CLASSICISTRANIERI HOME PAGE - YOUTUBE CHANNEL
SITEMAP
Audiobooks by Valerio Di Stefano: Single Download - Complete Download [TAR] [WIM] [ZIP] [RAR] - Alphabetical Download  [TAR] [WIM] [ZIP] [RAR] - Download Instructions

Make a donation: IBAN: IT36M0708677020000000008016 - BIC/SWIFT:  ICRAITRRU60 - VALERIO DI STEFANO or
Privacy Policy Cookie Policy Terms and Conditions
Siège de Gergovie - Wikipédia

Siège de Gergovie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vous avez de nouveaux messages (diff ?).
fig. 1 : Le monument commémoratif sur le site présumé de l'oppidum
Agrandir
fig. 1 : Le monument commémoratif sur le site présumé de l'oppidum
Siège de Gergovie
Conflit Guerre des Gaules
Date 52 av. J.-C
Lieu Gergovie, près de Nemossos, Auvergne
Issue Victoire gauloise
Combattants
Coalition gauloise Armée romaine
Commandement
Vercingétorix Jules César
Forces en présence
plusieurs dizaines de milliers de fantassins
archers et cavaliers à proximité de l'oppidum et à l'intérieur
6 légions
soit 24 000 fantassins, la cavalerie auxiliaire et la cavalerie éduenne (10 000)
Pertes
? environ 700

Le siège de Gergovie, en 52 av. J.-C, est une des batailles principales de la Guerre des Gaules. Elle vit les forces gauloises rassemblées sous la conduite de Vercingétorix repousser victorieusement les assauts des légions romaines de Jules César, qui assiégeaient l'oppidum de Gergovie, à proximité de la cité arverne de Nemossos (l'actuelle Clermont-Ferrand).

Sommaire

[modifier] Localisation

[modifier] Une localisation débattue

À l’instar d’Alésia, le site de la bataille de Gergovie est également l'objet d'une controverse de localisation, quoique moins connue. Revenir sur ce débat est nécessaire, car seule la confrontation au terrain et aux trouvailles archéologiques peuvent renouveler l’étude des événements. Les refuser c’est se condamner à ressasser le texte de César et bloquer le progrès de la science historique. Par bien des aspects la controverse rappelle celle d’Alésia. Les opposants au site officiel s’appuient avant tout sur le texte de César, et l’on peut retrouver entre les deux parties une querelle entre philologues et historiens. Les seconds accusant les premiers de surévaluer l’information que l’on peut tirer du texte latin. Des aspects plus locaux sont aussi à souligner, et comme pour Alésia l’opposition initiale au site officiel répond sans doute aussi à des considérations en partie politique, car Napoléon III est autant attaché au site de Gergovie-Merdogne (fig. 1) qu’il l’est à celui d’Alésia-Alise-Sainte-Reine, la querelle se teinte alors souvent de régionalisme contre une interprétation officielle suspecte de centralisme ou de parisianisme.

La querelle et sa persistance se comprennent cependant mieux dans le cas de Gergovie que dans le cas d’Alésia. En effet d’une part les sites concurrents sont très peu éloignés l’un de l’autre, à proximité de Clermont-Ferrand : le site officiel au sud, celui des Côtes au nord. D’autre part les deux sites portent des traces archéologiques incontestables d’occupation gauloise à une période proche de la bataille, à la différence du site concurrent d’Alésia-Alise, celui de Syam où la preuve définitive d’une occupation La Ténienne n’a pas été apportée. Il a été cependant très difficile de dater plus précisément ces oppida et encore plus d’apporter la preuve que l’un ou l’autre était la capitale des Arvernes en 52 av. J.-C.

