John Mercer Johnson
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John Mercer Johnson est né en 1818 à Liverpool (Angleterre). Amené au Nouveau-Brunswick par son père, il devient avocat, puis député en 1850. Il est successivement solliciteur général, ministre des Postes, président de la Chambre et procureur général. Il est délégué à la conférence de Québec en 1864 et à celle de Londres en 1866. Après la confédération en 1867, Johnson est élu à la nouvelle Chambre des communes du Parlement fédéral.
Soutenu à Liverpool, l'Angleterre, John Mercer Johnson a émigré au Canada avec son père tandis que toujours un enfant. Johnson a reçu sa première éducation d'enfance à l'école de grammaire du comté de Northumberland avant d'étudier la loi. En 1840 il s'est appelé à la barre du Nouveau Brunswick et a commencé une carrière en tant qu'avocat.
Johnson a écrit la politique en 1850 après avoir été élu dans l'assemblée provinciale pour représenter son comté à la maison de Northumberland. Seulement quatre ans après avoir écrit l'ensemble, Johnson ont trouvé un endroit dans le coffret comme avocat--général. Plus tard dans sa vie politique il servirait les positions du général mandataire-général, de postmaster, et de l'orateur de l'Assemblée.
À la conférence de Charlottetown et aux deux conférences suivantes discutant la confédération, Johnson a argué du fait énergiquement que les gouvernements provinciaux ne devraient tenir aucune puissance au-dessus des cours du comté ou de zone. Ceci l'a mis en désaccord avec ses pères de camarade de confédération mais à la fin il a réussi et a gagné ses résolutions. Après confédération, Johnson s'est engagé dans la politique fédérale représentant, de nouveau, le comté de Northumberland. Johnson était un autre parmi les pères de la confédération qui était de naissance britannique; il est né à Liverpool en octobre 1818. Comme un garçon il a été apporté au Nouveau Brunswick et a reçu son éducation à l'école de grammaire de Northumberland. En 1840 il est devenu un avocat entièrement autorisé. En 1850 il est devenu le membre libéral pour son comté et quand sa partie est venue pour actionner sous Fisher dans 1854 son nom est apparu dans la liste de ministres du conseil avec ceux de Tilley, de Ritchie, de Steeves et d'autres - l'administration de « Smashers ». En années suivantes Johnson a eu une expérience large des divers départements du gouvernement provincial: général de avocat-conseil, général de postmaster, orateur de la maison et mandataire généralités. Il n'y avait aucune surprise au sien étant choisi en tant que délégué à chacune des conférences trois. Comme le fournisseur, Johnson, bien qu'un confederationist, a pris l'exception à un dispositif des résolutions du Québec, la grande force donnée au gouvernement central. Il y avait grande variété d'opinion concernant l'importance relative des parlements provinciaux et fédéraux; l'arrangement fait représente probablement un compromis juste. Comme tous autres délégués d'assemblée vers le Québec, Johnson a perdu son siège dans l'élection de 1865, mais il l'a regagnée l'année suivante et par année suivante a gagné un siège dans la maison fédérale. Son expérience dans ce domaine était regrettablement brève; il est mort novembre 9,1868.
Comme Chanler, Johnson, bien qu'un confédérationiste, a pris l'exception à un dispositif des résolutions du Québec, la grande force donnée au gouvernement central.
