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La Roche-sur-Foron - Wikipédia

La Roche-sur-Foron

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La Roche-sur-Foron
Pays
drapeau de la France
     France
Région Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Arrondissement de Bonneville
Canton Canton de La Roche-sur-Foron
Code INSEE 74224
Code postal 74800
Maire
Mandat en cours
Michel Thabuis
2001-2008
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Rochois
Latitude 46° 04' 04" Nord
Longitude 06° 18' 45" Est
Altitude 500 m (mini) – 1 896 m (maxi)
Superficie 1 794 ha = 17,94 km2
Population sans
doubles comptes
8 538 hab.
(1999)
Densité 475 hab./km2

La Roche-sur-Foron est une commune française, située dans le département de la Haute-Savoie et la région Rhône-Alpes. Ses habitants sont les Rochoises et les Rochois.

Sommaire

[modifier] Géographie

[modifier] Situation

La cité est située dans une zone géographique exceptionnelle au carrefour :

  • du Genevois et du Faucigny (à une vingtaine de kilomètres du canton de Genève) ;
  • au débouché de l'industrieuse et dynamique moyenne vallée de l'Arve ;
  • porte du bassin annecien (à une vingtaine de kilomètres) ;
  • desservie par le TGV, au carrefour de l'autoroute blanche (Suisse-Italie) et de l'AREA, et à quarante kilomètres de l'aéroport international de Genève-Cointrin.
  • Altitude : 545 m (à la mairie)

[modifier] Point de repère

[modifier] Communes limitrophes

La Roche-sur-Foron est bordée par cinq communes dont quatre appartiennent à son propre canton :

et

[modifier] Nature des paysages

[modifier] Voies de communications

[modifier] Par routes

[modifier] Transports en commun

[modifier] Aéroport et héliport

Grâce à sa situation privilégiée au centre du département de la Haute-Savoie, La Roche profite de la proximité des aéroports de Genève, Annecy et Chambéry, sans oublié celui de Lyon-Saint-Exupéry très facilement et très rapidement accessible par l'autoroute que va de porte à porte.

[modifier] Village, Hameau

[modifier] Histoire

[modifier] Héraldique

Selon nos connaissances, le blason initial de La Roche serait :"d'azur à l'étoile d'argent". Mais au XVIIe siècle, lorsque le duc Emmanuel-Philibert de Savoie imposat au Rochois un marquis, élevant ainsi la baronie de La Roche en un marquisat, ceux-ci, par défiance face à ce nouveau venu (le marquis de Graneri), choisirent de modifier la blason de leur ville : ils prirent les armes des comtes de Genève, leurs premiers et prestigieux souverains ! Le blason des comtes de Genève est aussi celui de la province du Genevois : d'or à quatre point équipolés d'azur, ou d'or à la croix d'azur ajourée en son centre.

En effet, les Rochois préféraient que leur ville ne fût qu'une "modeste" baronie mais relevant directement du duc de Savoie plutôt qu'un marquisat relevant d'un lointain marquis Piémontais, inconnu à leurs yeux et ponctionnant des impôts fabuleux ! Ceux-ci servirent notamment à la construction de l'hôtel de Graneri, considéré aujourd'hui comme le plus bel hôtel particulier de la ville de Turin ! Il s'en suivit de très nombreux procès entre la famille de Graneri et les Rochois.

[modifier] Étymologie

Le nom "La Roche" provient notamment de l'énorme rocher au sommet duquel est bâti le donjon de l'ancienne forteresse des comtes de Genève. Ce rocher, comme tous ceux de la vallée, fut transporter par le glacier qui, il y a 10.000 ans encore, en provenance du massif du Mont-Blanc, couvrait la vallée de l'Arve.

Le nom latin de "La Roche" est "Rupes" ; nom que l'on retrouve sur de nombreux documents anciens, comme par exemple dans le fameux livre "Theatrum Sabaudiae" publié en 1682. "Rupes" en latin, mais "La Roche" en "langue vulgaire" disait-on à cette époque !

Cette ville ne fut toujours connue que sous ce nom de La Roche. Parfois, a-t-on pu lire ici ou là "La Roche en Genevois", puis, après le passage de la Révolution en Savoie conduisant au rattachement de La Roche au mandemement de Bonneville, "La Roche en Faucigny". Mais le seul vrai nom est La Roche.