La région de Clermont-Ferrand se distingue en effet au Ier siècle av. J.-C. par une importante densité humaine et un nombre d’agglomérations remarquable : aux oppida perchés de Gergovie et peut-être des Côtes, il faut ajouter ceux de Gondole et de Corent à 6km de Gergovie, où des découvertes archéologiques exceptionnelles ont récemment été faites, la cité de Nemossos, située à l'emplacement actuel de Clermont-Ferrand et l’agglomération de plaine d’Aulnat. Selon Vincent Guichard, c’est vers 70 av. J.-C que Corent aurait été abandonné au profit de Gergovie. Cette relative instabilité urbaine n’est pas surprenante dans le monde celtique de cette période, mais elle ne favorise pas l’identification des lieux.

L’expansion urbaine autour de Clermont, mais aussi l’exploitation des ressources géologiques locales a de plus donné un caractère d’urgence à la querelle, le site des Côtes de Clermont étant doublement menacé, d’une part par le grignotage immobilier, d’autre part par l’exploitation d’une carrière qui a déjà considérablement endommagé la colline. Autour du site officiel de Gergovie, la pression immobilière est aussi forte.

Il n’est donc pas étonnant que la querelle ait rebondi durant les années 1990. D’une part Yves Texier, professeur de latin (université Bordeaux III) consacra sa thèse de doctorat (Clermont Ferrand II, 1995) à la localisation de la bataille confrontant les deux sites à travers une analyse essentiellement philologique. Il opta finalement pour une hypothèse privilégiant les Côtes de Clermont. D’autre part, en 1995, le Service Régional d’Archéologie lança une série de sondages archéologiques destinés à trancher la question, essentiellement en réexaminant le site de Gergovie sur la commune de la Roche Blanche. Ces fouilles menées par Vincent Guichard confortent selon lui l’identification traditionnelle et officielle : les fouilles de l’époque de Napoléon III menées par le colonel Stoffel furent confirmées et du matériel militaire romain d’époque républicaine retrouvé dans les fossés. Le consensus ne s’est pas pour autant établi, et si la thèse des Côtes reste minoritaire, elle garde de nombreux partisans autour de la métropole auvergnate.

[modifier] Site officiel de Gergovie

C’est d’abord sur la base de la toponymie que ce site fut proposé. Un lieu habité du nom de « Gergoia » est mentionné sur la pente ouest du plateau dès le Xe siècle. Ce n’est cependant que depuis les fouilles de Napoléon III que le plateau de Merdogne a été rebaptisé Gergovie. Dès le XVIe siècle cependant l’Italien Gabriele Simeoni, se basant sur l’indice toponymique avait proposé l’identification. La découverte de restes gaulois et gallo-romains sur le plateau appuya l’identification.

Les fouilles du colonel Stoffel dans les années 1860 mirent à jour des fossés. À leur suite on situe le petit camp de César sur la colline de la Roche Blanche (5,5 ha) et le grand camp à la Serre d’Orcet (35 ha). Des fouilles menées de 1936 à 1939 retrouvèrent les fossés, mais leur publication médiocre ne permit guère l’exploitation des trouvailles. Les années 1940 virent des fouilles importantes menées sur le plateaux (oppidum gaulois) notamment par les membres rapatriés de l’université de Strasbourg.

Les sondages entrepris en 1995 confirmèrent les trouvailles de Stoffel et permirent de mieux évaluer la taille antique des fossés, aujourd’hui très érodés. Du matériel bien daté de l’époque correspondant à la guerre des Gaules a été trouvé (amphore Dressel 1) ainsi que du matériel militaire romain (traits de catapultes en fer trouvés dans les fossés du petit camp). Pour de nombreux spécialistes de la période, comme C. Goudineau, la démonstration était faite que Gergovie se trouvait bien sur le site officiel.

Les opposants à cette théorie ont longtemps argués de l’incertitude qui pesait sur les trouvailles de Stoffel, sur l’abondance des restes postérieurs à César dans l’oppidum et dans le matériel trouvé en son sein. Ils minimisent le caractère explicite du matériel récemment retrouvé et insistent sur le texte de César et son incompatibilité — selon eux — avec la disposition des lieux sur le site. À ce titre ils arguent de l'accessibilité qu'offre par endroit le plateaux de Merdogne, et de son absence supposée de points d'eau mais si une absence totale est cependant douteuse compte tenu de la présence de puits et d'une ville gallo-romaine incontestable, une rareté des ressources en eau n'est pas incompatible avec le texte césarien (VII, 36).

