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Fêtes historiques du Festin - Wikipédia

Fêtes historiques du Festin

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En Belgique, les fêtes historiques du Festin 1583, commémorent la libération de la ville de Lessines par le capitaine Sébastien de Tramasure, qui délivra la ville des pillards anglais, hollandais…

Rappel historique des faits à l'origine des fêtes :

Sommaire

[modifier] Contexte politique général

Dès le début du seizième siècle, l'empereur Charles Quint avait réuni sous son sceptre les Dix-Sept Provinces des Pays-Bas, comprenant la Belgique et les Pays-Bas actuels.

En 1555, son fils Philippe II lui avait succédé à la tête d'un empire sur lequel le Soleil ne se couchait jamais…

Aussi lointain qu'impopulaire en nos contrées, l'autorité de Madrid y régnait à travers l'office d'un gouverneur. L'impitoyable Duc d'Albe, le sage Requesens, le brillant Don juan d'Autriche, vainqueur à Lépante, et l'habile Alexandre Farnèse, son lieutenant, se succédèrent ainsi à la tête de nos provinces.

En 1579, les provinces du nord se déclarèrent indépendantes, sous l'autorité de Guillaume le Taciturne, par la signature du traité d'Utrecht, fondant la République des Sept Provinces Unies. De leur côté, les provinces du sud, signataires du Traité d'Arras, avaient fait allégeance au roi d'Espagne.

Le climat d'agitation permanente qui régnait ainsi dans nos provinces était encore renforcé par les troubles qui déchiraient alors les chrétiens d'Europe occidentale, en raison des différentes réformes initiées par le courant protestant. S'ensuivaient de fréquentes incursions de troupes de venues du nord, qui pillaient et brûlaient villes et campagnes.

C'est ainsi qu'en 1578, la ville de Lessines fut envahie, dit-on, par une bande de gueux venus de Gand, qui rançonnèrent la population et dévastèrent les édifices religieux.

Afin d'éviter une nouvelle mésaventure, toutes les dispositions furent prises pour assurer la défense de la cité. Les autorités communales adoptèrent un règlement de police draconien, instaurant un couvre-feu et organisant un service du guet sur les remparts.

Dans le contexte de luttes incessantes, tant politiques que religieuses, qui caractérisait nos provinces, la ville était presque continuellement surchargée de garnisons. Ainsi, le 15 juillet 1579, le comte Philippe d'Egmont entra dans la ville avec plusieurs compagnies. Il y laissa ensuite la compagnie du capitaine Vermeil, que vint remplacer, le 7 août 1580, la compagnie du capitaine Hérissem, forte de deux cent hommes, bientôt suivie par d'autres. L'hébergement de ces troupes épuisa considérablement les finances de la ville. Cependant, il fallait encore trouver les fonds nécessaires pour réparer les fortifications. Les comptes du massard - c'est le titre que porte à l'époque le receveur communal - mentionnent le nom de divers ouvriers qui travaillèrent ainsi à colmater les remparts et à dresser des palissades, tels que Martin Simon, Nicolas Steannart Nicolas Cacheur, Jean Cens, Paul Lochon… On alla également acheter six douzaines de « picques» à un marchand de Flobecq, pour armer les habitants de la ville après le départ de la compagnie du capitaine Follens, laquelle aurait d'ailleurs été exigée par le mayeur. Livrés à eux-mêmes, les Lessinois ne devaient ainsi compter que sur leurs propres forces pour assurer leur défense…

[modifier] Lessines en 1583

C'est ainsi qu'en 1583, selon la tradition, une troupe de mercenaires se présente aux portes de la ville, à dessein de procéder à son pillage. Après plusieurs tentatives d'escalade, par le côté ouest, plus vulnérable en raison de l'assèchement des fossés en cette période de l'année, les assiégeants sont vigoureusement repoussés par les habitants, accourus en foule sur les remparts. Découragés pour un temps, ils tentent de nouveaux assauts le lendemain jusqu'en fin de journée, mais sans plus de succès.

On décide alors une sortie, afin de prendre l'ennemi à revers. Cette mission périlleuse est vraisemblablement confiée à une compagnie composée des plus jeunes membres de la milice bourgeoise, sans doute tous célibataires… À sa tête se trouve Sébastien de Tramasure, fils de Jean, l'un des échevins en exercice. Il est alors âgé de vingt-trois ans.

L'entreprise est un succès total, puisque les assiégeants sont finalement vaincus et mis en déroute. La nouvelle se répand; d'année en année, on commémore le fait d'armes historique, qui, peu à peu, devient légendaire : au fil des récits, tout un luxe de détails contribue bientôt à en dresser un tableau épique.

