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Commerce triangulaire - Wikipédia

Commerce triangulaire

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Cet article décrit le phénomène du Commerce triangulaire.

Sucre > Rhum > Esclaves.
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Sucre > Rhum > Esclaves.
- Le Commerce triangulaire est l'une des formes de la traite des noirs. La traite consistait à transporter des marchandises d'un point à un autre. Cela s'appliquait tout aussi bien au blé, au vin, qu'aux esclaves noirs qui n'étaient que des « outils vivants ».
- Le Commerce triangulaire était une forme de traite, liée à l'exploitation du sol américain par les pays européens. Des navires partaient d'Europe avec divers articles de pacotille destinés au troc.Ils se rendaient dans les comptoirs côtiers d'Afrique où ils échangeaient leur marchandise contre des captifs. Les négriers transportaient ceux-ci dans les colonies d'Amérique pour qu'ils travaillent comme esclaves à l'exploitation des ressources du continent. Les négriers retournaient ensuite en Europe avec à bord les produits de cette exploitation.
- Les estimations relatives au nombre de noirs déportés sur le sol américain sont assez variables et pas toujours objectives. Elles se situent entre 6 et 50 millions de personnes entre la fin du XVe et le milieu du XIXe siècle.
l'esclavage au Brésil par Jean Baptiste Debret

Sommaire

[modifier] Principe

Comme son nom l'indique, le commerce triangulaire intervenait en trois temps.

  1. les navires européens se rendaient aux comptoirs (postes ou forts installés le long des côtes de l' Afrique par les principales puissances maritimes européennes) pour y échanger des produits contre des noirs razziés et réduits en esclavage; il s'agissait parfois de produits de peu de valeur, de pacotilles (du tissu, des cotonnades de l'Inde, des alcools, du tabac, des armes à feu, de la poudre, des produits fabriqués…).
  2. les esclaves étaient transférés en Amérique où ils étaient échangés contre du sucre, du café, du cacao, de l'indigo et du tabac (du coton ultérieurement).
  3. les produits américains étaient enfin acheminés sur les ports des principales nations européennes. Et ainsi de suite.

Ce système n'avait rien d'absolu. Par exemple les Portugais ont longtemps utilisé un trajet direct entre le Brésil et l'Angola; le tabac était chargé dans des bateaux au Brésil puis utilisé comme monnaie d'échange pour obtenir des esclaves. À la même époque, les colonies de l'océan Indien (comme la Réunion pour les Français) se ravitaillaient également en esclaves en utilisant d'autres circuits maritimes.

[modifier] Capture des esclaves

réf. nécessaire En général le négrier ne prenait pas part directement à la capture des esclaves. Des mercenaires comme les lanciados, ou des hordes de mulâtres ou encore des repris de justice locaux - ou parfois des noirs précédemment capturés et à qui on imposait de capturer à leur tour quatre esclaves contre leur libertécitation nécessaire- attaquaient des villages peu ou mal défendus.

Les razzias ponctuelles orchestrés par les blancs font rapidement place à une véritable industrie entre les négriers blancs et leurs vassaux, ces roitelets répondant aux doux noms de "Cupidon" par exemple, vassaux des européens. Il faut savoir que les courtiers, négociants, cavisseries étaient, comme les roitelets, plus des employés serviles que des partenaires. Il arriva aussi fréquemment que des négriers envahissent une province d'un royaume et s'en proclament rois, afin de "légaliser" la traite. Ce fut par exemple le cas de Paul Diaz, qui au XVIIè siècle créa le royaume d'Angola en déclarant la sécession de cette province du Royaume Kongo. L'Angola de Paul Diaz fut naturellement un des premiers fournisseurs de bois d'ébène.

A mesure que les besoins sur les plantations croissaient, l'insécurité augmentait dans les royaumes africains, qui finirent par se disloquer sous l'impulsion de ces multiples sécessions, ce qui favorisa l'émergeance d'autres petits royaumes. Les royaumes du Dahomet, d'Oyo et d'Ashantis, par exemple sont nés de la traite des noirs, c'est-à-dire qu'ils ont été formés par des mercenaires avec l'appui armé des européens pour leur servir de bases ou de comptoires. Cependant, une fois au pouvoir les rois de ces terres tenteront malgré tout de se défaire de la traite, comme en témoigne l'histoire de Ghezzo, roi du Dahomey au XVIIIè.