Nonobstant, lors de l'Annexion de la Savoie à la France, en 1860, la nouvelle administration française cru bon de modifier le nom de la ville en lui accolant le nom de sa modeste rivière, formant ainsi "La Roche-sur-Foron". Or, un foron n'est qu'un torrent creusé entre des rochers : on en trouve quantité rien que dans la seule Haute-Savoie ! Mais, surtout, les Rochois ne furent pas consultés ! Ils manifestèrent d'ailleurs leur désaccord... sans obtenir raison. Le nom "La Roche-sur-Foron" ne fut d'ailleurs officialisé que dans le J.O. de... 1960 !

[modifier] Histoire de la ville

La fondation de La Roche daterait au moins de la seconde moitié du Ve siècle. Les Burgondes choisissent ce site en raison de ses atouts stratégiques : ce plateau à flanc de montagne, adossé au col d'Evires et facile à défendre, ouvre une vue largement dégagée sur la vallée de l'Arve et le bassin lémanique.

Plus tard, en 1033, Le comte Gérold de Genève, chassé de sa capitale par l'empereur Conrad II le Salique (à la suite de la guerre de succession au trône de Bourgogne) s'établit dans ce bourg fortifié et en fait sa capitale. Gérold, fondateur de la Maison des comtes de Genève, en modernise les fortifications. Plus tard, à la fin du XIIe siècle, une première enceinte défendue par trois châteaux est élevée. La Roche demeure capitale du comté de Genève jusqu'en 1219, époque à laquelle le comte renonce à Genève et s'installe à Annecy. Mais après l'incendie d'Annecy (1320), Amédée III de Genève fixe sa résidence à La Roche (1320-1322), le temps que la ville et son château soient rebâtis. La Roche ayant débordé de sa première enceinte, Amédée III ordonne la construction d'une seconde. A cette occasion, La Roche reçoit son statut de ville.

La famille de Genève s'éteint en 1394, mais ce n'est qu'en 1401 que le Genevois sera vendu au comte de Savoie Amédée VIII (premier duc de Savoie en 1416). En souvenir de ce cette époque où elle était l'une des principales résidences des princes de Genève, et par défiance envers le nouveau marquis de Graneri (marquis de La Roche), la Roche porte, depuis le XVIIe siècle, à l'instar de la province du Genevois, les armoiries de cette prestigieuse lignée.

Armes de La Roche - Dessin de François Curtenaz de Maronzier (avec autorisation de l'auteur), d'après un original du XVIIème s.
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Armes de La Roche - Dessin de François Curtenaz de Maronzier (avec autorisation de l'auteur), d'après un original du XVIIème s.

Le 4 août 1507, les fours banaux prennent feu accidentellement : la ville est entièrement ravagée par les flammes. Les habitants mettent plus de soixante ans pour reconstruire leur ville, ayant perdu la plus grande part de leurs biens dans ce terrible incendie. L'une de ces maisons, rebâtie seulement en 1571, arbore au-dessus de son porche d'entrée une pierre millésimée dont l'inscription latine rappelle cette catastrophe.

Cependant, aucune crise ne s'en suit grâce à la l'intensité de la vie économique de la cité. En effet, dès le XIIe siècle/XIIIe siècle, les marchés de La Roche sont très achalandés. Cela est dû aux franchises que le comte de Genève a octroyées aux Rochois après son installation en nos murs. Ces franchises, exonérant les habitants de taxes et d'impôts, attirent les commerçants, les artisans, les industriels et les forains de la région. Ceux-ci contribuent au rayonnement économique de la cité rochoise puisque ses marchés comptent parmi les plus importants du duché de Savoie, tandis qu'elle est le plus grand centre de foires du duché. Les mesures à grain (1558) et les halles (1831) attestent encore de ce passé commercial prospère dont La Roche se fait fort de perpétuer la tradition aujourd'hui encore.

En 1536, six ans après la révolte des habitants - manipulés par quelques premiers protestants luthériens - contre le clergé, l'église paroissiale est érigée en collégiale par le pape Paul III. A La Roche, place forte et ville commerçante, est également dévolu le rôle de "contre poids" à la réforme de Calvin à Genève. Dès lors, La Roche affirme sa vocation de centre religieux et de bastion de la réforme catholique avec l'établissement du chapitre de la collégiale (1536-1793), suivi d'un couvent de capucins (1617-1975), d'un monastère de bernardines (1626-1793) et des jésuites (1628-1712) à la tête du collège. Aujourd'hui, La Roche sur Foron accueille le couvent des révérendes sœurs de la Charité, maison provinciale établie dans notre ville depuis 1842.

