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Mécanographie - Wikipédia

Mécanographie

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La mécanographie regroupe un ensemble de techniques mécaniques ou électro-mécaniques permettant le calcul, le traitement de l'information et la publication de l'information.

Elle représentait la partie matérielle de l'informatique avant le développement de l'électronique.

Les appareils mécanographiques peuvent être séparées en plusieurs catégories:

Sommaire

[modifier] Modes de calculs

[modifier] Mécanisme à mouvement continu

Le calcul s'effectuant sur un mode analogique, la précision du calcul dépend de la précision du mécanisme, de la saisie et des moyens de lectures du résultats.

  • Règle à calcul
  • Intégromètre
  • Plus généralement tout instrument de mesures qui ne mesure pas une donnée discrète

[modifier] Mécanisme à mouvement discontinu

Le calcul s'effectuant sur un mode numérique, il peut être mathématiquement exact.

[modifier] Fonctions

[modifier] Machines à calculer

Selon le Comité National de l'Organisation Française (C.N.O.F.): « Tout ensemble de machines, d'aspect, de conception et de construction souvent très différents, mais ayant cette caractéristique commune d'effectuer automatiquement, sans effort mental de la part de l'opérateur, tous calculs arithmétiques ou certains seulement »

[modifier] Machines comptables

Selon le C.N.O.F.: « Ensemble des machines et des appareils qui servent tant à l'établissement de documents préparatoires de comptabilité [...] qu'à la tenue des écritures comptables proprement dites »

Machines comptables à introduction frontale.

[modifier] Présentation.

L'américain W. Bourroughs attacha son nom à la première machine comptable qui vit le jour en 1885. Elle engageait déjà la comptabilité dans des voies nouvelles. À partir des années 50 jusqu'au début des années 80 du XXe siècle, malgré l'implantation des traitements mécanographiques dans les grandes entreprises et les administrations, la comptabilité générale était exclusivement assurée par des machines comptables à introduction frontale de ce type. Elles étaient plus connues sous le terme de positionneuses comptables à double entrée. Les premières étaient même à triples entrées. Il fallait introduire le papier-carbone avant la mise sur le marché du dispositif des doubles rubans encreurs. Ce qualificatif d'entrées multiples, elles le devaient à la conception spéciale du chariot. Ces introductions frontales multiples de prime abord laissaient présager des complications, rien que par la polyvalence dont elles étaient affublées. Pour elles aussi se vérifiaient le dicton ; qui trop embrasse mal étreint. Le traitement de la comptabilité générale était donc uniquement réservé aux positionneuses comptables à introduction frontale qui évoluaient à l'ombre de la mécanographie d'abord et des ordinateurs ensuite, il faut bien le dire. Il y avait en 1965, cinq NCR à la SACM de Mulhouse. Malgré tout le bien que l'on pouvait en dire, elles avaient le lourd handicap de présenter jusqu'au dernier jour de leurs mises en service des comptes qui étaient loin de fournir une situation immédiatement exploitable dans le domaine de la gestion des tiers. Les détails du solde restaient à extrapoler manuellement de la masse des écritures enregistrées chronologiquement par le comptable pour obtenir l'extrait de compte des créances dues ou à recevoir. Elles restèrent, toute la durée de leur mise en application un moyen de gestion très lourd et très coûteux.

Elles étaient prévues pour imprimer à la fois les journaux et les comptes individuels des différentes comptabilités auxiliaires. Dans ce dessein, elles étaient équipées de grands chariots qui pouvaient recevoir à la fois le journal, le papier-carbone ainsi que le compte individuel. La passation des écritures s'opérait de la manière suivante : L'opérateur introduisait dans un premier temps le journal auxiliaire à traiter et le papier-carbone pour la durée de la saisie de la nature des écritures préparées. Il prenait ensuite le paquet des comptes individuels assortis aux pièces comptables correspondantes préparées et codifiées à l'avance. Lors de chaque changement de compte, il fallait desserrer le compte traité pour le sortir de la machine avant d'introduire le suivant tout en conservant le journal en place. Ainsi, il y avait souvent surimpression d'écritures. Ce défaut était préjudiciable lors de l'opération du lettrage et par suite à la lecture du compte lors du relevé des écritures non lettrées.

