Bataille de Sainte-Foy
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La bataille de Sainte-Foy par George B. Campion |
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Informations générales | |
Date | 28 avril 1760 |
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Lieu | Québec |
Issue | Victoire française |
Belligérants | |
France | Angleterre |
Commandants | |
François G. de Lévis | James Murray |
Forces en présence | |
7 000 soldats plus civils |
3 800 soldats 20 canons |
Pertes | |
833 morts ou disparus | 1 124 morts ou disparus |
Guerre de Sept Ans | |
Batailles | |
Europe Minorque (navale) — Lobositz — Reichenberg — Prague — Kolin — Hastenbeck — Gross-Jägersdorf — Moys — Rossbach — Breslau — Leuthen — Domstadl — Zorndorf — Hochkirch — Kunersdorf — Kunersdorf — Baie de Quiberon (navale) Amérique du Nord Inde Philippines |
Le 28 avril 1760, quelques mois seulement après la défaite de la France sur les Plaines d'Abraham dans la Ville de Québec, le gouverneur de la Nouvelle-France, Vaudreuil et le chevalier de Lévis, repoussent les Britanniques du général James Murray à la bataille de Sainte-Foy et assiègent la Ville de Québec. Le sort fait que les renforts britanniques arrivent en premier en Nouvelle-France, ce qui conduit les troupes françaises à reculer puis à capituler à Montréal et Trois-Rivières peu après.
La bataille de Sainte-Foy est le dernier battement de cœur de la France coloniale au Canada. Les trois années qui suivront cette bataille sera un régime militaire administré par le général Murray et ce, jusqu'à la fin de la guerre de Sept Ans en Europe. La France choisit de conserver les îles des Antilles, telles que la Martinique et plusieurs autres, par le traité de Paris en 1763 sacrifiant ainsi la Nouvelle-France aux Britanniques.
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