En outre, La Roche remplit une fonction éducative grâce à la création d'un collège en 1561, dans une maison noble de la ville située entre le château de l'Echelle et celui du prince. L'enseignement est dispensé par les chanoines du chapitre puis par les jésuites entre 1628 et 1712 et à nouveau par les chanoines jusqu'en 1792. Dès 1570, cet établissement compte déjà 300 élèves, pour une population de 1000 habitants. Elevé au rang d'Ecole royale (1729) puis de Collège Royal (1816) lors de la Restauration sarde, il est établi, depuis 1860, dans l'ancien monastère des bernardines (1670). A l'occasion de l'Annexion de la Savoie à la France il fusionne effectivement avec le petit séminaire, créé en 1807 dans l'enceinte de cet ancien monastère. Plusieurs anciens élèves du Collège de La Roche sont passés à la postérité, notamment : le Bienheureux Pierre Favre (1506-1546) co-fondateur de Jésuites avec Ignace de Loyola et ambassadeur du pape Pie IX ; Saint François de Sales (1567-1622), prince-évêque de Genève, Père de la langue française et Docteur de l'Eglise ; ou bien, proche de nous, Benoît Chamoux (1961-1995), 1er himalayiste français a avoir gravi treize des quatorze "8000 mètres", les plus hauts sommets du monde. Quant à Guillaume Fichet (1433-1480), recteur de la Sorbonne et initiateur de l'imprimerie en France, il étudie vers 1450 dans la première école de La Roche (fondée entre 1410 et 1440).

Mais ce XVIe siècle marque aussi un profond déclin pour la maison de Savoie. Guerres et épidémies de peste n'épargnent pas le duché, encore moins notre ville…

La Roche est fouettée à deux reprises par la peste venue de Genève (1542 et 1587). Lors des deux passages de ce fléau, les quelques Rochois survivants trouvent refuge non loin de la ville, dans un vallon dont l'air est purifié par les arbres. Ils mettent à jour une source qui s'avère miraculeuse. Le sanctuaire marial de La Bénite Fontaine est né. Saint François de Sales l'officialise quelques années plus tard, en juin 1619. Lieu de prière cher au cœur des savoyards, La Bénite Fontaine connaît un nouvel élan à partir de 1937 grâce à son recteur, le très populaire chanoine Chavanne (1898-1946). Plusieurs grands pèlerinages attirent une vaste foule de pèlerins chaque année.

La guerre est le second fléau de ce siècle. Le 29 mars 1590, pendant le conflit opposant le duc de Savoie à la république de Genève, les Genevois, alliés des Bernois et d'Henri IV, envahissent La Roche en pleine nuit. La ville est dépourvue de soldats ; nos ennemis en profitent pour piller, incendier et massacrer. Ils montent au Plain-château (la première enceinte) démanteler la forteresse du prince dont il ne subsiste plus désormais que l'imposante tour de garde (1258-68) ancrée sur son rocher : la fameuse tour des comtes de Genève. La Roche, place forte et ville de garnison, représentait une menace pour Genève : les attaques sur la cité de Calvin étaient notamment préparées depuis La Roche. Réciproquement, "le coup de main des Genevois était facile à prévoir d'autant que notre ville en était menacée à chaque instant." Après ce sac, une troupe de 7000 soldats vient résider à La Roche, causant plus de désordres que nos ennemis protestants…

Cette guerre entre Genève et la Savoie, déclanchée par le duc Charles-Emmanuel en 1589, se solde par la cuisante défaite des troupes savoyardes lors de la bataille de l’Escalade, dans la nuit du 21 au 22 décembre 1602. Les Savoyards essayent de s’emparer de Genève par surprise, escaladant les remparts afin d’ouvrir les portes depuis l’intérieur. L’armée ducale se tient prête pour envahir la ville, mais une sentinelle donne l’alarme : la déroute savoyarde commence… Il s’agit de la dernière tentative de prise de la cité genevoise par la maison de Savoie. Genève acquiert définitivement son indépendance. Une partie des échelles ayant servit à gravir les remparts avait été entreposée à La Roche : de là viendrait le nom du château de l’Echelle.

Néanmoins, les habitants n'acceptent pas que leur ville, baronnie relevant directement de l'autorité du duc de Savoie, soit élevée en marquisat pour ne dépendre plus que du marquis de Graneri (1682). C'est un peu de leur fierté qui s'évapore avec ce rang nobiliaire pourtant plus élevé. De longs procès s'entament entre ce marquis et ses nouveaux sujets.

