Sept-Îles
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Sept-Îles | |
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Pays | Canada |
Province | Québec |
Comté ou équivalent | {{{dr}}} |
Statut de la municipalité | Ville |
Code géographique | 24 97007 |
Date de constitution | 12 février 2003 |
Maire Mandat en cours |
Ghislain Lévesque 2006 - 2009 |
Latitude Longitude |
50° 11' 59" Nord 66° 22' 59" Ouest |
Superficie | 1 969,42 km² |
Population | 25 229 hab. (2006) |
Densité | 12,8 hab./km² |
Gentilé | Septilien, Septilienne |
Sommaire |
[modifier] Présentation
Sept-Îles est une ville canadienne de la province de Québec située dans la municipalité régionale de comté des Sept-Rivières et dans la région administrative de la Côte-Nord avec Baie-Comeau et Port-Cartier. Rivière Moisie (Moisie, rivière), Moisie et Galix font aussi partie de Sept-Îles.
[modifier] Historique
Nous devons à Jacques Cartier la première mention historique de Sept-Îles. En 1535, il décrit dans son livre de bord la baie et ses îles, qu'il nomma « les îles rondes ». L'archipel de Sept-Îles se compose de la Grande Basque, la Petite Basque, la Grande Boule, la Petite Boule, le Corrossol, le Manowin. La septième îles est en fait pointe-noire qui est une presqu'île. Car Jacques Cartier ne pouvait voir le lien entre l'île et la terre lorsqu'il est arrivé par la mer.
Étant donné la taille considérable de la ville, il fut décidé en 1957 que les rues seraient en ordre alphabétique. Les rues de la baie vers l'intérieur sont ainsi:
- Arnaud
- Brochu
- Cartier
- DeQuen
- Evangeline
- Franquelin
- Gamache
- Humphrey
- Iberville
- Joliette
- Kegaska
- Laure
- Québec
- Radisson
[modifier] Économie
Sept-Îles a accueilli les Jeux du Québec durant l'été 1983 et elle accueillera les Jeux du Québec durant l'été 2007. Le deuxième port le plus important en transbordage au Canada après celui de Vancouver et le quatrième en importance, il transborde le fer du Labrador et l'aluminium de la plus grande fonderie des Amériques. Les pêcheries sont un autre important secteur de l'économie; le crabe, la crevette, les mollusques y sont notamment exploités.
[modifier] Statistiques
Le taux de chômage y est de 11, 3 % et les secteurs d'activités primaire sont:
- Aluminerie Alouette (1ere aluminerie en importance dans les Amériques)
- Les mines (Compagnie Miniere IOC et Chemin de Fer QNS&L, Mines Wabush),
- La foret et
- La pêche dont voici les Les dix plus importants points de débarquements
- Sept-Îles,
- Havre-St-Pierre,
- Rivière-au-Tonnerre,
- Mingan,
- Baie-Comeau,
- Kégaska,
- Harrington Harbour,
- Natashquan,
- Baie-Trinité,
- Port-Cartier.
Et voici quelques entreprise du secteur secondaire : Groupe Trinord, Métallurgie Brasco, Métal 7 inc., Imprimerie, Rive-Nord médias, Bouchard et Blanchette, Spécialité Hydrolique Côte-Nord, Générale Électrique Canada inc., Soudo Technic, inc., Soudure Ferco, Imprimerie B & E enr., Nord Industries, Menuisiries BLM, Les Industries Normet Inc.,Les industries Mingan.
[modifier] Politique
Les maires de Sept-Iles semblent jouir d'un règne assez paisible si l'on se fie au deux derniers maires (Jean Marc Dion qui siègea tout près de 30 ans et Ghislain Lévesque qui en est déjà à son 2 ou troisième mandat)
[modifier] Vie culturelle
Sept-Îles possède une vie culturelle étonnament active pour une ville de la Côte-Nord. La salle de spectale de Sept-Îles ainsi que celle du Vieux Poste, en plus de l'auberge jeunesse le Tangon, permettent qu'évennements culturels et spectacles se succèdent constamment. À noter également que, malgré l'éloignement, de jeunes artistes ont réussit à se démarquer sur scène. Notons entre autre l'auteur compositeur interprête Grisbouillie, ou même l'idole des tout petits, El-Fictif.
[modifier] Environnement
[modifier] Climat
Sept-Îles se classe au troisième rang parmi les villes les plus ensoleillées du Québec (après Rigaud et Bréboeuf), avec 45,8% de temps sans nuage. Les plus hauts taux d’ensoleillement surviennent en janvier, en février, en avril et en décembre, ce qui rend les hivers très agréables et encourage la pratique des sports d’extérieur.
Par ailleurs, Sept-Îles reçoit en moyenne 146 jours de précipitations par an contre 164 à Montréal. À la frontière du 50e parallèle, les vents proviennent le plus fréquemment de l’est au printemps, en été et en automne. Source
[modifier] Lien externe
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