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Décroissance soutenable - Wikipédia

Décroissance soutenable

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La décroissance est un concept politique, économique et social qui remet en cause le consensus politique actuel donnant pour but aux sociétés modernes la croissance économique. Selon les décroissants, l'augmentation de la production de biens et de services entraîne une augmentation des dégats causés à l'écosystèmes ainsi qu'au système climatique. Ils pensent que les ressources naturelles comme le pétrole, le cuivre, l'uranium sont présentes en quantité limitées sur la terre et que le fait d'augmenter leur consommation ne fera qu'accélerer le momemt de leur épuisement.

Le mouvement de la décroissance dénonce le fait que le principal indicateur de développement soit celui du PIB par habitant ou ses dérivés comme l'indice de développement humain. Selon les partisans de la décroissance, ces indices ne portent que sur l'économie financière mais oublient la vie des individus et l'impact écologique des sociétés.

Au niveau écologique, le mouvement de la décroissance utilise le concept d'empreinte écologique. Selon les partisans de la décroissance, si tous les habitants du monde adoptaient le mode de vie d'Europe occidendale, ils consommeraient trois fois les ressources de la Terre citation nécessaire.

Les tenants de cette théorie considèrent que la décroissance sera, tôt ou tard, imposée par la raréfaction des ressources naturelles et proposent de l'anticiper de manière à affecter le moins possible notre qualité de vie. Le qualificatif soutenable traduit donc à la fois la nécessité de reconnaître les contraintes de notre environnement et de ne pas entraver le développement humain, au sens large du terme.

Graffiti contre le forum économique mondial
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Graffiti contre le forum économique mondial

Les opposants à la décroissance l'assimile à une forme de néo-malthusianisme économique[1].

Sommaire

[modifier] Hypothèses

La théorie de la décroissance soutenable part de quatre hypothèses :

  • Le fonctionnement du système économique actuel dépend pour une bonne partie de ressources épuisables dont la consommation s'accélère.
  • La croissance monétaire est liée à un impact écologique, en particulier les sous-produits.
  • Les biens et services produits par les économies ne sont pas les seules richesses : la santé des écosystèmes est une forme de richesse, de même que la qualité de la justice, les bonnes relations entretenues entre les personnes au sein d'une même société, le degré d'égalité, le caractère démocratique des institutions, etc.
  • Les sociétés occidentales, dont le développement économique s'est essentiellement basé sur l'augmentation de la consommation de biens matériels, ne seraient pas conscientes de la dégradation de richesses plus essentielles comme la qualité de vie (silence, air non pollué, eau pure, soleil...), et sous-estimeraient les frustrations générées auprès des populations exclues de cette abondance, que ce soit dans les couches populaires ou dans les pays du Sud.

La décroissance soutenable n'est pas une fin en soi : c'est un moyen de rechercher une qualité de vie supérieure et de permettre aux générations futures d'en jouir également. Ses tenants arguent que la mesure de PIB est une mesure abstraite ne tenant pas en compte le bien-être des populations ni la santé des éco-systèmes.

[modifier] Un aspect particulier: la mesure de la croissance

Il existe actuellement (2006), dans les sociétés industrialisées, un consensus politique sur le lien entre qualité de vie et croissance du PIB, mais le PIB est une mesure partielle.

Le PIB ne compte pas les activités non rémunérées, comme le travail ménager ou le bénévolat, qui jouent un rôle important dans la société et sa qualité de vie[2].

[modifier] Présentation

La décroissance est une théorie assise sur la « bioéconomie » telle qu'exprimée par Nicholas Georgescu-Roegen.

Le concept de « décroissance » naît d'une controverse sur la croissance du PIB. Les défenseurs du concept de décroissance affirment que la croissance telle que mesurée par le PIB n'est « que quantitative » (par opposition à qualitative), puisqu'elle ne mesure que l'augmentation de la production et de la vente de biens sans tenir compte du bien-être des populations et de la santé des éco-systèmes.

Les partisans de la décroissance affirment que ce type de développement économique s'oppose aux « valeurs humaines »[3] et ne tient pas compte du fait que la Terre est limitée aussi bien dans ses ressources naturelles que dans sa capacité à supporter la destruction de son biotope (résilience). C'est pourquoi ils privilégient des indices de développement alternatifs tels que l'indicateur de développement humain, l'empreinte écologique ou l'indice de santé sociale. Bien que procédant d'une approche nouvelle, la plupart de ces indices n'apportent cependant rien de neuf en termes de classification car ils sont fortement corrélés au PIB.

