Une allée du Luxembourg
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Vous avez de  |
Cet article est une ébauche à compléter concernant la littérature, vous pouvez partager vos connaissances en le modifiant. |
Une allée du Luxembourg est un poème de Gérard de Nerval. Il décrit le passage d'une jeune fille et les émotions que cela entraîne chez le poète.
Sommaire |
[modifier] Forme poétique
Le poème est composé de trois quatrains d'octosyllabes, avec rimes alternées et respect de l'alternance entre rimes masculines et rimes féminines.
[modifier] Analyse
[modifier] Thématique
[modifier] L'amour
Ce poème parle bien entendu d'amour (« C'est peut-être la seule au monde / Dont le cœur au mien répondrait. »
[modifier] La fuite du temps
Le poème rappelle la fuite du temps, avec notamment la sentence « ma jeunesse est finie... »
[modifier] La musicalité
Le poème renvoie à une idée de musicalité, avec le champ lexical : « preste », « refrain », « oiseau » et « harmonie ».
[modifier] Images
[modifier] La lumière
La lumière joue un rôle prépondérant dans le poème, avec une opposition entre la luminosité de la jeune fille (sa fleur « brille », c'est un « doux rayon » qui « lui[t] ») qui « éclaircirait » la « nuit profonde » dans laquelle est plongé le poète.
[modifier] La jeune fille
Elle est emblématique (utilisation du déterminant défini), gaie et printanière. Cette idée de renouvellement est mise en valeur par la comparaison « comme un oiseau » et les adjectifs « vive et preste », « nouveau », sans oublier le verbe « elle a passé ». C'est une allégorie de la jeunesse.
[modifier] Le cadre
Il est agréable et bucolique, on peut parler de locus amoenus.
[modifier] Voir aussi
- À une passante, poème similaire de Charles Baudelaire.