[modifier] Inconvénients du système

Le reproche que les décideurs pouvaient formuler envers ces machines onéreuses était celui de n'avoir contribué ; ni à l'amélioration de la gestion comptable des entreprises et de n'avoir en rien modernisé le suivi ni la surveillance des comptes de tiers. Comme pour toutes méthodes manuelles en vigueur (Système du journal Américain, système centralisateur à l'italienne et Obbo), l'utilisation de ces machines malgré tous les perfectionnements qu'elles avaient subis, même arrivée au niveau d'ordinateurs de comptabilité, elles ne furent pas en mesure de sortir le relevé des détails du solde précédent. Comme au bon vieux temps silencieux et discret du grand livre tenu manuellement, les comptables se devaient dans le bruit ambiant de l'atelier des machines comptables, comme auparavant, éplucher manuellement, compte par compte les écritures non lettrées pour mener à bien avec les mêmes difficultés les opérations de suivi des créances mensuelles. Innombrables étaient les constructeurs de ces machines comptables à travers le monde.

Afin de justifier le propos, il est intéressant de les citer de manière non exhaustive : Addo - Adler - Triumph - Burroughs - CSM, torpédo à introduction électrique - Facit - Hermè-Paillard - Hewlet-Packard - Honeywell-Bull - IBM - Kienzle - Logabax - NCR avec une positionneuse programmable - Nixdorf - Olivetti – Olympia - Wang - Ruff - Philips -Remington-Rand - Rank-Xerox - Nationale.

L'effectif.

L'introduction de ces machines n'a en rien amélioré l'effectif des services comptables, au contraire. Les comptables des groupes auxiliaires des comptes généraux, de banques et des frais généraux devaient suivre des cours de formation d'opérateurs sur machines comptables, s'ils voulaient garder leur emploi. Les groupes auxiliaires clients et fournisseurs ne pouvaient se passer d'un opérateur attaché à temps plein à la machine comptable attribuée à ces deux groupes.

Évolution technique des machines comptables.

Les constructeurs de ces machines n'ignoraient pas que les services de traitements mécanographiques et les ordinateurs par la suite, savaient tout faire sauf de la comptabilité dans les Grandes entreprises. Nulle menace ne planait sur l'existence et l'avenir de cet immense pan spécialisé de l'industrie mondiale. Elles pouvaient évoluer tranquillement à l'ombre des ordinateurs. Très primitives à l'origine, elles ne donnaient même pas l'aperçu de ce qui était frappé par l'opérateur. Le métier exigeait alors d'authentiques champions du clavier. Pour cette raison, les Chambres de Commerce et d'Industrie organisaient des concours de vitesse de frappe sur machines à écrire. L'apparition de la deuxième génération palliait largement ce manque de convivialité. Comme on n'arrête pas le progrès, elles furent par la suite dotées de lecteurs de cartes ou de bandes perforées pour devenir de rentables utilisatrices des sous produits de l'informatique. Des statistiques de ventes, d'achats, les relevés mensuels de TVA, etc., élaborées en ordinateur ou par des facturières munies de perforateurs de bandes, servaient ensuite de supports d'entrer de données aux machines comptables. Pour en assurer la pérennité, elles suivaient fidèlement l'évolution technique de l'informatique. Finalement, elles se trouvèrent munies de lecteurs de cassettes, de disques durs et d'écrans de consoles d'ordinateurs. Avant de disparaître elles faisaient figure d'ordinateurs comptables tout en conservant les inconvénients des positionneuses comptables à double introduction qu'elles n'avaient jamais cessées d'être. La mise au point des comptes à bandes magnétiques et l'introduction mécano électrique des comptes en machines palliaient lors du déclin, non seulement au manque de précision lors de l'introduction du compte, mais encore elle gardait en mémoire le dernier solde imprimé sur le compte, ce qui évitait sa reprise manuelle par l'opérateur qui passait la suite des écritures. Un oubli grave serait de négliger l'appréciation du coût d'un atelier de machines comptables. Son installation en Grande entreprise se composait de 5 machines au minimum. Il fallait compter 400 000 FF l'unité, en 1965.