Nicholas Georgescu-Roegen estime que le modèle néo-classique actuel est basé sur une vision mécaniste du monde (le paradigme de la mécanique newtonienne) [4]. Il introduit quand à lui une analyse thermodynamique dans sa théorie, et notamment le principe d'entropie (deuxième principe de la thermodynamique).

Les partisans de la décroissance montrent qu'une croissance annuelle de 3% du PIB implique que celui-ci double tous les 25 ans [5] ; cela implique dans le cas d'une croissance matérielle (basée sur la production et non les services) que deux fois plus de ressources soient utilisées, soit une multiplication par 16 en un siècle. Dès 1968, les experts du Club de Rome ont avancé l'idée qu'il serait possible de quadrupler l'efficacité de ces énergies : il s'agit du facteur 4.

La décroissance est comparée à une forme du néo-malthusianisme économique[6] bien que Paul Ariès, un des porte-parole de la décroissance en France, mette en garde contre certaines interprétations du néo-malthusianisme, considéré sous l'angle démographique : les partisans de la décroissance ne sont pas partisans d'une réduction drastique (ni volontaire ni imposée) de la population humaine[7].

[modifier] Décroissance et développement durables

La décroissance s'oppose ici au productivisme économique proposé comme modèle depuis l'ère industrielle. Elle s'oppose donc en partie au développement durable lorsqu'il est défini comme nécessitant une croissance durable ou continue des systèmes de production matérielle et monétaire et d'échange de biens et valeurs financières.

Pour les partisans de la décroissance, une société qui consomme toujours plus de ressources ne peut pas être respectueuse de l'environnement et sera rapidement confronté au manque de certaines ressources vitales. Ils estiment que pour être durable et soutenable sur une planète finie, le développement humain devra au contraire pouvoir se passer d'une croissance matérielle perpétuelle, au profit de réponses justes aux besoins matériels et socio-psychiques (incluant la santé et la sécurité affective, individuelle et collective), et au profit d'une croissance partagée de la qualité et du plaisir de vie, du savoir et des cultures.

[modifier] Sortir de l'économie : vers l'après-développement

La mouvance de la décroissance propose de « sortir de l’économie » citation nécessaire et remet en cause les catégories de base de l’économie : l’argent, le salaire, la valeur d’échange, les prix, les dites « lois » économiques, etc.

[modifier] Développement durable et pays peu développés

Les tenants de la décroissance soutenable tolèrent une certaine croissance pour les zones peu développés et les communautés et individus les plus pauvres, mais considèrent que le processus n'est pas « durable ». citation nécessaire

Pour les tenants de la décroissance soutenable :

  • Un développement durable impliquerait de toujours différentier le développement qualitatif et humain (le développement du bien-être, scolaire, culturel et de règles de fonctionnement communautaires harmonieuses, etc.) des aspects matériels limités par leur consommation de ressourcecitation nécessaire. La biodiversité doit être préservéecitation nécessaire. Le développement devient alors nécessairement un « écodéveloppement » plus respectueux de l'environnement et de l'Homme (d'où les idée émergentes de Haute Qualité Environnementale et d'écocertification plus ou moins bien appliquée selon les cas). citation nécessaire Pour atteindre ce but :
    • il faut préserver les populations d'une conjoncture mondiale de fin des ressources vitales. La relocalisation des économies (priorité à la production et à la consommation locale et à la réduction des transports motorisés) en est un des moyens proposés citation nécessaire.
    • faire profiter les zones pauvres des meilleures technologies et stratégies en matière d'efficacité énergétique et écologique.
    • Des idées récemment reformulées, mais qui étaient embryonnaires dans l'écodéveloppement d'Ignacy Sachs ou de René Dumont puis de René Passet sont la notion de « remboursement de la dette écologique »citation nécessaire, voire d'une dette socialecitation nécessaire, et une réduction partagée et équitable de l'empreinte écologique, dans une vision de développement solidaire.

