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Histoire de la monarchie belge - Wikipédia

Histoire de la monarchie belge

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La bourgeoisie belge libérale de 1830 fonda un État solide, séparé de l’Eglise selon le modèle de Félicité de Lamennais (Constitution adoptée en 1831). Elle installa une monarchie qu’elle voulait ”républicaine”, dont Léopold Ier fut élu par le Congrès national (l’élection du fils de Louis-Philippe roi des Français fut rejetée par ce Roi lui-même). Cas unique d’une monarchie démocratiquement instaurée (héréditaire à partir de là), et aussi d’emblée constitutionnelle et parlementaire (sans passé absolutiste). Elle s’imposa comme le centre du pouvoir politique en Belgique pour longtemps, tout en jouant le jeu de la Constitution libérale conçue pour limiter drastiquement ses prérogatives, même dans le cadre d'une démocratie censitaire.

Sommaire

[modifier] La monarchie s’impose : Léopold Ier

Rapidement prépondérante, la fraction financière de la bourgeoisie en Belgique comprit que la monarchie figurait la stabilité.

[modifier] L’explication de Pierre Lebrun

Elle dota richement Léopold Ier qui devint le principal actionnaire de la Société générale (de Belgique), principale société à portefeuille du pays, et, par là même, la première fortune d’une Belgique qui, grâce au sillon industriel de Wallonie, devenait une puissance industrielle [1] Léopold Ier prit donc le pouvoir à la fois sur le plan économique et politique [2]

[modifier] L’explication de Pirenne

Henri Pirenne, signale l’échec de la bourgeoise de 1831. Il décrit ainsi Léopold Ier: Pour cet esprit réaliste la politique se réduisait à l'art de gouverner, et le dogme de la souveraineté du peuple n'était qu'un grand mot. Au fond, c'était un conservateur (...) En dépit de ses accointances et de ses sympathies anglaises, ce qui domine peut-être en lui, c'est le principe allemand d'Ancien régime, aussi hostile aux principes révolutionnaires de la France qu'au nationalisme germanique de la Prusse. Son idéal, c'est l'Autriche de Metternich, avec son horreur de la démocratie et son gouvernement légitimiste et autoritaire. À ses yeux, la Constitution belge était une absurdité. Et il faut se demander comment, l'appréciant ainsi, il a pu l'appliquer avec une maîtrise qui fait de lui le type le plus achevé de monarque constitutionnel que l'Europe ait connu. En ceci sa connaissance approfondie du parlementarisme anglais, tel surtout qu'il était compris et appliqué par les Whigs, lui fut sans doute d'un précieux secours. Elle lui avait appris que dans un pays libre, le gouvernement n'est possible qu'avec le concours de l'opinion. Mais en Belgique, ce n'était pas comme en Angleterre une aristocratie rompue au maniement des affaires et appuyée sur une longue tradition politique qui dirigeait l'opinion, mais une bourgeoisie à tendances libérales, infatuée de son importance, imbue d'une idéologie révolutionnaire, empressée d'inaugurer une constitution toute neuve et pour ainsi dire d'en faire l'essai. La monarchie telle qu'elle la comprenait, c'était une "monarchie républicaine" dans laquelle la couronne ne devait être qu'un ornement et non pas un pouvoir (...) Avec une adresse consommée et une patience inlassable, il sut, en s'effaçant en apparence, prendre une influence croissante (...) Son irresponsabilité constitutionnelle, en dérobant son action au public, lui permit de l'exercer davantage dans le Conseil. Scrupuleusement fidèle à la Constitution, il [Léopold I] la laissa fonctionner en [...] s'y réservant [...] le rôle essentiel du régulateur dans une machine. Par cela même qu'elle se cachait, son intervention dans les affaires fut plus constante et plus profonde. [3]

[modifier] Léopold II

Léopold II qui lui succède est un roi fastueux, mais impopulaire. Il se taille un immense Empire colonial au Congo dont les bénéfices embelliront Bruxelles (Arc de Triomphe du Cinquantenaire, plusieurs éléments du Palais Royal, les Serres de Laeken), mais ces bénéfices sont obtenus grâce à l’exploitation du travail forcé. A la suite d'une campagne mondiale stigmatisant cequ'elle nomme ses crimes au Congo (possession personnelle au départ), il doit céder la colonie à l’État belge en fin de règne. [4] Il faut noter cependant des réserves à l’égard de cette thèse [5] ou un point de vue plus plus modéré [6]