[modifier] Site des Côtes de Clermont

Si pour Alésia le site d’Alise fut contesté dès le XIXème par de nombreux sites abandonnés les uns après les autres (celui de Syam n’ayant été proposé qu’en 1962), ce n’est qu’en 1933 que les Côtes de Clermont furent proposées en site concurrent du site officiel, par Maurice Busset. L'oppidum de Gergovie est décrit par César comme n'ayant que des accès difficiles (omnes aditus difficiles habebat). Mais le site officiel de Gergovie attribué par Napoléon III, ne correspond pas à cette description car il s'agit d'un long plateau assez facilement accessible par l'ouest. M. Busset, sur la base de fouilles maladroites, selon les mots mêmes des partisans du site des Côtes (Y. Zaballos, 1996), proposa le site des Côtes sans être réellement suivi.

À partir de 1952 cependant, Paul Eychart s’attacha à donner à l’hypothèse des bases plus solides. Des sources, des habitats gaulois et des soubassements de constructions furent trouvés au sommet des Côtes. L’hypothèse des Côtes place le petit camp de César au sommet de la colline de Chanturgue, encore aujourd’hui épargnée par l’urbanisation, et le grand camp sous la ville actuelle de Montferrand, ce qui rend pour ce dernier point toute confirmation impossible. Les menaces sur le site des Côtes ont fait que le combat pour la localisation historique est aussi devenu un combat pour la sauvegarde d’un lieu menacé, et de querelle érudite le débat s’est aussi porté sur les modalités de l’expansion urbaine de l’agglomération clermontoise, et sur la pertinence de l’exploitation des carrières de basalte dans cette région du Puy-de-Dôme.

Le travail d’Yves Texier a apporté une solide caution philologique à l’hypothèse, mais il faut noter que s’il fut publié en 1999, il avait été élaboré pour l’essentiel avant les dernières fouilles menées sur le site officiel. La controverse est toujours vive car les fouilles approfondies sur les Côtes, qui pourraient être déterminantes, n'ont toujours pas été autorisées et qu'une grande partie du site est en cours de destruction, nous l'avons-vu, par une carrière de basalte en exploitation.

Les opposant à la théorie des Côtes de Clermont mettent en avant l’absence de trouvailles archéologiques incontestables : ainsi la présence d’un camp romain sur la colline de Chanturgue n’a pas convaincu la majeure partie des archéologues et les restes topographiques mis en avant pour soutenir l’hypothèse sont, il faut le reconnaître, difficilement compatibles avec un petit camp provisoire de la fin de l’époque républicaine. Les partisans du site officiel mettent aussi en avant le caractère secondaire et limité de l’occupation humaine celtique au sommet des Côtes, V. Guichard n'y reconnaissant pas de fortifications caractéristiques de l'époque. Le mobilier archéologique découvert par M. Eychart (voir les planches publiées dans son ouvrage) sur le site des Côtes et ses abords immédiats se rapporte à une période d'occupation bien antérieure à l'épisode de la Guerre des Gaules, en très grande partie datable des IIIe-IIe s. av. J.-C. L'occupation du Ier s. av. J.-C., moment de la conquête, y est plus que discrète. Par ailleurs, les récentes découvertes de Corent permettent de mieux connaître la fin de l’époque gauloise indépendante et semblent renforcer la crédibilité d’un emplacement de la capitale de Vercingétorix sur le plateaux de Merdogne, fort proche de Corent. Enfin, le suivi systématique des aménagements urbains et de l'extension de la carrière, dans le cadre de l'archéologie préventive par l'AFAN puis l'INRAP, sur et aux abords du site des Côtes (y compris sur le secteur de Montferrand) n'ont jamais permis la découverte de vestiges se rapportant à cet épisode de la fin de la période gauloise.

[modifier] Histoire

Le récit de la bataille dépend avant tout de celui de César, source qui n'est évidemment pas objective et tente de masquer au mieux la défaite. Comme pour le reste du récit césarien, il faut donc prendre le texte de César avec la critique historique nécessaire.

