans les pièces de théâtre par exemple, et cette année-là, l'immense succès de la pièce de Michel Tremblay Les Belles-Sœurs s'avéra être un tournant.

Aujourd'hui toutefois, les francophones au Québec ont bien plus de liberté de choisir un « registre » en parlant et les personnages d'émissions télévisées ont presque toujours un parler « réel » de tous les jours plutôt qu'un français « officiel ». En Europe, le français québécois est perçu comme étant un langage séduisant parfois difficile à comprendre : vous entendre parler, c'est comme une chanson.

[modifier] Parenté et voisins linguistiques

[modifier] Variétés régionales du français


[modifier] Langues mixtes et créoles issues du français (en A.N. et aux Caraïbes)

[modifier] Voir aussi

[modifier] Bibliographie

[modifier] Articles connexes

Le Wiktionnaire possède une entrée pour « québécisme ».

[modifier] Liens externes

[modifier] Notes et références


    Variations régionales du français

    Europe : BelgiqueFranceJersey • Luxembourg • Val d'Aoste • Suisse

    Afrique : Cameroun • Maghreb • Côte d'Ivoire

    Amérique : QuébecTerre-neuveAcadieLouisiane

    Asie et Océanie : Nouvelle-Calédonie • Indochine • Liban

    Créoles Créole HaïtienCréole seychelloisCréole réunionaisCréole rodriguaisCréole mauricienCréole guyanais

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