Ce ne sont pas eux cependant que l'on qualifie de "rois africains" "favorables à la traite" et qui "vendaient leurs sujets", mais les vice-rois des "royaumes côtiers" ou bourgades côtières créées par les européens sur la côte africaine, et dans lesquelles régnaient ces vice-rois aux prénoms exotiques -pour des africains- (Cupidon, Guillaume, etc.) sur des armées de mercenaires souvent mulâtres et dressés dans la haine du noircitation nécessaire.

Ces mulâtres qui étaient souvent la progéniture des négriers, issue de viols sur des captives, étaient éduqués dans un mépris du noir comme celui qui fut employé aux antilles, aux États-Unis, basé sur la couleur de la peau et le pourcentage de sang blanc. Armés idéologiquement d'une haine et un mépris sans faille et sans limite, ils formaient des troupes cruelles et savament dressées dans la conviction de leur supériorité absolue sur les noirs. Au premier plan de la capture se situe donc la brutalité et la violence la plus extrêmes tant idéologique que physique, car des sévices et massacres systématiques étaient infligés aux populations locales pour extraire du bois d'ébène - capturer un être humain et le "briser" psychologiquement.

[modifier] Vente des esclaves

Les esclavagistes revendaient leur butin humain à des intermédiaires arabes dans le cas de la traite orientale vers l'Océan Indien, ou aux Occidentaux.

[modifier] Proportion des noirs et des blancs dans les antilles francaises

Années Blancs Esclaves noirs
1772 12737 77957
1777 12700 84100
1785 13599 85290
1789 13712 89823

[modifier] Extermination et pertes sur le sol africain

  • Beaucoup de noirs mouraient lors des razzias menées sur le sol africain en raison de la violence des affrontements; dans certains cas, les enfants de moins de 7 ans des villages étaient systématiquement massacrés. De nombreux captifs mourraient également d'épuisement lors des transferts vers les côtes où s'opéraient les embarquements d'esclaves; parfois les prisonniers devaient parcourir 1000 à 2000 kilomètres pour rejoindre la côte dans des conditions très difficiles. On mourrait également dans les baracoons, sortes d'enclos, où les noirs étaient regroupés avant leur départ ou bien encore lors du transfert par chaloupe sur les bateaux en partance.
  • On dispose de peu d'éléments en ce qui concerne le nombre de noirs qui sont morts dans ces conditions. Selon certains, les principales causes de mortalité auraient été le suicide et les affrontements. Il fallait en effet tuer 8 noirs pour en capturer un seul, et 9 captifs sur 10 préféraient la mort à la captivité, qui leur paraissait inconcevable.
  • Le nombre d'esclaves déportés d'un continent à l'autre ne prend pas en compte les morts sur le continent africain. Ceux qui étaient embarqués pour l'Amérique étaient souvent les plus « brisés ». Le bilan total de cet épisode de l'histoire est évalué par certains à plusieurs dizaines de millions de déportés. L'UNESCO propose un minimum absolu de 100 millions de victimes.

[modifier] Transport vers l'Amérique

  • Certains ne survivaient pas aux conditions dans lesquelles s'effectuaient la traversée de l'Atlantique, confinés dans l’entrepont dans un espace réduit et dans une grande promiscuité. Il était fréquent que les esclaves voyagent la nuit à fond de cale, presque nus, entassés par centaines dans des conditions peu imaginables. Le jour, les hommes pouvaient sortir, enchaînés, les femmes et les enfants le plus souvent sans entraves.
  • Theophilus Conneau témoigne ainsi en 1854 : « Deux des officiers ont la charge d'arrimer les hommes. Au coucher du soleil, le lieutenant et son second descendent, le fouet à la main, et mettent en place les Nègres pour la nuit. Ceux qui sont à tribord sont rangés comme des cuillers, selon l'expression courante, tournés vers l'avant et s'emboîtant l'un dans l'autre. À babord, ils sont tournés vers l'arrière. Cette position est considérée comme préférable, car elle laisse le cœur battre plus librement. »
  • Les premiers bateaux portugais qui effectuèrent la traversée eurent une perte en vies humaines de l'ordre de 80 %, puis elle passa à 20 %.