[modifier] Forces en présences

Jules César dispose de 6 légions ; les 4 autres sont sous le commandement de Labiénus qui mène des batailles plus au nord contre les Parisii et les Sénons. Ses alliés gaulois sont de moins en moins nombreux et leur fidélité plus fragile. Les dirigeants des cités gauloises se sont divisés, y compris au sein des alliés les plus fidèles, les Éduens. À Decize, César, au retour d'Avaricum, est intervenu dans les affaires politiques des Éduens et pensait les avoir réglées en sa faveur en choisissant Convictovitalis comme magistrat suprême des Éduens.

fig. 2 : soldat arverne sur une monnaie trouvée en Auvergne
Agrandir
fig. 2 : soldat arverne sur une monnaie trouvée en Auvergne

Avec les Arvernes, César se trouve confronté à l'un des peuples les plus prestigieux et les plus puissants. L'archéologie a récemment révélée la densité de l'occupation humaine antique dans la plaine de la Limagne et ses abords. Elle a aussi confirmé les témoignages antiques, essentiellement celui de Posidonios, sur le faste des rois arvernes de la fin du IIème siècle avant notre ère. Si les Arvernes avaient été déjà vaincus par les Romains lors de la conquête de la future Narbonnaise, et étaient restés prudemment neutres lors des débuts de la guerre des Gaules, leur puissance et leur richesse étaient toujours considérables. César cependant espérait peut-être que des dissenssions éclateraient au sein des Arvernes : la prise de pouvoir de Vercingétorix était récente et des notables arvernes s'y étaient opposés, comme Gobanitio, l'oncle de Vercingétorix.

Mais du côté Gaulois la légitimité de Vercingétorix semble s'être accrue, et la défaite d'Avaricum a entériné son discernement et son sens stratégique plus qu'elle n'a entamé le moral des Gaulois dont les pertes sont annulées par des ralliements. Le décompte exact des forces gauloises est inconnue, mais la plus grande partie des forces de la coalition était présente revenue depuis Avaricum et renforcée de récents ralliement, comme celui des Nitiobroges venus d'Aquitaine ou des Rutènes et des Gabales venu du sud du pays arverne

César et ses troupes arrivèrent sur place depuis le Nord en suivant le cours de l'Allier sur la rive droite. Après un franchissement de l'Allier qui nécessita la ruse, César parvint en quatre étapes à Gergovie.

[modifier] Dispositions des troupes

L'oppidum (70ha) et les sommets voisins sont occupés par les troupes de Vercingétorix. Compte tenu des difficultés d'accès à l'oppidum constatées par César, le siège de la ville n'est décidé qu'après avoir assuré l'approvisionnement des troupes. César fait d'abord construire un grand camp et cherche à améliorer ses positions, d'autant plus que des engagements réguliers ont lieu. Il utilise alors deux légions pour déloger une troupe gauloise d'une colline proche de l'oppidum. il y fait installer un petit camp ainsi qu'un double fossé de douze pieds de large qui permet aux Romains de circuler entre les deux camps en étant protégés des forces ennemies.

[modifier] La cavalerie éduenne

À ce moment là du siège, César dispose encore du soutien des Éduens qui doivent lui envoyer des cavaliers. Toutefois, c'est sans compter sur Convictolitavis qui tente de faire comprendre à certains jeunes Éduens — notamment Litaviccos — que leur aide serait plus précieuse aux Gaulois qui se battent pour l'indépendance de leurs territoires. C'est ainsi que les Romains doivent faire face à la défection de ce peuple qui était jusqu'alors leur principal soutien. Derrière les motivations de ce retournement, telles que rapportées par César - corruption et volonté d'indépendance - il faut deviner un basculement politique dans le cadre de luttes politiques internes aux cités gauloises (voir S. Lewuillon, 1999).

fig. 3 : reconstitution moderne d'une balliste romaine
Agrandir
fig. 3 : reconstitution moderne d'une balliste romaine