La victoire est dédiée à la Vierge Marie, voire attribuée à son intercession miraculeuse, tant le désastre avait pu paraître inévitable. C'est que, pendant l'assaut, les bourgeois de la ville n'avaient pas manqué de diriger leurs prières vers la Reine du Ciel. Son l'effigie ornait d'ailleurs l'une des portes de la ville, précisément celle aux pieds de laquelle le combat décisif avait été livré. == Origine des festivités ==

Les autorités communales décident qu'en témoignage perpétuel de reconnaissance, une procession aurait lieu chaque année autour des remparts, à laquelle prendrait part toute la population.

La tradition rapporte également qu'au lendemain de la victoire Sébastien de Tramasure se rend à la chapelle élevée sur les remparts, afin de déposer son épée aux pieds de l'image de la Très Sainte Mère du Sauveur, dorénavant vénérée sous le vocable de Notre Dame de la Porte d'Ogy.

Certains historiens ne se priveront pas de relater l'événement de manière parfois assez loufoque. Ainsi peut-on lire dans l'Histoire Générale des Pays-Bas, publiée à Bruxelles en 1720 : «En 1583, les Huguenots assiégèrent cette ville et crurent s'en rendre les maîtres par escalade; mais un Capitaine des Bourgeois faisant la ronde des remparts coupa la tête à un des chefs des Huguenots, qui étoit monté le premier, ce qui fut cause que la ville sut délivrée. C'est en commémoration de cette délivrance qu'on y fait … une procession annuelle, dans laquelle on porte en triomphe le même sabre, avec lequel la tête du chef des Huguenots a été coupée».

Quoiqu'il en soit, le célèbre fait d'armes devient semble-t-il à partir de 1590, l'objet de représentations théâtrales « le jour de l'assault et de la victoire que l'on eulx encontre des gueux ». La Société de Madame Sainte Rose s'emploie à récréer les manants en jouant sur la place publique la fameuse scène, et se fait rétribuer à charge des finances communales. C'est qu'il s'agit d'attirer en nombre les gens des environs, non seulement à la procession, pour qu'ils honorent la religion, mais également afin de mieux remplir les caisses de la ville, qui taxe considérablement les boissons alcoolisées que les visiteurs ne manqueront pas d'ingurgiter à grandes lampées.

De précieuses indications sur les origines historiques de cette fête nous sont ainsi fournies par les comptes du massard, entreposés aux Archives Générales du Royaume. Ce dernier rétribue de même «quattres joueurs de haubbois de Vallenciennes pour estre venus en ceste ville jouer à la procession comme au festin de la bonne victoire heu contre l'ennemy ».

La première commémoration importante de l'assaut de 1583, c'est-à-dire le premier grand « festin », semble cependant dater de 1598. C'est en effet la première fois que le massard fait état de dépenses occasionnées par l'accueil de divers groupes venus des environs pour rehausser cet événement: Confréries de Saint-Sébastien de Grammont et de Bois-de Lessines, Archers du Grand Serment de Flobecq… La Compagnie de Madame Sainte-Dorothée, autre troupe de comédiens locaux, est également payée « pour avoir jouet la IIIIe semaine du mois daougst par ung mercredi après la procession d'Ath certaine histoire en commémoration de la victoire obtenue contre les ennemis de Dieu et de sa majesté pensant surprendre et eschellier ladite ville en l'an 1583 ».

La tradition en déduira la date de l'assaut: le mercredi 26 août 1583.

Jusqu'à la fin du dix-huitième siècle, le jour du festin sera célébré avec la pompe la plus officielle. Bailli, mayeur, échevins et conseillers assistent à la messe solennelle avant de suivre le clergé dans les rues de la ville, accompagnés en bon ordre par les corporations, les confréries et les serments. Le périple s'achève devant la Porte d'Ogy, seul vestige des fortifications qui subsista jusqu'en 1804.

Le 8 mars 1634, Sébastien de Tramasure quittait le monde des vivants pour entrer dans la légende. Il fut enterré dans la petite chapelle du Couvent des Sœurs noires, dont les murs bordent le parvis de l'église Saint-Pierre. Une courte épitaphe résume pour la postérité ses exploits déjà passés dans la mémoire collective: «Cy gist Sébastien de Tramasure en son temps capitaine des bourgeois qui en l'an 1583 abattit du rampart hollandois et anglois ennemis lors de notre foy..»