[modifier] « Effet rebond »

La théorie de l'« effet rebond » argue que tout progrès technique, toute amélioration de productivité, au lieu de diminuer la consommation de matières premières et d'énergie, conduirait au contraire à produire beaucoup plus, donc à consommer davantage.

Par exemple, l'avènement de l'informatique et des réseaux dans ses débuts a laissé penser à une disparition possible du support papier. En fait, on en a constaté dans un premier temps une augmentation [8] Selon le fabricant de fournitures de bureau Esselte, la demande de papier a progressé de 40% dans les entreprises qui ont instauré un système de courrier électronique, parce que les employés ont tendance à imprimer leurs e-mails avant de les lire. La diminution a par ailleurs été compensée par l'essor des pays émergents devenus consommateurs. Toutefois la baisse de tirage des journaux papiers a fini par l'emporter, notamment en Amérique du nord, et est l'une des causes de la crise papetière de 2005.

Autre exemple : l'industrie automobile. Il est aujourd'hui possible de produire des véhicules bien moins polluants par unité de puissance qu'il y a quelques dizaines d'années ; mais comme leur nombre, leur puissance, leur masse, les kilomètres parcourus, les habitacles climatisés augmentent, la pollution automobile augmente aussi. Le même argument est avancé concernant le recyclage dont l'effet, pourtant important, ne suffit pas toujours à compenser l'augmentation de production de déchets par habitant.[9]

Les partisans de la décroissance résument l'« effet rebond » à ce que lorsque l'on arrive à produire une unité en polluant moins (ou avec moins de matières premières), on finit par produire plus d'unités, et au final par polluer plus (ou consommer plus de matières). Certains pensent que l'économie post-industrielle rendra l'économie largement informationnelle.

[modifier] Processus, acteurs et moyens pour obtenir la décroissance soutenable

Les partisans de la décroissance soutenable proposent des démarches d'initiative individuelle (voir par exemple la simplicité volontaire) et des démarches collectives de sensibilisation, notamment en organisant des marches. En France, un parti pour la décroissance a été créé en 2006: le groupe Utopia, au sein du Parti socialiste. Même s'il faut nuancer les concept de décroissance et de décroissance soutenable, c'est bien de décroissance soutenable qu'il s'agit[10].

Casseurs de Pub édite la Revue de l'environnement mental, le journal La Décroissance et le Journal de la joie de vivre.

[modifier] Critique du concept

Le concept de décroissance est présenté par ses détracteurs comme un retour en arrière et tourné en ridicule (« Retour à la bougie », « mythe du bon sauvage » ...) citation nécessaire Certains critiquent dans la décroissance soutenable une résurgence de formes antérieures du malthusianisme sous-tendant que la croissance est conditionnée par l'exploitation des ressources, les thèses « anti-malthusiennes » prônant au contraire que l'exploitation des ressources dépend du développement économique. citation nécessaire

Deux types de critiques proposent des alternatives à la décroissance :

  • L'une défend que le progrès technique résoudra la question des énergies et des déchets et de la raréfaction des matières premières. citation nécessaire
  • La seconde, social-productiviste (de la social démocratie au stalinisme), reconnaît ou partage les soucis environnementalistes mais considère que le contrôle et la stratégie de la croissance permettront un développement matériel croissant. citation nécessaire

A côté de ces deux points de vue classiques, certains, parmi les écologistes ou altermondialistes, craignent que l'objectif de décroissance ne devienne une fin en soi. citation nécessaire

A la marge un autre courant de pensée estime que le 21 ème siècle sera celui de la noosphère citation nécessaire, où la principale ressource sera l'information et la culture.

Enfin, le concept économique de la décroissance est fondé sur l'hypothèse que produire toujours plus implique de consommer de plus en plus d'énergie ou de matières premières citation nécessaire, tout en diminuant la main d'œuvre pour la remplacer par des machines. Cette analyse est toutefois contestée par certains citation nécessaire qui estiment que la technique et les progrès de compétitivité permettent de produire plus avec moins, y compris dans le domaine des services. On cite ainsi souvent l'exemple du remplacement des câbles télégraphiques par les satellites de communication citation nécessaire.

L'économiste roumain Georgescu-Roegen a fondé sa « théorie bioéconomique » sur le fait que la seconde loi de la thermodynamique s'oppose à une croissance matérielle et énergétique illimitée, invitant à une décroissance économique. Certains citation nécessaire estiment que cette approche est remise en cause par l'analyse scientifique des phénomènes d'émergences qui affectent les systèmes complexes tels que l'organisation sociale humaine.