L'occupation espagnole (1742 à 1748) occasionne la destruction d'une partie des enceintes et le nivellement des fossés. Mais dès le XVIIIe siècle, les premiers pas de l'industrie ont lieu sur les berges du Foron, au pied des remparts : moulins et tanneries profitent du torrent pour bien préparer l'entrée de notre bourgade dans l'ère contemporaine. Cependant, le 22 septembre 1792, l'invasion des troupes françaises révolutionnaires met entre parenthèses la monarchie sarde jusqu'à la chute de Napoléon 1er (1815) ; le duché de Savoie devient le 84ème département français sous le nom de département du Mont-Blanc ; le département du Léman est formé dès l'annexion de Genève (1798) avec des bribes de cette Savoie démembrée.

Cette sinistre période révolutionnaire est oubliée, quand, au XIXe siècle, sonne l'heure d'une autre révolution, celle-ci industrielle. Les Rochois œuvrent à l'essor économique moderne de l'antique Rupes (nom latin de La Roche). La Restauration sarde de 1815 fait aussi éclore une expression architecturale très caractéristique de la volonté politique de ses monarques : l'imposant style néoclassique. La Roche profite de cet élan avec l'édification de la grenette (1831), de la mairie (1841-1843), de la place des portiques dont le projet est voté en 1845 (actuelle place de la République), etc. Voici venu l'avènement de l'urbanisme et de l'expansion économique.

N'est-ce pas La Roche sur Foron qui devient la première ville d'Europe éclairée à l'électricité, en 1885, grâce à l'avant-gardisme du maire, M. Plantard ? Cette marche en avant vers le progrès fait la Une du Figaro du 16 décembre 1885. Dans son article intitulé "Une ville lumière dans les Alpes" le journaliste Pierre Giffard décrit en détail, sur plusieurs pages, cette grande première. Il écrit notamment : "Et cette ville, que je tiens à qualifier de Ville Lumière, ce n'est ni Paris, ni Londres, ni Berlin, ni Moscou, ni rien de semblable. C'est une toute petite cité savoyarde blottie dans la neige à dix lieues du Mont Blanc ; ce n'est même pas un chef-lieu d'arrondissement, c'est un vulgaire (sic !) chef-lieu de canton répondant au nom de La Roche."

Le chemin de fer est aussi l'une des sources du développement de ce gros bourg commerçant. Si la gare est construite dès 1879, le premier train est à quai le 10 juillet 1883 (ligne Annemasse-La Roche). L'année suivante (5 juin 1884), est ouverte la ligne Annecy-La Roche. L’étude de cette ligne et de ses ouvrages d’art avait été menée par Sadi Carnot (1837-1894), polytechnicien, ingénieur des Ponts & Chaussées et futur Président de la République Française, alors qu’il était en poste à Annecy. Pour descendre à La Roche depuis le col d'Evires, il dut prévoir un détour de 8 km pour pallier l'importance du dénivelé : il s'agit alors de la plus grande boucle de chemin de fer du monde (d'Europe, actuellement). Cette ligne est aussi la première de France à être électrifiée (10 mars 1951) par l'ingénieur et académicien Louis Armand (1905-1971), originaire de Cruseilles. Enfin, le 1er juin 1890 est inaugurée de la ligne La Roche-Saint Gervais. C'est depuis cette époque que notre ville porte le surnom de "plaque tournante de la Haute-Savoie", en raison de l'indispensable pont tournant de la gare : la liaison entre les lignes d'Annecy et de Saint Gervais nécessite l'inversion des locomotives à vapeur sur les trains.

Ce surnom est aussi justifié par la position géographiquement centrale de La Roche sur Foron dans le département, aux frontières de la Suisse et de l'Italie, ainsi que par sa tradition de foires et salons de premier ordre - héritage des franchises octroyées par le comte de Genève : la Foire Internationale de Haute-Savoie Mont Blanc créée en 1924 (+ de 100.000 visiteurs - annuelle), le SIMODEC (créé en 1955 - 1er salon européen de l'industrie du décolletage), le Salon du Mieux-Vivre, etc. Quant à La doyenne d'entre elles, il s'agit d'une foire au bestiaux : la Foire de la Saint Denis, dont les origines se confondent avec la codification par écrit des franchises, en 1335.