Quant à l'origine de son nom, le mot "Festin" viendrait non des festivités qui suivirent la délivrance de la cité mais bien du mot flamand "vesting" qui signifie "remparts".

Qu'on se le dise . . .

[modifier] Les fêtes du Festin 1583 actuelles

LESSINES, L'AN DE GRACE 1583

Les Fêtes Historiques du Festin commémorent un fait d'armes accompli, selon la tradition, le mercredi 26 août 1583 : la délivrance de la ville, assiégée par une troupe de mercenaires venus du nord, grâce à la victoire acquise par la milice bourgeoise, placée sous le commandement de son capitaine, Sébastien de Tramasure.

Au cours des siècles, la procession originelle s'est peu à peu étoffée. De nos jours, elle est précédée d'un somptueux cortège historique, qui rassemble plusieurs centaines d'artistes et de figurants en costumes d'époque.

Depuis plusieurs années, un ensemble de spectacles et d'animations viennent également compléter cette célébration, à la fois religieuse et profane.

Pendant deux jours, le Festin de Lessines constitue ainsi le centre d'une évocation haute en couleurs des Fêtes de la Renaissance dans les Pays-Bas méridionaux.

Pour les petits comme pour les grands, 1583 devient ainsi un nombre magique grâce auquel se réalise un incroyable voyage à travers le temps.

[modifier] Programme du week-end

La FRANCHE-FOIRE

aux artistes, artisans et métiers d'art, dans le périmètre historique. Le samedi de 11 heures à 23 heures Le dimanche de 10 heures à 18 heures

Tout comme le marché hebdomadaire, la foire annuelle existe, selon la formule consacrée, de toute ancienneté et de temps immémorial. Connue à l'origine comme «fieste francque à warder le jour de la Saint-Mathieu», soit le 21 septembre, elle était le rendez-vous des commerçants nomades.

En 1453, Philippe le Bon, duc de Bourgogne, confirme l'octroi fait par ses prédécesseurs aux bourgeois de la ville. Il étend même ce privilège en permettant aux marchands de se rendre et de séjourner à l'intérieur des remparts à cette occasion sans qu'on puisse les arrêter pour nul méfait ou nulle dette, sauf pour délit envers le souverain ou dettes contractées dans le cadre de la foire.

Afin de signaler les droits de franchise dont bénéficiait ainsi la foire, l'usage était de dresser sur la place publique où elle se tenait une perche surmontée d'un aigle. A Lessines, ce privilège pouvait être invoqué durant sept jours, soient trois avant l'ouverture de la foire et trois après sa clôture.

Une nouvelle confirmation des foires et marchés francs est accordée par Philippe II, roi d'Espagne, en date du 10 septembre 1565. La franche foire annuelle se tenait alors la veille du dimanche qui précède la Saint-Mathieu. Quelques temps après, elle est transférée au vendredi qui suit la Saint-Jean-Décollé, vers la fin du mois d'août.

Les Halles constituaient le plus ancien bâtiment civil de la ville; leur représentation figurait déjà au XIIIe siècle dans le "Vieil Rentier" des Sires d'Audenarde. C'est là que se faisait l'étalage de la Saint Mathieu. Elles servirent également de maison échevinale jusqu'à leur cession définitive à la commune par le Comte de Hainaut, au XIVe siècle. Ce dernier s'était cependant réservé une partie du droit d'étalage, qu'il continua de percevoir sur les marchés hebdomadaires, qui avaient remplacé les halles permanentes, transformées en hôtel de ville et réaffectées en partie au logement des lombards. Le bâtiment fut détruit par un incendie en 1516 et reconstruit l'année suivante dans un style plus monumental. Il comportait alors un beffroi à toiture renflée, en forme de bulbe, que rappelle l'hôtel de ville actuel, datant de 1889 et d'ailleurs en cours de restauration.

Par décret du 17 octobre 1755, l'impératrice Marie Thérèse ratifia les octrois de 1453 et de 1565 et approuva les modifications de dates sollicitées par les autorités communales. Dès ce moment, deux foires annuelles furent organisées, à savoir le 18 avril et le 17 octobre.

Ce nouveau calendrier resta en vigueur jusqu'au 30 vendémiaire, an XII, soit le 22 octobre 1804, date à laquelle le gouvernement français donna son accord pour une nouvelle modification. Trois foires annuelles furent ainsi organisées, à savoir, le mardi suivant le quatrième dimanche après Pâques, la mardi suivant le deuxième dimanche d'août et le mardi de la Laetare.