[modifier] Revente

Les esclaves étaient systématiquement soumis à une quarantaine avant d'être débarqués. Il fallait pendant ce temps veiller à leur redonner apparence convenable en les débarquant à terre. Ils étaient alors prêts pour être vendus sur les marchés aux esclaves et passer le reste de leur espérance de vie à être exploités sur une plantation. Une annonce était transmise aux planteurs locaux et les plus robustes étaient vendus aux premiers arrivés ou, selon les coutumes locales, vendues aux enchères. À la fin de la vente, qui pouvait s'écouler sur plusieurs semaines, les esclaves en lots à bas prix.

[modifier] Histoire de la traite

On considère généralement que le début de la traite atlantique date de 1441, quand des navigateurs portugais enlèvent les premiers Africains pour en faire des esclaves dans leur pays.

[modifier] Emergence du marché

Après la découverte des Amériques, les Espagnols ne tardèrent pas à manquer de bras. La main d'œuvre amérindienne est décimée par les massacres, la cruauté banalisée et par le travail dans les mines auquel ils ne survivaient pas.

De plus, la bulle papale de Nicolas V entérina, en 1454, les conquêtes africaines du Portugal.

Le Portugal se chargea alors de la capture et du transport des noirs qui étaient ensuite exploités dans les colonies espagnoles. Les navigateurs anglais, français et néerlandais ne tardèrent pas se joindre au trafic, d'abord frauduleusement; puis dès le XVIIe siècle siècle avec l'assentiment des souverains européens.

[modifier] Mise en place des filières nègrières

Elmina, successivement aux mains des Portugais et des Néerlandais fut un des premiers et des plus florissant port d'embarquement des esclaves africains sur le Golfe de Guinée.
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Elmina, successivement aux mains des Portugais et des Néerlandais fut un des premiers et des plus florissant port d'embarquement des esclaves africains sur le Golfe de Guinée.

Si au tout début de la traite, les négriers portugais effectuèrent eux-mêmes des razzias parmi les populations côtières, ils se reposèrent rapidement sur des systèmes visant à faire participer certains membres des populations locales, justifiés par les philosophes de ce que l'on appelle depuis le siècle des Lumières et son racisme latent. En cela, la traite négrière est un système de domination d'un peuple par un autre.

Les négriers se réfugiaient ainsi derrière le fait que ces esclaves auraient été fournis par d'autres peuples africains. Pourtant, il fallut presque toujours forcer la main des royaumes africains pour mettre en place les filières de la traite des noirs. Et les récits de négriers tels ceux de Canot ou de Plasse montrent bien que certains d'entre eux avaient conscience d'avoir mis en place un système d'exploitation des populations locales, reposant la mise en place de complices locaux, ainsi que sur la violence armée.

On peut par exemple citer le chantage exercés sur le roi Alfonso Ier (Mvemb'a Nzinga) par des mercenaires portugais qui le forcèrent à prendre part au commerce des esclaves en le menaçant d'exécuter une grande partie des enfants de la capitale - Mbanza Kongo - qu'ils avaient pris en otages. D'autres méthodes consistaient à enfermer des personnes dans un engrenage infernal, par exemple, à faire prisonniers des chefs de guerre et à leur proposer, en échange de leur liberté, de capturer quatre personnes en vue de les asservir (cf. Cada Mosto 1453). Un auteur (Madame Crété) affirme : « Pour se défendre ou reconquérir leur liberté, les peuples assujettis ou en voie de l'être, devaient acquérir des fusils et de la poudre. L'Afrique de l'Ouest fut entraînée dans une course aux armements qui aboutit à un accroissement du trafic des esclaves. Les Africains étaient pris dans un engrenage infernal : pour obtenir des fusils, il fallait des esclaves ; pour se procurer des esclaves, il fallait des fusils. Au XVIIIe siècle, les guerres tribales mirent la région à feu et à sang »).