Inconvénients en gestion de l’usage des machines comptables

L’utilisation des positionneuses comptables à introduction frontale par un personnel spécialement formé, se faisait à l'ombre des tabulatrices qui elles étaient des hypers machines comptables pour qui savait les utiliser comme telles. Selon les constructeurs, elles s'avéraient "incapables" de faire de la comptabilité, alors qu'elles étaient les seules machines sur le marché qui permettaient de n’éditer que les détails du solde des comptes individuels des tiers en comptabilité générale. Elles étaient ensuite à partir de 1965 avec les ordinateurs, les seules machines en mesure de tirer en sous-produit du compte les détails du solde des relevés périodiques des créances dues. Ils devaient comporter la raison sociale de l’entreprise et les éléments exigés par le code du commerce. Ces possibilités permettaient aux constructeurs de prétendre qu'il n'y avait aucune difficulté pour conserver la présentation actuelle des comptes tout en mettant un terme à la comptabilité de Papa. Malheureusement pour le prix qu'elles coûtaient, elles ne faisaient pas davantage que la comptabilité à papa dans le domaine essentiel de la gestion des comptes de Tiers. Elles n'arrivaient qu'à extrapoler péniblement le Grand livre avec tous ses inconvénients de sa précieuse reliure en cuivre pour le transposer sur machines comptables sous forme de comptes volants... Là, pour le malheur du comptable, il gardait comme auparavant l'historique du compte soldé, mélangé aux écritures qui ne l'étaient pas. De pouvoir imprimer sur le compte en fin de saisie les montants débits, crédit et solde présentaient l'unique avantage par rapport au Grand livre manuel.

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[modifier] Rôle attribué à ces machines

Ces machines comptables mécanisaient simplement le système centralisateur à l'italienne ainsi que le système Obbo. L'avantage de ces machines par rapport au système Italien ne résidait que dans l'ordre des choses à attendre d'une simple mécanisation d'un travail existant. D'éviter le report manuel du journal au grand livre ainsi que les erreurs de reports manuel du journal au Grand livre toujours possible restait à leur avantage. Ce simple pas en avant mit fin également à l'ère du calcul mental dans les Grandes entreprises et avec beaucoup de retard à la matière du Calcul rapide qui figurait au programme des examens de comptabilité de l'Education Nationale. Elles apportaient en plus le calcul des montants débits, crédits et soldes par comptes et les totaux pour les journaux que leur permettait de produire en fin de saisie les 120 compteurs électromécaniques dont elles étaient équipées. La mise en service de ces positioneuses avait leurs avantages et leurs inconvénients. D'abord elles étaient redondantes dès leur origine dans les Grandes entreprises et les Grandes administrations équipées en mécanographie. Elles firent leurs apparitions en France dans les années quarante du xxe siècle. Par rapport au système Obbo, à l'origine, ces machines avaient surtout l'inconvénient de ne disposer d'aucun repère qui permettait de bien situer la première ligne libre du compte au-dessus de la ligne libre du journal, qui lui restait engagé en permanence. Pourtant, la comptabilité de papa comme l'annonçait les promoteurs de ces machines était loin d'avoir fait son temps. Elle n'avait changé ni dans la forme ni dans le fond la gestion des Grandes entreprises. Cette mécanisation n'avait en rien amélioré la cadence ni les délais de présentations des résultats (Compte de pertes et profits et bilans à l'époque). Comme lors de la comptabilité de papa (Comptabilité manuelle à l'italienne) les résultats semestriels tombaient, j+45 comme auparavant. Seulement, les comptes individuels étaient devenus flottants, classés dans des caisses mobiles. Le gain en maniabilité par rapport aux comptes fixes du grand livre se payait très cher en matériel et en personnel. En résume elles n'ont, comme pour toute simple mécanisation de tâches manuelles en rien amélioré la clarté de la tenue des comptes ni les performances comptables dans le domaine de la périodicité de la présentation des résultats intermédiaires ni des résultats de fins d'exercices.