Vers la fin du XIXe siècle, les foires annuelles disparurent progressivement, si bien qu'en 1906, un historien local pouvait affirmer qu'elles n'existaient plus que sur papier.

Depuis 1983, la franche foire annuelle se déroule à nouveau chaque année sur le parvis Saint-Pierre et dans le cadre de l'hôpital Notre-Dame à la Rose sous la forme d'une rencontre artisanale, destinée à recréer l'atmosphère des grands marchés populaires du XVIe siècle.

La Franche Foire actuelle s'ouvre ainsi au public, chaque année, les premiers samedi et dimanche de septembre. Illustrant à la fois les techniques traditionnelles et la création contemporaine, les participants endossent pour l'occasion un costume d'époque et viennent travailler devant le public.

Un prix spécial est décerné à l'artisan qui s'est particulièrement distingué par la qualité de son travail par le Collège des Bourgmestre et Echevins, accompagné dans sa visite, par une délégation du Conseil communal. Un second prix est également décerné par l'ASBL Fêtes historiques du Festin 1583, de manière à récompenser la fidélité des participants


La JOYEUSE-ENTREE

du Prince Alexandre Farnèse, Gouverneur des Pays-Bas Le samedi de 15 heures à 18 heures

Compte tenu du climat d'agitation et de violence qui caractérisait nos provinces en cette fin du 16ème siècle, on comprendra l'importance d'un personnage comme Alexandre Farnèse, afin d'asseoir l'autorité du gouvernement de Madrid, de calmer les tensions, de réprimer les révoltes et de conjurer les hérésies.

En 1579, plusieurs villes des provinces du sud, dont Bruxelles, Anvers, Gand, Bruges et Ypres, s'étaient provisoirement jointes à l'Union d'Utrecht, regroupant les provinces du nord. Un an plus tôt, Alexandre Farnèse, lieutenant de Don juan d'Autriche, précédant gouverneur des Pays-Bas, et fils de l'ancienne gouvernante Marguerite de Parme, s'était retrouvé à la tête des Dix-Sept Provinces, encore unies.

Fort de l'appui des provinces du sud, il reprit des villes importantes, telles Dixmude, Ypres, Bruges, Gand, Bruxelles et Anvers, qui fut la dernière à résister. Il parvint également à soumettre quatre des sept provinces du nord.

Une décision aberrante du gouvernement de Madrid le retira cependant du champ des opérations pour le faire vaquer à l'aventure de l'Invincible Armada. Il s'éteignit à Arras en 1592.

Entre-temps, les Hollandais avaient repris une à une les villes du nord… Nous l'avons imaginé de passage dans notre bonne ville. Accueilli vers 15 heures devant la Porte d'Ogy par les autorités communales, l'hôte illustre accomplit d'abord un périple dans le centre ville pour gagner ensuite la place Alix de Rosoit, où un spectacle est donné en son honneur par des musiciens, des chanteurs, des danseurs, des jongleurs et des acrobates…


Le SPECTACLE PROMENADE

Le samedi de 19 heures 30 à 23 heures 30, dans le site historique.

Dans le centre historique de la ville, les Fêtes Nocturnes de la Renaissance constituent, à travers une douzaine de spectacles, une évocation haute en couleurs de la vie culturelle dans les Pays-Bas méridionaux au temps de Philippe Il, clôturée par un grand feu d'artifice.

Les différentes représentations, en costumes d'époque, constituent autant de tableaux vivants, se déroulant dans un endroit différent. A chaque édifice remarquable se trouve associé un spectacle, présentant chaque fois un aspect différent des réjouissances de l'époque.

Tous les spectacles se déroulent de manière continue, pendant toute la durée de la soirée, et indépendamment les uns des autres.

De brèves interruptions permettent cependant aux spectateurs de passer à leur convenance d'un spectacle à l'autre, sans être tenus ni à un ordre précis ni à un horaire déterminé.

En partant de l'une des entrées du site, on pourra ainsi flâner librement d'un spectacle à l'autre, en se restaurant, au passage, si on le désire, à la Taverne du Grand Bailly, à l'Ecuelle ou au Petit Seizième.

Parallèlement aux spectacles, la Franche Foire aux artistes, artisans et métiers d'art se poursuit en nocturne sur le Parvis de l'Eglise Saint-Pierre.


La JOURNEE DU DIMANCHE

La journée du dimanche est toute imprégnée d'une tradition plusieurs fois séculaire, à laquelle les habitants de la ville sont restés très attachés.