[modifier] L'autorégulation de la croissance traditionnelle

Les détracteurs de la décroissance soutenable affirment citation nécessaire que le progrès technique permet de résoudre les problèmes de pollution, et que la matière première de l'économie moderne « post-industrielle » est davantage la connaissance que les ressources physiques. Ainsi la croissance du PIB est de plus en plus liée à celle des activités de services, non polluantes et ne consommant pas de matières premièrescitation nécessaire.

courbe environnementale de Kuznets. La description de ce phénomène constaté dans les pays riches, voire certains pays en voie de développement comme la Chine récemment, est permise par une courbe en U inversé (pollution en ordonnée et revenu par habitant en abscisse)
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courbe environnementale de Kuznets. La description de ce phénomène constaté dans les pays riches, voire certains pays en voie de développement comme la Chine récemment, est permise par une courbe en U inversé (pollution en ordonnée et revenu par habitant en abscisse)

Les détracteurs de la décroissance pensent citation nécessaire que la croissance permet la diminution ou la disparition de certains types de productions. Le capitalisme permettrait ainsi l'arbitrage vers des ressources plus abondantes ou vers d'autres biens, et signalerait par les prix du marché une ressource qui se raréfie.

D'autres citation nécessaire estiment que la croissance économique a deux effets contradictoires. L'augmentation de la production provoque une augmentation de la pollution, mais elle permet aussi :

  • d’enrichir les citoyens qui deviendraient alors davantage soucieux de l’environnement qui est considéré comme un bien supérieur (de fait les réglementations environnementales sont bien plus contraignantes dans les pays riches démocratiques).
  • de dégager des suppléments de revenus susceptibles d’être alloués à la protection de l’environnement.
  • de diffuser de nouvelles technologies permettant une meilleure utilisation des ressources économiques
  • enfin les entreprises finissent par réclamer sous la pression des citoyens-consommateurs des mesures visant à protéger un environnement nécessaire à la bonne marche de leurs activités.

Sur la base de ces hypothèses, des économistes ont avancé citation nécessaire que la croissance était nuisible à l’environnement jusqu’à ce que soit atteint un certain niveau de revenu par habitant au-delà duquel les effets favorables à l’environnement devenaient dominants (cf. graphique ci-contre).

La prédiction d'une augmentation de la consommation d'énergie égale à l'augmentation de la production ne se vérifie pas empiriquement : l'intensité énergétique de la production diminue chaque année pour les pays riches, suite aux chocs pétroliers puis à la dématérialisation croissante de l'économie. Ainsi, l'intensité énergétique des pays de l'OCDE a diminué de 40% depuis 1980, et le Département de l'énergie américain prévoit une diminution de l'intensité énergétique mondiale de 1,8% par an sur la période 2003-2030[11].

[modifier] Régulation contrainte de la croissance

Du point de vue marxiste, le concept de décroissance est vain car il élude la question des rapports sociaux. En excluant de sa réflexion les conditions de sa mise en œuvre, la décroissance se verrait condamnée au domaine de l'utopie.

[modifier] Citations

  • « Celui qui croit qu'une croissance exponentielle peut continuer indéfiniment dans un monde fini est un fou, ou un économiste. » (Kenneth Boulding)
  • « La décroissance ne propose pas de vivre moins, mais mieux avec moins de biens et plus de liens. » (Charte de la décroissance)
  • « Nul n'a besoin d'être économiste pour comprendre qu'un individu, ou une collectivité, tirant la majeure partie de ses ressources de son capital, et non de ses revenus, est destiné à la faillite. Tel est pourtant bien le cas des sociétés occidentales, puisqu'elles puisent dans les ressources naturelles de la planète, un patrimoine commun, sans tenir compte du temps nécessaire à leur renouvellement. Non content de piller ce capital, notre modèle économique, fondé sur la croissance, induit en plus une augmentation constante de ces prélèvements. » (Bruno Clémentin et Vincent Cheynet)
  • « Les symptômes d'une crise planétaire qui va s'accélérant sont manifestes. On en a de tous côtés cherché le pourquoi. J'avance pour ma part l'explication suivante: la crise s'enracine dans l'échec de l'entreprise moderne, à savoir la substitution de la machine à l'homme. Le grand projet s'est métamorphosé en un implacable procès d'asservissement du producteur et d'intoxication du consommateur. » (Ivan Illich dans son livre La convivialité)
  • « Les "décroissants" se proclament humanistes, mais ils ne croient pas en l'homme. Leur pessimisme leur fait dire que l'humanité ne sera pas assez inventive pour trouver des énergies de substitution au pétrole ni assez raisonnable pour éviter un désastre écologique. Mais ils laissent à son sort le milliard d'êtres humains qui vit avec moins de 1 dollar par jour. », Pierre-Antoine Delhommais dans une chronique parue dans le journal français Le Monde.
  • « La décroissance est une alternative destructrice. », Nathalie Kosciusko-Morizet, déléguée générale de l'UMP à l'écologie, dans Aujourd'hui en France, le 26 novembre 2006.