Ces faits ne manquent pas d'éclairer sur la situation africaine actuelle et d'interroger la pertinence de notions telles que "guerres tribales" ou "guerres inter-ethniques". En effet, alors comme aujourd'hui, il s'agissait de combats fomentés pour affaiblir durablement les États africains, voire les détruire afin de rencontrer un minimum de résistance pour prélever les biens dont les européens avaient besoin.

[modifier] Institutionnalisation

En France, le recours à l'esclavage pour l'exploitation des terres nouvellement découvertes n'est pas, comme beaucoup le pensent, une décision de Louis XIV puisque, dès 1626, une autorisation était accordée pour déporter les premiers esclaves dans une colonie française. En 1642, la traite était autorisée par Louis XIII.

En 1685, Louis XIV, roi de France, promulgue le « Code noir », réglementant le traitement des esclaves et des marrons dans les Antilles françaises. C'est le premier texte de ce type depuis les conciles chrétiens du VIe siècle siècle. La version européenne veut que Louis XIV ait été défavorable à l'esclavage, mais il n'avait pas la capacité d'en interdire la pratique hors du terroir métropolitain. Faute de pouvoir l'interdire, il aurait encadré la pratique, afin de limiter les abus. En fait, le code noir prive totalement les esclaves du droit à choisir leur religion, à parler leur langue, et donne au maître tout pouvoir sur l'esclave en lui fournissant l'appareil juridique lui permettant de le maltraiter sous certaines conditions et le remplacer sous d'autres conditions. Les châtiments infligés aux esclaves récalcitrants sont sévères, mais ils sont en phase avec la banalité de pareils traitements sur des gens qui ne sont plus considérés comme des humains.

L’esclave noir devenait un bien «  meuble  », c’est-à-dire une marchandise qui pouvait être assurée, vendue, transportée, remplacée, détruite et donnée à la discrétion du maître.

[modifier] Développement

Au siècle des Lumières, la demande de produits américains en Europe occidentale devint très forte: ce fut le cas par exemple pour le sucre; sa consommation qui était quasiment nulle au XVIe siècle siècle était passée à 4 kilogrammes par personne et par an à la fin du XVIIIe siècle siècle. Ces besoins nouveaux ont nécessité la création de nouvelles plantations et l'apport d'une main d'œuvre importante qui n'existait pas sur place.

[modifier] Fin de la traite

L'abolition officielle de la traite date de 1807 pour les États-Unis et l'Angleterre et du Congrès de Vienne de 1815 pour les autres puissances européennes. Celle-ci se poursuivra cependant de façon clandestine et il faudra attendre l'abolition de l'esclavage pour que ce trafic cesse réellement. Le dernier envoi clandestin connu d'esclaves du Mozambique au Brésil aura lieu en 1862.

En France, la traite illégale se poursuivit avec l'assentiment tacite des autorités pendant de nombreuses années. Elle était présentée comme un moyen de résister aux Anglais soupçonnés de vouloir affaiblir l'économie nationale. Il fallût attendre les années 1820 pour que la marine royale lutte efficacement contre les trafiquants.

En réalité, les industriels qui étaient les premiers colons et une majorité des abolitionnistes avaient désormais plus intérêt à exploiter chez elles les populations affaiblies par la traite, qu'à les déplacer dans des plantations.

En effet, l'économie de plantation liée au "commerce triangulaire" ne les satisfaisait plus et il fallait désormais exploiter à des fins industrielles et à moindre coût les territoires africains désormais dépeuplés et sapés par la traite, qui aboutira alors à la "colonisation", qui n'en diffèrera pas tant que cela pour les africains.