Inconvénients du système.

Le reproche que les décideurs pouvaient formuler envers ces machines onéreuses était celui de n'avoir contribué ; ni à l'amélioration de la gestion comptable des entreprises et de n'avoir en rien modernisé le suivi ni la surveillance des comptes de tiers. Comme pour toutes méthodes manuelles en vigueur (Système du journal Américain, système centralisateur à l'italienne et Obbo), l'utilisation de ces machines malgré tous les perfectionnements qu'elles avaient subis, même arrivée au niveau d'ordinateurs de comptabilité, elles ne furent pas en mesure de sortir le relevé des détails du solde précédent. Comme au bon vieux temps silencieux et discret du grand livre tenu manuellement, les comptables se devaient dans le bruit ambiant de l'atelier des machines comptables, comme auparavant, éplucher manuellement, compte par compte les écritures non lettrées pour mener à bien avec les mêmes difficultés les opérations de suivi des créances mensuelles. Innombrables étaient les constructeurs de ces machines comptables à travers le monde.

À fin de justifier le propos, il est intéressant à les citer de manière non exhaustive : Addo - Adler - Triumph - Burroughs - CSM, torpédo à introduction électrique - Facit - Hermè-Paillard - Hewlet-Packard - Honeywell-Bull - IBM - Kienzle - Logabax - NCR avec une positionneuse programmable - Nixdorf - Olivetti – Olympia - Wang - Ruff - Philips -Remington-Rand - Rank-Xerox - Nationale.

L'effectif.

L'introduction de ces machines n'a en rien amélioré l'effectif des services comptables, au contraire. Les comptables des groupes auxiliaires des comptes généraux, de banques et des frais généraux devaient suivre des cours de formation d'opérateurs sur machines comptables, s'ils voulaient garder leur emploi. Les groupes auxiliaires clients et fournisseurs ne pouvaient se passer d'un opérateur attaché à temps plein à la machine comptable attribuée à ces deux groupes.

[modifier] Evolution technique de ces machines comptables

Les constructeurs de ces machines n'ignoraient pas que les services de traitements mécanographiques et les ordinateurs par la suite, savaient tout faire sauf de la comptabilité dans les Grandes entreprises. Nulle menace ne planait sur l'existence et l'avenir cet immense pan spécialisé de l'industrie mondiale. Elles pouvaient évoluer tranquillement à l'ombre des ordinateurs. Très primitives à l'origine, elles ne donnaient même pas l'aperçu de ce qui était frappé par l'opérateur. Le métier exigeait alors d'authentiques champions du clavier. Pour cette raison, les Chambres du Commerce et de l'Industrie organisaient de concours de vitesse frappe sur machines à écrire. L'apparition de la deuxième génération palliait largement à ce manque de convivialité. Comme on n'arrête pas le progrès, elles furent par la suite dotées de lecteurs de cartes ou de bandes perforées pour devenir de rentables utilisatrices des sous produits de l'informatique. Des statistiques de ventes, d'achats, les relevés mensuels de TVA etc., élaborées en ordinateur ou par des facturières munies de perforateurs de bandes, servaient ensuite de supports d'entrer de données aux machines comptables. Pour en assurer la pérennité, elles suivaient fidèlement l'évolution technique de l'informatique. Finalement, elles se trouvèrent munies de lecteurs de casettes, de disques durs et d'écrans de consoles d'ordinateurs. Avant de disparaître elles faisaient figure d'ordinateurs comptables tout conservant les inconvénients des positionneuses comptables à double introduction qu'elles n'avaient jamais cessées d'être. La mise au point des comptes à bandes magnétiques et l'introduction mécano électrique des comptes en machines palliait lors du déclin, non seulement au manque de précision lors de l'introduction du compte, mais encore elle gardait en mémoire le dernier solde, ce qui évitait sa reprise manuelle par l'opérateur. Un oubli grave serait de négliger l'appréciation du coût d'un atelier de machines comptables. Son installation en Grande entreprise se composait de 5 machines au minimum. Il fallait compter 400.000 FF l'unité, valeur 1965.