[modifier] Albert Ier

Albert Ier à la faveur de Première guerre mondiale, fait opérer une remontée fantastique en prestige moral et pouvoir. Henri Pirenne écrira dans l'’’Encyclopédie française’’ que « L'autorité morale du souverain lui permet d'user plus largement que ses prédécesseurs de ses pouvoirs constitutionnels. » [7] En 20 ans de règne, Albert Ier se permet de démissionner deux Premiers Ministres belges, autant que ses deux prédécesseurs. La lecture de ses Carnets de guerre (1914-1918) (Duculot, Gembloux, 1991), révèle que c'est lui qui gouverne. Luc Schepens, important historien flamand, va jusqu'à écrire d'Albert Ier, confirmant les propos de Pirenne: Les deux grandes victimes de la guerre [14-18] en Belgique semblent être la Constitution et la démocratie parlementaire. Et cela n'alla pas sans conséquences. Pendant la suite du règne d'Albert Ier, et également sous celui de Léopold III, le roi a exercé au sein du pouvoir exécutif un rôle hors de proportion avec ce qui avait été de coutume avant la première guerre mondiale (...) Ce n'est qu'après que cette situation s'est normalisée. [8].

[modifier] Léopold III

Albert Ier a donc amplifié ce pouvoir royal, à la faveur de la guerre et son fils, Léopold III en hérite.

[modifier] Autorité de ce Roi

Une scène rapportée par les historiens flamands Velaers et van Goethem le 2 février 1939 est révélatrice. Léopold III convoque le gouvernement dans une des salles de son Palais, le ‘’Salon du Penseur’’. Il a revêtu son uniforme de Lieutenant Général. Le Grand Maréchal de la Cour l'introduit. La réunion ne prévoit qu'un discours du roi sans réponse des ministres. Ceux-ci sortent de l'entrevue avec des mines d’enfants réprimandés par un maître d'école [9]

[modifier] La question royale

Cependant, ces mêmes ministres entrent en grave conflit avec le roi dès le 25 mai 1940, au moment où l’armée belge (surtout les régiments wallons), affaiblie, livre une farouche bataille de la Lys aux Allemands. Léopold III considère que la Belgique est neutre et doit se contenter de défendre le territoire belge sans se lier à la France et à l’Angleterre. Ses ministres, de toutes tendances, sont de l’avis inverse. L’avis du roi l’emporte. Il capitule le 28 mai comme ‘’chef de l’armée’’. Le jour même, le Premier Ministre Hubert Pierlot estime que le roi « a rompu le lien qui l’unissait à son peuple ». C’est le début de la Question royale. Robert Devleeshouwer juge sévèrement le ‘’Testament politique’’ de début 1944 où le roi justifie sa politique de guerre [10].

[modifier] Le Gouvernement belge à Londres

Après une période d'hésitation consécutive à la défaite française, quatre des principaux ministres belges (Hubert Pierlot, Paul-Henri Spaak, Camille Gutt et Albert De Vleeschauwer) se retrouvent à Londres en octobre 1940 et décident de continuer la guerre aux côtés des Britanniques, s’opposant ainsi à la politique du roi mais en protestant néanmoins de leur fidélité. Ils considéraient le roi comme ‘’dans l’impossibilité de régner ‘’ (du fait de l’occupation), ce qui correspondait au statut de prisonnier de guerre que Léopold III revendiquait.

