Short Circuit

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Short Circuit
Short Circuit

Date(s) de sortie :

9 mai 1986 (USA)
20 août 1986 (France)

Pays d'origine :

États-Unis

Réalisation :

John Badham

Production :

Gregg Champion, David Foster, Lawrence Turman, Dennis E. Jones, Mark Damon et John W. Hyde

Scénario :

Brent Maddock et S.S. Wilson

Durée :

98 minutes

Langue originale :

Anglais

Budget :

Portail Cinéma

Short Circuit est un film de science-fiction/comédie américain réalisé par John Badham, sorti en 1986.

Sommaire

1 Fiche technique
2 Distribution
3 Synopsis
4 Autour du film
5 Récompenses
6 Voir aussi
- 6.1 Liens internes
- 6.2 Liens externes

[modifier] Fiche technique

Distributeur : TriStar / Producers Sales Organization
Musique : David Shire
Photographie : Nick McLean
Montage : Frank Morriss
Décors : Dianne Wager
Format : Couleurs - 2,35:1 - Dolby - 35 mm
Genre : science-fiction, comédie

[modifier] Distribution

Ally Sheedy : Stephanie Speck
Steve Guttenberg : Newton Crosby
Fisher Stevens : Ben "Jabutiga" Jahrvi
Austin Pendleton : Howard Marner
G.W. Bailey : Skroeder
Brian McNamara : Frank
Tim Blaney : Numéro 5 (voix — version anglaise)
Marvin J. McIntyre : Duke
John Garber : Otis
Penny Santon : Mme Cepeda
Vernon Weddle : Général Washburne
Barbara Tarbuck : Sénateur Mills
Tom Lawrence : L'assistant d'Howard Marner
Fred Slyter : Norman
Billy Ray Sharkey : Zack

[modifier] Synopsis

Accroches :

Quelque chose de merveilleux s'est produit... Numéro 5 est vivant !
La vie n'est pas un mauvais fonctionnement.

Attention : ce qui suit dévoile tout ou partie de l’œuvre (explications) ! L'histoire est celle d'un des cinq robots-prototypes de l'armée américaine, d'une valeur de 11.000.000 $ (et 17 cents...) chacun. Le scientifique chargé de la conception des robots, le Dr Newton Crosby (Steve Guttenberg), semble plus intéressé par les usages pacifiques de l'intelligence artificielle, et est en conflit constant avec les supérieurs de l'armée qui ne voient là qu'une arme extrêmement efficace armée d'un rayon laser hautement performant. Le film débute avec une démonstration fictive des capacités militaires des robots. Peu de temps après cette entrée en matière, la foudre frappe le générateur sur lequel se recharge le prototype Numéro 5.

Le Numéro 5 frappé par la foudre

Ceci cause un "mauvais fonctionnement" du système et altère sa programmation. Par accident, le Numéro 5 se retrouve par la suite au dehors du centre militaire où il était confiné, et il apparaît comme incapable de communiquer correctement et ne sait pas même où il est.

Numéro 5 aboutit finalement chez l'écologiste et amie des animaux Stephanie Speck (Ally Sheedy). Celle-ci pense tout d'abord avoir affaire à un extraterrestre dans une combinaison métallique, avant de découvrir une plaque indiquant que ce "visiteur" a été construit par les laboratoires militaires de NOVA Robotics, filiale de la Robotic Company CEO. Elle réalise ensuite que le robot possède une personnalité propre et qu'il est devenu littéralement 'vivant' à la suite de son foudroiement. Dans le même temps Numéro 5 améliore sa compréhension du monde et en particulier de la mort : il réalise qu'il peut décéder et développe un sentiment de peur envers ses créateurs militaires qui le poursuivent afin de le réduire en pièces, persuadés que la machine est devenue un engin incontrôlable et de surcroît dangereusement armé.

Après moultes péripéties, et une fuite éperdue de l'armée américaine menée par le paranoïaque chef de la sécurité Capitaine Skroeder (G.W. Bailey), Numéro 5 trouve le moyen de faire croire à sa propre destruction. En fait, il construit un double de lui-même à partir de pièces détachées, qu'il envoie ensuite au suicide pendant que lui part au Montana avec Stéphanie et Newton — qui a auparavant perdu sa place chez NOVA pour avoir pactisé avec Stéphanie et le robot.

[modifier] Autour du film

Le film a eu droit à une suite, Short Circuit 2 - Appelez-moi Johnny 5, réalisée par Kenneth Johnson en 1988.
Le scénario de S.S. Wilson et Brent Maddock est inspiré d'un sujet d'étude relatif à E.T. l'extra-terrestre (1982) qu'ils avaient rédigé à l'Université de Caroline du Sud. Par la suite, ils écrivirent d'autres scénarios tels que Miracle sur la 8e rue (1987), Tremors (1990) et Wild Wild West (1999).
La séquence où Numéro 5 danse avec Stephanie est directement inspirée du film La Fièvre du samedi soir (1977) du même réalisateur.
Un jeu vidéo basé sur ce premier volet de ce qui est maintenant le "diptyque Short Circuit" est également sorti. Il contient deux parties distinctes, une d'arcade où Numéro 5 s'échappe des laboratoires et une d'action où Numéro 5 parcourt l'Oregon en éliminant des militaires.

[modifier] Récompenses

Nomination au prix du meilleur film de science-fiction, meilleur réalisateur et meilleurs effets spéciaux, lors de l'Académie des films de science-fiction, fantastique et horreur 1987.