[modifier] Inconvénients en gestion de l’usage des machines comptables

L’utilisation des positionneuses comptables à introduction frontale par un personnel spécialement formée, se faisait à l'ombre des tabulatrices. Selon les constructeurs, elles s'avéraient "incapables" de faire de la comptabilité. Ainsi les positionneuses comptables, restaient les seules machines sur le marché qui permettaient d’éditer des comptes individuels classiques des tiers en comptabilité générale. Ils devaient comporter la raison sociale de l’entreprise et les éléments exigés par le code du commerce. Ces possibilités permettaient aux constructeurs de prétendre qu'il n'y avait aucune difficulté pour conserver la présentation manuelle du Grand livre des comptes tout en mettant un terme à la comptabilité de Papa. Malheureusement pour le prix qu'elles coûtaient, elles ne faisaient pas davantage que la comptabilité à papa dans le domaine essentiel de la gestion des comptes de Tiers. Elles n'arrivaient qu'à extrapoler péniblement le Grand livre avec tous ses inconvénients de sa précieuse reliure en cuivre pour le transposer sur machines comptables sous forme de comptes volants... Là, pour le malheur du comptable, il gardait comme auparavant l'historique des écritures soldées, mélangée aux écritures qui ne l'étaient pas. De pouvoir imprimer sur le compte en fin de saisie les montants débits, crédit et solde, présentaient l'unique avantage par rapport au Grand livre manuel.

[modifier] Le lettrage comptable

Cette opération obligatoire se faisait après la saisie des écritures par l'opérateur sur machines comptables. Les comptes revenus à la comptabilité, les comptables devaient pour chaque paiement enregistré, rechercher les enregistrements des factures correspondantes pour les affecter de la lettre qui faisait suite alphabétiquement à la dernière déjà utilisée sur le compte. Cette affectation manuelle consécutive à contrôle mental, ne devenait effective que si la soustraction du montant des factures correspondant au paiement se réduisait à Zéro. Si tel n'était pas le cas, l'écriture prêtait à litige et restait ouverte, sinon factures et paiements étaient lettrés comme ci-dessus.

Relevés mensuels des factures

À la fin du mois, La détermination du détail des nouveaux soldes à traiter en guise de relances par relevés mensuels incombait aux comptables. Le relevé de ces détails se faisait manuellement selon les écritures non lettrées qui restaient à extraire du volume des écritures qui composaient le compte dans son intégralité. À la suite d'impayés, des comptes pouvaient garder en service plusieurs pages d'écritures. Il suffisait d'une seule écriture non soldée sur l’une des feuilles recto verso, pour en empêcher son archivage. Les relevés des écritures non lettrées constituaient les détails des relevés mensuels des comptes à éditer. Les brouillons ainsi rédigés restaient à dactylographier par les comptables ou par des secrétaires avant de les envoyer aux destinataires. Même en raison de tous les efforts dépIoyés, ce système présentait l’inconvénient de ne pas permettre de relancer mensuellement la totalité des comptes et ceci malgré la subdivision du travail mis en application dans ce sens. Le travail journalier de routine, ne permettait pas de mener à terme ce travail qui ne se posait qu’en fin des toutes les opérations d’arrêté des comptes.

Le métier d'opérateur.

Alors que les comptables des comptabilités auxiliaires, des comptes généraux, des comptes de frais généraux et des banques tenaient à la fois le rôle de préparateurs et d’opérateurs sur machines comptables, ceux des comptabilités de tiers, ne s’occupaient que de la gestion des comptes. Lorsque le volume des affaires l’exigeait, la saisie des écritures se faisait par des opérateurs affectés de manière permanente au maniement des machines comptables. Ils n’exerçaient alors que cette fonction. Le décret 73374 du 28.03.1973 a été mis spécialement en application pour l’attribution d’une prime de technicité aux opérateurs sur machines comptables. Ceci démontre bien l’étendue de cette fonction et la force de la corporation. Bénéficiaires : Agents affectés de manière permanente au maniement d’une machine comptable, et exerçant réellement ces fonctions.