Consciente de son fabuleux héritage du temps passé (2e cité historique de Haute-Savoie) La Roche sur Foron allie notamment le développement économique avec la préservation et la restauration de ses monuments. L'animation de ce patrimoine historique, dans un cadre de vie exemplaire en est un précieux témoin.

[modifier] Culture et Patrimoine

[modifier] Patrimoine architectural

C'est une cité médiévale située au cœur du département, classée parmi « Les plus beaux détours de France ». Elle est considérée comme la deuxième cité historique du département et possède un beau patrimoine restauré et entretenu.

[modifier] Période médiévale

[modifier] Période contemporaine

  • L'Hôtel de Ville - 1841
  • La Grenette - 1834
  • La rue des Portiques (actuelle rue de la République) - vers 1830

[modifier] Monuments religieux

  • La chapelle (néo-gothique) de La Bénite Fontaine, sanctuaire marial, lieu de pèlerinage.
  • La Collégiale (gothique et néo-gothique) Saint Jean-Baptiste (église paroissiale).
  • La chapelle (néo-romane) du couvent des Soeurs de la Charité.
  • La chapelle (baroque) de l'ancien monastère des Bernardines (actuel Collège & Lycée privé Sainte Marie)

[modifier] Patrimoine environnemental

[modifier] Patrimoine culturel

La plus grande partie du centre ville ainsi que le quartier du Plain-Château (cité médiévale) sont protégés au titre des Monuments Historiques.

[modifier] Économie

Sur son territoire existent quatre zones d'activité économique :

La cité dispose d'un parc des Expositions moderne, vaste ensemble immobilier, où est organisé toute l'année de nombreuses foires, salons commerciaux et manifestations diverses, dont :

La Roche est également le siège de l'ENILV (ecole nationale des industries du lait et de la viande) créée en 1932.

[modifier] Données statistiques

[modifier] Démographie

Évolution démographique
1794 1800 1856 1861 1901 1911 1921 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
2 759 2 226 3 086 2 932 3 377 3 203 3 125 3 603 3 856 4 459 4 548 4 456 5 049 6 008 6 627 7 116 8 538
Nombre retenu à partir de 1794  : Population sans doubles comptes

[modifier] Commerce

La vieille ville dispose de nombreux commerces traditionnels.

[modifier] Grandes entreprises

[modifier] Sports et loisirs

[modifier] Infrastructures

[modifier] Clubs et associations

[modifier] Manifestations

[modifier] Vie administrative

[modifier] Situation administrative

[modifier] Petite enfance

[modifier] Enseignement

[modifier] Maternelle

[modifier] Primaire

  • Ecole primaire Plain-chateau
  • Ecole primaire Mallinjou

[modifier] Collège

[modifier] Lycée

[modifier] Enseignement professionnel

[modifier] Supérieur

  • Siège de l'ENILV (ecole nationale des industries du lait et de la viande), créée en 1932.

[modifier] Lieux de culte

  • Collégiale Saint Jean-Baptiste
  • Chapelle du couvent des Soeurs de la Charité
  • Chapelle de La Bénite Fontaine

[modifier] Santé

[modifier] Listes des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
2001 - - Michel Thabuis SE -
1995 - 2001 Jacques Lansard RPR -
1989 - 1995 Jacques Lansard RPR -
1983 - 1989 M. Clavel - -
Toutes les données ne nous sont pas encore connues.

[modifier] Administration sur place

[modifier] Jumelage

Allemagne Stockach, Allemagne Italie Candelo, Italie France Saint-Renan, France

[modifier] Divers

[modifier] Personnalités liées à la commune

  • Firmin Desbiolles est né le 14 septembre 1892, à La Roche-sur-Foron (Hameau de Montizel). Il est l'inventeur du maillon rapide, actuellement très utilisé dans le parapente, l'alpinisme, l'escalade mais aussi l'agriculture et la spéologie. Il a vendu son brevet à PEGUET SA à Annemasse. Il décèda le 12 octobre 1991 à Ambilly à l'âge de 99 ans.
  • Chanoine Jean-Louis Grillet est né le 16 décembre 1812, à La Roche-sur-Foron. Auteur du "Dictionnaire historique littéraire et statistique des départements du Mont-Blanc et du Léma" (3 vol.)
  • Patrie de la famille Pelloux :
    • Louis Jérôme (1839-1924), homme politique et général de Victor-Emmanuel II de Savoie. Président du Conseil en 1898.
    • Léon Thomas (?-?), frère du précédent, général de l'armée italienne.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes


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