Battle Realms

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vous avez de nouveaux messages (diff^?).

Battle Realms

Éditeur	Crave Entertainment Ubisoft Entertainment
Développeur	Liquid Entertainment
Concepteur	Ed del Castillo
Début du projet	{{{début du projet}}}
Date de sortie	Novembre 2001
Licence	{{{licence}}}
Version	{{{version}}}
Genre	Stratégie temps réel
Mode de jeu	Un joueur, 8 joueurs
Plate-forme	Windows
Média
Langue	{{{langue}}}
Contrôles	clavier, souris
Évaluation	{{{évaluation}}}
Moteur de jeu	{{{moteur de jeu}}}

Battle Realms est un jeu de stratégie en temps réel se déroulant dans un monde médiéval fantastique et dans un style très japonais inspiré du jeu de rôle La Légende des Cinq Anneaux.

[modifier] Histoire

[modifier] Présentation

Le jeu se présente en vue plongeante, en 3D réel comme pour Warcraft 3. Malgré sa vitalité il reste quand même très classique, il nous faudra donc récolter des matières premières, construire des bâtiments, faire évoluer ses technologies et livrer des combats. Un soin particulier est apporté à l'animation des personnages.

Le système des ressources est intuitif et ces dernières se renouvellent au cours du temps. Vos matières premières servent à construire des bâtiments et à former des unités de combats. L'eau aide à éteindre les incendies, et arroser les rizières accélère la croissance des plantes. Vous pouvez capturer des chevaux et vous en servir comme monture de combat pour l'un de vos soldats ou bien pour aider vos paysans à récolter du riz et de l'eau.

Les bâtiments militaires construits ne servent pas à acheter des guerriers particuliers, mais à former les hommes pour une certaine pratique guerrière. Par exemple un lancier ne s'acquière qu'en formant un paysan au maniement de la lance. Vous pouvez ensuite l'entraîner à d'autres exercices, il deviendra peut être aussi habile au combat à distance qu'au combat rapproché.

Comme dans tout bon jeu de stratégie, la recherche technique est l'un des atouts du joueur. Ici, toutes les évolutions techniques s'échangent contre des points Zen. Ces points sont gagnés par la bravoure au combat, ainsi un combat victorieux loin de son village donne beaucoup de points, alors que subir de lourds dommages dans son propre camp ne donne aucun point. Les points Zen rendent le jeu plus dynamique en aidant les joueurs à s'affronter dès le début d'une partie.

Les paysans sont les seuls à naître, et à une cadence qui se tasse quand on approche du nombre limite d'unité imposé par la mission. Encore une fois ce système pousse au combat, car globalement il est plus avantageux de faire des assauts avec un nombre de soldats moyen que d'attendre de posséder l'effectif maximum pour amorcer les hostilités. De plus, les paysans comptant dans le nombre limite d'unité, il faut donc trouver - selon la proportion de paysans et de soldats - un équilibre entre force de combat et vitesse de ravitaillement. La gestion de son effectif est très important, mais les phases de combat restent essentielles et la mise en place de stratégies peut éviter de lourdes pertes. Il est ainsi possible d'utiliser à son avantage certains terrains, et l'on peut constater que le relief a son influence sur la visibilité des troupes et sur leur portée de tir. Les forêts sont utiles pour se camoufler en prenant garde à ne pas effrayer les oiseaux.

[modifier] Gameplay

Battle Realms introduit pour la première fois le concept de 'héros' dans un jeu de stratégie en temps réel 3D. Ces unités spéciales nécessitent des points de yin/yang (Zen) en plus des ressources classiques pour être appelés. Ils sont plus forts que les unités normales et disposent immédiatement de Battle Gears (capacités spéciales) uniques. Globalement, ils n'influencent pas autant le cours du jeu que dans Warcraft 3 qui architecture fortement sa tactique autour d'eux.

Le jeu met en scène quatre clans, très différent dans leur approche et leur aspect, chacun disposant d'unités et de bâtiments uniques. Il s'agit des clans du Dragon, du Serpent, du Lotus et du Loup.

Le Dragon, mené par Kenji, le héros du scénario, se bat avec honneur selon la voie du samouraï.
Le Serpent use de ruse et n'hésite devant aucun stratagème pour gagner, pas même les pièges, les armes à feu ou la nécromancie.
Le Lotus se complaît dans la magie noire et les arcanes interdites de la corruption : pourrissement, maladie...
Le Loup, historiquement esclave du Lotus et dont le Serpent fut le garde-chiourme, représente la force brute et sauvage de la nature. Ils aspirent à la liberté fraîchement retrouvée.