Description du compte : Papier carton de 180 gr. Recto-verso 40 lignes d’écritures par face.

Lourdeur du compte dans le système.

Tant qu’il restait une écriture recto ou verso non soldée par compte, ce dernier ne pouvait pas être archivé. Pour cette raison, les détails du solde d’un compte pouvaient s’étaler sur une dizaine de cartes pour un ensemble de 5000 comptes pour une entreprise. Pour cette raison, il était pratiquement impossible de relancer mensuellement la totalité des comptes. On se notait le dernier compte relancé pour en reprendre la suite le mois suivant et ainsi en assurer le roulement, mois par mois. Finalement, un même compte était au mieux relancé deux fois par an, dans un lot de 3000 clients ou fournisseurs. Il est clair que malgré l’usage de ces machines coûteuses, la gestion des comptes de tiers laissait beaucoup à désirer. Ce qui précède met bien en évidence la complexité de la gestion des comptes de tiers par machines comptables dans les grandes entreprises. Aussi ces difficultés justifient largement la volonté ainsi que les efforts déployés dans le domaine de la recherche sur machines à cartes perforées pour trouver une solution mécanographique en mesure de libérer les comptables de l'exploration sempiternelle d'un fichier immense ouvert à la chasse des écritures non lettrées. Ces recherches systématiques préalables à la frappe des relevés des comptes se faisaient juste pour répondre à la mode en vigueur. L'absence d'échéances dont souffraient les enregistrements ne permettait pas d'en tirer un autre usage. Ce travail de Romains abattu en totale absence de suivi et sans méthode n'était finalement qu'un énorme gâchis juste bon à la ventilation et à l'aération des comptes volants.

[modifier] Périphériques de sorties

Usages des tabulatrices en comptabilité générale

Les comptables libéraux en cabinets pouvaient prétendre faire de la comptabilité en mécanographie sur tabulatrices. Cette prétention était valable par le fait qu'ils ne se chargeaient, ni de la tenue des comptabilités auxiliaires clients et fournisseurs, ni de celles des DébiteursCcréditeurs Divers. Les cabinets se contentaient de tenir les comptes centralisateurs clients et fournisseurs. Leurs clients par l'ouverture de chemises individuelles se chargeaient manuellement, de manière extra-comptable de la gestion des détails des tiers ; du suivi des règlements clients et fournisseurs etc.

Cette manière d'opérer n'était pas envisageable dans les Grandes entreprises à cause du volume mensuel des factures et des règlements à traiter. Ces pièces comptables représentent encore 80 % du volume mensuel des pièces comptables à traiter. Pour cette raison les Grandes entreprises et les Grandes administrations civiles et militaires étaient équipées d'onéreuses, bruyantes et redondantes machines comptables à introduction frontale.

Redondantes parce que en 1965, Bitsch Gilbert, chef de projets à la SACM de Mulhouse, par l'invention du lettrage informatique appliqué par un mode conversationnel de son imagination, a réalisé le premier positionnement de détails mensuels des soldes des comptes de tiers. Par cette intervention les premières machines comptables ont été mise au musé ou à la casse. Cette première mondiale a été réalisée à l'encontre des constructeurs qui plaidaient haut et fort que ces machines savaient tout faire ; sauf la comptabilité des Grandes entreprises.

En 1966, le 1401 installé à la production à été remplacé d'urgence par un 360/40. Sur incitation d'IBM il a été installé au service administratif et comptable en remplacement de l'équipement classique. La comptabilité réalisée sur tabulatrice était devenue l'application à finaliser en priorité sur l'ordinateur afin de pouvoir attribuer le mérite de l'innovation au 360/40, à la technique et non à l'homme. Il ne fallait pas que le monde sache que les machines comptables qui évoluaient à l'ombre de la mécanographie étaient redondantes dès leur origine.

[modifier] Histoire par ordre chronologique

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