Y 2100
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locomotive thermique |
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|---|---|
| Série | Y 2100 |
| Entreprise ferroviaire | SNCF |
| Constructeur | Baudet Donnon Roussel |
| Numérotation | Y 2101-2152 |
| Année de construction | 1952 - 1953 |
| Effectif en service | 52 |
| Vitesse maximale | 50 km/h |
| Longueur hors-tout | 5,780 m |
| Motorisation thermique | 1 moteur Renault 603 V |
| Motorisation traction | - |
| Puissance | 45 cv / 33kW |
| Carburant | essence |
| Transmission | mécanique (chaines) |
| Écartement | standard |
| Disposition des essieux | B |
| Masse à vide | 14 t |
Les Y 2100 sont les premiers locotracteurs standardisés de la SNCF. Comme leurs successeurs, les Y 2200, ces petits engins étaient destinés à remplacer un parc de locotracteurs très disparate tout en achevant de faire disparaître des moyens de traction archaïques (La vache de manoeuvre d'Usson St Pal, citée par Henri Vincenot) encore présents localement dans les années 50-60.
Construits de 1952 à 1953 par BDR ils sont été utilisés sur le sud-est, en remplacement des locotracteurs PLM tels que les Y-BE-3001 à 3, Y-BE-04002 à 65 et Y-BE-04071 à 92 qui étaient également à essence. Leur transmission est purement mécanique à 8 vitesses, l'entraînement est à chaines.
Les Y 2100 sont tous radiés du parc SNCF depuis décembre 1979. Du fait de leur motorisation essence et de leur très faible puissance, peu d'engins sont passés chez les industriels sans remotorisation.
[modifier] Voir aussi
[modifier] Sources
- Le matériel moteur de la SNCF, quatrième édition, par Jacques Defrance aux éditions NM.
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