Le REVEIL AU TAMBOUR

Le dimanche vers 7h00, dans les rues de la ville

Vers 7 heures, la milice bourgeoise parcourt les rues de la ville, afin d'assurer le réveil des habitants au son des tambours de la Garde de Sébastien de Tramasure et des arquebuses du Serment de Saint Roch, tandis que le crieur public proclame le héros du jour et rappelle ses hauts faits.

Le TRANSFERT DE LA VIERGE

Le Dimanche vers 9h30

Dès 9 heures 30, les autorités ecclésiastiques et civiles, dont Sébastien de Tramasure, capitaine de la milice bourgeoise, et ses officiers, se rendent à la Chapelle de la Porte d'Ogy afin de transférer la statue de Notre-Dame, protectrice de la cité, vers l'église Saint-Pierre, au milieu des salves d'honneur.

La GRAND-MESSE

Le dimanche à 10h00 dans l'église St Pierre

A 10 heures, une grand-messe d'action de grâce est chantée en son honneur. Cet événement est l'occasion d'évoquer les fastes qui entouraient un tel office dans le courant du 16ème siècle.

Le sanctuaire est décoré d'oriflammes aux couleurs de la Vierge, de la Ville et du Saint-Siège. Plusieurs belles pièces de l'important trésor sont utilisées pour le service, tels que chandeliers, croix d'autel et de procession, encensoir, burettes et calice datant de la fin du 16ème siècle, décoré d'angelots et de rinceaux dans le style renaissant.

Les ornements sacerdotaux portés par les officiants datent des XVIIIe et XIXe siècles et sont fait de soies et de tissus brochés recousus de fils d'or et d'argent. L'exécution de pièces des répertoires grégorien, renaissant et baroque, est assurée par les membres de la chorale Saint-Pierre de Lessines, auxquels viennent se joindre des membres des chorales de la Région. Ils sont accompagnés par le Zwols Koperen Ensemble, un ensemble de cuivres venu des Pays-Bas, et, à l'orgue, par le titulaire de l'instrument.

Le CORTEGE ET La PROCESSION Le dimanche à partir 15 heures

La REMISE DE L'EPEE Le dimanche vers 17h30 à la chapelle de la porte d'Ogy

Le BALLET FINAL RENAISSANCE Le dimanche à partir 18 heures, placette Alix du Rosoit

C'est l'occasion de se plonger une dernière fois dans l'ambiance des fêtes de la Renaissance: tandis que la Taverne du Grand Bailly dispense mets et breuvages d'époque, les artistes se succèdent sur la place Alix de Rosoit.

Ainsi se terminent, dans la liesse, les Fêtes Historiques du Festin, tandis que les derniers artistes et artisans quittent le site de la Franche Foire.

Les organisateurs vous remercient de votre intérêt pour une tradition plusieurs fois séculaire. Heureux de pouvoir vous faire partager leur sens de la fête, ils espèrent vous voir ou vous revoir, fidèles au rendez-vous du premier week-end de septembre.

[modifier] Le comité organisateur actuel

Formé en association de fait en 1983, le comité organisateur s'est constitué en asbl en 1994. Il est constitué d'une trentaine de membre bénévole qui assure la base de l'organisation. Ce groupe de personne travaille toute l'année à la préparation des fêtes. La réalisation des activités du WE proprement dit nécessite la participation d’une centaine de bénévoles qui étoffent cette équipe de base. Celle-ci, sans cette aide, ne pourrait pas réaliser des festivités de cette importance. Cet esprit de bénévolat est très important dans le fonctionnement de notre asbl. En effet, il permet de donner un vrai sens de sens de la fête conviviale aux festivités du Festin 1583. Cet esprit est un peu notre "marque de fabrique". Sans aucune aide financière extérieure, depuis plus de 20 ans, notre comité réussit à boucler son budget (+/- 50.000 € chaque année). Ce « miracle » permanent est possible grâce à l’enthousiasme des membres de l’asbl et au soutient permanent de la population lessinoise et des différents sponsors (Commerçants de la ville, RTBf, No Télé…). Depuis quelques années, une aide en "nature" est fournie par les services techniques de la ville de Lessines qui participent à la préparation des festivités avec la mise à disposition de personnel ouvriers.

Les dates des festivités 1-2-3/09/2006 31/08 et 1-2/09/2007 5-6-7/09/2008 4-5-6/09/2009 3-4-5/09/2010 2-3-4/09/2011 31/08 et 1-2/09/2012 30-31/08 et 1/09/2013



[modifier] Liens externes

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