Prisonnier, le roi cherchera cependant à rencontrer Hitler par l'entremise de sa soeur la princesse Marie-José (épouse du prince héritier d'Italie Umberto) : cette réunion, qui restera secrète, aura lieu le 19 novembre 1940 à Berchtesgaden. Léopold III fait essentiellement des demandes humanitaires en faveur des prisonniers de guerre belges et du ravitaillement de la population civile. Il demande également des garanties quant à l'indépendance future du pays. Hitler refusera d'accéder à ces demandes. D'après l'historien Jean Stengers, ce refus de Hitler et sa décision de laisser cette réunion secrète ont sans doute sauvé l'avenir du roi qui aurait en effet pris alors des positions politiques opposées à celles de son gouvernement à Londres. Par la suite, de 1941 à 1944, le roi s'enfermera dans le silence, ignorant de manière délibérée l'action de son gouvernement.

Toujours prisonnier, le roi se marie cependant en 1941 avec Liliane Baels, mariage qui fut annoncé en Belgique en décembre 41. Cette annonce dans un pays occupé fut mal reçue et constitua sans doute la première étape de la rupture entre le souverain et l'opinion publique belge (au au moins une partie de cette opinion).

Le roi est transféré en Allemagne en juin 1944 (après le Débarquement du 6 juin 1944 ). Après, dès avril ou mai 1945, entre en jeu l'opinion publique populaire défavorable au roi qui va déclencher ultérieurement les graves événements de juillet 1950. Notons cependant que d’autres monarchies ont connu des difficultés dans les mêmes circonstances [11]

[modifier] Charles le Prince Régent

A la Libération, le Parlement belge élit le frère du Roi Léopold III, le prince Charles que la classe politique jugea plus souple que son frère. Son chef de Cabinet André De Staercke a publié un ouvrage su cette période de notre histoire [12]

[modifier] Après l’abdication de Léopold III

Ces événements attirent les réflexions comme celles d’Arango [13] et Fusilier, puis au pays même [14] Les ouvrages critiques sont des ouvrages surtout historiques comme Jean Duvieusart en 1975 ou Jean Stengers [15] et ne cherchent pas d’abord à penser le sens de l'institution monarchique. André Molitor propose un ouvrage intéressant[16] : partisan de l'institution monarchique, André Molitor révèle un discours contradictoire tenu à propos de de la monarchie : elle est centrale, mais le pouvoir du roi est un peu dénié. Le Professeur Francis Delpérée incarne un peu la doctrine sur le roi qui a fait consensus dans la classe politique francophone : Quel est le rôle du Roi dans cette histoire de quarante ans? Je veux rappeler ici avec force la formule-clé qui devrait être inscrite au fronton de la Constitution belge : ” Le Roi règne mais ne gouverne pas.” Le Roi ne gouverne pas. C'est simple à comprendre. Il n'a ni prérogative personnelle, ni pouvoir d'autorité, ni domaine réservé. En aucune matière, qu'elle soit de politique extérieure ou intérieure (...) Le Roi règne (...) Même pendant le dernier siècle, on ne s'est guère interrogé sur cette maxime. Ou bien on a cherché à lui donner un sens réducteur. Le Roi préside les Te Deum et les cérémonies protocolaires. Il présente, chaque année, ses voeux à la Nation. Je m'élève vivement contre cette caricature. Régner ne signifie pas suivre d'un œil distrait les occupations du gouvernement ou les activités du bon peuple. C'est contribuer, avec de modestes moyens certes, mais une volonté clairement affichée au bon fonctionnement de l'État. [17]

[modifier] Baudouin Ier

Or le pouvoir du roi est surtout cette capacité d’influence difficile à mesurer et « dérobée » (comme le dit Pirenne), puisque les conversations du roi sont couvertes par le secret constitutionnel deux journalistes flamands, sous la direction de l’historienne Else Witte, ont recueilli, sous le couvert de l’anonymat, les confidences de hautes personnalités sur ce thème[18]. Léopold III, par exemple, même après son abdicationa pesé de tout son poids sur son fils. Dans la politique intérieure : ministres imposés ou refusés, mise à l'écart de plusieurs des adversaires de 1950, tentative de révocation du Premier Ministre Eyskens en 1960 etc. A l’extérieur : refus d'assister aux funérailles du roi d'Angleterre, assassinat de Lumumba leader nationaliste congolais et Premier Ministre à l’indépendance du Congo (1960) - en 1961 etc. [19]