[modifier] Notes et références

  1. malthusianisme économique « Ce terme [malthusianisme économique] désigne alors l'attitude ou des pratiques reposant sur la réduction volontaire de la production. », Dictionnaire d'Économie et de sciences sociales, Hatier, p.490 (« Malthusianisme économique »)
  2. dans les comptabilités nationales ex exemple : site du gouvernement canadien : LE PRODUIT INTÉRIEUR BRUT ET LES AUTRES INDICATEURS SOCIAUX ET ÉCONOMIQUES
  3. notamment Serge Latouche, 'La déraison de la raison économique', introduction
  4. Nicholas Georgescu-Roegen La décroissance. Entropie - Écologie - Économie ed de 1995 p.24
  5. en effet une augmentation de 3 % pendant 25 ans correspond au calcul élémentaire : PIB * (1 + 0,03)exp25 = 2,09 * PIB
  6. « Ce terme [malthusianisme économique] désigne alors l'attitude ou des pratiques reposant sur la réduction volontaire de la production. », Dictionnaire d'Économie et de sciences sociales, Hatier, p.490 (« Malthusianisme économique »)
  7. Pour sauver la Terre : l’espèce humaine doit-elle disparaître ? - De l’humanisme à l’humanicide : les délires terroristes des néo-malthusiens de Paul Ariès, L'harmattan, 2002
  8. Dominique Lachenal, « Le papier, un matériau complexe », EFPG, 2004 (VI - L'industrie papetière mondiale, Croissance prévue jusqu'en 2015)
  9. exemple en chiffres au Québec
  10. La décroissance soutenable est une transformation démocratique conditionnée par le respect des droits humains présentation du parti de la décroissance
  11. (en)International Energy Outlook 2006, page 15 lire en ligne

Dictature de la croissance, Gérard Moreau, éditions Gingko 2005

[modifier] Voir aussi

[modifier] Sujets connexes

[modifier] Événements

[modifier] Liens externes

[modifier] Articles

[modifier] Critiques

[modifier] Autres revues

[modifier] Bibliographie

  • "La décroissance. Entropie-Écologie-Économie de Nicholas Georgescu-Roegen Nicholas Georgescu-Roegen, livre à télécharger.
  • Les objecteurs de croissance, Le Monde 2, numéro 110, 25-31 mars 2006, pp 18-25
  • Objectif décroissance, vers une société harmonieuse, sous la dir. de Michel Bernard, ouvrage collectif (Serge Latouche, Vincent Cheynet ...) Éditions Parangon, ISBN 2-84190-121-1
  • Justice sans limites, Le défi de l’éthique dans une économie mondialisée, Serge Latouche, Ed. Fayard, 2003
  • Survivre au développement, Serge Latouche, Mille et une nuits, Paris, 2004, ISBN 2-84205-865-8
  • "Défaire le développement, refaire le monde", numéro spécial, L'Ecologiste n°6, Hiver 2001.
  • "Décroissance ou barbarie", Paul ARIES, Editions Parangon ISBN 2-9144-7576-4
  • "Croissance : l'impossible nécessaire", Jean AUBIN, Editions Planète Bleue (4ème édition : mars 2006)- ISBN-9519536-3-1
  • Décroissance ou barbarie de Paul Ariès (Golias)
  • Décroissance : penser la transition in S!lence, n°336, juin 2006. dossier.
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