[modifier] Aspects économiques

L’Angleterre arrive largement en tête des nations négrières avec 41,3 % des expéditions. Suivent le Portugal (29,3%), la France (19,2 %), les Pays-Bas (5,7%), les Amériques (3,2%) et le Danemark (1,2%). L'Espagne, grande consommatrices d'esclaves ne prit pas part à la traite, conformément au contrat dit de l’Asiento.

Au départ des ports de Bordeaux, un total de 550 expéditions négrières a été organisé.

Ce trafic était très fructueux pour les nations européennes: les différences entre prix d'achat et prix de vente ont pu atteindre 80 000%. D'après Seymour Drescher et Roger Anstey les bénéfices réels des négriers britanniques, une fois déduits l'amortissement du navire, la solde de l'équipage et les décès se situaient autour de 10% du capital investi. Dans des villes portuaires comme Nantes, le principal port négrier français, mais aussi Bordeaux, la Rochelle, Londres, Lisbonne ou Copenhague, la vente de Bois d'ébène a permis la constitution d'une grande bourgeoisie très fortunée. En outre, la fabrication de cadeaux pour les rois africains et d'entraves pour les esclaves permet de développer l'économie locale.

Au début de la traite, les négriers et les colons esclavagistes étaient deux milieux totalement différents. Mais progressivement, suite aux nombreux incidents de paiements des colons, les négociants furent contraint de s'associer à la gestion des domaines voire d'exproprier leur débiteurs. À la fin du XVIIIe siècle, la plupart des compagnies négrières étaient également impliquées dans l'exploitation coloniale. En France, de 1784 à la Révolution, l'État subventionna les négriers en donnant une prime pour chaque esclave transporté.

Au niveau des états négriers aussi, l'activité générée par la traite était très juteuse, puisqu'elle suscitait des emplois sur toute la chaine de traitement des produits extraits d'Afrique et des colonies. C'est ainsi qu'en France, plus de 60 millions de francs de marchandise circulaient chaque année entre le XVIè et le XVIIIè. Ces bénéfices colossaux s'ajoutaient aux activités parallèles générées par la traite, de la fabrication et la réparation des bateaux négriers, à la fabrication d'armes, de produits divers qui excitaient la convoitise des vice-rois -qu'il fallait mettre en concurrence entre eux pour les contenir et augmenter leur productivité. Cela passait aussi par la transformation, le transport, l'extraction des matières premières.

La traite négrière a donc largement favorisé l'émergence des conditions nécessaires à l'industrialisation européenne et nord-américaine.

[modifier] Voir aussi

[modifier] Bibliographie

  • Le commerce colonial triangulaire au XVIIIe siècle et XIXe siècle Editeur PUF, collection « Que sais je ? »
  • La traite des noirs Editeur PUF, collection « Que sais je ? »
  • l'esclavage Editeur PUF, collection « Que sais je ? »
  • La Férocité Blanche, des nons noirs au non aryens, de Rosa Amelia Plumelle-Uribe, éditions Albin Michel.
  • J. Meyer (1998) Esclaves et Négriers, Gallimard-Découvertes, 160 p.

[modifier] Œuvres de fiction

Madame de Staël, "Mirza," nouvelle, 1786 (?), publiée en 1794, dans Oeuvres de jeunesse (Paris: Desjonquères, 1997)

Mérimée, "Tamango," nouvelle, 1829: dans Mateo Falcone et autres nouvelles (Paris: Classiques Larousse, 1992)

Sophie Doin, La Famille noire, suivie de trois Nouvelles blanches et noires, nouvelles, 1825-1826 (Paris: L'Harmattan, 2002).

Eugène Sue, Atar-Gull, roman, 1831: dans . Romans de mort et d’aventure (Paris: Robert Laffont, 1993).

Edouard Corbière, Le Négrier: aventures de mer, roman, 1832 (Paris: Klincksieck, 1990).

Sembene Ousmane, Le Docker noir, roman, 1956 (Paris: Présence Africaine, 1973).

Yambo Ouologuem, Le Devoir de violence (Paris: Seuil, 1968).

Edouard Glissant, Sartorius: le roman des Batoutos, roman (Paris: Gallimard, 1999).

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes


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