Le roi Baudouin Ier prend de l’importance : il administre une dure leçon au monde politique en 1979. Il nomme Wilfried Martens comme Premier Ministre en 1982 et met en quarantaine son rival politique Léo Tindemans. Il agit de même avec José Happart, alors député autonomiste wallon très populaire. Il fait envoyer des paras au Rwanda en 1990, refuse de signer la loi dépénalisant partiellement l’avortement la même année. Certes, la non signature de la loi sur l’avortement n’a pas de conséquence juridique (on invente un stratagème constitutionnel pour l’empêcher : le roi est considéré comme ‘’dans l’impossibilité de régner ‘’ ce qui lui permet de ne pas signer la promulgation de la loi qui lui donne effet et le Gouvernement la promulgue en tant que ‘’Chef de l’Etat’’ collectif en cette circonstance), mais l’effet politique est évident.

[modifier] Monarchie et introduction du fédéralisme

Le fédéralisme belge (initié en 1980), introduit cependant une nouvelle donnée: le processus de la décision politique en Wallonie et en Flandre échappe en partie tant au roi qu'aux responsables fédéraux. Car les pouvoirs cumulés de chaque Région (assimilée en pratique à un État fédéré) peuvent être considérés comme couvrant maintenant plus de 50 % des compétences étatiques belges selon des modalités qui font du fédéralisme belge un fédéralisme à part. Notamment parce que ces compétences valent équivalemment au sein de la Fédération belge et sur la scène internationale [20].

Même au sein de cette structure fédérale, la monarchie belge jouit d'un réel prestige auprès d'une grande partie de la population (80% des sondés en cas d’enquêtes sur le sujet en Flandre et en Wallonie).

[modifier] Albert II

Albert II frère du Roi Baudouin Ier et son successeur est éminemment populaire. Il a par exemple géré avec beaucoup de doigté le discrédit du monde officiel belge dans l’Affaire Dutroux (en 1996), ou les révélations sur sa vie privée suite aux révélations de l’existence d’une fille naturelle, cela à la veille du mariage de son fils Philippe de Belgique (en 1999).

[modifier] Une comparaison internationale

Raymond Fusilier qui a comparé les six « petites » monarchies parlementaires d'Europe (Suède, Norvège, Danemark, Hollande, Luxembourg, Belgique), voit à la source de la question royale de 1940-1950, un vice constitutif de la monarchie belge du fait de son écart par rapport à la Constitution de 1831, notamment à cause de l’existence autour du roi d’un ‘’cabinet’’, sorte de gouvernement parallèle (ceci n’a pas entièrement disparu). Pour lui, la monarchie belge a plus de pouvoir que les autres monarchies européennes. Certes l’ouvrage date, mais il demeure la seule comparaison valable en langue française en tout cas, des « monarchies européennes, seule le cas de l’Espagne n’étant pas traité, du fait qu’à l’époque Franco en restait le Régent. [21]