La menace est grave : la cavalerie éduenne pourrait prendre à revers les Romains et elle compte dix mille hommes. C'est donc un piège décisif qui peut se refermer sur l'armée romaine. César, mis au courant de cette action par Eporédorix, un notable éduen, quitte immédiatement sa position à Gergovie pour aller à l'encontre de ces Éduens. Il prend pour cela la tête de quatre légions et de toute la cavalerie. Deux légions seulement restent aux camp, dirigées par le légat Caius Fabius. César parvient à ramener une grande partie des troupes éduennes à l'alliance romaine alors que celles mises sous le commandement de Litaviccos ont tôt fait d'atteindre l'oppidum de Gergovie.

Durant l'absence de César, les Gaulois attaquent les camps romains. César informé de cette attaque rentre de nuit vers Gergovie et les camps romains. Il arrive avant le lever du soleil. Bien qu'inférieur en nombre aux assaillants gaulois les troupes de Fabius ont tenu, en particulier grâce à leur artillerie (catapultes et ballistes, voir figure 3). Le piége qui aurait pu anéantir César et ses troupes a été déjoué, mais la position romaine n'en est pas meilleure pour autant.

[modifier] L'échec de la tentative d'assaut romaine

César tente ensuite une ruse pour vaincre l'assiégé ; il feint de vouloir prendre une colline qui auparavant était envahie de Gaulois. Pour cela, il y envoie des troupes ainsi que des légionnaires déguisés en cavaliers. Pendant ce temps il fait passer le gros de ses troupes du grand camp au petit camp grâce au double fossé. Les Éduens qu'il a réussi à rattacher à son mouvement font une attaque par la droite en sortant du grand camp.

Cela semble fonctionner jusqu'au moment où César, à la tête de la dixième légion, sonne la fin. La topographie déjouant ses plans, bon nombre d'entre ses troupes n'entendent pas ce signal et continuent à se battre jusqu'au dessous des remparts, notamment des soldats de la huitième légion. De plus, ils confondent les Éduens qui manœuvraient en diversion sur leur flanc avec les assiégés, ce qui provoque leur retraite dans de très mauvaises conditions. L'armée romaine essuie alors des pertes importante. Elle ne rétablit sa position que lorsque les soldats qui étaient parvenus jusqu'au rempart et avaient pu en réchapper firent la jonction avec la dixième légion et des troupes de la treizième. Vercingétorix n'a pas lancé de poursuite plus avant, c'est la fin de la bataille. Le siège n'est plus tenable les risques sont trop grands compte-tenus des troupes rassemblées par César.

L'issue du siège est favorable aux Gaulois. Jules César admet une perte d'environ sept cent hommes dont quarante-six centurions.

[modifier] La retraite vers le nord de la Gaule

César décide de quitter les lieux en faisant croire qu'il part pour soutenir Labiénus dans ses batailles et ne montre nullement qu'il vient de faire face à un échec important. Après avoir tenté en vain de provoquer une bataille en rase-campagne, les Gaulois étant restés dans l'oppidum, et ne sortant que pour quelques escarmouches, César et ses armées quittent l'Auvergne en reprenant l'itinéraire longeant l'Allier. Les cavaliers éduens quittent la colonne de César : l'alliance avec les Éduens est morte.

Si le chef romain a évité le piège consécutif au retournement politique des Éduens, réussissant in extremis et momentanément à reprendre le contrôle de leur cavalerie, il a échoué à reprendre le contrôle total de la situation et il doit manœuvrer dans des contrées de plus en plus hostiles.

