À la claire fontaine
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
À la claire fontaine est une chanson traditionnelle française.
Cet article est une ébauche concernant la musique, vous pouvez aider à son amélioration en le modifiant. |
Il s'agit d'une chanson en laisse composée de vers de douze syllabes assonancées en /e/. D’origine québécoise, ou du moins canadienne, elle date d’avant 1865 [1] et est en fait la reprise d’une ronde française prologue.qc.ca. On répertorie plus de cinq cents versions différentes (idem).
[modifier] Paroles (sans laisse ni refrain - pour information)
À la claire fontaine
M’en allant promener
J’ai trouvé l’eau si belle
Que je m’y suis baigné.
Sous les feuilles d’un chêne,
Je me suis fait sécher.
Sur la plus haute branche,
Un rossignol chantait.
Chante, rossignol, chante,
Toi qui a le cœur gai.
Tu as le cœur à rire…
Moi je l’ai à pleurer.
J’ai perdu ma maîtresse
Sans l’avoir mérité,
Pour un bouquet de roses
Que je lui refusai…
Je voudrais que la rose
Fût encore au rosier,
Et moi et ma maîtresse
Dans les mêmes amitiés.
[modifier] Paroles (avec laisse - version chantée)
À la claire fontaine
M’en allant promener
J’ai trouvé l’eau si belle
Que je m’y suis baigné.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
J’ai trouvé l’eau si belle
Que je m’y suis baigné.
Sous les feuilles d’un chêne,
Je me suis fait sécher.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
Sous les feuilles d’un chêne,
Je me suis fait sécher.
Sur la plus haute branche,
Un rossignol chantait.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
Sur la plus haute branche,
Un rossignol chantait.
Chante, rossignol, chante,
Toi qui a le cœur gai.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
Chante, rossignol, chante,
Toi qui a le cœur gai.
Tu as le cœur à rire…
Moi je l’ai à pleurer.
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
Tu as le cœur à rire…
Moi je l’ai à pleurer.
J’ai perdu ma maîtresse
Sans l’avoir mérité,
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
J’ai perdu ma maîtresse
Sans l’avoir mérité,
Pour un bouquet de roses
Que je lui refusai…
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
Pour un bouquet de roses
Que je lui refusai…
Je voudrais que la rose
Fût encore au rosier,
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.
Je voudrais que la rose
Fût encore au rosier,
Et moi et ma maîtresse
Dans les mêmes amitiés
Il y a longtemps que je t’aime,
Jamais je ne t’oublierai.