[modifier] Notes, Bibliographie succincte

  1. Pierre Lebrun, ‘’Essai sur la révolution industrielle en Belgique’’, Palais des Académies, 2e édition Bruxelles,1981, pp. 496-497.
  2. F.Bismans, ‘’Comment Léopold I vit sa fortune faire des petits’’ in ‘’TOUDI’’ (mensuel) n° 42-43, p.4, décembre 2001. Le texte de ce professeur à l’université de Nancy résume bien le propos de Pierre Lebrun.
  3. Henri Pirenne, Histoire de Belgique, Tome VII, Lambertin, Bruxelles, 1947.
  4. Adam Hochschild, Les fantômes de Léopold II, Un holocauste oublié, Paris, Belfond, 1998. ou Daniel Vangroenweghe, Du sang sur les lianes, Didier-Hatier, Bruxelles, 1986. Jules Marchal, E.D. Morel contre Léopold II, l'Harmattan, Paris, 1996.
  5. Michel Dumoulin, ‘’Un Roi génocidaire ?’’, Académie Royale de Belgique, Bruxelles, 2005
  6. Jean Stengers, ‘’Congo, mythes et réalités, cent ans d’histoire’’, Duculot, Gembloux, 1989
  7. Tome VI, Paris, 1933, n° 10, 68, p. 12.
  8. Luc Schepens, ‘’Léopold III et le gouvernement Broqueville’’, Duculot, Gembloux, 1983, p.230
  9. Velaers et van Goethem, Leopold III. De Koning. Het Land. De Oorlog, Lannoo, Tielt, 1994, p.88.
  10. Robert Devleeshouwer, Henri Rolin, éd. de l'ULB, Bruxelles, 1994, pp. 364-365.
  11. Tage Kaarsted, ‘’Paskekrisen (With an English Summary)’’, 1929, Universiteitsforlaget I Aargus, 1968
  12. ‘’Mémoires sur la Régence et la Question royale’’, Racines, Bruxelles, 2003
  13. Ramon Arango, Leopold III and the Belgian Royal Question, The John Hopkins Press, Baltimore, 1961.
  14. ‘’Les faces cachées de la monarchie belge’’ (1991),
  15. ‘’Léopold III et le gouvernement’’ Duculot, Gembloux, 1980)
  16. La fonction royale en Belgique en 1979, nouvelle édition en 1994
  17. .(Le palais in Histoire d'un règne édité par La Libre Belgique et Gazet van Antwerpen, Bruxelles, n°3, novembre 1990).
  18. De Kroon Ontbloot (La couronne mise à nu) Kritak, Leuven, 1991,
  19. Outre l’ouvrage de Ludo De Witte ‘’L’assassinat de Lumumba’’ (éditions Karthala, Bruxelles 2001)sur ce sujet paru d’abord en néerlandais en 1999, il faut citer Colette Braeckman, ‘’Lumumba un crime d’Etat’’, Aden, Bruxelles, 2002 et, bien sûr les conclusions de la Commission parlementaire fédérale belge réunie sur cette question et qui conclut à une responsabilité morale de Baudouin Ier (novembre 2001). Des participants à cette Commission en tant qu’historiens et d’autres historiens (Jules Gérad-Libois, Philippe Raxhon, Luc Devos, Emmanuel Géradd) ont publié ‘’Les secrets de l’affaire Lumumba’’, Racine, Bruxelles, 2005. Le site de la Chambre belge des représentants en donne le texte : [ http://www.lachambre.be/kvvcr/showpage.cfm?section=%7Ccomm%7Clmb&language=fr&story=lmb.xml&rightmenu=right_publications]
  20. L’ouvrage de référence sur ce sujet est Charles-Etienne Lagasse, ‘’Les nouvelles institutions politiques de la Belgique et de l’Europe ‘’, Erasme, Namur, 2003 p 289 : estimation de l’importance des compétrnces étatiques et leur aspect international, p.143
  21. R.Fusilier, ‘’Les monarchies parlementaires, Études sur les systèmes de gouvernement’’ (Suède, Norvège, Luxembourg, Pays-Bas, Danemark), Éditions ouvrières, Paris, 1960.

Outre les ouvrages cités, signalons (liste non exhaustive) :

  • Jean Stengers, L’action du roi en Belgique depuis 1831, Duculot, Paris Louvain-la-neuve, 1992.
  • Jean Stengers, Léopold III et le gouvernement. les deux politiques belges de 1940, Editions Racine, Bruxelles, 2002 (2e édition).
  • Laurence van Ypersele, Le Roi Albert, Histoire d'un mythe, Ottignies - Louvain-la-Neuve (Quorum), 1995,
  • Jacques A.-M. Noterman, La république du roi, Collet, Bruxelles, 1999.
  • José-André Fralon, Baudouin - l'homme qui ne voulait pas être roi, Fayard, 2001.
  • Léopold III, Pour l’histoire, Racines, Bruxelles, 2001
  • M. Vandenwÿngaert, L. Beullens, D. Brants, Pouvoir et monarchie, Pire, Bruxelles, 2002
  • Christian Laporte, Albert II, Premier roi fédéral, Racines, Bruxelles, 2003
  • Guy Polspoel et Pol Vandendriessche. Jacques Van Ypersele de Strihou (le chef de cabinet du roi), Luc Pire. 2003.

[modifier] Liens externes

Laeken en ligneLa monarchie

  • site républicain [1]

[modifier] Voir aussi



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