[modifier] Références

[modifier] Sources

[modifier] Publications contemporaines

  • Yann Deberge, Vincent Guichard, Nouvelles données archéologiques sur la bataille de Gergovie. Revue Archéologique du Centre de la France, 39, 2000, p. 83-111.
  • C. Goudineau, César et la Gaule, Paris, (1990) 2000.
  • M. Provost, C. Mennessier-Jouannet, Carte archéologique de la Gaule, tomes 63/1 et 63/2, Paris, 1994
  • D. Leguet et D. Tourlonias, Gergovie, Clermont-Ferrand, 1996 (guide du site officiel)
  • Y. Zaballos, Gergovie, défaite de César sur les Côtes de Clermont, 1996 (brochure sur le site des Côtes).
  • Yves Texier, La question de Gergovie : essai sur un problème de localisation. collection Latomus, Bruxelles, 1999. 417 p. (analyse essentiellement philologique, plaidoyer pour une révision de la localisation en faveur des Côtes de Clermont)
  • Vincent Guichard, « Gergovie », in L’année terrible, L’Archéologue Hors série, n° 1, 1998, pp. 30-33 (fouilles du site de la Roche Blanche, photographies des trouvailles : traits de catapultes et amphores Dressel 1).
  • S. Lewuillon, Vercingétorix ou le mirage d'Alésia, Paris, 1999.

[modifier] Liens externe


Portail de la Rome antique – Accédez aux articles de Wikipédia concernant la Rome antique.
Portail de l'histoire militaire – Accédez aux articles de Wikipédia concernant l'histoire militaire.
Portail de la région Auvergne – Accédez aux articles de Wikipédia concernant la région Auvergne.
Static Wikipedia 2008 (no images)

aa - ab - af - ak - als - am - an - ang - ar - arc - as - ast - av - ay - az - ba - bar - bat_smg - bcl - be - be_x_old - bg - bh - bi - bm - bn - bo - bpy - br - bs - bug - bxr - ca - cbk_zam - cdo - ce - ceb - ch - cho - chr - chy - co - cr - crh - cs - csb - cu - cv - cy - da - de - diq - dsb - dv - dz - ee - el - eml - en - eo - es - et - eu - ext - fa - ff - fi - fiu_vro - fj - fo - fr - frp - fur - fy - ga - gan - gd - gl - glk - gn - got - gu - gv - ha - hak - haw - he - hi - hif - ho - hr - hsb - ht - hu - hy - hz - ia - id - ie - ig - ii - ik - ilo - io - is - it - iu - ja - jbo - jv - ka - kaa - kab - kg - ki - kj - kk - kl - km - kn - ko - kr - ks - ksh - ku - kv - kw - ky - la - lad - lb - lbe - lg - li - lij - lmo - ln - lo - lt - lv - map_bms - mdf - mg - mh - mi - mk - ml - mn - mo - mr - mt - mus - my - myv - mzn - na - nah - nap - nds - nds_nl - ne - new - ng - nl - nn - no - nov - nrm - nv - ny - oc - om - or - os - pa - pag - pam - pap - pdc - pi - pih - pl - pms - ps - pt - qu - quality - rm - rmy - rn - ro - roa_rup - roa_tara - ru - rw - sa - sah - sc - scn - sco - sd - se - sg - sh - si - simple - sk - sl - sm - sn - so - sr - srn - ss - st - stq - su - sv - sw - szl - ta - te - tet - tg - th - ti - tk - tl - tlh - tn - to - tpi - tr - ts - tt - tum - tw - ty - udm - ug - uk - ur - uz - ve - vec - vi - vls - vo - wa - war - wo - wuu - xal - xh - yi - yo - za - zea - zh - zh_classical - zh_min_nan - zh_yue - zu -

Static Wikipedia 2007 (no images)

