Discuter:Captage du courant

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[modifier] Titre

Le titre Captage du courant est inapproprié... Cela devrait s'intituler Captage du courant par une tractrice ou quelque chose du genre...

Régis Lachaume 14 nov 2004 à 21:04 (CET)

Remarque judicieuse. Je propose captage du courant par les locomotives électriques, tractrice n'est pas employé couramment. Spedona 14 nov 2004 à 21:33 (CET)

Je conteste: Outre que le captage de courant dans les transports ne soit pas que le fait du chemin de fer (voir le § sur les trolleybus), il y a aussi les automotrices électriques, les tramways, les TGV, etc... qui ne sont pas de « locomotives électriques ». Pour ma part, je trouve un peu étrange ce titre, soit, mais je ne vois pas de titre plus élégant. En revanche, je ne pense pas que ce soit une bonne idée de rallonger le titre, tant qu'il n'y a pas de confusion avec un autre article qui revendiquerait le même nom... Muselaar 17 février 2006 à 22:07 (CET)

 Dans ce paragraphe j'ai du mal à suivre :

Néanmoins, le frottement de l'archet sur le fil de contact génère une onde qui se propage de part et d'autre du point de contact. Pour une tension normale du fil de contact, cette onde se propage à moins de 500 km/h. Au-delà de cette vitesse, le pantographe rattrape l'onde et le fil de contact se décolle de l'archet. Il est possible de différer le phénomène en augmentant la tension du fil, ce qui augmente la vitesse de propagation de l'onde. Mais il est évident que cela pose le problème de la résistance mécanique de la caténaire.

Ne devrait-on pas lire :

Pour une tension normale du fil de contact, cette onde se propage à plus de 500 km/h. en deçà de cette vitesse, le pantographe rattrape l'onde et le fil de contact se décolle de l'archet. ?

Non, dommage que l'auteur de cette phrase n'ait pas lui-même expliqué son propos. Pour moi, la phrase est juste: elle exprime le fait que la vitesse de propagation de l'onde est en dessous de 500 km/h si la caténaire est tendue normalement. Mais si la vitesse du train dépasse la vitesse de propagation de l'onde, elles se rattrapent (phénomène semblable au mur du son), et l'archet peut se décoller, ou la caténaire s'arracher (là, je ne suis pas sûr, mais je sais que les Z2 en unités triples, à cause des phénomènes de résonnance ondulatoires, ont parfois provoqué des arrachements de caténaires, à certaines vitesses. J'en ai été le témoin lors d'un voyage en 1983 entre Ambérieu et Culoz). Je modifie en conséquence le texte pour le rendre plus clair. Muselaar 17 février 2006 à 22:07 (CET)