aa - ab - af - ak - als - am - an - ang - ar - arc - as - ast - av - ay - az - ba - bar - bat_smg - bcl - be - be_x_old - bg - bh - bi - bm - bn - bo - bpy - br - bs - bug - bxr - ca - cbk_zam - cdo - ce - ceb - ch - cho - chr - chy - co - cr - crh - cs - csb - cu - cv - cy - da - de - diq - dsb - dv - dz - ee - el - eml - en - eo - es - et - eu - ext - fa - ff - fi - fiu_vro - fj - fo - fr - frp - fur - fy - ga - gan - gd - gl - glk - gn - got - gu - gv - ha - hak - haw - he - hi - hif - ho - hr - hsb - ht - hu - hy - hz - ia - id - ie - ig - ii - ik - ilo - io - is - it - iu - ja - jbo - jv - ka - kaa - kab - kg - ki - kj - kk - kl - km - kn - ko - kr - ks - ksh - ku - kv - kw - ky - la - lad - lb - lbe - lg - li - lij - lmo - ln - lo - lt - lv - map_bms - mdf - mg - mh - mi - mk - ml - mn - mo - mr - mt - mus - my - myv - mzn - na - nah - nap - nds - nds_nl - ne - new - ng - nl - nn - no - nov - nrm - nv - ny - oc - om - or - os - pa - pag - pam - pap - pdc - pi - pih - pl - pms - ps - pt - qu - quality - rm - rmy - rn - ro - roa_rup - roa_tara - ru - rw - sa - sah - sc - scn - sco - sd - se - sg - sh - si - simple - sk - sl - sm - sn - so - sr - srn - ss - st - stq - su - sv - sw - szl - ta - te - tet - tg - th - ti - tk - tl - tlh - tn - to - tpi - tr - ts - tt - tum - tw - ty - udm - ug - uk - ur - uz - ve - vec - vi - vls - vo - wa - war - wo - wuu - xal - xh - yi - yo - za - zea - zh - zh_classical - zh_min_nan - zh_yue - zu -

Static Wikipedia 2006 (no images)

aa - ab - af - ak - als - am - an - ang - ar - arc - as - ast - av - ay - az - ba - bar - bat_smg - bcl - be - be_x_old - bg - bh - bi - bm - bn - bo - bpy - br - bs - bug - bxr - ca - cbk_zam - cdo - ce - ceb - ch - cho - chr - chy - co - cr - crh - cs - csb - cu - cv - cy - da - de - diq - dsb - dv - dz - ee - el - eml - eo - es - et - eu - ext - fa - ff - fi - fiu_vro - fj - fo - fr - frp - fur - fy - ga - gan - gd - gl - glk - gn - got - gu - gv - ha - hak - haw - he - hi - hif - ho - hr - hsb - ht - hu - hy - hz - ia - id - ie - ig - ii - ik - ilo - io - is - it - iu - ja - jbo - jv - ka - kaa - kab - kg - ki - kj - kk - kl - km - kn - ko - kr - ks - ksh - ku - kv - kw - ky - la - lad - lb - lbe - lg - li - lij - lmo - ln - lo - lt - lv - map_bms - mdf - mg - mh - mi - mk - ml - mn - mo - mr - mt - mus - my - myv - mzn - na - nah - nap - nds - nds_nl - ne - new - ng - nl - nn - no - nov - nrm - nv - ny - oc - om - or - os - pa - pag - pam - pap - pdc - pi - pih - pl - pms - ps - pt - qu - quality - rm - rmy - rn - ro - roa_rup - roa_tara - ru - rw - sa - sah - sc - scn - sco - sd - se - sg - sh - si - simple - sk - sl - sm - sn - so - sr - srn - ss - st - stq - su - sv - sw - szl - ta - te - tet - tg - th - ti - tk - tl - tlh - tn - to - tpi - tr - ts - tt - tum - tw - ty - udm - ug - uk - ur - uz - ve - vec - vi - vls - vo - wa - war - wo - wuu - xal - xh - yi - yo - za - zea - zh - zh_classical - zh_min_nan - zh_yue - zu -

Sub-domains

CDRoms - Magnatune - Librivox - Liber Liber - Encyclopaedia Britannica - Project Gutenberg - Wikipedia 2008 - Wikipedia 2007 - Wikipedia 2006 -

Other Domains

https://www.classicistranieri.it - https://www.ebooksgratis.com - https://www.gutenbergaustralia.com - https://www.englishwikipedia.com - https://www.wikipediazim.com - https://www.wikisourcezim.com - https://www.projectgutenberg.net - https://www.projectgutenberg.es - https://www.radioascolto.com - https://www.debitoformtivo.it - https://www.wikipediaforschools.org - https://www.projectgutenbergzim.com